XVI
CE QU'ON PEUT PENSER DE LA REPRÉSENTATION GROTESQUE
D'UN POTIER.
Dans une thèse curieuse1, M. Lenormant a fait
graver divers monuments auxquels j'emprunte le
dessin ci-contre.
« La lampe en terre d'une grandeur remarquable,
dit M. Lenormant, que je traduis d'après le latin, a
près de deux pieds de long et affecte une forme de
navire. Cette poterie dont l'authenticité est incon-
testable, quoi qu'on ait dit2, est recommandable à
beaucoup d'égards. Elle est de la plus haute anti-
1 Qusestionem cur Plato Âristophanem in éoïLvîvium induxerit,
par Charles Lenormant. l'aris, in-4°. Firmin Didot, 1858.
- Il semble, d'après ce quoi qu'on ait dit, que des doutes s'étaient
élevés parmi les archéologues sur l'authenticité de la lampe, que
malheureusement la France s'est laissé enlever par l'Angleterre.
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CE QU'ON PEUT PENSER DE LA REPRÉSENTATION GROTESQUE
D'UN POTIER.
Dans une thèse curieuse1, M. Lenormant a fait
graver divers monuments auxquels j'emprunte le
dessin ci-contre.
« La lampe en terre d'une grandeur remarquable,
dit M. Lenormant, que je traduis d'après le latin, a
près de deux pieds de long et affecte une forme de
navire. Cette poterie dont l'authenticité est incon-
testable, quoi qu'on ait dit2, est recommandable à
beaucoup d'égards. Elle est de la plus haute anti-
1 Qusestionem cur Plato Âristophanem in éoïLvîvium induxerit,
par Charles Lenormant. l'aris, in-4°. Firmin Didot, 1858.
- Il semble, d'après ce quoi qu'on ait dit, que des doutes s'étaient
élevés parmi les archéologues sur l'authenticité de la lampe, que
malheureusement la France s'est laissé enlever par l'Angleterre.
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