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https://doi.org/10.11588/diglit.6356#0419
398 ADDITIONS ET CORRECTIONS.
l'âge 177, en bas. Lisez : un certain nombre de pierres gravées.
Page 184, ligne 18. Lisez : les animaux à deux corps.
Page 187, note 2. Le Musée du Louvre possède un fragment archaïque de style très
fin, en terre rougeâtre et épaisse, analogue aux jarres et aux plats étrusques, qui pro-
vient de Grèce et qui est décoré de deux figures en relief de femmes drapées, le bras
gauche levé. Je Le publierai dans les Monuments grecs avec un article sur la céramique
de ce genre. On vient de trouver sur l'Acropole d'Athènes un fragment de grand vase
à reliefs qui représentent un guerrier montant dans un char conduit par un aurige.
Comparez les vases àreliefs trouvés en Crète; Fabricius, Mittheilungen in Athen, 1880.
p. 144-149.
l'âge 187, note 3. Sur les procédés employés pour obtenir la teinte noire des vases,
cf. Schliemann, llios, traduct. Egger, p. 271-272.
Page 188, note !. Sur la date relativement récente de quelques exemplaires, voy.
Dressel, Annali dell' Inst., 1884, p. 233-236.
Page 190, note 6. Sur l'origine asiatique des Etrusques, voy. le bas-relief avec in-
scription étrusque trouvé à Lemnos; Cousin et Durrbach. Bull, de corr. hellén., 1886.
p. 1 et 3.
Page 191, note 2. Pour l'influence égyptienne, voy. le curieux vase de Polledrara,
auBritish Muséum (Micali, Monumenti inediti, 1844, pl. 4).
Page 192, ligne 3. Voy. les vases trouvés à Vetulonia avec des objets phéniciens et
carthaginois; ILelbig, Hullcttino dell' Inst. germ., 1886, p. 133-137. — Ligne 9. Voy.
aussi un article de M. F. Lenormant, Gazette archéologique, 1881-82, p. 198-199.
Page 193, note 1. Les fouilles de Naucratis ont fait connaître un assez grand nom-
bre de spécimens de cette poterie émaillée et montrent que les Grecs l'ont empruntée
à l'Egypte; cf. Perrot, Journal des savants, 1887, p. 238-239.
Page 198, note 1. Ajoutez : Duemmler, Mittheilungen in Athen, 1886, p. 209; Ross-
bach, ibid., p. 323 ; Winter, ibid., 1887, pp. 234-240 ; Ohnefalsch-Richter, Jahrbuch des
d. Inst., 1886, p. 79; S. Reinach, Revue archéologique, décembre 1886, août 1886,
février 1887 ; Holwerda, Die alten Kg prier in Kunst und Kultus, 1885.
l'âge 204. ligne 14. Sur la ressemblance avec le type d'Hissarlik, cf. Duemmler,
/. i:., qui attribue (p. 212) aux plus anciens produits de Chypre une antiquité au moins
égale aux produits de la Troade.
Page 204, ligne 20. Pour la comparaison des poteries de Chypre avec celles des
Cyclades, cf. Duemmler, op. L, p. 13 et suiv.; avec les poteries cariennes, cf. Paton,
Journal of hell. stud., 1887, pp. 69 et suiv.; Winter. Mittheilungen in Athen, 1887.
pp. 223-244, pl. 6.
Page 207, en bas. Lisez : jusqu'au ivc et au m6 siècle.
Page 207, note 2. L'usage des cercles placés verticalement sur la panse est constaté
aussi àRhodes; Jahrbuch d. d. Inst., 1886, p. 136, 137, nos 2949, 2996.
l'âge 177, en bas. Lisez : un certain nombre de pierres gravées.
Page 184, ligne 18. Lisez : les animaux à deux corps.
Page 187, note 2. Le Musée du Louvre possède un fragment archaïque de style très
fin, en terre rougeâtre et épaisse, analogue aux jarres et aux plats étrusques, qui pro-
vient de Grèce et qui est décoré de deux figures en relief de femmes drapées, le bras
gauche levé. Je Le publierai dans les Monuments grecs avec un article sur la céramique
de ce genre. On vient de trouver sur l'Acropole d'Athènes un fragment de grand vase
à reliefs qui représentent un guerrier montant dans un char conduit par un aurige.
Comparez les vases àreliefs trouvés en Crète; Fabricius, Mittheilungen in Athen, 1880.
p. 144-149.
l'âge 187, note 3. Sur les procédés employés pour obtenir la teinte noire des vases,
cf. Schliemann, llios, traduct. Egger, p. 271-272.
Page 188, note !. Sur la date relativement récente de quelques exemplaires, voy.
Dressel, Annali dell' Inst., 1884, p. 233-236.
Page 190, note 6. Sur l'origine asiatique des Etrusques, voy. le bas-relief avec in-
scription étrusque trouvé à Lemnos; Cousin et Durrbach. Bull, de corr. hellén., 1886.
p. 1 et 3.
Page 191, note 2. Pour l'influence égyptienne, voy. le curieux vase de Polledrara,
auBritish Muséum (Micali, Monumenti inediti, 1844, pl. 4).
Page 192, ligne 3. Voy. les vases trouvés à Vetulonia avec des objets phéniciens et
carthaginois; ILelbig, Hullcttino dell' Inst. germ., 1886, p. 133-137. — Ligne 9. Voy.
aussi un article de M. F. Lenormant, Gazette archéologique, 1881-82, p. 198-199.
Page 193, note 1. Les fouilles de Naucratis ont fait connaître un assez grand nom-
bre de spécimens de cette poterie émaillée et montrent que les Grecs l'ont empruntée
à l'Egypte; cf. Perrot, Journal des savants, 1887, p. 238-239.
Page 198, note 1. Ajoutez : Duemmler, Mittheilungen in Athen, 1886, p. 209; Ross-
bach, ibid., p. 323 ; Winter, ibid., 1887, pp. 234-240 ; Ohnefalsch-Richter, Jahrbuch des
d. Inst., 1886, p. 79; S. Reinach, Revue archéologique, décembre 1886, août 1886,
février 1887 ; Holwerda, Die alten Kg prier in Kunst und Kultus, 1885.
l'âge 204. ligne 14. Sur la ressemblance avec le type d'Hissarlik, cf. Duemmler,
/. i:., qui attribue (p. 212) aux plus anciens produits de Chypre une antiquité au moins
égale aux produits de la Troade.
Page 204, ligne 20. Pour la comparaison des poteries de Chypre avec celles des
Cyclades, cf. Duemmler, op. L, p. 13 et suiv.; avec les poteries cariennes, cf. Paton,
Journal of hell. stud., 1887, pp. 69 et suiv.; Winter. Mittheilungen in Athen, 1887.
pp. 223-244, pl. 6.
Page 207, en bas. Lisez : jusqu'au ivc et au m6 siècle.
Page 207, note 2. L'usage des cercles placés verticalement sur la panse est constaté
aussi àRhodes; Jahrbuch d. d. Inst., 1886, p. 136, 137, nos 2949, 2996.