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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0021
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L'ECLIPSE

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SAINT

CHARLEMA6NE

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ime, comme vous voyez!
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c'est que l'année où... (aiaisa'i;-
i(s), c'est que, dïs-je, Pennées
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Ah ! nous y voilà im 11 me:
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a si beau, si expressif, si mz
t désir de le répéter iti.
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1er gracieusement. Mais moi je regardais plutôt... dame, jadis...
la ligne infiniment adorable qui descendait de votre oreille déli-
cate à votre menton exquis. Un profil perdu, divin, comme pres-
que tous les profils perdus de ferame. Sur votre cou plein et blanc,
de petits cheveux châtains formaient do folles boucles où la lu-
mière joyeuse passait en y laissant do sa gaitê.

0 ma correspondante, je vous dévorais ainsi des yeux bien in-
nocemment, je vous le jure.'

Tout à coup, au bord du petit doigt de la main qui voilait vos
admirables prunelles — ohl les troublantes prunelles ! — je vis
comme des perles de cristal se former. "Vous pleuriez, madame,
et bien amèrement, sans bruit, comrae toutes les véritables dou-
leurs, et c'étaient vos chères larmes qui, de votre petit doigt où
elles tremblaient, traversées d'un rayon, tombaient lentement
sur votre robe ; et votre robe les buvaient immédiatement, com-
plice jalouse ; elle semblait sentir que votre désespoirétait igno-
ré de tous, et que les traces en devaient être effacées sur l'heure.

Mais j'étais là, moi, grand benêt do collégien aux longs che-
veux coupés à la quatre six deux, avec mon col taillé par la main
de l'arbitraire (voir les journaux politiques), et chacun de vos
pleurs tombait sur mon eœur comme une goutte de plomb fondu.
Oh! que j'ai souffert!

J'eus l'audace — et cela valait le passage du Rubicon, allez, ô.
ma correspondante — de venir, sans qu'aucun bruit vous avertît
de mon changement de place, m'asseeir à côté de vous, sur la
causeuse. Et, les larmes aux yeux moi-même, par sympathie,
fou de votre chagrin, je me penchai sur votre autre main étalée,
et comme abandonnée — pauvre petite — sur votre robe, et je
l'embrassai vigoureusement. ■ ,

— Pan! —Comme je me relevais, disant de ma voix la plus
attendrie : — Ohl que vous êtes malheureuse, madame l vous me
flanquâtes, ô ma correspondante, tin vigoureux soufflet en pleine
figure qui me fit voir trente-sis mille étoiles en plein midi, ce
que je ne croyais permis qu'à M. Le Verrier jusqu'alors.

Et vous sonnâtes votre domestique!

Ahl madame! — (pardonnez-moi le fréquent emploi que je
fais du prétérit,) — en quittant la causeuse, avec un mouvement
très-digne, je se vous en voulais pas de la claque, croyez-le bien,
mais j'étais profondément blessé de votre méprise ridicule.

Ainsi, pendant que devant vous, ange esilé sur la terre, à qui
je croyais avi coeur les regrets du ciel, je m'agenouillais respec-
tueusement, vous, voua n'étiez qu'une simple mortelle et votre
première pensée fut une pensée humaine ! Vous eûtes peur...

Oh ! je n'aurais pas « coupé les cordons de sonnette, » o ma
correspondante !.... et c'était faire beaucoup trop d'honneur à un
collégien que de supposer...

Laissons tout cela, madame.

Eh sortant de votre maison; ce jour-lô, pour n'y jamais reve-
nir, ce qui étonna énormément votre mari ! — je suis heureux
qu'il soit vôtre mari — et ma famille, j'allai dîner dans "un res-
taurant, le cœur bien gros, et regrettant une seule chose : Vous
avoir crue si longtemps une àme, tandis que vous n'étiez faâts que de
simple chair, Ô ma correspondante.

Enfant que j'étais H

Le cousin Jacques.

P. S, — Je fais encore des vers, madame. Us riment très riche-
ment

L. C J.

L'édenté Villemaip ses phrases de cent lieues,
Audouard son amour des pachas à trois queues
■Rt Cassagnac son dévouement.

... Or, quand les champignons auront poussé sur maintes
Planches dû nos cercueils et, lorsque les helminthes

Feront la noce dans nos yeux,
Sarcey, dans le vélin géant de,tes oreilles.
Tintera; plein de rire et de chansons vermeilles,

Le choc des gobelets joyeux.

Car, près de nous, tout près de cette sombre berge
Du Styx, éclatera l'enseigne ci'ilno auberge,

Et des quadrupèdes, là peints
Par un Courbet ù'occase, avec des tons livides,
Indiqueront k nos fils, estomacs avides,

Qu'on y Tait sauter des lapins.

Eugène YermeusCii.

COMMENT LE MEUNIER LA GISRLICIIE ENTRA AD PARADIS "»

— Ah ! vous voilà, mes petits fieux. C'est justement pour vous,
que je viens. Est-ce qu'on ne me reproche point d'avoir escamoté
la farine de mes pratiques? Ce que j'en faisais, c'était simple-
ment pour vous apporter un paquet de bonnes gaufres sucrées.
Ouvrez vite et tendez vos mains, mes enfants, »

Les saints Innocents ouvrirent la porte et se précipitèrent en
foule les mains tendues vers la Guerliche, qui entra librement en
distribuant des gaufres à droite et à gauche.

Ou courut rapporter la chose à Dieu le père.

« Qu'on aille me quérir le garde champêtre ! cria-t-il.

Mais c'est en vain qu'on chercha par tout le paradis. On n'y
trouva point un seul garde champêtre.

CH'MILES DlïULIK.

C.AMPO-SANTO

RÊVERIE

Quand, dans Méry-s^ur^Ôise ou dans Méry-sur-Seiiic
Enfouis, nous aurons enfin quitté la scène

De ce inonde, pauvre en fouis,
Nous ne dirons pàé du poids des tombeaux : c'est leste !
Coquins qui n'irons pas dans le séjour céleste

Comme les (Ils de saint Louis!

Car alors dans ce lieu ridicule, où les mouches,
Desnoyers* de la mort, voleront dans nos bouchés

Vertes comme un Pcnson noyé,
Nous aurons pour amis les Miaous mélomanes
Et Ton préposera pour veiller sur nos mânes

Quelque brèche-dent d'employé.

Là., nûùs retrouverons, sociétés lugubres,

Les Pontmarlins banals, les Veuillots insalubres, ■

Les Jouvins bourrés d'opium ;
Et dans le vent des nuits, de la tombe des Brisses,
Des ©dèUra nous viendront, où les absinthes suisses

S'uniront aux vapeurs du rhum.

Tu diras ton îdtâhow, en ta vengeance corse,
O Suzanne Lâgier, qui portes sur ton toisé

Deilx frères de î'Hymalaya.'
Nous prenant, lour-à-tôur, de force, dans sa pinûe,
Bressant, nous beuglera la prose blême et mince

Des pièces qu'élima Laya.

Justes dieux ! noua verrons avec nos yeux de spectres)
Hervé qui fit courir sur nos modernes plectres

L'(Mit crevé, ce îazzi du ciel,
Et le jeune Koning, couronné d'hyacinthe,
Jouer à cache cache en ton nez, Hyacinthe,

Nez vraiment providentiel !

Nous entendrons frémir les cent croix d'Amédéc
De Céséna I Les vers hérissant la Mëâée

De Legouvé, glabre vieillard!
Et dans le soir blêmi, tournant autour des couples
RiCb.es, le bruit glissant de tes vertèbres souple^

Venet, dos plat comme un vieux liard I

Des maux nous ne serons pas affranchis encore
Et nous réclamerons comme^aujourd'hui du chlore

Pour Clairvillc et pour Bclmontet :
Lieu terrible, Seigneur! Montaubry, !c bellâtre,
T sera moins muet peut-être qu'au théâtre,

Où près de lui Cabel montait.

Nous conserverons nos défauts, l'âme têttfé
Qui nous dirige : Havin gardera sa statue,
Mirccourt sa langue qui ment,

Quand la Guerliche fut près de sauter H pas, rf ayant pris
femme, se dit-il, et fait, par conséquent, mon purgatoire sur
terre, j'ai toutes les chances d'aller en paradis Mais le métier
d'escamoteur n'y mène pas directement, pas plus que celui de
meunier. Je crains bien d'être forcé de'gagner ma place par un
dernier tour d'escamotage. Réfléchissons. La chose en vaut la
peine.

Et il enfonça sa tête dans l'oreiller.

C'était justement la Saint-Sylvestre, veille d-u jour de l'an, et
on faisait des gaufres dans toutes les maisons d'Erchin. Au bout
d'un petit quart d'heure :

a Femme, dit, la Guerlicfae, pourquoi ne me fais-tu pas des
gaufres, comme d'habitude ?

— Des gaufres! Jésu'Mariai quand tu ne peux môme plus
avaler ta salive !

— N'importe ! si je ne les maDge point, tu les fourreras dans
mon cercueil. »

La meunière obéit, et, pendant qu'on disait les prières des ago-
nisants, elle pétrit ensemble de la farine, du beurre, de la casso-
nade et mit son gaufrier sur" lé feu.

La Guerliche rendit le dernier soupir quand on retournait la
dernière gaufre. Dix minutes après qu'on l'eut porté en terre, il
arriva à la porte du paradis» Bon pfttit paquet sous le bras.
■ « Pan ! pan !

— Qui est là?

— Le meunier la Guerliche. »

On entendit un bruit de chaussons qui traînaient sur le carreau
et le guichet s'ouvrit;

« Passez votre chemin, îien... I! n'y a mie de place ici pour
les voleurs,

— Voleur ! Et vous, iidlre maître, est-ce que vous vous ê-tes
toujours bien conduit? Est-eë qUe, révérence parler, vous n'avez
point renié Dieu trois fois? s

Saint. Pierre ne trouva rien a répondre et alla faire son rapport
à Dieu le père.

« Il y a In,,dit-il, un voleur rie meunier qui veut entrer à toute
force et qui insulte tout le monde-.

. — Aliez-y, mon brave saint Paul, dit le bon Dieu, et voyez ce
que c'est. » (

, Saint Paul y alla.

« Pan ! pan !

— Qui est-là

— Moi, le meunier la Guerliche.

— Vous vous trompez de porte, l'homme do Dieu, nous ne re-
cevons point les voleurs.

— Bah ! bah I Si j'ai volé, je nJai ni persécuté, ni tué le pauvre
monde, et ce n'est point raoi qui ai gardé les vêtements de ceux
qui lapidaient ce bon saint Etienne, entendez-vous, monsieur
saint Paul. »

Saint Paul s'en retourna l'oreille basse.

« On n'a jamais Vu, dit-il, un si grand bavard.

— Nous avons ici des gens qui n'ont point leur langue en po-
Ghe, répliqua Dieu le père. Qu'on lui dépêche saint Augustin,
notre plus fameux prédicateur.

— Pan I pan !

— Qui est là?

— Le meunier la Guerliche.

— Hèlas ! mon cher frère, vous ne pouvez entrer céans, et je
| vais vous en donner trois raisons qui feront l'objet de ce disr
| cours. La première, c'est que Jésus-Christ a dit : Bienheureux
l les pauvres d'esprit, le royaume des cieux est h eux. Or, vous ne
f me paraissez point suffisamment pourvu de cette humilité, de

cette simplicité...
| — Vous n'êtes mie déjà si simple, vous, notre maître, à ce qui
jj me semble. ■

S — La seconde, c'est que vous n'avez pas toujours mené une
| vie exempte de péché,..

— Allons, allons, pas tant de contes, fieu. Vous n'aviez point
l non plus la conscience bien nette quand vous êtes venu céans, et
\ si sainte Monique, votre vénérable mère, n'avait si souvent ouvert
| le robinet de ses yeux, peut-être bien.,. »

! Mais saint Augustin ne l'entendait plus, il était déjà, loin.

,! a Que faire ? dit le bon Dieu. A moins de lui envoyer les saints

î Innocents, je ne vois vraiment pas.., »

] Et il envoya les saints Innocents.

j « Pan ! pan !

1 —Qui est-là?

! — Le meunier la Guerliche.

i — On n'entre pas ! on n'entre pas!

AVIS

Nous rappelons à nos' lecteurs, désireux de col-
lectionner les charges de Y Eclipse, que nou-s tenons à
leur disposition une édition de luxe, sur beau papier
satiné, avec dessins tirés en noir avec le plus grand
soin ou rehaussés d'un riche, coloris.

Prix d'abonnement pour ces épreuves d'artiste :

UN'A N

®*arï». . . . .
Oëp fa rtement s.



Prix d'un exemplaire : 30 centimes.

L'abonnement à l'édition de luxe donne droit à
l'une des deux primes annoncées plus haut.

i (t) Ce passage est extrait d'un livre très-amusant, les Contes cfun bu-
veur de bière, qui doit paraître cette semaine à la librairie internationale.
L'auteur, M. Charles Deulm, y a narré dans un style origimil et pitto-

: resque de curieuses légendes qui ont cours parmi les fidèles sujets du roi
Gambrinus, le monarque mousseux.

: Les Contes d'un buveur de bière, un joli volume in-18, imprimé en ca-
actère elzèvïrien, avec titie en couleur et un dessin d'Edmond Morin,
seront en vente au prix de 3 francs.

GAZETTE h U MAIN

<■ Uni — cette setapi*
• L'un des deme adve

J'ai lu dans nombre de journaux :

a II est question d'une remordre qui aurait i
— entre U prince X...et le marquis de Z.'..
saires aurait été tué à la première passe. »

Or, des renseignements il appert, — comme disent ces gueux
d'huissiers, — que ces initiales masquaient le prince Noir—
Victor,— du Satan, et le marquis Gustave . Moreau de Paris-Ma-
gazine.

On s'est fort galamment égratïgné de part et d'autre.

Pour ma part, je jure mes grands dieux — Hugo et Delphine
Marquât — que je n'aurais jamais songé à vous entretenir de cet
événement, si je n'avais eu une anecdote sur Chodruc-Duclos à y
accrocher !.,.

Dans les dernières années de l'Empire, le parterre, à Bordeaux,
ne perdait aucune occasion de provoquer les officiers de la gar-
nison.

Chodruc-Duclos, — qui se vengea plus tard pg.r l'excentricité
de sa ienue, des ingratitudes de la Restauration, — était l'une
des meilleures lames de la bande. ,

Dans une semaine, il se battit six fois, tua deux de ses adver-
saires et blessa l«>s autres dangereusement.

Le dimanche, on donnait le Triomphe de Trejan,

Ce soir-là Chodruc s'en vint prendre au parterre sa place ha-
bituelle, et, dand un moment où la pièce célébrait les vertus pa-
cifiques de son héros, il se leva et cria:

— Ça n'est pas vrai !' Voyez le siège de Sarragos^e !

Un capitaine aux lanciers polonais, arrivé d'Espagne le matin
même, sauta daDS le parterre et demanda :

— Qui est-ce qui a parlé?

— C'est moi, répondit Chodruc.

L'officier le souffleta. ' . •

Chodruc boutonna son habit et retroussa ses manches,

— Le bon Dieu a été plus heureux que moi, dit-il ;après avoir
travaillé toute la semaine, il a pu.'!?e reposer le dimanche.

Et l'on s'en fut au café de la Comédie, où, nous raconte un té-
moin oculaire, il y avait toujours des épées et des pistolets en
permanence.

Chodruc exigea que, malgré l'heure avancée, Ton allât de suite
sur le terrain.

— Je veux pouvoir faire le lundi, dit-il.

Oui, mais quant les deux adversaires se dirigèrent vers la porte,
ils trouvèrent celle-ci occupée par une brigade d'agents de police
dont le chef signifia aux jeunes gens qu'il avait mission de les
empêcher de sortir.

— Qu'à cela ne tienne, fit Chodruc, nous terminerons .ici nos
petites affaires.

Puis, se tournant vers deux placides bourgeois qui savoureaient
tranquillement les plaisirs du carambolage :

— Messieurs, voulez-vous avoir la bonté [de nous, prêter le
billard pour une partie qui ne durera pas plus de cinq minutes %

Moîiis de cinq minutes après, le capitaine tombait du haut cîu
billard, (îa fpoiîrine traversée par l'épée de ?on adversaire, et
Chodruc, dans un salut, interrogeait l'assistance :

— Le coup est bon, n'est-ce pas? Je m'en rapporte à îa galerie.

Une autre historiette de duel —plus récente et plus originale :

On sait à la .suite de quelles circonstances Alexandre Dumas
quitta Naples, il y a quelques années.

L'illustre écrivain avait émis dans le journal qu'il publiait en
cette ville une opinion passablement cavalière à l'endroit de la
nationalité italienne...

Le journal paraissait à huit heures du matin... ,

A dix, Dumas avait reçu trente provocations...

A midi, trente autres.,.

A une heure, il réunit les cent-vingt témoins de ses soixante
adversaires :

— Messieurs, leur dit-il, je pars ce soir. Je n'ai donc pas le
temps de me battre en particulier avec chacune des personnes
que vous représentez. Cependant, comme je tiens essentiellement
à leur donner satisfaction, voici ca que j'ai décidé : ayant le
choix des armes, je prends le pistolet ; mes adversaires formeront
un groupe ; nous ferons feu à uu signal, ils tireroût tous ensemble
sur moi, et j© tirerai dans le tas.

La reprise de Jean la Poste, — une bonne pièce, jouée d'une,
façm excellente, — fera beaucoup d'argent à la Gàitê.

Oh I ce Domaine ! Quel bon, brave et gros garçon ! Quel torse !
Quel organe I Quel biceps!

Il avait dix-neuf ans et jouait des utilités aux Français, lorsque
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