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https://doi.org/10.11588/diglit.14565#0283
23S
T A H L F, ANALYTIQUE.
CHAPITRE II.
PREUVES QUE LES ÉGYPTIENS SE SONT SERVIS DE I,*ART SATIRIQUE.
Papyrus satyriques. — Les mœurs égyptiennes représentées par les
peintures d'hommes à têtes d'animaux. — La lubricité et l'amour.
— Karakeuz, Polichinelle et Punch. — Le docteur Lepsius et
Grandville. — Du rire chez les Grecs, les Assyriens et les Égyp-
tiens. — Calques du musée égyptien de Turin, dessin. — M. Théo-
dule Devéria. — Concert exécuté par des animaux. — Une charge
égyptienne. — L'âme figurée par l'oiseau à tôle humaine. —
Une illustration possible de la BattachomyomacMe d'Homère. — Le
musée de Londres, dessin. — Autres charges antiques. — Allu-
sions aux mœurs intimes des Pharaons. — Le gynécée. — Le
jeu d'échecs. — Ramsès III. --Bonne chère des Pharaons.—
La collection Abbott. — La caricature en Egypte s'attaquait à
la religion aussi bien qu'à la royauté. — Le dieu Bès, dessin. —
Une figurine du musée égyptien du Louvre. — Danse grotesque
du dieu Bès, dessin....................5
CHAPITRE III.
AllISTOTF. ENNEMI PL' SATÏIUQUE.
Aristote pose la base de discussions artistiques éternelles. — Peindre
les hommes tels qu'ils sont, ou meilleurs, ou pires. — Bataille de
l'idéal et du réel. — Alliance contre l'idéal entre la réalité et la
caricature. — Polygnote, Pauson et Denys. — Homère, Cléophon,
Hégémon de Thasos. Nichocharès. —Aristote n'aime ni les réa-
listes ni les caricaturistes. — Opinions de Platon et de Socrate
sur les arts. — Aristote n'a pas compris la portée de la carica-
ture. — Le rôle de la caricature. — Elle est éternelle. . . 17
CHAPITRE IV.
LE PEINTRE PAUSON.
Le poêle Aristophane et le peintre Pauson. — Pauvreté de ce der-
nier. — Pauson l'ignoble. Pauson l'infâme. — Ya-l-il pas été
calomnié par Aristophane? — Sensibilité des poêles satyriques.
T A H L F, ANALYTIQUE.
CHAPITRE II.
PREUVES QUE LES ÉGYPTIENS SE SONT SERVIS DE I,*ART SATIRIQUE.
Papyrus satyriques. — Les mœurs égyptiennes représentées par les
peintures d'hommes à têtes d'animaux. — La lubricité et l'amour.
— Karakeuz, Polichinelle et Punch. — Le docteur Lepsius et
Grandville. — Du rire chez les Grecs, les Assyriens et les Égyp-
tiens. — Calques du musée égyptien de Turin, dessin. — M. Théo-
dule Devéria. — Concert exécuté par des animaux. — Une charge
égyptienne. — L'âme figurée par l'oiseau à tôle humaine. —
Une illustration possible de la BattachomyomacMe d'Homère. — Le
musée de Londres, dessin. — Autres charges antiques. — Allu-
sions aux mœurs intimes des Pharaons. — Le gynécée. — Le
jeu d'échecs. — Ramsès III. --Bonne chère des Pharaons.—
La collection Abbott. — La caricature en Egypte s'attaquait à
la religion aussi bien qu'à la royauté. — Le dieu Bès, dessin. —
Une figurine du musée égyptien du Louvre. — Danse grotesque
du dieu Bès, dessin....................5
CHAPITRE III.
AllISTOTF. ENNEMI PL' SATÏIUQUE.
Aristote pose la base de discussions artistiques éternelles. — Peindre
les hommes tels qu'ils sont, ou meilleurs, ou pires. — Bataille de
l'idéal et du réel. — Alliance contre l'idéal entre la réalité et la
caricature. — Polygnote, Pauson et Denys. — Homère, Cléophon,
Hégémon de Thasos. Nichocharès. —Aristote n'aime ni les réa-
listes ni les caricaturistes. — Opinions de Platon et de Socrate
sur les arts. — Aristote n'a pas compris la portée de la carica-
ture. — Le rôle de la caricature. — Elle est éternelle. . . 17
CHAPITRE IV.
LE PEINTRE PAUSON.
Le poêle Aristophane et le peintre Pauson. — Pauvreté de ce der-
nier. — Pauson l'ignoble. Pauson l'infâme. — Ya-l-il pas été
calomnié par Aristophane? — Sensibilité des poêles satyriques.