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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0065
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L'ÉCLIPSÉ,

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, un instantj

u Kil, souriante, P

poèt^itlof-*"
ions attristâtes.

Ils s'en allèrent dîner, et dînèrent moins gaîment que d'ha-
bitude.

Ah ! c'est qu'un troisième convive s'était installé, tenace, au
bout de leur table et les rendait sérieux, môme devant le Cham-
pagne glacé... Et pourtant, autrefois ?
— Le diable soit de Mme Isinofré ! {'Réflexion de Vauteur.)
MmewVrmantine, en retournant chez eux, ne voulut point pas-
ser par le Palais-Royal. Elle adorait flâner devant les vitrines
étincelantes des galeries. Mais elle avait peur, ce soir là, absolu-
ment peur, de voir l'anneau de Mme Isinofré, reluire au milieu
des bagues modernes, et lui dire : « 11 ne restera rien de toi,
rien, pas môme un bijou, pour faire rêver, à mon bénéfice, dans
trois mille ans, l'homme qui se promènera au bras d'une autre
femme, et le rendre infidèle un instant.

EïtNBST B'HeRVILLT.

j ser chaque matin toutes leurs marchandises au sommet d'un mât
' de cocagne d'au moins quinze mètres d'élévation.

Leurs clients doivent alors aller chercher eux-mêmes les objets
qu'ils ont achetés et payés d'avance.

ART. IX.

Les voitures de place, remises, omnibus et véhicules de toutes
sortes sont interdits.

Il est également défendu de circuler à pieds dans les rues.

Les citoyens doivent faire leurs courses au moyen de grands
trapèzes volants établis sur tous les points de la ville à quinze
mètres du sol et distants l'un de l'auire d'au moins cinquante
pas.

Les citadins se rendront donc au vol d'un point à un autre.

Il est complètement défendu, sous les peines les plus sévères,
de s'arrêter en l'air entre deux trapèzes,

Léon Bienvenu.

LES FRANÇAIS DE 1/AVENIR

r"r Bien excellente nouvelle.

Il paraît que décidément on s'occupe de rendre obligatoires, dans les
collèges et pensions, les exercices gymnastiques.

On semble avoir reconnu enfin qu'une nation n'est pas beaucoup plus
avancée quand elle possède des millions de bacheliers es lettres dont les
jambes sont cagneuses, les colonnes vertébrales torses et les biceps
grêles.

j*. Il n'est vraiment pas trop tôt.

Encore deux ou trois siècles du système actnel et l'homme devenait
un singulier insecte. Le cervelet, se développant outre mesure, donnait
à la tête la grosseur d'un potiron couronné au concours, tandis que le
reste du coçps négligé, s'amoindrissait chaque jour et on arrivait aux
dimensions'd'un ponpard de dix-neuf sous.

Une tête de géant sur les épaules de Panfan Benoiton.

t*t On paraît décidé à rompre avec un système d'éducation stupide.
Ainsi soit-il:

Nous, allons bientôt revenir aux mœurs antiques dans lesquelles la
beauté et la force physiques tenaient une place très légitime.

L'homme n'a pas été créé avec la mission d'améliorer les porcs et Içs
chevaux et de se rabougrir lui-même.

Et si Dieu, qui l'a fait à son image, venait tout d'un coup à vouloir se
rendre compte du parti que l'espèee humaine a su tirer d'elle, ii y a cent
•à parier contre un que sur le rapide examen d'un petit crevé qu'on lui
présenterait comme descendant de notre père Adam, il s'écrierait, très
désappointé :

— Qu'est-ce que c'est que ça?...

9*4 Maintenant que l'essor est donné, tout porte à croire que cela ira
très vite; et si nos prévisions sont fondées, en 1970, le Code civil de la
France sera enrichi d'un chapitre dont nous noua permettons de donner
dès à présent un aperçu :

' ' , DE LA GYMNASTIQUE

ARTICLE PREMIER

L'homme est majeur et jouit de ses droits civils aussitôt qu'il J
porte cinquante kilos à bout de bras.
La femme est majeure à vingt-cinq kilos.

N'est admis à contracter mariage que le citoyen justifiant :
1° Qu'il peut, en cas d'incendie, descendre du sixième étage,
au moyen d'une corde à nœuds, avec sa femme et huit enfants
sur le dos.

2° Qu'il est de force à jongler facilement avec les cousins de sa
fiancée, s'iltrouve leurs sous-pieds dans la ruelle du lit en reve-
nant do monter sa garde.

ART. III,

Sont privés de leurs droits civils et enfermés dans une maison
qui porte le nom de :

HOSPiCE DES RAMOLLIS
les citoyens qui auront compromis leur vigueur physique au
point de :

S'être laissés gifler par leurs épouses.

Ou avoir fait arrêter un omnibus pour monter sur l'impériale.

ART. IV.

Toutes les contributions mobilières, impositions, droits d'oc-
troi, etc., etc.. sont supprimés et remplacés par un impôt unique
et proportionnel sur l'usage de la flanelle, des édredons et sur
l'obésité.

LES VAUDEVILLISTES CHEZ EUX

ART. V

Cet impôt est fixé comme suit :

Un édredon, par an..............

Flanelle (pour chaque mètre employé), par an

RÉVÉLATIONS D!UN FROTTÏÏUR (1)
DEUXIËM-E PARTIE

ï&ig'OtEoxa (Epncet)

Air ; Quand on est mort, c'est pour longtemps.

'.:'-, Eh I vas-y donc!

Zig-zag ! don ! don !
C nom, ma fine.
Au fredon
T'prédestïne!
Eh! vas-y donc!
Zig-zag! (ton! don!
En avant le joyeux Rigodon !

Rimbaut (Iïippolyte.)

50, rue Saint-Marc. — Bibliothécaire-rédacteur de laSooiété des
auteurs dramatiques, M. Rimbaut paraît n'avoir plus grand
temps à consacrer à la muse flonflonnière ; il a . cependant fait
applaudir encore récemment l'Avocat des dames et le Cadeau cfun
horloger.

Roche (Eugène)

Vaudevilliste de la vieille roehe, l'un des doyens du couplet!
— Mailly, le caricaturiste. Fa représenté avec sa grande barbe
blanche, son gros ventre et ses petites jambes; puis, le désha-
billant dans un pendant, en a déduit un orang-outang de la plus
belle espèce.

Le masque joyeux du vieux vaudevilliste se retrouve dans cette
face grotesque, et les anciens se souviennent qu'il était malin
comme un singe.

Le père Roche a été le premier à rire de cette amusante singe-
rie qui, je crois, est encore inédite ; il disait : « On a fait ma
« charge, c'est que je suis arrivé au rang où tant de petits crevés,
« plus ou moins littéraires, voudraient bien parvenir. »

ïtochefort (père)

Une gloire du vieux caveau et de l'ancien vaudeville, saluez!

Rochefort (Henri)

103, rue Montmartre. — PourvuTjue la Lanterne tant attendue,
ne l'empêche pas de donner des successeurs à Brididi, aux Mys-
tères de l'hôtel des Ventes, aux Pinceaux d'Séloîse, à la Foire aux
grotesques et autres pièces frappées au bun coin!

Au jeu, notre vaudevilliste a la toquade de se croire le plus
malheureux des boulevardiers, et gémit sans cesse sur tel ou tel
coup de cartes :

— C'est fait pour moi ! pas de chance J... Quelle déveine I... Je
ne devrais jamais jouer ! etc....

— Combien perdez-vous?

— Je gagne quinze louis.

Rochefort, qui depuis longtemps a-fait ses preuves de courage,
a souvent défendu sa plume avec l'épée; si souvent môme, à une
certaine époque, que son second eût pu suivre l'exemple de
Fontan.

Ce dernier, auteur dramatique d'il y a vingt-cinq ans et colla-
borateur ordinaire de Maillan, duelliste renommé, avait fait
mettre sur ses cartes :

GAZETTE h LA MAIN

On m'a amicalement signifié, — l'autre jour — d'avoir à ne
plus servir aux lecteurs de l'Eclipsé des anecdotes qui auraient
figuré — autrefois — dans le dessert du Figaro ou du Nain Jaune.

A cela il me serait facile de répondre :

Que toutes les anecdotes vraiment gaies, vraiment originales,
vraiment spirituelles, ressemblent aux vins des grands crûs do
la Gironde et de la Bourgogne, — lesquels se bonifient en voya-
geant et s'améliorent en vieillissant...

Et que la preuve la plus éclatante de leur gaîté, de leur origi-
nalité et de leur esprit, c'est — justement — leur ancienne pré-
sence sur la table de gourmets apxquels je .ne crois point qu'il
soit aisé de faire avaler du Suresne oourgdu Léoville et de l'Ar-
gentauil pour du Charabertm,,.

Je pourrais ajouter — avec Aurélîen Scholl :

Pourquoi les chroniqueurs ne se répéteraient-ils pas un peu,
puisque les historiens ne font pas autrement ?

Exisfe-t-il une seule Histoire de Napoléon où ne se retrouve
cette phrase : Soldats, du haut de ces pyramides, quarante siècles
vous contemplent!

De même eera-t-il possible à un échotier d'aujourd'hui do con-
stater dans une gazette que le concert annuel de Vivier a eu lieu
lundi soir chez Hertz ou chez Pleyel, sans raconter à son public
une farce ou deux du corniste mystificateur '?...

Exemple :

Vivier entre — un pistolet chargé en poche — dans un quinze
centimes du passage des Panoramas et s'enferme dans un ca-
binet...

Au bout d'un instant, un coup de feu retentit...

Tumulte aux environs. C'est un suicide, sans aucun doute, La
foule envahit l'établissement. On court chercher le commissaire...

Celui-ci arrive, — suivi d'un serrurier.,.

La porte du cabinet est crochetée...

Elle s'ouvre.,.

Et l'on aperçoit... quoi?

Vivier, assis sur sa chaise d'affaires, — tranquille, — des papiers
à la main!:..

— Monsieur, qu'avez-vous fait? s'écrie le- magistrat.

— Dame ! il ne tient qu'à vous do vous en assurer, répond Vi-
vier en se levant.

— Mais ce bruit, cette fumée, cette odeur ?

— Ah ! voilà : c'est dans ma Dature — quand j'ai mangé des

150 francs,
100 —

FONTASI
Témoin de son confrère Maillan

L'impôt sur l'obésité est établi chaque année par les soins de
l'administration des poids et mesures.

Tout citoyen a droit à un poids de 60 kilogrammes.

Passé cette quotité, il doit l'impôt à raison de deux francs les
cinq cents grammes.

Le premier janvier de chaque année, les citoyens se font peser
à la mairie de leur arrondissement.

L'employé des poids et mesures indique le poids constaté au
moyen d'un timbre sec appliqué sur le ventre du contribuable.
Cette opération sert à dresser les rôles. -''-\"\

Les citoyens qui n'atteignent pas le poids minimum de 60 ki-
logrammes ont droit à une subvention annuelle de 100 francs.

Tous les ans, dans chaque ville ou commune de l'Empire, un
fossé de trois mètres de largeur est creusé et rempli de plomb
fondu.

Chaque habitant doit alors se rendre au bord de ce fossé, et
après s'être fait attacher les jambes, le franchir à pieds joints.

Néanmoins, ceux qui manquent leur coup et tombent dans le j
milieu, ne sont passibles d'aucune peine. ' \

art. VIII
Les boulangers, bouchers, épiciers et généralement tous débi- ;
tants de denrées alimentaires de première nécessité, doivent hïs- '

Rontger (Florîmond)

dit Hervé, rue de Charenton, n" vas-y voir. — Sa vaste et pro-
fonde intelligence, chauffée au pétrole incandescent de la fanta-
sia vagabondo-transcendante, est à la fois un réceptacle anti-réa-
liste et rengainifuge de poésie irrationnelle et de mélodies ravis-
santissimes, ouf ! — Seulement, si Messieurs de la ritournelle
suivent dans cette voie insensée l'Offenbach de Bondy'street,
voici à quels futurs couplets nous sommes exposés; gare là-des-
sous!

Air : La Polonaise et ï'Hirondelle.
C'était par un temps cuiller
Ht fourchette — Ca veut dire
Que le temps était couvert... —
Une brune aimant à rire
Dit : Quel blond
Viendra donc
Me payer un cachemire
Ou d'Inde, ou
D'Tombouctou !
J'en frai mon chien-chien, mon chou.

N'importe! après le dernier succès d'Hervé, l'auteur anonyme
de la Thèrésaîù ne saurait plus l'appeler Hervétique, Véleveur d'ours.

JUSTTN LaNGLOIS.

(A suivre.)

Voir 1!

des 16 et 23 février, 8, 22 mars et 12 avril 1868.

J'ai choisi — à dessein — la plus connue des historiettes qui
battent le pavé, accrochées au célèbre musicien...

Eh.bien, j'offre de parier avec vous un fauteuil d'orchestre à
l'Athénée contre un paradis des Folies-Saint-Antoine, qu'il se
rencontrera, parmi nos abonnés, au moins une centaine de per-
sonnes pour lesquelles elle aura tout l'attrait d'une primeur !.*..

En revanche, inventez, — inventez, entendez-vous?— une nou-
velle à ta mtXin, ou faites un 'mot...

Peuh I...

Tout le monde aura vu celle-ci ! Tout le monde aura dit celui-
là ! Mascarille et Jodelet mettront une fois de plus le nez à la
fenêtre, pour crier: — Au. voleur! au voleur \ au voleur ! au
voleur !

La nouvelle à la main est comme l'argent :

Elle n'a pas de maître,

#

Et tenez, pas plus tard qu'avant-hier, mon rédacteur en chef
me régale d'un mot charmant et inédit de Dumas fils...

Je fourre — incontinent — ce mot dans l'Evénement illustré, —
le succès du moment, — de nos confrères Edouard Bauer et
Adrien Marx...

Crac!...

Le lendemain, un monsieur réclame...

Le mot n'est pas de Dumas fils : il est de M. Dupïn.

En règle générale, défiez-vous des mots que l'on attribue àAu-
gustine Brohan, à Alexandre Dumas fils et à défunt M. le prési-
dent Dupin...

La plupart ont été dits par Sophie Arnould et par feu M. le
Dix-Huitième siècle, — un garçon qui avait autant d'esprit que
Voltaire et que le caricaturiste Bénassit...

Deux femmes causent — en fumant des cigareties — à une ■
table du bal de la Reine-Blanche.

— Comme ça, t'as pas lâché Adolphe?

— C'est Jui qui ne veut pas me lâcher,,. Quelle canaille!,,. 11
me flanque des tripotées !...

— Pauv''Metëe!...

Mélie siffle sa chope avec philosophie :

—- Qu'est-ce que tu veux, ma biche ? Faut prendre son mile en
patience.

Théâtres.

A l'Opéra-ComiquB, il en est des levers de rideau eomme, dans
la presse légère, des Nouvelles à lamain,

lt y a des histoires qui sont toujours bonnes.

Il y a des pièces qui sont toujours neuves.

Qui oserait préférer Mademoiselle Sylvia au Chalet, aux Noces de
Jeannette, voire même au Chien du Jardinier?

Mademoiselle Sylvia est un petit acte assez insignifiant. — Paro-
lier : M. Narcisse Fournier; musicien : M. Samuel David, un
prix de Rome, s'il vous plaît!...

Ce dernier a composé, sur un livret dont la banalité confine à
la niaiserie, une partition fort soignée, pleine d'intentions, et'qui
renferme un joli quatuor, une romance d'un sentiment très dis-
tingué et un air détaillé d'une façon ravissante par Mlle Girard.
Je souhaite à M. Samuel David de rencontrer souvent, dans l'a-
venir, une pareille interprête — et un poëme différent.

Ella n'est pas non plus de la première jeunesse, l'odyssée-de ce
nouveau Nonancourt, qui, au Théâtre-Déjazet, pért'grine de ne«
veu en neveu pour placer avantageusement ses cent mille francs
et sa fille, et qui finit par les donner à un petit amoureux de ter-
roir, lequel flâne toujours dans l'escalier avec la demoiselle!...

Mais c'est vif, mouvementé, amusant I...

Et puis, ça se termine par un mariage..,

Un dénoûment qui n'est pas beaucoup plus usé que la moitié
de mes anecdotes !

Un ooup de ciseau dans un journal belge :
THEATRE DE HUY
GRANDE LUTTE DE DA?.ÎES ET DE DEMOISELLES

AUX FLAMBEAUX

Mm0 Marseille, l'intrépide Bordelaise, qui a fait l'admiration dans

*

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