DOI Heft:
No. 4 (1er janvier 1927)
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.43079#0085
aux points de fuite et l’on marquera ainsi les
deux premières marches. T "ne vertic ale élevée
en b' limitera la longueur des marches. Du nez
des marches eg, m, v. y on fuit aux points de
fuite. On compare la largeur des marches avec
la hauteur de la contremarche et on détermine
les points u x. Pour dessiner le cadre qui sou-
tient les marches on compare la largeur du
limon à une dimension connue; son point d’at-
tache t, sur le pied 6' 7 s’obtient de la même
manière.
les fuyantes m n r et donneront la silhouette des
marches sur le limon. On tracera la ligne r' t
qui marque le dessous du limon.
Dessiner le pied de largeur 5'. 6/. Porter son
épaisseur de 1 en 8 et mener une fuyante au
point de vue. De 8' mener une fuyante vers le
point de fuite. On obtiendra ainsi le plan per-
spectif du pied. On élèvera des verticales qui
rencontreront la marche supérieure en 7.
Porter la largeur de l’escabeau de 1 en b;
marquer la largeur du pied de gauche de b en a
et le nez de la marche
de b en c ; tracer des
fuyantes au point V ; par
leur intersection avec 16'
ramener à droite des
fuyantes qui rencontre-
ront les fuyantes 5' G; et
donneront la vue per-
spective du pied de gau-
che en tête de l’esca-
beau.
Marquer l’épaisseur
des marches et tenir
compte de leur saillie en
dehors du limon en
avant et sur les côtés.
Ombrer selon le mo-
dèle nature et renforcer
légèrement les traits du
côté de ces ombres.
Perspective géométrique.
TRAVAIL MANUEL
Tracer la ligne d’horizon et le point de vue
V, puis la ligne de base sur laquelle on mar-
quera le point 1, angle le plus proche de l’esca-
beau.
Du point 1 tracer des fuyantes aux points de
fuite de droite et de gauche que l’on obtient en
menant des parallèles 1 6', 1 h', aux côtés de
l’objet en nature.
Porter, sur la ligne de base, les largeurs
1 • 2. 3. 4. 5. 6 qui correspondent à la largeur
du limon, à celle des marches et à celle du pied.
Du point G mener une fuyante au point de
vue : elle donnera le point G', profondeur de
l'appareil ; on élèvera la verticale G' 7 indéfinie.
Du point 1 élever une verticale et porter en
ni, n, r les hauteurs des marches. De ces points
m n r mener des fuyantes aux deux points de
fuite.
Des points 2. 3. 4. 5 mener des fuyantes au
point de vue V. Par leur intersection avec la
fuyante 1 G' élever des verticales qui couperont
JEUNES FILLES
Décorer un coin de napperon.
deux premières marches. T "ne vertic ale élevée
en b' limitera la longueur des marches. Du nez
des marches eg, m, v. y on fuit aux points de
fuite. On compare la largeur des marches avec
la hauteur de la contremarche et on détermine
les points u x. Pour dessiner le cadre qui sou-
tient les marches on compare la largeur du
limon à une dimension connue; son point d’at-
tache t, sur le pied 6' 7 s’obtient de la même
manière.
les fuyantes m n r et donneront la silhouette des
marches sur le limon. On tracera la ligne r' t
qui marque le dessous du limon.
Dessiner le pied de largeur 5'. 6/. Porter son
épaisseur de 1 en 8 et mener une fuyante au
point de vue. De 8' mener une fuyante vers le
point de fuite. On obtiendra ainsi le plan per-
spectif du pied. On élèvera des verticales qui
rencontreront la marche supérieure en 7.
Porter la largeur de l’escabeau de 1 en b;
marquer la largeur du pied de gauche de b en a
et le nez de la marche
de b en c ; tracer des
fuyantes au point V ; par
leur intersection avec 16'
ramener à droite des
fuyantes qui rencontre-
ront les fuyantes 5' G; et
donneront la vue per-
spective du pied de gau-
che en tête de l’esca-
beau.
Marquer l’épaisseur
des marches et tenir
compte de leur saillie en
dehors du limon en
avant et sur les côtés.
Ombrer selon le mo-
dèle nature et renforcer
légèrement les traits du
côté de ces ombres.
Perspective géométrique.
TRAVAIL MANUEL
Tracer la ligne d’horizon et le point de vue
V, puis la ligne de base sur laquelle on mar-
quera le point 1, angle le plus proche de l’esca-
beau.
Du point 1 tracer des fuyantes aux points de
fuite de droite et de gauche que l’on obtient en
menant des parallèles 1 6', 1 h', aux côtés de
l’objet en nature.
Porter, sur la ligne de base, les largeurs
1 • 2. 3. 4. 5. 6 qui correspondent à la largeur
du limon, à celle des marches et à celle du pied.
Du point G mener une fuyante au point de
vue : elle donnera le point G', profondeur de
l'appareil ; on élèvera la verticale G' 7 indéfinie.
Du point 1 élever une verticale et porter en
ni, n, r les hauteurs des marches. De ces points
m n r mener des fuyantes aux deux points de
fuite.
Des points 2. 3. 4. 5 mener des fuyantes au
point de vue V. Par leur intersection avec la
fuyante 1 G' élever des verticales qui couperont
JEUNES FILLES
Décorer un coin de napperon.