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https://doi.org/10.11588/diglit.33622#0122
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MÉLANGES D'ARCHÉOLOGIE.
de Cana; et à droite, ii entre à Jérnsalem, monté sur un âne, le jour des Rameaux. Quant à
la Rgure centrate, t'éditeur des tient que c'est Suzanne, figure de t'Ég'lise. C'est
encore te cas de ne point jeter à ta tête du lecteur un type qui ne lui est pas famitier, et qu'il
a droit de ne pas prendre comme inctubitable si t'assertion n'est bien accompagmée de
preuves décisives. Or j'ai fait assez entendre que je ne me proposais point ici de trancher
par textes ou comparaisons des probièmes qui veutent être présentésptus ampiement si l'on
prétend convaincre son monde.
Autre frag-ment d'un sarcophag-e d'Arles, où les faits de i'Ancien Testamentetdu Nouveau
son.t rapprochés d'une façon t/eaucoup ptus évidente. La naissance de Notre-Seigmeur et son
adoration par les berg-ers dans l'étable de Bethtéem a pour pendant te prophète Ëtie enlevé
au ciet par des chevaux de feu. Dans cette scène, comme en d'autres has-reiiefs du même
âge, te Jourdain esthgmré par un personnag-e couchéà terre ; et le prophèle laisse tomber son
manteau que varecueiilir Etisée, son disciple, en témoigmage de ta succession ctuthaumaturge.
Les scènes inférieures, aujourd'hui mutilées, ne nous occuperont pas, faute de parallèies
qui rendent leur interprétation évidente.
Geiui-ci (p. 93, Rg\ R), beaucoup ptus comptet, est d'Artes encore; ett'inscription gravée
sur ia frise que voità indiquerait que te monument a été fait par un mari pour sa femme
qu'il avait perdue après huit ans de vie commune. M. Ed. Le Btant (//mvè/ùA/M
& /// t. II, p. 262, svv.) a fait voir que le christianisme est sufhsamment
indiqué par les noms mêmes de ta morte. Les bas-retiefs annoncent du reste assez ta foi de
ceile qui fut enseveiie dans ce riche séputcre.
MÉLANGES D'ARCHÉOLOGIE.
de Cana; et à droite, ii entre à Jérnsalem, monté sur un âne, le jour des Rameaux. Quant à
la Rgure centrate, t'éditeur des tient que c'est Suzanne, figure de t'Ég'lise. C'est
encore te cas de ne point jeter à ta tête du lecteur un type qui ne lui est pas famitier, et qu'il
a droit de ne pas prendre comme inctubitable si t'assertion n'est bien accompagmée de
preuves décisives. Or j'ai fait assez entendre que je ne me proposais point ici de trancher
par textes ou comparaisons des probièmes qui veutent être présentésptus ampiement si l'on
prétend convaincre son monde.
Autre frag-ment d'un sarcophag-e d'Arles, où les faits de i'Ancien Testamentetdu Nouveau
son.t rapprochés d'une façon t/eaucoup ptus évidente. La naissance de Notre-Seigmeur et son
adoration par les berg-ers dans l'étable de Bethtéem a pour pendant te prophète Ëtie enlevé
au ciet par des chevaux de feu. Dans cette scène, comme en d'autres has-reiiefs du même
âge, te Jourdain esthgmré par un personnag-e couchéà terre ; et le prophèle laisse tomber son
manteau que varecueiilir Etisée, son disciple, en témoigmage de ta succession ctuthaumaturge.
Les scènes inférieures, aujourd'hui mutilées, ne nous occuperont pas, faute de parallèies
qui rendent leur interprétation évidente.
Geiui-ci (p. 93, Rg\ R), beaucoup ptus comptet, est d'Artes encore; ett'inscription gravée
sur ia frise que voità indiquerait que te monument a été fait par un mari pour sa femme
qu'il avait perdue après huit ans de vie commune. M. Ed. Le Btant (//mvè/ùA/M
& /// t. II, p. 262, svv.) a fait voir que le christianisme est sufhsamment
indiqué par les noms mêmes de ta morte. Les bas-retiefs annoncent du reste assez ta foi de
ceile qui fut enseveiie dans ce riche séputcre.