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https://doi.org/10.11588/diglit.44665#0175
* de la VàWfre* 169
W' , à* posesion d’un si
ffl grand bien me sera toujours oublier
itôtpti
Uiiw
W«
: en sit
r coist
IcDwi
tous les chagrins qui pourroient trou-
hier une Ame qui ne sientiroit pas
comme je sais le prix d'un avantage
si précieux. Je vous attens: venez de
meilleure heure qu'à l'ordinaire. A-
dieu, je vousembrajse mille & mil-
le fois.
Le Roi partit d’abord qu’il eut
* reçu ce billet. Je laifTe à penGr à
ceux qui (çavent ce que c’est que
P9- d’aimer tendrement, quelles furent
^iihi caresses &lelamitiez qu*ils le
grent. La Cour étoit alors à Saint
krf Clou. Madame de Soissbns sé
*?'f trouva dans les Jardins un. jour
W que le Roi s*y promenoir II lui
ne cent choses desobligeantes
qui eussent passe pour des in.cm~
W lîteic, si elles avoient été faites
par un particulier. Quelques jours
ïtf après le Roi étant allé l’a prés Mi-
dictez la Valieren’en revint qu’à
II quatre
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tous les chagrins qui pourroient trou-
hier une Ame qui ne sientiroit pas
comme je sais le prix d'un avantage
si précieux. Je vous attens: venez de
meilleure heure qu'à l'ordinaire. A-
dieu, je vousembrajse mille & mil-
le fois.
Le Roi partit d’abord qu’il eut
* reçu ce billet. Je laifTe à penGr à
ceux qui (çavent ce que c’est que
P9- d’aimer tendrement, quelles furent
^iihi caresses &lelamitiez qu*ils le
grent. La Cour étoit alors à Saint
krf Clou. Madame de Soissbns sé
*?'f trouva dans les Jardins un. jour
W que le Roi s*y promenoir II lui
ne cent choses desobligeantes
qui eussent passe pour des in.cm~
W lîteic, si elles avoient été faites
par un particulier. Quelques jours
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