Le charivari (11.1842)

rs acrostiches

M- Ploureus
^minées et
bien détertnj.
xais, boissons

'SONNAIS,

cin1 Parties,

llre et un jj|s

e tempête; le
s°nt jetés sur
1 archand et le
; sa mauvaise
leÇ°n pour le
eu la faiblesse
iis de cour.
' se livre "a un
de l'axiome:
sur toutes les
ir et une clie-
Fortune. Les
jeune Oscar;
^et intéressant
îlame un bif-
xemplaire des
prince dévore

Mérité. LaVé-
t de son logis
sera forcé de
'a de lui-mê-
la justesse de
nue plus que

de nouveaux

'appétit qui le
tge déserte où
une auberge,
repas copieux
x cornichons,
iux.

ied et se dis-
ce, lorsqu'un
lit le festin en
•lit pas mieux
;racieuses pa-
irfaite bonbo-
re, et ce n'est
le de La F011-

aie, tant s'en
up de peine à
,cé de ne pas
-danseuse, ac-
:ar lui paraît
causer un peu
ires d'Orient,
une Oscar se
ce discours,
et elle s'em-
ice comprend
a pour titre :

ne, quelle est
e ainsi à son
nédie. Quand
le trois cents
it durer quin-
les auteurs de
ment à la scè-
licitation que

tite pièce vive,
ualité de tou-
du moment.

i sous-œuvre,

rtout à cause

représentées.

, qui ne sont,

ii aussi bien

dessinés par
Lit défaut. En

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