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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0069
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Armantinel

En passant parles salles ^ï;

èta, comme tout le mond^k

bagues et des sceaux,
;eois, pour qui les question îr
es, se demandaient d'en airiss

réellement en or î — Madisî
lent une grosse bague as é

i ? aaai, murmura-t-elle,
feuilletant le catalogue, itysd
ruifês égyptiennes dll gîtas
dame nommée Isimffé. La te
iis, SJ patronne évidemimnt
■mantine. Ceoia
s? ajou(a-t*É

a étéau doigito

lie ans avant que le jWf31
loire et le bonheur de la ta*
,„ tour la chère Armani»
eifs, et par les salles M
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bras; leur, coeurs ne ballài*
sursta.es, à tire-d* »

eussent été au nmpMJ
ddax vols parallèlesl
,,lel sentant comM» sa g»

résisteraient p- » •*
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dorées, et des pte-J,
r de tr*es, se ta*e,
L douleur vive,»*'"
me bague I gj,

ie promènera au Dru»
lo un instant'
,ùsie étrange.

iu Nif, souriant». t~ ■

rions attristantes-

Arffli$

Us s'en allèrent dîner, et dînèrent moins gaîment que d'ha-
b itude.

Ah'! c'est qu'un troisième convive s'était installé, tenace, au
bout de leur table et les rendait sérieux, même devant le Cham-
pagne glacé,.. Et pourtant, autrefois ?
— Le diable soit de Mme Jsïnofré I (Réflexion de Vauteur.)
Mme Armantine, en retournant chez (ux, né voulut point pas-
ser par Te Palais-Royal. Elle adorait flâner devant les vitrines
étincelantes des galeries. Mais elle avait peur, ce soir là, absolu-
ment peur, de voir l'anneau de Mme Isinofrê, reluire au milieu
des bagues modernes, et lui dire : « II ne restera rien de toi,
rien, pas môme un bijou, pour faire rêver, à mon bénéfice, dans
trois mille ans, l'homme qui se promènera au bras d'une autre
femme, et lo rendre infidèle un instant.

Ernest d'Hbrvilly.

! ser chaque matin toutes leurs marchandises au sommet d'un mat

do cocagne d'au moins quinze mètres d'élévation.
| Leurs clients doivent alors aller chercher eux-mêmes les objets
! qu'ils ont achetés et payés d'avance.
S

ï ART. IX.

î Les voitures de place, remises, omnibus et véhicules de toutes
sortes sont interdits.

Il est également défendu de enrouler à pieds dans les rues.

Les citoyens doivent faire leurs courses au moyen de grands
trapèzes volants établis sur tous les points de la ville à quinze
mètres du sol et distants l'un de l'autre d'au moins cinquante
pas.

Les1 citadins se rendront donc au vol d'un point à un autre.

Il est complètement défendu, sous les peines les plus sévères,
de s'arrêter en l'air entre deux trapèies.

Léon BiSnvk^u.

LES FRANÇAIS DE L'AVENIR

,*j Bien excellente nouvelle.

Il paraît que décidément oh s'occupa dé rendre obligatoires, da'hs les
collèges et pensions, les exercices' gymnastiques.

On semble avoir reconnu enfin qu'une- nation n'est pas beaucoup plus
avancée quand elle possède des millions do bacheliers es lettres dont le3
jambes sont cagneuses t les colonne» vertébrales torses et les biceps
grêles.

* Il n'est vraiment pas trop tôt.
Encore deux ou trois siècles du système actuel et l'homme devenait

un singulier insecte. Le cervelet, so développant outre mesure, donnait
à Ja tête la grosseur d'un potiron couronné au concours, tandis que lo ,
reste du corps négligé, s'amoindrissait chaque jour et on arrivait aux
dimensions d'un poupard de dis-neuf sous.
Une tête de géant siir les épaules do Panfan Benoiton.

* On parait décidé à rompre avec un système d'éducation stupide.
Ainsi solt-îl.

Nous allons bientôt revenir àitx mœurs antiques dans lesquelles la
beauté et la force physiques tenaient une place très légitime.

L'homme n'a pas été créé avec la mission d'améliorer les porcs et les
ehevanx et de se' rabougrir lui-même.

Et si Dieu, qui l'a fait à son image; venait tout d'un coup à vddloir se
rendre com'pto du parti quo l'espèee humaine a su tirer d'elle, il y a ceiit
à parier contre un que sur le rapide examen d'un petit cre've qu'on lui
présenterait comme descendant do notre père Adam, il s'écrierait, très
désappointé :

— Qu'fst-co que c'est que ça?...

.*. Maintenant que l'essor est donné, tout porte à croire que' cela ira
1res vite; et si nos prévisions sont fondées, en 1970, le Code civil de la
France sera enrichi d'un chapitre dont nous nous permettons de donner
dès à présent un aperçu :

•DE LA GYMNASTIQUE

ARTIOLE PREMIER

L'homme est majeur et jouit de ses droits civils aussitôt qu'il
porte cinquante kilos à bout de bras.
La femme est majeure à vingt-cinq kilos.

ART. II

N'est admis à contracter mariage que lo citoyen justifiant :

1° Qu'il peut,-en cas d'incendie, descendre du sixième étage,
au moyen d'une corde à nœuds, avec sa femme et huit enfants
sur le dos.

2° Qu'il est de force à jongler facilement avec les cousins de sa-
fiancée, s'iltrouve leurs sous-pieds dans la ruelle du lit en reve-
nant do monter sa garde.

art. ut.

Sont privés de leurs droits civils et enfermés dans une maison
qui porte le nom de :

HOSPiCE DES RAMOLLIS
les citoyens qui auront compromis leur vigueur physique au
peint de :

S'être laissés gifler par leurs épouses.

Ou avoir fait arrêter un omnibus pour monter sur l'impériale.

ART. IV.

Toutes les contributions mobilières, impositions, droits d'oc-
troi, etc., etc.. sont supprimés et remplacés par un impôt unique
et proportionnel sur l'usage de la flanelle, des édredons et sur
l'obésité.

ART. V

Cet impôt est fixé comme suit :

Un édredon, par an........ . ........ 150 francs.

Flanelle (pour ehaque mètre employé), par an . . . 100 —

ART, VI.

L'impôt sur l'obésité est établi chaque â'nnée par les soins de
l'administration des poids et mesures.

Tout citoyen a droit à un poids de GO kilogrammes.

Passé cette quotité, il doit l'impôt à raison de, deux francs les
cinq cents grammes.

Le premier janvier de chaque année, les citoyens se font peser
à la mairie de leur arrondissement.

L'employé des poids et mesures indique lo poids constaté au
moyen d'un timbre sec appliqué sur la ventre du contribuable.
Cette opération sert à dresser les rôles.

Les citoyens qui n'atteignent pas le poids minimum de 60 ki-
logrammes ont droit à une subvention annuelle de 100 frano3.

ART, VII

Tous les ans, dans chaque ville ou commune de l'Empire, un
fossé de trois mètres de largeur est creusé et rempli de plomb
- fondu.

Chaque habitant doit alors se rendre nu bord de ce fossé, et
après s'être fait attacher les jambes, le franchir à pieds joints.

Néanmoins, ceux qui manquant leur coup et tombent dans le
milieu, ne sont passibles d'aucune peine.
art, vnr

Les boulangers, bouchera, épiciers et généralement tous déni- j
tants de denrées alimentaires de première nécessité, doivent bis-

LÉS VAUDEVILLISTES CHEZ EUX

RÉVÉLATIONS D'UN FROTTEUR (1)
DEUXIÈME PARTIE

EfcJgodlora (Ernest)
Air : Quand on est mort, c'est pour longtemps.
FIi! vas-y donc!
Zig-zag! don ! don!
C nom, ma fine.
Au fredon
^'prédestine!
Eli 1 vas-y donc ! . f

Zig-zag! don! don!
En avant le joyeux Kigodon !

Itimbaut (Hïppolytei)

50, rué Saini-Iviarc. — Bibliothécaire-rédacteur 9-fe la Sdciétè (ÎKâ
auteurs dramatiques, M. Rirabàut parait n'avoir plus g'raiid
temps à consacrer à la muse flonfldnnière ; il a cependant fait
applaudir encore récemment l'Avocat des dames et le Cadeau d'un
horloger.

Roche (Eugène)

Vaudevilliste de la vieille roche, l'un des doyens du couplet.
— Mailly, le caricaturiste, l'a représenté avec sa grande barbe
blanche, son gros ventre et ses petites jambes ; p'uis, le désha-
billant daBS un pendant, en a déduit un orang-outang de la plas
belle espèce.

Le masque joyeux du vieux vaudevilliste se retrouve dans cette
face grotesque, et les anciens se souviennent qu'il était malin
comme un singe.

Le père Roche a été le premier à rira de cette amusante singe-
rie qui, je crois, est encore inédite ; il disait : « (ja a fait ma
« charge, c'est que je suis arrivé au rang où tant de petits crevés,
a plus' du moins littéraires, voudraient bien parvenir. »

ïfcocheFort(père) *

Une gloire du vieux caveau et de l'ancien vaudeville, saluez 1

îtochefort (Henri)
103,' nie Montmartre. — Pourvu que la Lanterne tant attendue,
ne l'empêche pas de donner des successeurs à' 'Brididi; aux Mys-
tères de l'hôtel des Ventes, aux Pinceaux d'Hêloîse, à la Foire aux
I grotesques et autres pièces frappées au Siim coin !

Au jeu, notre vaudevilliste a la toquade de se croire le plus
malheureux des boulevardïers, et gémit sans cesse sur tel ou tel
ctiùp de cartes :

— C'est fait pour moi I pas de chance 1... Quelle déveine \.K Je
ne devrais jamais jouer I etc....

— Combien perdez-vous?

— Je gagne quinze louis.
Rochefort, qui depuis longtemps a fait ses preuves de courage,

â souvent défendu sa plume avec l'épée; si souvent même,- a une
certaine époque, que son second eût pu suivre l'exemple de
Po'ntan.

Ce dernier, auteur dramatique d'il y a vingt-cinq ans et colla-
borateur ordinaire de Maillan, duelliste renommé, avait fait
mettre sur ses cartes :

SâZEïTE k Lk il!

On m'a amicalement signifié, — l'autre jour — d'avoir à ne
plus servir aux lecteurs de l'Eclipsé des anecdotes qui auraient
figuré —autrefois— dans le dessert du Figaro ou du Nain Jaune,

A cela il me serait facile de répondre :

Que toutes les anecdotes vraiment gaies, vraiment originales,
vraiment spirituelles, ressemblent aux vins des grands crûs de
la Gironde et de la Bourgogne, — lesquels se bonifient en voya-
geant et s'améliorent en vieillissant,..

Et que la preuve la plus éclatante de leur gaîté, de leur origi-
nalité et de leur esprit, c'est — justement —■ leur ancienne' pré-
sence sur la table de gourmets auxquels je ne crois point qu'il
soit aisé de faire avaler du Suresne Lour^du Léoville et de l'Ar-
genteuil pour du Chambertin,..

Je pourrais ajouter —- avec Aurélien Scholl :

Pourquoi les chroniqueurs ne se répéteraient-ils pas un peu,
puisque les historiens Ee font pas autrement ?

Existe-t-il une seule Histoire de Napoléon où. ne se rétrouve
cette phrase : Soldats, du haut de ces pyramides, quarante siècles
vous contemplent!

Ds même sera-t-îl possible à un êchotier d'aujourd'hui do con-
stater darfs une gazette que le concert annuel de Vivier a eu lieu
lundi soir chez Hertz ou chez Pieyel, sans raconter à son public
une farce ou deux du corniste mystificateur ?...

Exemple :

Vivier entre — un pistolet chargé en poche — dans un'quinze
centimes du- passage des Panoramas et s'enferme dans un ca-
binet...

Au bout d'un instant, un coup de feu retentit...

Tumulte aux environs,. C'est un suicide, sans aucun doute. La
foule envahit l'établissement. On courtchercher le commissaire...

Celui-ci arrive, — suivi d'un serrurier...

La porte du cabinet est crochetée...

Elle s'ouvre...

Et l'on aperçoit... quoi?

Vivier, assis sur sa chaise d'affaires, — tranquille, — des papiers
à la main.',..

— Monsieur, qu'avez-vous fait? s'écrie le magistrat.

— Dame I il ne tient qu'à vous de vous eu assurer, répond Vi-
vier en se levant,

— Mais ce bruit, cette fumée, cette odeur?

— Ah 1 voilà : c'est dans ma nature — quand j'ai mangé des
Gag"1-'

FOFKTAfV
Téfnoïn de son confrère Màiï-laN

Bontger (Florîmond}

dit Hervé, rue de Charenton, n° vas-y voir. — Sa vaste et pro-
fonde intelligence, chauffée au pétrole incandescent de la fanta-
sia vagabondo-transcendante, est à la fois un réceptacle à'nti-réa-
liste et rengainifuge de poésie irralionnelle et de mélodies ravîs-
sahtîssïmes, oui ! — Seulement, si Messieurs de la ritournelle
suivent dans cette voie insensée l'Offenba'ch de Bondy'street,
voici à quels futurs couplets nous sommés exposés; gare la-des-

sôus I

Air : La Polonaise et VRirondelle.
C'était par un temps cuiller
Et fourchette — Ça veut dire
Que le temps était coiivert,.. —
Une brune aimant à rire
Dit : Quel blond
Viendra donc
Me payer un cachemire
Ou d'Inde, ou
. D'Tombouctou I
J'en frai mon chien-chien, mon chou.

N'importe! aprè3 le dernier succès d'Hervé, l'ariteu'r anonyme
de la Thèrêsaïc ne saurait plus l'appeler Hervétique, l'éleveur d'ours.

Justin Langlois.
(À suivre.)

Voir ¥ Eclipsé des 16 et 23 février, S, 22 mars et i2 avril iSGS.

J'ai choisi — à dessein — la plus connue des historiettes qui
battent le pavé, accrochées au célèbre musicien...

Eh bien, j'offre de parier avec vous un fauteuil d'orchestre à
l'Athénée contre un paradis des Folies-Saint-Atïtoine, qu'il se
rencontrera, parmi nos abonnés, au moins una centaine de per-
sonnes pour lesquelles elle aura tout l'attrait d'une primeur !.,.

En revanche, inventez, — inventez, entendez-vous?— une nou-
velle à la main, ou faites un mot...

Peuhl...

Tout le monde aura vu celle-ci ! Tout le monde aura dit celui-
là 1 Mascarille et Jodelet mettront une foi3 de plus le nez à la
fenêtre, pour crier : — Au voleur ! au voleur ! au voleur I au
voleur 1

La nouvelle à la main est comme l'argent :

Elle n'a pas de maître,

Et tenez, pas plus tard qu'avaut-hier, mou rédacteur en chef
me régale d'un mot charmant et inédit de Dumas fils...

Je fourre — incontinent — ce mot dans l'Evénement illustré, —
le'succès du moment, — de nos confrères Edouard Bauer 'et
Adrien Marx...

Crac!...

Le lendemain, un monsieur réclame...

Le mot n'est pas de Dumas fils : il est de M. Dupin.

En règle générale, défiez-vous des mots que l'on attribue àAu-
gustine Brohan, à Alexandre Dumas fils et à défunt M. le prési-
dent Dupin...

La plupart ont été dits par Sophie Arnould et par feu M. le
Dix-Huitième siècle, — un garçon qui avait autant d'esprit que
Voltaire et que le caricaturiste Bénassit.,.

Deux femmes causent — en fumant des cigarettes — à' une •
tablé du bal de la Reine-Blanche.

— Comme ça, t'as pas lâché Adolphe?

— C'est lui qui ne veut pas me lâcher... Quelle canaille'î,,. II
me flanque des tripotées !...

— PauV Mêliel'.i.

Mêlie siffle sa chope avec philosophie :
- — Qu'est-ce que tu veux, ma biche ? Faut prendre son mâle en
patience.

TSiéûtrcs.

i A l'Opéra-Comique, il en est des levers de rideau comme1, dans
la presse légère, des Nouvelles à lamain.

II y a des histoires qui sont toujours bonites.

II y a des pièces qui sont toujours neuves.

Qui oserait préférer Mademoiselle Sylvia au Chalet, aux IVbces de
Jeannette, voire fnerhe au Chien duJurdmier?

Mademoiselle Syloia est un petit acto assez insignifiant. — Paro-
lier : M. Narcisse Fournier; musicien : M. Samuel David, un
prix de Rome, s'il vous plaît !...

Ce dernier a composé, sur un livret dont la banalité confine à
la niaiserie, un'e partition fort soignée, pleine d'intentions, et qui
renferme un joli quatuor, une romance d'un sentiment très dis-
tingué et un air détaillé d'une façon ravissante par Mlle Girard.
Je soiihaite à M. Samuel David" de rencontrer souvent, dans l'a-
venir, une pareille interprète — et un poënie différent.

Elle n'est pas non plus de la première jeunesse, L'odyssée de ce
nouveau Nonancourt, qui, au Théàtre-Déjazet, pérégrïné de ne-
veu en neveu pour placer avantageusement ses cent mille francs
et sa fille, et qui finit par les donner à un petit amoureux de ter-
roir, lequel flâne toujouis dans l'escalier avec la demoiselle!...

Mais c'est vif, mouvementé, amusant !.,.

Et puis, ça se termine par un mariage...

Un dénouaient qui n'est pas beaucoup plus usé que la moitié
de mes anecdotes !

Un coup de ciseau, dans un journal belge :
THEATRE DE HUY
GRANDE LUTTE DE DAMES ET DE DEMOISELLES

AUX FLAMBEAUX

M*" Marseille, l'intrépide Bordelaise, qui a fait l'admiration dans
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