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https://doi.org/10.11588/diglit.4187#0012
4 U. BOURIANT, G. LEGRAIN ET G. JÉQUIER.
raires portant les cartouches royaux d'AménophisIV, qui confirmèrent d'un façon
irréfutable l'identification de la tombe. En même temps, les fragments des deux
sarcophages furent portés au Musée de Ghizeh.
crLa tombe d'Aménophis IV porte aujourd'hui le n° 26 de la nécropole de
Tell el-Amarna. n ■ ,
II. LES TOMBEAUX ANONYMES.
Lorsqu'en janvier i8gi nous nous aventurâmes à notre tour dans le Ouady
el Darb el-Hamzaouï, nous pûmes nous rendre compte des résultats de la décou-
verte puis du labeur de M. Barsanti(1). Après avoir cheminé près de deux heures
dans une des plus belles gorges de l'Egypte, on atteint une sorte de carrefour
où, à main droite, se voient les portes de trois tombeaux inachevés. En suivant
un petit sentier qui s'amorce près d'eux on arrive rapidement à un cul-de-sac
où trois autres tombeaux furent creusés. L'un n'a pas encore été exploré, tant
son entrée est obstruée par les blocs tombés de la montagne; l'autre, dont la porte
regarde vers le sud est achevé entièrement, blanchi à la chaux, mais il ne fut ni
décoré ni utilisé. M. Barsanti, qui le déblava, n'y a trouvé qu'un morceau de
poterie sur lequel, à l'encre noire, en grands caractères hiératiques, était tracé
le nom de 0 f ■*—*■ '2).
W Voir Bouriant, Notes devoijage, S 21, Le tombeau royal d'Hadgi Quandil, dans ie Recueil de
travaux, t. XVIII, p. îàk.
(2) Ce renseignement ainsi que beaucoup d'autres qui trouveront place dans ce travail, m'ont été
fournis très obligeamment par M. Barsanti.
4H
raires portant les cartouches royaux d'AménophisIV, qui confirmèrent d'un façon
irréfutable l'identification de la tombe. En même temps, les fragments des deux
sarcophages furent portés au Musée de Ghizeh.
crLa tombe d'Aménophis IV porte aujourd'hui le n° 26 de la nécropole de
Tell el-Amarna. n ■ ,
II. LES TOMBEAUX ANONYMES.
Lorsqu'en janvier i8gi nous nous aventurâmes à notre tour dans le Ouady
el Darb el-Hamzaouï, nous pûmes nous rendre compte des résultats de la décou-
verte puis du labeur de M. Barsanti(1). Après avoir cheminé près de deux heures
dans une des plus belles gorges de l'Egypte, on atteint une sorte de carrefour
où, à main droite, se voient les portes de trois tombeaux inachevés. En suivant
un petit sentier qui s'amorce près d'eux on arrive rapidement à un cul-de-sac
où trois autres tombeaux furent creusés. L'un n'a pas encore été exploré, tant
son entrée est obstruée par les blocs tombés de la montagne; l'autre, dont la porte
regarde vers le sud est achevé entièrement, blanchi à la chaux, mais il ne fut ni
décoré ni utilisé. M. Barsanti, qui le déblava, n'y a trouvé qu'un morceau de
poterie sur lequel, à l'encre noire, en grands caractères hiératiques, était tracé
le nom de 0 f ■*—*■ '2).
W Voir Bouriant, Notes devoijage, S 21, Le tombeau royal d'Hadgi Quandil, dans ie Recueil de
travaux, t. XVIII, p. îàk.
(2) Ce renseignement ainsi que beaucoup d'autres qui trouveront place dans ce travail, m'ont été
fournis très obligeamment par M. Barsanti.
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