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https://doi.org/10.11588/diglit.41975#0284
266
L’ŒUVRE GRAVE DE WATTEAU.
300 -301. — LES COM EDILES COMIQUES,
LE RENDÉ-VOUS COMIQUE.
L’adresse rue St Jacques, est antérieure à l’adresse
de la rue de IHirondelle.
Pour le Nu 3oi, les Etats seraient :
ier état avant toute lettre; 2e état, avec l’adresse
rue St Jacques', 3e état, celui décrit et reproduit.
Ces deux compositions paraissent être l’œuvre de
Louis Watteau.
303 — LA BOUDEUSE.
Actuellement au Musée de l’Ermitage à Pétrograd.
304. — LA PROMENADE.
Actuellement, Coll. Heugel à Paris.
307. — LE DANSEUR AUX CASTA-
GNETTES.
Actuellement Coll. Wertheimer à New York.
310. — LA CONVERSATION.
L’attribution à Watteau est sujette à caution.
Actuellement Coll. Carton.
311. — LE BAL CHAMPETRE.
Zimmerman reproduit (op. cit., p. 140-141), deux
autres Bals champêtres différents en contre-partie de
la gravure et non dans le même sens, ainsi qu’il a été
indiqué par erreur.
— La peinture provenant de la Vente Tabourier
comportait des repeints qui, une fois enlevés, laissent
voir cinq musiciens et un chien.
Actuellement Coll, de M. Jules Strauss.
— Etat intermédiaire entre le 2e et le 3e état avant
la mention de la Galerie.
312. — L'OCCUPATION CHAMPETRE.
L’attribution à Watteau est sujette à caution ; c’est
plutôt une composition de Quillard.
313. — LE PETIT POINÇON.
La composition est de Pater et non de Lancret; le
rapprochement avec le portrait de Mlle Dangeville
la jeune, par Pater, ne laisse aucun doute, ainsi que l’a
démontré Mlle Ingersoll-Smouse (Pater).
315-316. — AMUSEMENTS CHAM-
PETRES.
Le 2e supplément p. i3g, décrit une 3e gravure :
(Débarquement dans l’ile de Cythère). Une 4e pièce,
de même format et de facture identique, représente
une allégorie de la chasse.
En H .Repos de chasse-, en bas en 2 lignes : Le
Roy se repose sous un rideau négligeament attaché
aux Arbres. Il caresse un chien qui vient de raporter
du gibier. Les Nymphes des Bois forment sa cour,
les unes ornent le cheval qu’il doit monter, les autres
rapelent les chiens autour d'une Fontaine, pendant
qu'une Troupe champestre s’avance, offre des presens
Rustiques et célébré au son des instrumens le noble
amusemens de la chasse.
Se vend à Paris cheq le Sr.
Ces 4 compositions sont l’œuvre du peintre-graveur
Quillard.
— Moreau, Claude,peintre sur le pont Notre-Dame
occupait la 48e maison proche la Pompe, en vertu
d’un bail pour 9 ans, commençant le ier Juillet 1716.
(Arch. Nles Q. 1255 7 B.)
316 bis. — On a indiqué au Catalogue (page 140),
que la peinture était conservée à l’Escurial d’après le
recueil du photographe Alinari; or le tableau n’a
jamais figuré dans ce palais.
317. — LE BAIN.
[Baigneuse debout].
En bas à G., Watteaupinxit, à D., AliametSculpsit.
Gravure à l’eau forte et au burin 0,180X0,225,
pendant du N° 317 bis.
317 bis. — LE BAIN.
[Baigneuse assise].
Avant de se mettre dans l’eau, elle écoute les
galants propos d’un berger.
En bas à G., Watteau pinxit, à D., Aliamet Sculpsit.
Gravure à l’eau forte et au burin 0,180X0,225.
ier état sans autre lettre.
2e état : The Bathers
From the Original Picture, in the Collection ofthe
Earl of Besborough. Published OcL., 2d i/j6 by John
Boydell Engraver in Cheapside London.
Ces deux estampes, gravées tardivement, semblent
reproduire des compositions de Pater.
318. — WATTEAU PAR LA NATURE.
Ie état à l’eau forte; 2e état celui décrit, terminé au
burin avec la lettre.
323. — L’HIVER.
Même sujet que la PL n° 35o des Figures de diffé-
rents caractères, gravée par Boucher avec cette diffé-
rence, que sur l’estampe gravée par Fillœul, des
cordes unissent le traîneau au personnage costumé
en folie, tandis que la PL de Boucher ne comporte
pas de cordes; en faisant la comparaison des deux
estampes, il semble que la PI. de Boucher est une
épreuve d’état, où les cordes ne sont pas gravées.
(Voir p. iq3.)
Fillœul Sculp.
L’ŒUVRE GRAVE DE WATTEAU.
300 -301. — LES COM EDILES COMIQUES,
LE RENDÉ-VOUS COMIQUE.
L’adresse rue St Jacques, est antérieure à l’adresse
de la rue de IHirondelle.
Pour le Nu 3oi, les Etats seraient :
ier état avant toute lettre; 2e état, avec l’adresse
rue St Jacques', 3e état, celui décrit et reproduit.
Ces deux compositions paraissent être l’œuvre de
Louis Watteau.
303 — LA BOUDEUSE.
Actuellement au Musée de l’Ermitage à Pétrograd.
304. — LA PROMENADE.
Actuellement, Coll. Heugel à Paris.
307. — LE DANSEUR AUX CASTA-
GNETTES.
Actuellement Coll. Wertheimer à New York.
310. — LA CONVERSATION.
L’attribution à Watteau est sujette à caution.
Actuellement Coll. Carton.
311. — LE BAL CHAMPETRE.
Zimmerman reproduit (op. cit., p. 140-141), deux
autres Bals champêtres différents en contre-partie de
la gravure et non dans le même sens, ainsi qu’il a été
indiqué par erreur.
— La peinture provenant de la Vente Tabourier
comportait des repeints qui, une fois enlevés, laissent
voir cinq musiciens et un chien.
Actuellement Coll, de M. Jules Strauss.
— Etat intermédiaire entre le 2e et le 3e état avant
la mention de la Galerie.
312. — L'OCCUPATION CHAMPETRE.
L’attribution à Watteau est sujette à caution ; c’est
plutôt une composition de Quillard.
313. — LE PETIT POINÇON.
La composition est de Pater et non de Lancret; le
rapprochement avec le portrait de Mlle Dangeville
la jeune, par Pater, ne laisse aucun doute, ainsi que l’a
démontré Mlle Ingersoll-Smouse (Pater).
315-316. — AMUSEMENTS CHAM-
PETRES.
Le 2e supplément p. i3g, décrit une 3e gravure :
(Débarquement dans l’ile de Cythère). Une 4e pièce,
de même format et de facture identique, représente
une allégorie de la chasse.
En H .Repos de chasse-, en bas en 2 lignes : Le
Roy se repose sous un rideau négligeament attaché
aux Arbres. Il caresse un chien qui vient de raporter
du gibier. Les Nymphes des Bois forment sa cour,
les unes ornent le cheval qu’il doit monter, les autres
rapelent les chiens autour d'une Fontaine, pendant
qu'une Troupe champestre s’avance, offre des presens
Rustiques et célébré au son des instrumens le noble
amusemens de la chasse.
Se vend à Paris cheq le Sr.
Ces 4 compositions sont l’œuvre du peintre-graveur
Quillard.
— Moreau, Claude,peintre sur le pont Notre-Dame
occupait la 48e maison proche la Pompe, en vertu
d’un bail pour 9 ans, commençant le ier Juillet 1716.
(Arch. Nles Q. 1255 7 B.)
316 bis. — On a indiqué au Catalogue (page 140),
que la peinture était conservée à l’Escurial d’après le
recueil du photographe Alinari; or le tableau n’a
jamais figuré dans ce palais.
317. — LE BAIN.
[Baigneuse debout].
En bas à G., Watteaupinxit, à D., AliametSculpsit.
Gravure à l’eau forte et au burin 0,180X0,225,
pendant du N° 317 bis.
317 bis. — LE BAIN.
[Baigneuse assise].
Avant de se mettre dans l’eau, elle écoute les
galants propos d’un berger.
En bas à G., Watteau pinxit, à D., Aliamet Sculpsit.
Gravure à l’eau forte et au burin 0,180X0,225.
ier état sans autre lettre.
2e état : The Bathers
From the Original Picture, in the Collection ofthe
Earl of Besborough. Published OcL., 2d i/j6 by John
Boydell Engraver in Cheapside London.
Ces deux estampes, gravées tardivement, semblent
reproduire des compositions de Pater.
318. — WATTEAU PAR LA NATURE.
Ie état à l’eau forte; 2e état celui décrit, terminé au
burin avec la lettre.
323. — L’HIVER.
Même sujet que la PL n° 35o des Figures de diffé-
rents caractères, gravée par Boucher avec cette diffé-
rence, que sur l’estampe gravée par Fillœul, des
cordes unissent le traîneau au personnage costumé
en folie, tandis que la PL de Boucher ne comporte
pas de cordes; en faisant la comparaison des deux
estampes, il semble que la PI. de Boucher est une
épreuve d’état, où les cordes ne sont pas gravées.
(Voir p. iq3.)
Fillœul Sculp.