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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0017
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L'ÉCLIPSÉ

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de cent sous par jour s'appelait;
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préoccupées de l'idéal.
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Nous voulons un théâtre véritable de funambules, avec des
clowfls-, aveo des acrobates, avec des mimes, — nous voulons des
acteurs tout neufs, des actrices d'une belle sauvagerie, la vigueur
des talents vierges, la piquante acidité des fruits verts, — nous
voulons pour le peuple de Paris, des bohémiens et des gitanes,
des yeux noirs et des dents blanches, des passions sans con-
trainte et des torses sans corset, les fils et les filles de la nation
errante, mystérieuse et sacrée, qui s'en vont par laterre, secouant
dans le ciel ébloui, à la face des astres éternels, le drapeau
splendide de leur loisir et de leur liberté.

Eugène Vermeksch.

AVIS.

Nous rappelons à nos1 lecteurs, désireux dé col-
lectionner les charges de Y Eclipse, que nous tenons à
leur disposition une édition de luxe, sur beau papier
satiné, avec dessins tirés en noir avec le plus grand
soin ou rehaussés d'un riche coloris.

Prix d'abonnement pour ces épreuves clartiste :

UN A N

Parie. .......*« fr.

Départements. . . s 12»

Prix d'un exemplaire : 30 centimes.

L'abonnement à l'édition de luxe donne droit à
l'une des deux primes annoncées plus haut.

îl me paraît plus que probable qu'il y a dans tout ce manège
matrimonial une énorme réclame inventée par M. Strakosh-
Barnum en faveur de la pensionnaire de M. Bagier; mais, que
Mlle Patti y prenne garde, cette réclame aux promesses de ma-
riage n'a que trop duré, .elle ressemble par plus d'un point à la
méthode Sotbern, l'homme aux innombrables portraits d'irritante
mémoire, et Paris se fatigue. Or, quand Paris se, fatigue, l'indif-
férence et le dédain ne sont pas loin.

Que Mlle Patti chante, rien de mieux, mais une autre gamme,
Seigneur, que celle de seg éternelles publications de bans!

Jules PblpEl,

BOUTADES PARISIENNES

i

Je pense que je n'étonnerai personne en déclarant, d'une ma-
nière positive, que je ne voudrais à aucun prix déchaîner les fou-
dres administratives sur les journaux politiques de mon pays;
mais, d'un autre côté, je croirais manquer à un devoir sacré en-
vers mes concitoyens si j'omettais de leur faire remarquer qu'il
n'y a pas à Paris un seul journal timbré et cautionné qui ne com-
mette une ou plusieurs fois par jour le délit de fausse nouvelle.

Je trouve qu'il serait de très-mauvais goût à moi de me mon-
trer plus sévère que le bon Dieu qui ne demande paa la mort du
pécheur, mêaie à la ligne; je ne réclamerai donc pas la tête des
coupables dont je vais dévoiler les perfides manœuvres : mon seul
but est d'appeler l'attention de mes lecteurs sur les piégés qui
leurs sont quotidiennement tendus et de les prémunir contre
toute surprise.

Il n'est pas de jour qu'on ne lise aux annonces d'une même
feuille trois ou quatre aT'is différents provenant de trois ou quatre
maisons différentes et disant :

— Le meilleur savon à la rose est le savon Jacques,

— Le meilleur savon à la rose provient de la maison Jean.

— Le meilleur savon à la rose sort de la parfumerie Benoit.

— Le meilleur savon à la rose est fabriqué par la maison Si-
mon.

Il faudrait pourtant s'entendre.

Si le savon Jacques est véritablement le meilleur, le savon Jean
no saurait l'être également, non plus que le savon Benoît ni que
le savon Simon.

De deux choses, l'une ; ou les grands journaux politiques sont
des organes sérieux et alors leurs annonces doivent être sincères
et véridiques, ou ils ne sont pas sérieux et, en insérant dans
leurs colonnes des annonces mensongères, ils publient sciem-
ment de fausses nouvelles.

Or, Sur les quatre avis ci-dessus mentionnés, il y eri a évidem-
ment trois — au moins — aussi faux que les cheveux de Mlle Gora
Pearl.

En définitive, cela ne laisse pas que d'avoir une certaine im-
portance, car si je consens à dépenser 4 francs 75 pour acheter,
sur la foi de mou journal, une eau recommandée pour faire pous-
ser les cbeveux et que je reste aussi chauve que Siraudin, j'aurai
détourné, en pure perte, de l'héritage de mes enfants, par le fait
seul'de la feuille à laquelle je suis abonné, une somme modeste,
il est vrai,, mais qui, bien employée, eût peut-être été la base
de leur fortune future.

Les fausses nouvelles de ce genre ont, selon moi, des consé-
quences beaucoup plus graves que les fausses nouvelles politi-
ques, puisque si l'on m'annonce que la crème végétale per=aae
fait passer les rougeurs de 3a peau, si j'en achète pour sept francs
quinze centimes, et si ça ne me fait rien passer du tout, j'aurai
bénévolement perdu mon argent, tandis que si la même feuille
m'apprend la mort de Garibaldi, je dirai peut-être : -^ Ah ! tiens !
c'est embêtant ! — Mais, que la nouvelle soit fausse ou vraie, je
n'en détournerai pas pour cela une oboîe de mon ménage.

Ah ! lecteurs, méfiez-voua des fausses nouvelles des annonces !

Je ne me i'ais aucun scrupule d'avouer que je professe la plus
sincère admiration pour la délicieuse voix de Mlle Adelina Patti,
mais je regrette de toutes les forces de mon âme que l'on nous
gâte comme on le fait notre délicieuse fauvette par la publication
hebdomadaire de ses bans d'union.

Chaque semaine, en effet, depuis bientôt deux ans, on marie
avec une régularité désespérante Mlle Adelina Patti, tantôt à
celui-ci, tantôt à celui-là, tantôt à Gustave Doré, tantôt au mar-
quis de Caux.

Et, en fin de compte, Mlle Patti reste fille.

Cette ritournelle périodique du mariage de la Patti devient
monotone et agaçante, à la lin, comme le grincement d'une scie.'

Qu'on en finisse une bonne fois I Que Mile Patti épouse qui bon
lui semblera, mais, pour Dieu, qu'elle épouse, ou si cette fiancée
de l'art préfère coiffer sainte Catherine, qu'elle se décide !

MILLIARD A LA BANQUE DORMANT

BALLADE

Jadis, au bois dormant, il était une belle princesse, Que d'ap-
pas elle avait, des plus jeunes et des plus doux, bien qu'elle eût
cent ans passés!

Pour aller respectueusement mettre un genou en terre au pied
de son lit adorable, les fils de; Rois quittaient la cour de leurs pa-
rents; et passaient les jours et les nuits à cheval, perdus au mi-
lieu des forêts enchantées.

Aujourd'hui qui diable s'en irait à la recherche de cotte belle?
Qu'elle reste à moisir dans sa demeure endormie !

Ce qui fait rêver les princes charmants de la Bourse, et rend
leurs nuits pleines d'angoisses, depuis un mois, c'est la douce
pensée qu'il est, la bas, un milliard à la banque dormant !

La cassette d'Harpagon avait de bien beaux yeux, mais Ven-
caisse métallique n'est point borgne non plus,

-— Oh ! le beau Milliard à la banque dormant I

GAZETTE A Là MAIN

C'est le cas d'arborer lé geste et l'accent de Grassot:

— (fnouf] ynoufl gnouf\ Messieurs, tout est rompu!!!

Tout quoi ?

Parbleu ! le mariage d'Adelina Patti et la prise de voile de
Marguerite Thuillier!

Oh! cette poule aux œufs d'or de la Chronique en détresse, la
divinrssirae signorette !...

Jusqu'ici, par exemple, les œufs n'ont guère produit que des
canards !...

Voilà, — si je ne me trompe, — la poule tuée... pour un temps!

Que diable ! est-ce que Rosine a 3e droit de donner son cœur et
sa main à un autre qu'à l'amoureux et magnifique Almaviva, par
devant l'alcade de Séville — au quatrième acte du Barbier — tan-
dis que Bartolo marronne dans son coin et que le public de*
' Italiens met sa pelisse ou demande ses gens!...

* *

dormant, il était

*■*

i Quant à Mlle Thuillier, personne n'a oublié cette actrice toute
| de flamme, que la fatigue, et d'aucuns disent le chagrin, contrai-
j gnirent l'an dernier à quitter le théâtre, où elle n'avait compte
; que des succès.

. Quel vent ds contrition ou de désenchantement, a passé sur
; cette pauvre âme vaillante et désolée?—Je l'ignore. — Toujours
i est-il que l'on annonçait l'autre jour qtie l'ancienne Mimi delà
I Viede BoMme se disposait à prononcer seg vceux dans je ne sais
[ quel couvent du BlaisoiS.

: .Madame Georges Sand a démenti ce bruit dans une lettre dont
;: l'éloquence ne m'a point paru des plus parlementaires.
; Cette êioquence-là, m'est avis que l'illustre écrivain aurait pu
, \ la mieux employer — quand ce n'eût été que pour les besoin*
\ la cause de ceux t

nos confrères qui ont commenté sa préface
Jadis, au déSéFÊ dormant, il était un enfant divin.. Sous les ; de Cadio.
palmiers, dans une crèche, gardé par un âne et par un ba?uf, 1 • *

qu'il était beau, le délicat nouveau-né!

Pour aller respectueusement mettre un genou en terre devant
cette humble couche de paille, les Rois puissants, suivis d'escla-
ves chargés de dons précieux, traversaient les sables brûlants de.
l'Egypte, guidés par une étoile !

Aujourd'hui, qui diable s'en irait courtiser cet enfant? Ce
doux petit peut bien dormir tranquillement, bercé par les anges
joufflus, aux ailes grises et bleues,

! Quoi qu'il en soit, le ton étant donné par madame George Sand
i à ce genre de réclamations, je ne désespère pas de recevoir, de-
main ou après, de Finette-aux-Mémoires le communiqué suivant,
relativement à mademoiselle Harel qui était autrefois aux Folies-
Marigny :

« Mademoiselle Earel, retirée à Asnières, chez le P. Gassegrain, et
encore plus éloignée du cloître que du bal Bullier, nous autorise à dé-

Ce qui fait rêver les Maqes dé la Bourse, maintenant ; ce qui j meniir îes atroces 6^««s Priées récemment sur son compte. Made-

fait palpiter aussi le cœur des bergers, venus de Poissy, par lé
chemin de fer, c'est le milliard à la banque dormant.

La vierge exquise avait de3 yeux ravissants; mais l'encaisse mé-
tallique ne louche point, mes frères.

— Cher petit Milliard à la banque dormant!

Jadis, dans les journaux dormants, il était une colonne sur la-
quelle nos yeux gourmet? se précipitaient d'abord. Colonne rem.
plie de beaux vers ou de Variétés intéressantes ; l'amour et le j

! souci de l'art s'en dégagaient. On y causait, en bonne langue, des
livres nouveaux, des nouvelles peintures, de la noble musique.
Pour lire respectueusement cette colonne, signée de noms il-
j lustres, on attendait avec impatience le j-our de l'apparition du
joTirnal. On. Fallait chercher, D'aucuns même s'installaient au ca-
I binet de lecture,

Aujourd'hui, qui diable 80 soucie de la poésie, des arts, qui

font l'éducation dû l'homme, et qui charment les heures tristes

de la vie! Les grands articles peuvent paraître. On ne les lit plus.

I Le public, rompant la-bande de la feuille publique qu'il préfère,

j jette d'abord des regards remplis d'amour au Cours de l.j Bourse,

\ à la Mercuriale des Marchés, etc., etc.

Tout Paris autrefois eût pour le Cid les yeux de Chiinène. Le
Cid? qu'est ce c'est que oela? La situation de la Banque de France
h la bonne"heure!
— Oh ! Milliard, poète à la banque dormant 1

moiselle Harel a quitté le théâtre Mèntrwge, non -pour entrer chez ht
Garmes-Déchaussés — elle a horreur des va-nus-pieds — mais pour
rétablir sa santé compromise par de longs et nobles travaux. Quant à
ceux qui prétendent avoir reçu ses confidences et ses fantastiques èpan-
ifaements, ce sont tout simplement des mufles^ des pignouffes et des
loufiats...

« Avec lesquels, j'ai Vhonnmr d'être, etc., ek,
« Finette, fi

Câlina, —jolie fille, — est domestique chez dès bourgeois.
Un jour qu'elle est montée sur une chaise pour essuyer une
glace :

— Faites donc attention, ma fille, dit la bourgeoise, Monsieur
voit votre j-ambe.

— Oh I impossible, madame : j'ai des bas.

M. Sainte-Beuve est maintenant complètement rétabli.

Il LÎînait la semaine passée chez l'un de ses collègues à côté de
madame X...

Madame X.,. est une jeune veuve qui a des prétentions à la lit-
térature classique, qu'elle ne perd aacune occasion d'afficher.

On n'avait pas encore achevé le potage, qu'elle demandait déjà
à son voisin :

— Qu'est-ce que vous pensez d'Homère?

— Madame, répondit gravement M. Sainte-Beuve, est-ce pour
un mariage?

La nouvelle comédie d'Emile Augler

AraoUr ! Foi! Littérature! Art! chastes croyances au cœurdor-r
mant, gardez-vous bien de faire un seul mouvement, d'ouvrir leâ
yeux.

Que personne ne se doute que vous existez encore!

Filles du ciel, que viendriez-vous faire ici? Traîner vos gran- \
des ailes blanches dans le macadam, peut-être; et, pour plaire
au passant qui vous oublie, lui parler à l'oreille, comme les co-
cottes en quête d'un dîner.

Non, ne venez pas vous prostituer devant ce peuple sourd et
aveugle pour tout ce qui n'est pas Kor et le son de l'argent.

Dormez paisibiement, loin de la ville bruyante, railleuse,
athée.

Autour de votre couche, oubliant leur siècle, et volontairement
ridicules, se tiennent silencieusement vos amants de la dernière
heure. « Ceux qui vont jusqu'au cimetière I »

Votre vue les réjouit encore. C'est leur seul plaisir. Ne le leur

C'est Gabrielle retournée.

Dans Gabrielle, une femme mariée va céder à la passion qui
l'entraîne à déserter le fuyer conjugal pour suivre l'amant qui
\ la sollicite, quand son mari les arrête tous deux par un beau
discours en trois points, où il leur démontre à chacun en parti-
culier les inconvénients de l'adultère.....

Dans la pièce nouvelle des Français, le peintre Paul Forestier
est sur le point de quitter son ménage pour se lancer aux trousses
j d'une ancienne maîtresse, lorsque son père se dresse devant lui
\ comme une barrière hérissée d'arguments en faveur de la fa-
j mille, des liens sanctifiés par l'écbarpe municipale et du pot-au-
i feu qui mitonne sur les autels de l'byménêe...
! Il est bien entendu qu'ici comme là-bas, l'avocat du Devoir s
j raison des réfractaires du Conjungo...

j Fils . d'homme marié, marié moi-même, je ne saurais qu'ap-
i plaudir à cette conclusion.

Léa, l'ancienne maîtresse de Paul Forestier, épousera Sté-

ôtez pas.

0 chères filles du ciel toujours bleu, toujours bleu malgré les j V ^^.^ d(j Gabrieile] ot n tfy aura rien de ch é

brouillards de fumée que vomissent les tuyaux de poêle des che- | dans [e mon(Je ; ., ^m m iHmonmame déplus,

minées humaines, prêtresses d un temple à peu près détruit, ne ! . r

vous éveillez pas, échevelées, furieuses, pour crier Races à cette 1 *

foule qui passe, élégamment habillée par Bonne, et pressant des S ., , ■.-*»„

liasses de billets de banque. La Plèce a g™d™en' réussi. Elle abonda en vers miles et

Le mépris de ces atomes éphémères ne peut attenter à votre \ 80nores- 0n cr01rait T01r Passer des alexandrins de Corneille ha-

. .... . \ bulés par Dusautov-

immortalité sereme. * '

Et d'ailleurs, peut-être est-il déjà bien pâle et bien effacé, ce Oot i°ne le Père forestier - le sculpteur retiré des Vénus, ,ul

soleil de la génération moderne, ce soleil d'or aux rayons fails i ne *»™ssi'' Plus 1ue fe sei'mons> ~ a™ le môm8 teI™t ,que

d'obligations mexicaines et hongroises, et... ,. ' i ^ Glboïer> dtlnsJu,m f «ra bien préférable. Tous nos braT.s

Et ce lourd milliard à la banque dormant I... i a Ds!auna5' ej a mademoiselle Pavart. Je regrette de ne leur pou-

T n i voir acco.er dans 1 éloge madame Victoria Lafontaine : Elle m'a

LiE COUSIN JACQUES. ' , ., , ■ . , . ,,„ , , ,

j semblé absolument insuffisante dans le personnage de Camille,
_________i_______________ ' la jeune femme de Paul Forestier.
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