L'ECLIPSE
saisne
« nos c
étr«scsil l"u»s
^ADEs
L^"i»
'^a,t à être découvert , l£'
II
• u° ™d de carton v«.S
">•■" désir quWt J
ie pouvoir jeter deui |,6s)
un proverbe, et cela ti| ^
M vice, la fortune, par cfe,
numaine s*ingénie-t-elle ils,
tî-oi qui est bote - «{,,
s, en tous cas, peu uérita!
: vous avez du ctnr, à m
B, cela vaudra mien qu kl
l louis — on ne sait pas ^
a roue sur le champ de «ans
III
, qu'il me soit permis dedà;
!, bien certainement, l'aiib:
i je ne puis m'empêchera to
is agences, qu'on De lève pal:
sons de jeu.
but en France deux noies
er son argent sur la vite f:
er ce même argent sur lié
ime hasard-
on introduisait dans 11 M
nçu :
à feu est puni de mort,
blanches et inatrameabn*
Jim Pu»
JONT AH SALON...»
Déboute ?LesD!b«**
Ile qu'on rencontre**;
,-...-SÏ nrnéedend»"1'
îréLenté, etq»i,«"'
■es de France I
&&&
» C'est "° d*^
me Dub.nard,» ,
^ vitraux «*
l8 besoin »<!(
as les bM!' °yd(tI*.»*
_ Oh! sacristi ! si j'avais mon fusil!... je ne vous dis que
Mais les Débouloz fonctionnent depuis un instant ; il jouent
leur rôle de public Suivons-les. Le portrait d'un haut dignitaire
de l'église les arrête un instant.
— Je ne comprends pas, murmure le cousin Débouloz, le dandy
de la famille, qu'un pantalon blanc désigne aux suffrages des
connaisseurs en fait de modes, je ne comprends pas, après les
conseils du Siècle et de M. Weill, comment on peint encore les
calotins...
— Ils sont si intrigants! souffle le père.
La fureur du couain redouble devant le tableau de Gérôme, où
les trois croix du Calvaire ne sont qu'une ombre vaine échappée
du théâtre Séraphin. Le cousin ne comprend rien du tout à ce
goût. Ah! si Voltaire vivait !...
— Débouloz ! vois donc ton Catalogue, dit madame Débouloz.
3 607..-, veis donc, ces fleurs et ces fruits, qu'est-ce que cela re-
présente?...
Débouloz cherche... 3607... Jetée du Havre... Ah! non je me
trompe... 3607, voilà... Fleurs et fruits... est-ce ça?
— Oui. Ah bien ! je croyais qu'il y avait un sujet là-dessous I
^- Oh ! messieurs, regardez ce portrait-là, en cravate bleue.
Comme c'est naturel ! hein? C'est touché. Il doit être frappant.
Et ce paletot d'Orléans, on le croirait vivant.
— Ah I ce portrait est très bien ! très bien ! décidément I
— Oui, c'est très fort. C'est de Dubufe, au moins. Il ya un
nommé Jalabert qui travaille très bien aussi.
— Oh I les beaus cuirassiers! De qui ?
— De M. Régamey, Guillaume. Très joli. Notre immortel Ho-
race Vernet faisait bien les soldats.
— Il est mort, je crois.
— Hélas ! Mais il y avait de la garde nationale à son convoi et
de la ligue... Pour les bons peintres comme celui-là, le gouver-
nement ne regarde à rien.
i- Il a bien raison. Mais voici une nudité.,. C'est dommage
nue ce ne soit pas assez fini. Le contour manque de précision.
Les Débouloz, sur ces entrefaites, ont parcouru plusieurs
salles cherchant le portrait de cette chère madame Dubinard,
croyant le reconnaître à tout bout de champ, et riant de leur
erreur.
— Elle n'est pas aussi jolie que cela, minaude madame Débou-
loz,.. J'espère bien, du reste, qu'elle ne se sera pas fait peindre
décolletée?...
— Ah! messieurs! mesdames! Pour le coup, voilà un chef-
d'œuvre ! — c'est merveilleux. Et c'est signé... Dasgoffes. —
Voilà un peintre qui serait mon peintre. On voit chacun des fils
d'or de cette étoffe. On voit môme les grains de poussière qui sont
dessous. C'est exquis. Quel trompe-l'œil 1 L'art ne peut aller plus
loin. Ce monsieur a sa place marquée...
— Au bagne! murmure un rapin, beau comme un ange et
blond comme un champ de blé. C'est un forçat qui a peint ceci.
C'est sur noix de cooo.
— Ce jeune homme est un envieux, On a dû lui refuser sa
croûte, sourit Débouloz fils, très rouge, au bras de sa tante,
— Certainement... Tiens, la lune !
Ce cri du cœur s'échappe des lèvres de mademoiselle Débouloz,
17 ans, 35,000 francs de dot, devant le tableau de Daubïgny.
— Oui, c'est la lune, ma fille. Singulière idée. Au lieu de
prendre un joli sujet : le Retour du conscrit ou la Lettre de l'absent,
par exemple, faire un grand tableau où il n'y a que de la terre
et du ciel, et la nuit encore! Ce Daubigny est un original
voyez-vous.
— Ah 1 voilà madame Dubinard ! La voilà I Eh bien, elle a fait
une furieuse dépense de cadre 1
L'exclamation des Débouloz fait tourner toutes le3 tStes. On
examine les Débouloz. Mais les Débouloz, absorbés dans la con-
templation de madame Dubinard, ne s'aperçoivent de rien,
— Regarde donc au livret, pour savoir si nous ne nous trom-
pons pas, soupire enfin madame Déboulez.
^— Non ! 6004, portrait de màtlame D**". C'est bien ça... flattée,
un peu...
— Eh bien ! mes enfants, dit le père Débouloz, maintenant, al-
lons voir le3 sculptures, et boire quelque choae. Les jambes me
rentrent...
Et par les salles encombrées, bruyante et farouche, là horde
des Débouloz se rend à la porte de sertie.
Le Cousin Jaoques.
GAZETTE A LA MAIN
Depuis l'ouverture de l'Exposition annuelle de peinture aux
Champs-Elysées, il n'est pas un Rembrandt d'enseignes, pas un
Murillo es trappes de cave, pas un Raphaël en bâtiments qui ne
s'épuise en cajoleries, en courbettes et en petits verres à l'endroit
du plus mince ClusGret de la critique...
Hier, j'ai rencontré — sur le boulevard — le doux Arthur
Poncife, de l'atelier Baudruche, et le farouche Carolus Plantureux,
élève de la Nature...
Ces antithèses se sont précipitées dans mes bras...
'—'• Et cette chère sauté, mon bon?
—■ Adieu, ma vieille. Comment caro^es-tu l'existence?
— Vous savez que je n'ai jamais cessé de vous lire...
— Tu sais que j'achète ton canard.
— Délicieuses fariboles.
— Épatantes foutaises \
— Très délicat, très fin, très distingué.
— Du galbe, du zinc et du flou,
— Saint-Evremond — sans la perruque I
— Privât — avec un pantalon 1
Arthur a tiré son porte-cigares ; Carolus a tiré sa blague.,.
— Fumez-vous un londrès?
— Veux-tu en griller une ?
— Si nous entrions prendre une glane chez Tortoni ?
— Si bous desséchions quelques bocks chez Dreher?
— Venez donc me demander à déjeuner un de ces matins.
— Viens donc me faire payer une choucroute un de ces soirs.
J'ai regardé mes interlocuteurs dans le blane des yeux :
— Messeigneurs, j'ai Vhonneur de vous déclarer que je ne fais le Sa-
lon nulle part.
* i
* *
Tous les deux ont bondi !,..
Nulle part!.,. Vour venez faire cet embarras !
Nulle part! Et monsieur prend l'air, depuis une heure,
D'un Rochefert qui burle ou d'un Atout qui pleure,
Si bien qu'on se fatigue, avec simplicité,
A le congratuler en cette qualité I
Mais si vous n'êtes pas ïatonier, par Hercule !
De quel droit êtes-vous à ce point ridicule î
Puis, Poncif a interrogé sa montre, et Plantureux a consulté le
soleil sur les murs...
— Bonjour. J'ai rendez-vous avec Cabanel criez Cora...
— Bonsoir. Courbet m'attend au Cochon fidèle,..
— A propos, inutile de passer chez moi : je pars après-demain
pour Vichy.
— Pas besoin de te déranger : Je file demain à Barbizon.
Plusieurs jolies femmes du vrai msnde s'étaient juré solennel-
lement, sur la tète de... leurs maris, de ne point consacrer, par
leur présence au fameux bal de l'hôtel Pourtalès, le principe de
la toilette prétendue réformée,
Toutes se sont retrouvées cependant, l'autre soir, dans les sa-
lons de la rue Tronchet...
Elles y étaient venues en cachette l'une de l'autre...
Et leur jupen — relevé à la modo nouvelle — découvrait le
mollet d'Atafaate et le pied de Cendrillon.
Etonnement, — bouderie, — récriminations doucereuses...
On a ri — à la fin — à franches et blanches dents...
— Mesdames, s'est écriée l'une des belles hypocrites, nous
sommes des jésuites.....
— Oui, certes, a ajouté M. de P.,., qui passait à portée, des jé-
suites de robe courte,
— Comment se fait-il, demandait-on à M. Sainte-Beuve, que
vos secrétaires ne soient jamais arrivés à rien?
— Que voulez-vous, mon cher, je les écule.
M. X..., auteur d'un livre aussi nlat que Mlle B..., est parvenu,
à force de plat ventre et supplications, à obtenir l'un des prix
que l'Académie décerne.
On parlait de ce triomphe de la médiocrité quémandeuse devant
le même M. Sainte-Beuve.
— Oui, fit le spirituel sénateur, X... a été couronné comme
l'est un cheval, en tombant à genoux.
JLe comte d'Essox
« La royne Elisabeth — raconte du Maurier — aïant donné une
bague au comte d'Essex avant qu'il n'eust conspiré contre sa
personne, attendoit toujours, dans le tems de sa condamnation,
qu'il la lui rendist pour luy donner grâce selon sa parole. Le
comte, dans sa dernière extrémité, eust recours à la comtesse
Howard, sa parente, et la fist supplier de bailler cette bague fn
mains propres à la royne ; mais son mary qui estoit fort l'ennemy
du comte, l'en empescha, d'où la comtesse garda la bague et le
comte fust décapité, n
* *
La pièce nouvelle du Châtelet est tout entière dans ces lignes.
Ce n'est pas, du reste, la première fois que la vie et la mort
du favori d Elisabeth out été exploitées au théâtre : sans remon-
ter à la tragédie de Thomas Corneille, ou au Proberto Devereux
des Italiens, il convient de rappeler que le comte d'Essex a tenu
une large place dans le William. Shakespeare, de M. Ferdinand
Dugué, représenté, sans trop de succès, il n'y a pas si longtemps,
à la Porte-Saint-Martin.
M. Couturier a été plus heureux. Son drame a réussi, II fau-
drait surtout voir dans ce bonheur le plaisir du public, débarrassé
des spectacles purement oculaires et des calembredaines de la
féerie.
te l'auteur, — qui s'es
■ celle dont l'abbé Siri ;
C'est madame Cornélie, — la femme
chargée d'interpréter la Reine-Vierge, •
écrit :
« Elle commanda à ses officiers d'empêcher qu'on touchât à
son corps et qu'on le vit nud après sa mort, — cela pour des
raisons qu'il est malaisé d'expliquer. »
Mme Cornélie, — qui était, l'an dernier, la fière Vestale debout,
au milieu des pipes et des chopes sur les planches de l'Eldorado,
— a la voix caverneuse, l'allure commune, la figure triviale, le
geste épileptique...
Mais quelle conviction! quelle spontanéité! quelle énergie!
Phèdre et Agrippine sont mortes 1 Vive Marguerite de Bourgo-
gne et Lucrèce Borgial
Télégramme privé
a mademoiselle
Mademoiselle Hortrnse Schneider—en vacances —
dans le midi.
Reprise du Pont-des-Soupire. —Embêtante comme pluie. — Tautin
chanté faux. — Fichu la pièce dedans.— Revenir vite.
SlLLY,
Vendredi onze bocks vingt cigarettes du soir.
Les Salons de Paris.— mauvais titre — excellente reproduction
des toiles a effet de l'Exposition, par Alexandre Pofhey :
C'est au grand Pothey que je boisl
Il est sombre et grave.... sur boia.
Encore une feuille à sensation :
De par V. Nom, que Dieu garde!
Hommes qu'ici l'on regarde,
Voua serez, sous bonne garde,
Pour une heure au PILORI 1
Comme Pétrarque a chanté Laure, le poète S... a consacré à
célébrer la plastique de madame de M... une notable quantité do
sonnets.
Samedi, à la fôte de bienfaisance de l'Opéra, la bella créature
montait l'escalier-jardin du foyer...
Sa robe — relevée outre jarretière — révêlait des extrémités
dignes de la gendarmerie,..
— Voiià mes vers qui passent, murmura S... à l'oreille d'un
ami. Mon cher, comment les trouvez-vous?
— Ils laissent trop voir les chevilles.
Des conscrits parisiens défilent — tout nus — devant le conseil
derévision — des voyous du faubourg, pâtes, chétifs, efflan-
qués...
Le sergent de recrutement regarde avec pitié cette maigre chair
à cacon...
— Hé 1 là-bas, avançons, FIGURANTS DE LA MORGUE !
Emile Blondet.
L'ÉCHO UNIVERSEL-'
JOURNAL POLITIQUE, LITTÉRAIRE ET FINANCIER.
Paraissant tous les jeudis dans le format des plus grands jour-
naux, avec 8 pages de texte et i ou 2 gravures représentant les
célébrités contemporaines, dont il fait la biographie offre à ses
abonnés une prime gratuite et franco telle que n'en a jamais
donné aucune publication.
Quiconque souscrit à FÉCHO UNIVERSEL et envoie seize
francs pour un abonnement d'un an, reçoit immédiatement et franco
à domicile, ou à la station la plus rapprochée des Messageries,
L'HISTOIRE DES GIRONDINS, par M. A. de Lamartine, trois
superbes volumes de 300 pages chacun, illustrés d'environ
400 gravures dessinées par nos meilleurs artistes ; papier et
impression de luxe. Cet ouvrage se vend chez tous les libraires :
21 francs.
Avec l'ÉCHO UNIVERSEL, on entend les 20 grands jour-
naux de Paris et les principales feuilles étrangères, et l'on est
aussi parfaitement informé que si on lisait chaque jour toutes
les publications politiques.
Point de longs articles tendant à faire prévaloir telle ou telle
opinion : rien que des renseignements précis et des nouvelles
piquantes ou curieuses.
Voici d'ailleurs le cadre de chaque numéro :
Semaine politique, Revue des journaux, Bruits de ça et de là, Bio-
graphie d'un personnage contemporain avec portrait authentique, Cor-
respondance de l'Étranger, Chronique, Bulletin scientifique, les Tribu-
naux, Nouvelles diverses, Variétés, Revue financière, Théâtre et Musi-
que, Bibliographie, Agriculture, Dernières nouvelles puisées aux
sources les plus sûres, Feuilleton, etc.
Ainsi, pour 16 francs seulement, on a :
1° Un Journal politique très-complet, et rédigé par des écri-
vains aimés du public ;
2° Un Ouvrage magnifique, coûtant 21 francs en librairie.
L'abonnement à l'ÉCHO UNIVERSEL part du lor ou du 15 de
chaque mois.
Envoyer les 16 francs en un mandat ou timbres-poste à l'ordre
ai l'administrateur de l'ÉCHO UNIVERSEL, 44, rue de Baby-
lone, à Paris,
Le reçu de.là poste sert de quittance.
L'Histoire anecdotique de la Révolution de 1848, par MM. Jules Ler-
mina, Emile Faure et Spoll, obtient un succès des plus spontanés
et des plus éclatants.
Le prix modique de cette publication divisée en livraisons à dix
centimes, permet de l'acquérir facilement et de connaître une
époque dont les principaux détails sont déjà oubliés.
'^.^^F*.a::F, dks x%rtj]V[£:x%.oss izhe x^a lune
N0B CHARGES
1 Les Lunatiques (Très rare).......
2 Les Etoiles populaires...........
3 Dernier quartier,................
-i Un bal dans la Lune. (Rare) ....
5 Ce qu'on voit dans la Lune, (/tare.)
6 Les Travailleurs de la mer. (Rare.)
7 Frontispice. ...................
8 Les journaux vont vite..........
9 Revue comique..,.............
10 Le salon pour rire. (Rare).......
11 D° d° .....
12 Le boulevard Montmartre.......
13 Fantasmagorie...................
14 Cendrillon.....................
15 Celle que j'aime..............
16 Un voyage an Grand;- Théâtre-
Parisien......................
17 Carte du Théâtre de la guerre....
18 Aux Pieuvres les Timides!......
19 Blondin.................,
8 CHARGES F
Le Fusil â aiguille.............. 1
Le mois d'août................. 1
Le eàble transatlantique......... 1
Le Quinze Août................. 1
Une femme à la mer............ 1
La dernière mort de Rocamfiole. 1
Les Thugs. (1res rare.).......... 10
Thérésa........................ 1
La Bourse du jour.............. »
Timolhée Trimm............... »
L'été de 1866................... 1
Les Ogres du journalisme....... 2
Victorien Sardou............... 5
Suzanne Lagier................. 5
Le Théâtre moderne............. »
Offenbach.............,........ »
Emile de Girardin............... »
La rédaction du Fïï/arâ.......... 1
Adelina et Carlotta Patti... ..... »
Alexandre Dumas père........... 1
rix
N'
»
♦0
»
M
»
4*2
B
43
»
44
»
45
»
48
15
48
15
4S
»
511
51
»
52
»
53
15
54
15
DO
511
55
»
51
50
58
59
8 CHARGES Prix
Les Odeurs de Paris............. » 15
Paul Féval................... .. » 15
M0 Lachaud............,....... a 50
La Rédaction de la Lune......... » 50
Strauss et les Clodoches......... » 15
Théâtre de la Lune.............. 1 »
Schneider-Silly.................. » 50
Mélingue....................... » 15
Mlle Cora Pearl................. » 50
Miss dada Menken............... » 50
L. Havin.....;...............,. » 50
Ponson du Terrai!............... i» 1.3
Le Bœuf gras................... u 15
Glais- Bizoin ■.................... i »
Thiers.......................... i »
Alex. Dumas fils................. » 15
Jules Favre..................... » 15
M. de Bismark.................. » 15
Le baron Brisse................. » 15
Louis Veuillot................... » 50
N09 charges Prix
60 Mme Marie Sass................. » 15
61 Henry Rochetbrt et Albert Wolf.. » 15
62 Ernest Renan................... » 15
63 Vict.r Hugo .-.4................. » 15
fii M»" Ugalde.................... » 15
65 Nadar.......................... « IS
66 Courbet___..................... » 15
67 Frédérick-Lemaître.............. » 15
68 Le Dompteur Batty............. » 15
69 Hernani (Auguste Vacquerie)..... a 15
70 Rossini......................... » 15
71 Jules Vallès................... » 15
72 Ernest Picard................... » 15
73 Juarez et Lopez................ » 25
74 Salot (Casque-dc-Fer)........... » 25
7:i Fanfan Benoîton................. » ^5
76 Paul de Kock.............-...... » SE
77 Edmond About................. - » ll(
78 Le Zouave guérisseur............ a 50
79 Le Générel Prim................. » 15
Nos charges
80 And. Gill...,....................
81 ©arffialdi ......................
82 Ferdinand de Lessepa............
83 Jules Mirés.....................
84 Laferrière...............*........
85 Le Docteur Ricord..............
86 Les jolies Actrices de Paris......
86 ôii. La Résurrection deRocambole.
87 Les Lu Lteurs masqués............
88 Virginie Déjazet.................
89 Portrait authentique de Rocambole.
90 La Rédaction du Corsaire........
91 Madame G'aÛI-Mafié.............
92 Madame Judith..................
93 La Résurrection de Thérésa......
91 Théodoros, roi d'Abyssioie.......
95 Alfred Darimon.................
9(5 Figaro en voyage................
97 Le Couple iVontrouge...........
98 Ernest Feydeau..................
Prix
» 15
a 25
» 15
» 15
a 15
» 25
» 25
a 50
a 50
» 15
» 15
» 15
a 13
i 15
» 15
» 15
» 15
» 15
» 15
LA COLLECTION COMPLETE: |Q0 FRANCS
Bien indiquer csux des numéros qu'on désire. Envoyer le montant de la demande en mandats ou timbres-poste, à l'adresse du directeur de VEclipse, 5, cité Bergère, à Paris. Envoi
franco par retour du courrier.
saisne
« nos c
étr«scsil l"u»s
^ADEs
L^"i»
'^a,t à être découvert , l£'
II
• u° ™d de carton v«.S
">•■" désir quWt J
ie pouvoir jeter deui |,6s)
un proverbe, et cela ti| ^
M vice, la fortune, par cfe,
numaine s*ingénie-t-elle ils,
tî-oi qui est bote - «{,,
s, en tous cas, peu uérita!
: vous avez du ctnr, à m
B, cela vaudra mien qu kl
l louis — on ne sait pas ^
a roue sur le champ de «ans
III
, qu'il me soit permis dedà;
!, bien certainement, l'aiib:
i je ne puis m'empêchera to
is agences, qu'on De lève pal:
sons de jeu.
but en France deux noies
er son argent sur la vite f:
er ce même argent sur lié
ime hasard-
on introduisait dans 11 M
nçu :
à feu est puni de mort,
blanches et inatrameabn*
Jim Pu»
JONT AH SALON...»
Déboute ?LesD!b«**
Ile qu'on rencontre**;
,-...-SÏ nrnéedend»"1'
îréLenté, etq»i,«"'
■es de France I
&&&
» C'est "° d*^
me Dub.nard,» ,
^ vitraux «*
l8 besoin »<!(
as les bM!' °yd(tI*.»*
_ Oh! sacristi ! si j'avais mon fusil!... je ne vous dis que
Mais les Débouloz fonctionnent depuis un instant ; il jouent
leur rôle de public Suivons-les. Le portrait d'un haut dignitaire
de l'église les arrête un instant.
— Je ne comprends pas, murmure le cousin Débouloz, le dandy
de la famille, qu'un pantalon blanc désigne aux suffrages des
connaisseurs en fait de modes, je ne comprends pas, après les
conseils du Siècle et de M. Weill, comment on peint encore les
calotins...
— Ils sont si intrigants! souffle le père.
La fureur du couain redouble devant le tableau de Gérôme, où
les trois croix du Calvaire ne sont qu'une ombre vaine échappée
du théâtre Séraphin. Le cousin ne comprend rien du tout à ce
goût. Ah! si Voltaire vivait !...
— Débouloz ! vois donc ton Catalogue, dit madame Débouloz.
3 607..-, veis donc, ces fleurs et ces fruits, qu'est-ce que cela re-
présente?...
Débouloz cherche... 3607... Jetée du Havre... Ah! non je me
trompe... 3607, voilà... Fleurs et fruits... est-ce ça?
— Oui. Ah bien ! je croyais qu'il y avait un sujet là-dessous I
^- Oh ! messieurs, regardez ce portrait-là, en cravate bleue.
Comme c'est naturel ! hein? C'est touché. Il doit être frappant.
Et ce paletot d'Orléans, on le croirait vivant.
— Ah I ce portrait est très bien ! très bien ! décidément I
— Oui, c'est très fort. C'est de Dubufe, au moins. Il ya un
nommé Jalabert qui travaille très bien aussi.
— Oh I les beaus cuirassiers! De qui ?
— De M. Régamey, Guillaume. Très joli. Notre immortel Ho-
race Vernet faisait bien les soldats.
— Il est mort, je crois.
— Hélas ! Mais il y avait de la garde nationale à son convoi et
de la ligue... Pour les bons peintres comme celui-là, le gouver-
nement ne regarde à rien.
i- Il a bien raison. Mais voici une nudité.,. C'est dommage
nue ce ne soit pas assez fini. Le contour manque de précision.
Les Débouloz, sur ces entrefaites, ont parcouru plusieurs
salles cherchant le portrait de cette chère madame Dubinard,
croyant le reconnaître à tout bout de champ, et riant de leur
erreur.
— Elle n'est pas aussi jolie que cela, minaude madame Débou-
loz,.. J'espère bien, du reste, qu'elle ne se sera pas fait peindre
décolletée?...
— Ah! messieurs! mesdames! Pour le coup, voilà un chef-
d'œuvre ! — c'est merveilleux. Et c'est signé... Dasgoffes. —
Voilà un peintre qui serait mon peintre. On voit chacun des fils
d'or de cette étoffe. On voit môme les grains de poussière qui sont
dessous. C'est exquis. Quel trompe-l'œil 1 L'art ne peut aller plus
loin. Ce monsieur a sa place marquée...
— Au bagne! murmure un rapin, beau comme un ange et
blond comme un champ de blé. C'est un forçat qui a peint ceci.
C'est sur noix de cooo.
— Ce jeune homme est un envieux, On a dû lui refuser sa
croûte, sourit Débouloz fils, très rouge, au bras de sa tante,
— Certainement... Tiens, la lune !
Ce cri du cœur s'échappe des lèvres de mademoiselle Débouloz,
17 ans, 35,000 francs de dot, devant le tableau de Daubïgny.
— Oui, c'est la lune, ma fille. Singulière idée. Au lieu de
prendre un joli sujet : le Retour du conscrit ou la Lettre de l'absent,
par exemple, faire un grand tableau où il n'y a que de la terre
et du ciel, et la nuit encore! Ce Daubigny est un original
voyez-vous.
— Ah 1 voilà madame Dubinard ! La voilà I Eh bien, elle a fait
une furieuse dépense de cadre 1
L'exclamation des Débouloz fait tourner toutes le3 tStes. On
examine les Débouloz. Mais les Débouloz, absorbés dans la con-
templation de madame Dubinard, ne s'aperçoivent de rien,
— Regarde donc au livret, pour savoir si nous ne nous trom-
pons pas, soupire enfin madame Déboulez.
^— Non ! 6004, portrait de màtlame D**". C'est bien ça... flattée,
un peu...
— Eh bien ! mes enfants, dit le père Débouloz, maintenant, al-
lons voir le3 sculptures, et boire quelque choae. Les jambes me
rentrent...
Et par les salles encombrées, bruyante et farouche, là horde
des Débouloz se rend à la porte de sertie.
Le Cousin Jaoques.
GAZETTE A LA MAIN
Depuis l'ouverture de l'Exposition annuelle de peinture aux
Champs-Elysées, il n'est pas un Rembrandt d'enseignes, pas un
Murillo es trappes de cave, pas un Raphaël en bâtiments qui ne
s'épuise en cajoleries, en courbettes et en petits verres à l'endroit
du plus mince ClusGret de la critique...
Hier, j'ai rencontré — sur le boulevard — le doux Arthur
Poncife, de l'atelier Baudruche, et le farouche Carolus Plantureux,
élève de la Nature...
Ces antithèses se sont précipitées dans mes bras...
'—'• Et cette chère sauté, mon bon?
—■ Adieu, ma vieille. Comment caro^es-tu l'existence?
— Vous savez que je n'ai jamais cessé de vous lire...
— Tu sais que j'achète ton canard.
— Délicieuses fariboles.
— Épatantes foutaises \
— Très délicat, très fin, très distingué.
— Du galbe, du zinc et du flou,
— Saint-Evremond — sans la perruque I
— Privât — avec un pantalon 1
Arthur a tiré son porte-cigares ; Carolus a tiré sa blague.,.
— Fumez-vous un londrès?
— Veux-tu en griller une ?
— Si nous entrions prendre une glane chez Tortoni ?
— Si bous desséchions quelques bocks chez Dreher?
— Venez donc me demander à déjeuner un de ces matins.
— Viens donc me faire payer une choucroute un de ces soirs.
J'ai regardé mes interlocuteurs dans le blane des yeux :
— Messeigneurs, j'ai Vhonneur de vous déclarer que je ne fais le Sa-
lon nulle part.
* i
* *
Tous les deux ont bondi !,..
Nulle part!.,. Vour venez faire cet embarras !
Nulle part! Et monsieur prend l'air, depuis une heure,
D'un Rochefert qui burle ou d'un Atout qui pleure,
Si bien qu'on se fatigue, avec simplicité,
A le congratuler en cette qualité I
Mais si vous n'êtes pas ïatonier, par Hercule !
De quel droit êtes-vous à ce point ridicule î
Puis, Poncif a interrogé sa montre, et Plantureux a consulté le
soleil sur les murs...
— Bonjour. J'ai rendez-vous avec Cabanel criez Cora...
— Bonsoir. Courbet m'attend au Cochon fidèle,..
— A propos, inutile de passer chez moi : je pars après-demain
pour Vichy.
— Pas besoin de te déranger : Je file demain à Barbizon.
Plusieurs jolies femmes du vrai msnde s'étaient juré solennel-
lement, sur la tète de... leurs maris, de ne point consacrer, par
leur présence au fameux bal de l'hôtel Pourtalès, le principe de
la toilette prétendue réformée,
Toutes se sont retrouvées cependant, l'autre soir, dans les sa-
lons de la rue Tronchet...
Elles y étaient venues en cachette l'une de l'autre...
Et leur jupen — relevé à la modo nouvelle — découvrait le
mollet d'Atafaate et le pied de Cendrillon.
Etonnement, — bouderie, — récriminations doucereuses...
On a ri — à la fin — à franches et blanches dents...
— Mesdames, s'est écriée l'une des belles hypocrites, nous
sommes des jésuites.....
— Oui, certes, a ajouté M. de P.,., qui passait à portée, des jé-
suites de robe courte,
— Comment se fait-il, demandait-on à M. Sainte-Beuve, que
vos secrétaires ne soient jamais arrivés à rien?
— Que voulez-vous, mon cher, je les écule.
M. X..., auteur d'un livre aussi nlat que Mlle B..., est parvenu,
à force de plat ventre et supplications, à obtenir l'un des prix
que l'Académie décerne.
On parlait de ce triomphe de la médiocrité quémandeuse devant
le même M. Sainte-Beuve.
— Oui, fit le spirituel sénateur, X... a été couronné comme
l'est un cheval, en tombant à genoux.
JLe comte d'Essox
« La royne Elisabeth — raconte du Maurier — aïant donné une
bague au comte d'Essex avant qu'il n'eust conspiré contre sa
personne, attendoit toujours, dans le tems de sa condamnation,
qu'il la lui rendist pour luy donner grâce selon sa parole. Le
comte, dans sa dernière extrémité, eust recours à la comtesse
Howard, sa parente, et la fist supplier de bailler cette bague fn
mains propres à la royne ; mais son mary qui estoit fort l'ennemy
du comte, l'en empescha, d'où la comtesse garda la bague et le
comte fust décapité, n
* *
La pièce nouvelle du Châtelet est tout entière dans ces lignes.
Ce n'est pas, du reste, la première fois que la vie et la mort
du favori d Elisabeth out été exploitées au théâtre : sans remon-
ter à la tragédie de Thomas Corneille, ou au Proberto Devereux
des Italiens, il convient de rappeler que le comte d'Essex a tenu
une large place dans le William. Shakespeare, de M. Ferdinand
Dugué, représenté, sans trop de succès, il n'y a pas si longtemps,
à la Porte-Saint-Martin.
M. Couturier a été plus heureux. Son drame a réussi, II fau-
drait surtout voir dans ce bonheur le plaisir du public, débarrassé
des spectacles purement oculaires et des calembredaines de la
féerie.
te l'auteur, — qui s'es
■ celle dont l'abbé Siri ;
C'est madame Cornélie, — la femme
chargée d'interpréter la Reine-Vierge, •
écrit :
« Elle commanda à ses officiers d'empêcher qu'on touchât à
son corps et qu'on le vit nud après sa mort, — cela pour des
raisons qu'il est malaisé d'expliquer. »
Mme Cornélie, — qui était, l'an dernier, la fière Vestale debout,
au milieu des pipes et des chopes sur les planches de l'Eldorado,
— a la voix caverneuse, l'allure commune, la figure triviale, le
geste épileptique...
Mais quelle conviction! quelle spontanéité! quelle énergie!
Phèdre et Agrippine sont mortes 1 Vive Marguerite de Bourgo-
gne et Lucrèce Borgial
Télégramme privé
a mademoiselle
Mademoiselle Hortrnse Schneider—en vacances —
dans le midi.
Reprise du Pont-des-Soupire. —Embêtante comme pluie. — Tautin
chanté faux. — Fichu la pièce dedans.— Revenir vite.
SlLLY,
Vendredi onze bocks vingt cigarettes du soir.
Les Salons de Paris.— mauvais titre — excellente reproduction
des toiles a effet de l'Exposition, par Alexandre Pofhey :
C'est au grand Pothey que je boisl
Il est sombre et grave.... sur boia.
Encore une feuille à sensation :
De par V. Nom, que Dieu garde!
Hommes qu'ici l'on regarde,
Voua serez, sous bonne garde,
Pour une heure au PILORI 1
Comme Pétrarque a chanté Laure, le poète S... a consacré à
célébrer la plastique de madame de M... une notable quantité do
sonnets.
Samedi, à la fôte de bienfaisance de l'Opéra, la bella créature
montait l'escalier-jardin du foyer...
Sa robe — relevée outre jarretière — révêlait des extrémités
dignes de la gendarmerie,..
— Voiià mes vers qui passent, murmura S... à l'oreille d'un
ami. Mon cher, comment les trouvez-vous?
— Ils laissent trop voir les chevilles.
Des conscrits parisiens défilent — tout nus — devant le conseil
derévision — des voyous du faubourg, pâtes, chétifs, efflan-
qués...
Le sergent de recrutement regarde avec pitié cette maigre chair
à cacon...
— Hé 1 là-bas, avançons, FIGURANTS DE LA MORGUE !
Emile Blondet.
L'ÉCHO UNIVERSEL-'
JOURNAL POLITIQUE, LITTÉRAIRE ET FINANCIER.
Paraissant tous les jeudis dans le format des plus grands jour-
naux, avec 8 pages de texte et i ou 2 gravures représentant les
célébrités contemporaines, dont il fait la biographie offre à ses
abonnés une prime gratuite et franco telle que n'en a jamais
donné aucune publication.
Quiconque souscrit à FÉCHO UNIVERSEL et envoie seize
francs pour un abonnement d'un an, reçoit immédiatement et franco
à domicile, ou à la station la plus rapprochée des Messageries,
L'HISTOIRE DES GIRONDINS, par M. A. de Lamartine, trois
superbes volumes de 300 pages chacun, illustrés d'environ
400 gravures dessinées par nos meilleurs artistes ; papier et
impression de luxe. Cet ouvrage se vend chez tous les libraires :
21 francs.
Avec l'ÉCHO UNIVERSEL, on entend les 20 grands jour-
naux de Paris et les principales feuilles étrangères, et l'on est
aussi parfaitement informé que si on lisait chaque jour toutes
les publications politiques.
Point de longs articles tendant à faire prévaloir telle ou telle
opinion : rien que des renseignements précis et des nouvelles
piquantes ou curieuses.
Voici d'ailleurs le cadre de chaque numéro :
Semaine politique, Revue des journaux, Bruits de ça et de là, Bio-
graphie d'un personnage contemporain avec portrait authentique, Cor-
respondance de l'Étranger, Chronique, Bulletin scientifique, les Tribu-
naux, Nouvelles diverses, Variétés, Revue financière, Théâtre et Musi-
que, Bibliographie, Agriculture, Dernières nouvelles puisées aux
sources les plus sûres, Feuilleton, etc.
Ainsi, pour 16 francs seulement, on a :
1° Un Journal politique très-complet, et rédigé par des écri-
vains aimés du public ;
2° Un Ouvrage magnifique, coûtant 21 francs en librairie.
L'abonnement à l'ÉCHO UNIVERSEL part du lor ou du 15 de
chaque mois.
Envoyer les 16 francs en un mandat ou timbres-poste à l'ordre
ai l'administrateur de l'ÉCHO UNIVERSEL, 44, rue de Baby-
lone, à Paris,
Le reçu de.là poste sert de quittance.
L'Histoire anecdotique de la Révolution de 1848, par MM. Jules Ler-
mina, Emile Faure et Spoll, obtient un succès des plus spontanés
et des plus éclatants.
Le prix modique de cette publication divisée en livraisons à dix
centimes, permet de l'acquérir facilement et de connaître une
époque dont les principaux détails sont déjà oubliés.
'^.^^F*.a::F, dks x%rtj]V[£:x%.oss izhe x^a lune
N0B CHARGES
1 Les Lunatiques (Très rare).......
2 Les Etoiles populaires...........
3 Dernier quartier,................
-i Un bal dans la Lune. (Rare) ....
5 Ce qu'on voit dans la Lune, (/tare.)
6 Les Travailleurs de la mer. (Rare.)
7 Frontispice. ...................
8 Les journaux vont vite..........
9 Revue comique..,.............
10 Le salon pour rire. (Rare).......
11 D° d° .....
12 Le boulevard Montmartre.......
13 Fantasmagorie...................
14 Cendrillon.....................
15 Celle que j'aime..............
16 Un voyage an Grand;- Théâtre-
Parisien......................
17 Carte du Théâtre de la guerre....
18 Aux Pieuvres les Timides!......
19 Blondin.................,
8 CHARGES F
Le Fusil â aiguille.............. 1
Le mois d'août................. 1
Le eàble transatlantique......... 1
Le Quinze Août................. 1
Une femme à la mer............ 1
La dernière mort de Rocamfiole. 1
Les Thugs. (1res rare.).......... 10
Thérésa........................ 1
La Bourse du jour.............. »
Timolhée Trimm............... »
L'été de 1866................... 1
Les Ogres du journalisme....... 2
Victorien Sardou............... 5
Suzanne Lagier................. 5
Le Théâtre moderne............. »
Offenbach.............,........ »
Emile de Girardin............... »
La rédaction du Fïï/arâ.......... 1
Adelina et Carlotta Patti... ..... »
Alexandre Dumas père........... 1
rix
N'
»
♦0
»
M
»
4*2
B
43
»
44
»
45
»
48
15
48
15
4S
»
511
51
»
52
»
53
15
54
15
DO
511
55
»
51
50
58
59
8 CHARGES Prix
Les Odeurs de Paris............. » 15
Paul Féval................... .. » 15
M0 Lachaud............,....... a 50
La Rédaction de la Lune......... » 50
Strauss et les Clodoches......... » 15
Théâtre de la Lune.............. 1 »
Schneider-Silly.................. » 50
Mélingue....................... » 15
Mlle Cora Pearl................. » 50
Miss dada Menken............... » 50
L. Havin.....;...............,. » 50
Ponson du Terrai!............... i» 1.3
Le Bœuf gras................... u 15
Glais- Bizoin ■.................... i »
Thiers.......................... i »
Alex. Dumas fils................. » 15
Jules Favre..................... » 15
M. de Bismark.................. » 15
Le baron Brisse................. » 15
Louis Veuillot................... » 50
N09 charges Prix
60 Mme Marie Sass................. » 15
61 Henry Rochetbrt et Albert Wolf.. » 15
62 Ernest Renan................... » 15
63 Vict.r Hugo .-.4................. » 15
fii M»" Ugalde.................... » 15
65 Nadar.......................... « IS
66 Courbet___..................... » 15
67 Frédérick-Lemaître.............. » 15
68 Le Dompteur Batty............. » 15
69 Hernani (Auguste Vacquerie)..... a 15
70 Rossini......................... » 15
71 Jules Vallès................... » 15
72 Ernest Picard................... » 15
73 Juarez et Lopez................ » 25
74 Salot (Casque-dc-Fer)........... » 25
7:i Fanfan Benoîton................. » ^5
76 Paul de Kock.............-...... » SE
77 Edmond About................. - » ll(
78 Le Zouave guérisseur............ a 50
79 Le Générel Prim................. » 15
Nos charges
80 And. Gill...,....................
81 ©arffialdi ......................
82 Ferdinand de Lessepa............
83 Jules Mirés.....................
84 Laferrière...............*........
85 Le Docteur Ricord..............
86 Les jolies Actrices de Paris......
86 ôii. La Résurrection deRocambole.
87 Les Lu Lteurs masqués............
88 Virginie Déjazet.................
89 Portrait authentique de Rocambole.
90 La Rédaction du Corsaire........
91 Madame G'aÛI-Mafié.............
92 Madame Judith..................
93 La Résurrection de Thérésa......
91 Théodoros, roi d'Abyssioie.......
95 Alfred Darimon.................
9(5 Figaro en voyage................
97 Le Couple iVontrouge...........
98 Ernest Feydeau..................
Prix
» 15
a 25
» 15
» 15
a 15
» 25
» 25
a 50
a 50
» 15
» 15
» 15
a 13
i 15
» 15
» 15
» 15
» 15
» 15
LA COLLECTION COMPLETE: |Q0 FRANCS
Bien indiquer csux des numéros qu'on désire. Envoyer le montant de la demande en mandats ou timbres-poste, à l'adresse du directeur de VEclipse, 5, cité Bergère, à Paris. Envoi
franco par retour du courrier.