674 LES IMAGES
Tt prefenter h moy^combien qu'attainte % ï ^
CM on ame foit d'vn enflammé courroux: W& *
Seule tu peux,aux batailles\& coups > jjïdl
De ces cheuaux arrefler la carrure, 0t re
Et s'ilteplaift, o rna douce guerriere\ ^alcai
Seule tu peux, ce fie main de far mer. ornent ; rr
LES GRACES* «mêles
.en que le
Apres atioir demonftré Venus mère d'Amour àces,&
que nous auons pareillement reprefenté, parlons Àofb,ayai
maintenant des Grâces, & des Heures enfemble, bg^CJS
qui vont toufiours auecelle. Car comme Venus ipfki
& Amour font caufe de la fucceffion de la lignée, à,tom
ôc par ce moyen, de la conferuation du genre hu- j^jm c
main, les Grâces aufïî tiennent les hommes vnis xJesHcore
enfemble : car les plaiûrs que tour à tour les hom- s^oeilesfo
mes fe font les vus aux autres, font caufe que IVn auycr/tirI
eu: agréable à l'autre, au moyen dequoy ils font â5tariusde
ioin&s enfemble, du beau lien d'amitié , fans la- 4 Vler
quelle, certainement les hommes ne feroyent à
comparer aux autres animaux, 6c feroyent moin- 'kutpfa
dres qu'iceux, les citez deuiendroyent cauernes, ^
voire s anéantiraientdu tout. Et pour celtecaufe,
pourroit-on dire qualî, que mieux euft efté aux „tf
hommes de neftre, queitans fur la terre viure fans ,
les Grâces. Mais la diuine Prouidence qui a fou- j,^
cy de l'vniuers, a voulu qu'elles fuflent : &:félon ^
tea de aucuns, ces Grâces font yrTues de Venus, &de
fiUei. Baccnus} & ont lîaDité entre les hommes. Ce
Mf5f: ^'^M^&t ' ' que
'mit
Tt prefenter h moy^combien qu'attainte % ï ^
CM on ame foit d'vn enflammé courroux: W& *
Seule tu peux,aux batailles\& coups > jjïdl
De ces cheuaux arrefler la carrure, 0t re
Et s'ilteplaift, o rna douce guerriere\ ^alcai
Seule tu peux, ce fie main de far mer. ornent ; rr
LES GRACES* «mêles
.en que le
Apres atioir demonftré Venus mère d'Amour àces,&
que nous auons pareillement reprefenté, parlons Àofb,ayai
maintenant des Grâces, & des Heures enfemble, bg^CJS
qui vont toufiours auecelle. Car comme Venus ipfki
& Amour font caufe de la fucceffion de la lignée, à,tom
ôc par ce moyen, de la conferuation du genre hu- j^jm c
main, les Grâces aufïî tiennent les hommes vnis xJesHcore
enfemble : car les plaiûrs que tour à tour les hom- s^oeilesfo
mes fe font les vus aux autres, font caufe que IVn auycr/tirI
eu: agréable à l'autre, au moyen dequoy ils font â5tariusde
ioin&s enfemble, du beau lien d'amitié , fans la- 4 Vler
quelle, certainement les hommes ne feroyent à
comparer aux autres animaux, 6c feroyent moin- 'kutpfa
dres qu'iceux, les citez deuiendroyent cauernes, ^
voire s anéantiraientdu tout. Et pour celtecaufe,
pourroit-on dire qualî, que mieux euft efté aux „tf
hommes de neftre, queitans fur la terre viure fans ,
les Grâces. Mais la diuine Prouidence qui a fou- j,^
cy de l'vniuers, a voulu qu'elles fuflent : &:félon ^
tea de aucuns, ces Grâces font yrTues de Venus, &de
fiUei. Baccnus} & ont lîaDité entre les hommes. Ce
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