L'ECLIPSE
m
m,
1*H
\
'sotte,
■fient ^
«ttoiti
'fspttbe
"lapés
de
taPi3 de]
1*1
t!,,*J.
15 jours
S»,
■ ft»
-
I
*«»>t.i
■» tant,
! al°rs à on (.„... -i-«,
™*nr.Dea!""'*
■afeasa
, n,™«<lon.;7LS
?*"• «™ l« rate „
"I «t.. fa i
toplwsprtli^.8,^1;,;
Miktnimmàl Mal
econéàcelleépo^Cetife^
presau-e. Ma tjb ue touiTpteic,
■lait bien usée. Après je m ai ect
a hideoee, je reyina iu Tenpk, as S
IMUt&iapmniiiti
oili,
ion raoittfmdeHiiiv;
tiî le bon soleil ds l'Iran ! Paim fe
fe tomlui entre les m;foriiii
n prochain plus qu'ellete, ïset
on8 église, dans le qtërfisr té ïste
Jue de genooï ailiers se aal[i::à
i seul son de la vois eines h fi
:me des vers :
je. l'auno nrec rar;e, uri!
3ûlî d'un anje sjfll Lapi=. Bt
i ne pouvait pas dorer.
utes pièces, me fitdéioe;i-ï''r:'
lez le mime raarttoiUiE*'
te'." Je respirais déjà, espéml mi?
;ort fatal, un maitte de pessia p fr
de mstriaït'Ps'*1^52
jjiOnStdemeisiii»^
demimscopiir**»*
l,eàïenlt,qooi«»l«i»l!*
)n nous vendit à 1W8»*,
s!ie n'en sais *.»«5
,„ricii,meœda,œP ,
toom*»»";^
rededémW" ^
»-**:*>
rnerettoo«»tel*'
gtansd*'» ,,,,
slaP^f, >«"!
isirde .i,é
CECI, CELA
* La question du strapontin dos voitures déplaces revient sur
l'eau.
Il est décidé que le cocher est « seul maître à son bord; » et
qu'il peut, selon l'état de son cœur ou la sympathie que nous lui
inspirons, nous accorder ou nous refuser la permission de rions
asseoir sur ce petit siège oublié dans le catalogue des supplices
delà sainte Inquisition.
* Cette solution ne fait pas mes délices.
J'aimerais que le public eût, vis-à-vis dos cochers, des droits'
bien tranchés qui le missent à IVbri des vex; tions de ces mes-
sieurs, et surtout de leur mauvais vouloir.
* J'éprouve une vive vexation à l'idée qu'un de ces despotes à
couronne de cuir bouilli, peut se dire, en mo voyant arriver avec
deux de mes amis :
— En voilà trois qui ont des têtes à mo prendre à la course de
Pussy à Vincennes; ils n'auront pas mon strapontin.
* De deux choses l'une :
Ou la voiture peut conduire trois personnes, ou elle n'en peut
traîner que deux.
Pour le premier cas, que le strapontin soi!; à la disposition de
qui veut s'en servir.
Dans le second, qu'il soit supprimé.
* Mais, pour l'amour de Dieu, que nous ne soyons pas à la
merci de ces rustauds qui nous diraient volontiers « mon prince »
parles temps secs, et font souvent des efforts surhumains
quand il pleut, pour ne pas traiter leurs pratiques do i vieux car-
cans. »
Un sarant soumet en ce moment à l'Académie un baromètre
de poches, extrêmement exact, à ce qu'il parait.
Cet instrument, que l'on portera dans son gousset comme une
montre, a de l'avenir.
Et puis on le trouvera rarement en défaut.
S'il fait très-sec et qu'il ait prédit : temps humide, on se dira :
— C'est sans doute qu'au moment où je l'ai consulté, je trans-
pirais.
»5» Je lis dans la Presse, (correspondance espagnole):
«LaJunte s'est occupée de changer le nom des rues. Le nom
Prim a remplacé partout celui de la reine Isabelle II. »
,*, Très-amusant, dans tous les pays, le peuple souverain !...
II brise ses fers ; et son premier soin est d'appeler : rue Prim
la rue Isabelle.
,*» On se figure des gens venant de délivrer un malheureux mi-
neur enseveli depuis onze jours dans des décombres et s'écriant:
— Yitel,,. vite!... qu'on lui repasse un faux coll...
ë
J'apprends que Mlle Mallinger, du théâtre de Munich, va épou-
ser son cama'rade M. Duringsfèld, qui lui a sauvé la vie il y a
quelque temps.
Le ténor n'avait sans doute pas prévu ça.
,*„ Les femmes feront tant et tant, que jamais nous ne les tire-
rons d aucun danger.
Tant que l'on ne risquait que sa vie, ça pouvait encore aller.
Mais, le mariage!...
»% L'honneur ordonne d'épouser une jeune fille que l'on a
perdue; mais pas du tout celle qu'on a sauvée.
LÉON BiENVEKU.
"c^^tSVt^T-
NOTRE ALMÂNACH.
— Demandez!... — II vient de paraître !...
Le lecteur y retrouvera tout ce qui a constitué, tout ce qui con-
tinue le succès véritablement exceptionnel de l'Eclipsé ;
Un frontispice de Gill, et le portrait — crayonné par lui-même
— de notre original et populaire dessinateur ;
Les trois amoureux de la boulangère, — esquisse humoristique
par Pépin ;
Une leïtre d'Hmnbert, —le créateur du genre,— fauteur uni-,
verse lement acclamé des réjouissantes épitres de Simone et de
Boquillon ;
Des vers du poète "Vermersch — illustrés par F. Ré3amcy;
, Des prédictions comiques, — un calendrier amusant— et plu-
sieurs articles eiillèrcmcnl iMsiliis de nos collaborateurs
ymte niondet, Ernest d'Herviliy, etc.,' etc., etc., dont le public
applaudit chaque semaine la verve, la finesse et la joyeuse hu-
meur !.,. J J
l>ut cela pour ,
Vingt ceiiêiaaes.
Un pourra prochainement se procurer aussi — pour le même
prix dans nos bureaux.
ï.a parodie du diable à quatre
'lue nous avons confiée à quatre des plus spirituelles et des plus
vaillantes plumes de notre rédaction.,,
ijes deux brochures : quarante ceratlmcs.
GAZETTE A LA MAIN.
Cadio.
furmr/empS ~~ déja si loin cle no'us ~™ou la belle Aurore Dudevant
tiSUw t ÎU nBZ deS PréJuSés,des cigares qu'elle ne prenait point,
B„n .ans *a tabagie conjugale, une personne disait à Roger de
■Beauvoir:' *: ' .
r,37n?royGZ"YOUS îue> malgré votre lettre d'introduction, je n'ai
Pa^ençore pu être reçue par George Sand?
cupé, - me) ^ Roger,'c'est que clans la journée il est oc-
— Et dans la soirée?
— Oh ! dans la soirée, c'est différent : elle est occupée.
J'aime à penser que George Sand n'a plus guère — aujourd'hui
— quo des occupations... diurnes.
C'est, pourtant, à l'époque de sa vie en partie double — et trou-
ble— qu'il convient de rattacher ses succès les plus impétueux,
les plus éclatants et les plus authentiques : Iadvana, Vaivniîne,
Jacques, Lélia, Leone t'éoni...
Plus tard, vinrent Consueto, la Dernière Àldini, la Mare auD'ahle,
Fia- çois le Champi, la Petite Fadette, — transitions italiennes et
bérichonnes entre le boudoir de la marquésa d'Amaëgui et le cabi-
net du citoyen ministre de l'Intérieur.....
Cadio est l'une des expressions de la troisième manière de ce
génie vigoureux et changeant, — la manière philosophique, huma-
„;*„;,.„ ... „-„ ; <G ^ laquelle appartiennentiMajiàme AJerquem.
VU em,
Anti-
rais dh
imgot\
rctte a!
A pr
à la ca
et
s Qttintiniej voire même ce fameux Marquis de
e'héroïne d* Elle et Lui, do lui et EVe, je p'our-
eSa'flf, ^e laissait volontiers llthographicr en bmi-
iau sur l'oreille, une badins à la main, la ciga-
Bge chanoinesse de Wbliant refuse formellement
Iroit de s'emparer de sa vieillesse embourgeoisée
le Bohême par Guillemot, la Parisienne par Paul Perret, etc., etc.
Voilà le succès des anciennes Physiologies renouvelé !
Puisque je suis en train de bouquiner, qu'il me soit permis d'an
noncer un volume à sensation*,
La .PETITE HISTOIRE ANGCDÛTIQUE ET PITTORESQUE DU COUP D'ÉTAT.
La comédie du drame d'Eugène Ténot!
Autours : Ernest Gibrelle et Paul Mahalin.
com-
dérai-
- Quelques-uns des
Le secret'de l'insuccès de Cadio est peut-être dans cette oppo-
sition.
®
Cadio, roman, possède la plupart des qualités qui ont euroi-éen-
nisê le nom, la gloire de son auteur : une large compréhension de
la nature, une chaleureuse conviction, une éloquence entraînante,
un style limpide et clair, un sentiment profond du beau moral et
du beau physique...
Eh bien, tel qu'il est; je défie quiconque de le lire sans lassitude
et sans ennui !
Dans Cadio drame, c'est bien pis!
Le théâtre ne supporte pas le développement des caractères et
l'analyse des passions. Il vit d'action, rien que d'action. La plan-
che, qui sonne sous le pied, exige impérieusement le mouvement
et le bruit des allées et venues.....
Or, tous les personnages de la pièce nouvelle parlottent dans
l'immobilité....
Cadio, tribune libre !
Je sais bien ce qui manque à George Sand
défauts de M. Dennery.
Malgré les légitimes sévérités .da-.la critique, la Porte-Saint-
Martin fera de l'argent. Ce drame, tout incomplet qu'il soit, mérite
la curiosité et le respect. On ne saurait, d'ailleurs, encourager trop
vivement il. Raphaël Félix dans la voie qu'il a adoptée : les tenta-
tives littéraires, même quand elles ne réussissent pas absolument,
sont encore de beaucoup supérieures aux habiletés des faiseurs.
Cadio est joué d'une façon excellente par Tisserant, Brésil,
Charly, Schey et Larmet.
Mademoiselle Thuillier ne m'a satisfait qu'à demi...
Trop de nerfs!...
Quant à Mélingue, sauf quelques gestes un peu macaques dans
le quatrième tableau, — mains pendantes, coudes aigus, saccades
des bras et des poings,— il a répandu sur la physionomie de
VSomme de toile une admirable teinte de sauvagerie poétique...
Ai-je besoin d'ajouter que, dans la seconde partie du rôle, il
porte l'uniforme avec l'allure Hère d'un Hoche ou d'un Marceau !
Une nuit d'hiver noiro de pluie, Mélingue qui n'avait pas trouvé
de voiture pour le ramener chez lui, en sortant de la Porte-Saint-
Martin, regagnait pédestrement son cottage" de la rue Levert— sur
les sommets do Belle-ville.
Le vaillant comédien venait de s'engager sur le pont du canal,
— à l'extrémité du faubourg du Temple...
Tout à coup un individu lui bondit à la gorge.
— Ton argent ou je te noyé !
En même temps, un deuxième bandit fait pétiller une allu-
mette.
— Attends, Polyte, faut de la clarté pour barboter les poches
du bourgeois.
La lumière se fait...
Aussitôt, ce cri retentit.
— Làche-le, Polyte, làche-le! c'est le mousquetaire de belle-
ville !
Polyte fait un. saut en arrière, et, portant la main à sa cas-
quette :
— Faites excuse, mossïeur Mélingue; mais parole d'honneur,
c'était pour aller vous applaudir dans le Bossu^ que nous avions
besoin de cent sous.
— Si. vous voulez, ajoute son camarade, nous allons vous accom-
pagner jusqu'à vot' porte. Y a tant d'voyous dans le quartier I
... Et ces jeunes ciloyous du paradis auraient, — m'as sure-t-
on, — blagué, à la première représentation de Cadio, le mousque-
taire DE BELLEVILLE !(..
Allons-donc !
Pas possible !
Si les titis avaient bêché Mélingue, que diable serait-il resté
à Roger 1
Librairie.
M. Louis Blairet qui a publié de très-fidèlés, de très-remar-
quables portraits des hommes de la Péninsule, m'a envoyé une
brochurette intitulée : le Général Prim, — laquelle contient
d'intéressants détails sur le futur empereur de toutes les Espa-
gnes...
Avant quo les compatriotes du comte de Reus ne lassent à
celui-ci la gratification'd'un coup de trabuco ou de navaja, faisons
aux pages qui le concernent la politesse d'un coup de ciseaux :
On annonça un jour à Prim qu'une dizaine.de soldats de grands
chemins {soklados tfe caminos) le cherchaient pour le tuer.
— Rien, dit Prim : où sont-ils ?
Ils étaient dans une grange, à quelques pas de là. Prim boucle
son ceinturon, arme ses pistolets et, tout soûl, va vers eux, frappe
à la porte et entre.
Les autres se chauffaient autour d'un grand feu.
— Vous cherchez Juan Prim ? 'dit le général. C'est moi.
Ils sautent sur leurs escopettes et l'ajustent. Prim, aussitôt en-
touré d'un cercle de canons de carabines, les relève brusquement
de ses deux bras, et, au même moment, la grange est entourée de
soldats accourus en toute hâte. Gsux-ci voulaient fusiller les pri-
sonniers.
— Allons donc ! dit Prim, il faut que tout le monde vive !
Et il les laisse aller.
La maison A. le Chevalier, — rue Richelieu Gi, — à laquelle
nous devons les deux livres si populaires de M. Eugène Ténot:
la Province et Paiis en décembre 1851, édite, depuis .quelque temps,
une série de Phymnomies Parisiennes dessinées —- à main-levée
—.par la plus fine pointe de nos plumes et de nos crayons.
Ont paru — entre autres — Acteurs et Actrices, par KIonselet,
Artistes ttRapins par Louis Leroy, Restaurateurs et Restaurés par
Chavette, Commis et Demoiselles demagasin par Mademoiselle a,.,
La EPéfficliOleanx Variétés.
r,^ttXhoh 6St une ?i=ale dâ Plaœ publique qui va, de coi
S ïl„ ? ,°n anT' PiquUl0' vocalisant des séguidiles don
sounables à travers les rues de Lima...
GremJiCdS,vJ dn PLirou' ~ un0 sortn ,k' Schâlabaham auquel
lirçiuer donne un monstrueux relief de stunidilp réjouissante -la
MSTÊSw y,1fn! ^ y 6St : flM,cs de h ™^ et S"hes d s
yeux ont tapé dans la mille'.-.,. :
nisduSnril?\m-ener'1re;i!ane!luPaIai5etde lu! faire tenir*au-
?vec 7»„t d°C , f S"C"'1m ' emf*'°l ""'Arthur de Maffori occupait
belle il '"aiUa8= a la cour de 8. M. catholique l'ex-reine lsa-
Jjiï diner décide la Périchole...
La Périchole a faim...
Pt^ifn^^™;00^11^ la faim «i remontrerait à la sœur
J. atrocmio eL au i-odre Claret ?
è
mpn6téPremier aCtS CSt très'ori°inaIi ^ès-amusant, trôs-mouve-
aI°^S- qui KS a des lon9«eurs que les auteurs s'efforcent d'élaguer
de soir en soir... °
J^LPt'icl^let& îté mariée PW ordre, le règlement exigeant, au
époux1 favorite avant do s'installer, fût endossée par un
Pi!?,rmCet6p0UX^h?écurîste n'esfc autre que Je bohème Piquillo.
1 iquillo a convole les yeux fermés. Piquillo, se croyant trahi par
sa maîtresse, allait se pendre. On lui a offert le mariage : il a
accepte : le mariage est un suicide lent.
/ous pensez bien qu'une fois qu'ils se sont retrouvés, les deux
amants s empressent d'envoyer le vice-roi à los ChaiU dos,— entre-
Pau des souverains de la féerie, do l'opéreUc_et du vaudeville...
.orolôd honneur ■] en suis fâchr pour - monarque II ttait juste,
e regrettera..
Espagnols qui vont dc-
■ vers l'heure cL*
doux et bête à faire plaisir. La Péric
Ah! ça, mais j'y songe : Et ces 1
mander un roi!...
S'adresser à Grenier, — au café do Suède
l'absinthe...
On ne lui connaît qu'un cousin.
Que dirai-je de la partition, des interprètes, des costumes, des
décors et de la mise en scène de la Périchole ?
Si quelqu'un a jamais bien compris le sentiment qui poussait ce
paysan de l'Attique à réclamer l'ostracisme contre Aristide qu'il
s'ennuyait d'entendre appeler le Juste, ce doit être à coup
sûr un infortuné journaliste à son cinquantième compte rendu
d'une pièce d'Offenhach, jouée aux Variétés par Schneideret Du-
puis.
Qu'aurait dit l'envieux paysan, si, au lieu d'entendre seulement
désigner Aristide ainsi, il eût fallu qu'il lui donnât lui-même ce
nom tous les trois mois ?
A la première représentation de la Périchole, on se montrait
un respectable vieillard qui vient de se marier avec une jeune et
jolie personne : ,
— Quelle singulière idée a eue X... de se marier à son âge! dit
un musicien.
— C'est un malin! fit M. Auber; au moins, il est sûr de ne pas
.être trompé longtemps.
Emile Blondet,
Carton de l'ECLIPSE.
Nous sommes en mesure de livrer à nos lecteurs un carton où
ils pourront enfermer, au fur et à mesure de leur apparition, les
numéros de VEclipse',
Ce carton élégant et commode coûte 4 fr. 50, livré dans nos bu-
reaux. Ce prix étant la valeur matérielle du carton, le port reste a
la charge de Vacheteur.
Envoyer le montant en mandat ou timbres-poste, au Directeur
16, rue du Croissant*
En vesaSe an Susa'esîa $e l'EC&SPSB
LA LANTERNE EN VERS DE COULEUR, par "
d'Hervilly.............. Ofr. 50
LE DERNIER JOUR DU CORPS LEGISLATIF
(brochure politique)........... 0 30
LE FLAMBEAU MAÇONNIQUE. ...... 0 25
LA LANTERNE DE ROQCILLON les 3 nwparus 0 30
LES MENSONGES DE LA SCIENCE, par Ûemzbt 0 £0
SES LAMENTATIONS DE JÉRÊMIE.....- 0 45
LA LANTERNE EN VERS DE BOHÊME, par
E. Vermersch...........' . . 0 25
L'ALMANACH DES LANTERNES. ■ . . . . 0 40 '
LA CHRONIQUE SCANDALEUSE. ......" 0 25
Envoi franco contre valeur en timbres-poste.
Toute personne qui s'abonnera directement pour un an à la fois
à rsCS.SFSS: et au CSSSJKmESÎ «3e B'iJSTTEfiUEitfJK, journal
politique, paraissant le mardi et le vendredi, recevra les deux
journaux pour .©S fp. par an, à Paris, au lieu de 35 £f., et
pour Sa ï*a*., en province, au lieu de 3® IV.
Outre ce bénéfice de réduction sur le prix d'abonnement, tout
adhérent à la combinaison recevra de l'administration du Cour-
rier, de l'Intérieur un chèque d'annonces de SS ïa*. (abonne-
nement de Paris), et ©S fii\ (abonnement de département).
Par ce système s'opère le remboursement, par une ou plusieurs
annonces à prendre dans les colonnes du Courrier de l'Inté-
rieur, de la somme consacrée à l'abonnement. — Ce chèque est
au porteur, et par suite transmïssihle et négociable à volonté.
L'abonné qui n'en pourrait faire usage par lui-même peut donc le
céder, le vendre, le transmettre, le passer à un fournisseur
comme appoint dans un compte. Le chèque étant valable pour
une année, vraisemblablement l'occasion de s'en servir se pré
sentera dans le cours de cette annuité pour la personne qui s'y
attend le moins.
On s'abonne directement par un mandat, par timbres-poste ou par
une traite sur Paris, à l'adresse du directeur de l'Eclipsé,
m
m,
1*H
\
'sotte,
■fient ^
«ttoiti
'fspttbe
"lapés
de
taPi3 de]
1*1
t!,,*J.
15 jours
S»,
■ ft»
-
I
*«»>t.i
■» tant,
! al°rs à on (.„... -i-«,
™*nr.Dea!""'*
■afeasa
, n,™«<lon.;7LS
?*"• «™ l« rate „
"I «t.. fa i
toplwsprtli^.8,^1;,;
Miktnimmàl Mal
econéàcelleépo^Cetife^
presau-e. Ma tjb ue touiTpteic,
■lait bien usée. Après je m ai ect
a hideoee, je reyina iu Tenpk, as S
IMUt&iapmniiiti
oili,
ion raoittfmdeHiiiv;
tiî le bon soleil ds l'Iran ! Paim fe
fe tomlui entre les m;foriiii
n prochain plus qu'ellete, ïset
on8 église, dans le qtërfisr té ïste
Jue de genooï ailiers se aal[i::à
i seul son de la vois eines h fi
:me des vers :
je. l'auno nrec rar;e, uri!
3ûlî d'un anje sjfll Lapi=. Bt
i ne pouvait pas dorer.
utes pièces, me fitdéioe;i-ï''r:'
lez le mime raarttoiUiE*'
te'." Je respirais déjà, espéml mi?
;ort fatal, un maitte de pessia p fr
de mstriaït'Ps'*1^52
jjiOnStdemeisiii»^
demimscopiir**»*
l,eàïenlt,qooi«»l«i»l!*
)n nous vendit à 1W8»*,
s!ie n'en sais *.»«5
,„ricii,meœda,œP ,
toom*»»";^
rededémW" ^
»-**:*>
rnerettoo«»tel*'
gtansd*'» ,,,,
slaP^f, >«"!
isirde .i,é
CECI, CELA
* La question du strapontin dos voitures déplaces revient sur
l'eau.
Il est décidé que le cocher est « seul maître à son bord; » et
qu'il peut, selon l'état de son cœur ou la sympathie que nous lui
inspirons, nous accorder ou nous refuser la permission de rions
asseoir sur ce petit siège oublié dans le catalogue des supplices
delà sainte Inquisition.
* Cette solution ne fait pas mes délices.
J'aimerais que le public eût, vis-à-vis dos cochers, des droits'
bien tranchés qui le missent à IVbri des vex; tions de ces mes-
sieurs, et surtout de leur mauvais vouloir.
* J'éprouve une vive vexation à l'idée qu'un de ces despotes à
couronne de cuir bouilli, peut se dire, en mo voyant arriver avec
deux de mes amis :
— En voilà trois qui ont des têtes à mo prendre à la course de
Pussy à Vincennes; ils n'auront pas mon strapontin.
* De deux choses l'une :
Ou la voiture peut conduire trois personnes, ou elle n'en peut
traîner que deux.
Pour le premier cas, que le strapontin soi!; à la disposition de
qui veut s'en servir.
Dans le second, qu'il soit supprimé.
* Mais, pour l'amour de Dieu, que nous ne soyons pas à la
merci de ces rustauds qui nous diraient volontiers « mon prince »
parles temps secs, et font souvent des efforts surhumains
quand il pleut, pour ne pas traiter leurs pratiques do i vieux car-
cans. »
Un sarant soumet en ce moment à l'Académie un baromètre
de poches, extrêmement exact, à ce qu'il parait.
Cet instrument, que l'on portera dans son gousset comme une
montre, a de l'avenir.
Et puis on le trouvera rarement en défaut.
S'il fait très-sec et qu'il ait prédit : temps humide, on se dira :
— C'est sans doute qu'au moment où je l'ai consulté, je trans-
pirais.
»5» Je lis dans la Presse, (correspondance espagnole):
«LaJunte s'est occupée de changer le nom des rues. Le nom
Prim a remplacé partout celui de la reine Isabelle II. »
,*, Très-amusant, dans tous les pays, le peuple souverain !...
II brise ses fers ; et son premier soin est d'appeler : rue Prim
la rue Isabelle.
,*» On se figure des gens venant de délivrer un malheureux mi-
neur enseveli depuis onze jours dans des décombres et s'écriant:
— Yitel,,. vite!... qu'on lui repasse un faux coll...
ë
J'apprends que Mlle Mallinger, du théâtre de Munich, va épou-
ser son cama'rade M. Duringsfèld, qui lui a sauvé la vie il y a
quelque temps.
Le ténor n'avait sans doute pas prévu ça.
,*„ Les femmes feront tant et tant, que jamais nous ne les tire-
rons d aucun danger.
Tant que l'on ne risquait que sa vie, ça pouvait encore aller.
Mais, le mariage!...
»% L'honneur ordonne d'épouser une jeune fille que l'on a
perdue; mais pas du tout celle qu'on a sauvée.
LÉON BiENVEKU.
"c^^tSVt^T-
NOTRE ALMÂNACH.
— Demandez!... — II vient de paraître !...
Le lecteur y retrouvera tout ce qui a constitué, tout ce qui con-
tinue le succès véritablement exceptionnel de l'Eclipsé ;
Un frontispice de Gill, et le portrait — crayonné par lui-même
— de notre original et populaire dessinateur ;
Les trois amoureux de la boulangère, — esquisse humoristique
par Pépin ;
Une leïtre d'Hmnbert, —le créateur du genre,— fauteur uni-,
verse lement acclamé des réjouissantes épitres de Simone et de
Boquillon ;
Des vers du poète "Vermersch — illustrés par F. Ré3amcy;
, Des prédictions comiques, — un calendrier amusant— et plu-
sieurs articles eiillèrcmcnl iMsiliis de nos collaborateurs
ymte niondet, Ernest d'Herviliy, etc.,' etc., etc., dont le public
applaudit chaque semaine la verve, la finesse et la joyeuse hu-
meur !.,. J J
l>ut cela pour ,
Vingt ceiiêiaaes.
Un pourra prochainement se procurer aussi — pour le même
prix dans nos bureaux.
ï.a parodie du diable à quatre
'lue nous avons confiée à quatre des plus spirituelles et des plus
vaillantes plumes de notre rédaction.,,
ijes deux brochures : quarante ceratlmcs.
GAZETTE A LA MAIN.
Cadio.
furmr/empS ~~ déja si loin cle no'us ~™ou la belle Aurore Dudevant
tiSUw t ÎU nBZ deS PréJuSés,des cigares qu'elle ne prenait point,
B„n .ans *a tabagie conjugale, une personne disait à Roger de
■Beauvoir:' *: ' .
r,37n?royGZ"YOUS îue> malgré votre lettre d'introduction, je n'ai
Pa^ençore pu être reçue par George Sand?
cupé, - me) ^ Roger,'c'est que clans la journée il est oc-
— Et dans la soirée?
— Oh ! dans la soirée, c'est différent : elle est occupée.
J'aime à penser que George Sand n'a plus guère — aujourd'hui
— quo des occupations... diurnes.
C'est, pourtant, à l'époque de sa vie en partie double — et trou-
ble— qu'il convient de rattacher ses succès les plus impétueux,
les plus éclatants et les plus authentiques : Iadvana, Vaivniîne,
Jacques, Lélia, Leone t'éoni...
Plus tard, vinrent Consueto, la Dernière Àldini, la Mare auD'ahle,
Fia- çois le Champi, la Petite Fadette, — transitions italiennes et
bérichonnes entre le boudoir de la marquésa d'Amaëgui et le cabi-
net du citoyen ministre de l'Intérieur.....
Cadio est l'une des expressions de la troisième manière de ce
génie vigoureux et changeant, — la manière philosophique, huma-
„;*„;,.„ ... „-„ ; <G ^ laquelle appartiennentiMajiàme AJerquem.
VU em,
Anti-
rais dh
imgot\
rctte a!
A pr
à la ca
et
s Qttintiniej voire même ce fameux Marquis de
e'héroïne d* Elle et Lui, do lui et EVe, je p'our-
eSa'flf, ^e laissait volontiers llthographicr en bmi-
iau sur l'oreille, une badins à la main, la ciga-
Bge chanoinesse de Wbliant refuse formellement
Iroit de s'emparer de sa vieillesse embourgeoisée
le Bohême par Guillemot, la Parisienne par Paul Perret, etc., etc.
Voilà le succès des anciennes Physiologies renouvelé !
Puisque je suis en train de bouquiner, qu'il me soit permis d'an
noncer un volume à sensation*,
La .PETITE HISTOIRE ANGCDÛTIQUE ET PITTORESQUE DU COUP D'ÉTAT.
La comédie du drame d'Eugène Ténot!
Autours : Ernest Gibrelle et Paul Mahalin.
com-
dérai-
- Quelques-uns des
Le secret'de l'insuccès de Cadio est peut-être dans cette oppo-
sition.
®
Cadio, roman, possède la plupart des qualités qui ont euroi-éen-
nisê le nom, la gloire de son auteur : une large compréhension de
la nature, une chaleureuse conviction, une éloquence entraînante,
un style limpide et clair, un sentiment profond du beau moral et
du beau physique...
Eh bien, tel qu'il est; je défie quiconque de le lire sans lassitude
et sans ennui !
Dans Cadio drame, c'est bien pis!
Le théâtre ne supporte pas le développement des caractères et
l'analyse des passions. Il vit d'action, rien que d'action. La plan-
che, qui sonne sous le pied, exige impérieusement le mouvement
et le bruit des allées et venues.....
Or, tous les personnages de la pièce nouvelle parlottent dans
l'immobilité....
Cadio, tribune libre !
Je sais bien ce qui manque à George Sand
défauts de M. Dennery.
Malgré les légitimes sévérités .da-.la critique, la Porte-Saint-
Martin fera de l'argent. Ce drame, tout incomplet qu'il soit, mérite
la curiosité et le respect. On ne saurait, d'ailleurs, encourager trop
vivement il. Raphaël Félix dans la voie qu'il a adoptée : les tenta-
tives littéraires, même quand elles ne réussissent pas absolument,
sont encore de beaucoup supérieures aux habiletés des faiseurs.
Cadio est joué d'une façon excellente par Tisserant, Brésil,
Charly, Schey et Larmet.
Mademoiselle Thuillier ne m'a satisfait qu'à demi...
Trop de nerfs!...
Quant à Mélingue, sauf quelques gestes un peu macaques dans
le quatrième tableau, — mains pendantes, coudes aigus, saccades
des bras et des poings,— il a répandu sur la physionomie de
VSomme de toile une admirable teinte de sauvagerie poétique...
Ai-je besoin d'ajouter que, dans la seconde partie du rôle, il
porte l'uniforme avec l'allure Hère d'un Hoche ou d'un Marceau !
Une nuit d'hiver noiro de pluie, Mélingue qui n'avait pas trouvé
de voiture pour le ramener chez lui, en sortant de la Porte-Saint-
Martin, regagnait pédestrement son cottage" de la rue Levert— sur
les sommets do Belle-ville.
Le vaillant comédien venait de s'engager sur le pont du canal,
— à l'extrémité du faubourg du Temple...
Tout à coup un individu lui bondit à la gorge.
— Ton argent ou je te noyé !
En même temps, un deuxième bandit fait pétiller une allu-
mette.
— Attends, Polyte, faut de la clarté pour barboter les poches
du bourgeois.
La lumière se fait...
Aussitôt, ce cri retentit.
— Làche-le, Polyte, làche-le! c'est le mousquetaire de belle-
ville !
Polyte fait un. saut en arrière, et, portant la main à sa cas-
quette :
— Faites excuse, mossïeur Mélingue; mais parole d'honneur,
c'était pour aller vous applaudir dans le Bossu^ que nous avions
besoin de cent sous.
— Si. vous voulez, ajoute son camarade, nous allons vous accom-
pagner jusqu'à vot' porte. Y a tant d'voyous dans le quartier I
... Et ces jeunes ciloyous du paradis auraient, — m'as sure-t-
on, — blagué, à la première représentation de Cadio, le mousque-
taire DE BELLEVILLE !(..
Allons-donc !
Pas possible !
Si les titis avaient bêché Mélingue, que diable serait-il resté
à Roger 1
Librairie.
M. Louis Blairet qui a publié de très-fidèlés, de très-remar-
quables portraits des hommes de la Péninsule, m'a envoyé une
brochurette intitulée : le Général Prim, — laquelle contient
d'intéressants détails sur le futur empereur de toutes les Espa-
gnes...
Avant quo les compatriotes du comte de Reus ne lassent à
celui-ci la gratification'd'un coup de trabuco ou de navaja, faisons
aux pages qui le concernent la politesse d'un coup de ciseaux :
On annonça un jour à Prim qu'une dizaine.de soldats de grands
chemins {soklados tfe caminos) le cherchaient pour le tuer.
— Rien, dit Prim : où sont-ils ?
Ils étaient dans une grange, à quelques pas de là. Prim boucle
son ceinturon, arme ses pistolets et, tout soûl, va vers eux, frappe
à la porte et entre.
Les autres se chauffaient autour d'un grand feu.
— Vous cherchez Juan Prim ? 'dit le général. C'est moi.
Ils sautent sur leurs escopettes et l'ajustent. Prim, aussitôt en-
touré d'un cercle de canons de carabines, les relève brusquement
de ses deux bras, et, au même moment, la grange est entourée de
soldats accourus en toute hâte. Gsux-ci voulaient fusiller les pri-
sonniers.
— Allons donc ! dit Prim, il faut que tout le monde vive !
Et il les laisse aller.
La maison A. le Chevalier, — rue Richelieu Gi, — à laquelle
nous devons les deux livres si populaires de M. Eugène Ténot:
la Province et Paiis en décembre 1851, édite, depuis .quelque temps,
une série de Phymnomies Parisiennes dessinées —- à main-levée
—.par la plus fine pointe de nos plumes et de nos crayons.
Ont paru — entre autres — Acteurs et Actrices, par KIonselet,
Artistes ttRapins par Louis Leroy, Restaurateurs et Restaurés par
Chavette, Commis et Demoiselles demagasin par Mademoiselle a,.,
La EPéfficliOleanx Variétés.
r,^ttXhoh 6St une ?i=ale dâ Plaœ publique qui va, de coi
S ïl„ ? ,°n anT' PiquUl0' vocalisant des séguidiles don
sounables à travers les rues de Lima...
GremJiCdS,vJ dn PLirou' ~ un0 sortn ,k' Schâlabaham auquel
lirçiuer donne un monstrueux relief de stunidilp réjouissante -la
MSTÊSw y,1fn! ^ y 6St : flM,cs de h ™^ et S"hes d s
yeux ont tapé dans la mille'.-.,. :
nisduSnril?\m-ener'1re;i!ane!luPaIai5etde lu! faire tenir*au-
?vec 7»„t d°C , f S"C"'1m ' emf*'°l ""'Arthur de Maffori occupait
belle il '"aiUa8= a la cour de 8. M. catholique l'ex-reine lsa-
Jjiï diner décide la Périchole...
La Périchole a faim...
Pt^ifn^^™;00^11^ la faim «i remontrerait à la sœur
J. atrocmio eL au i-odre Claret ?
è
mpn6téPremier aCtS CSt très'ori°inaIi ^ès-amusant, trôs-mouve-
aI°^S- qui KS a des lon9«eurs que les auteurs s'efforcent d'élaguer
de soir en soir... °
J^LPt'icl^let& îté mariée PW ordre, le règlement exigeant, au
époux1 favorite avant do s'installer, fût endossée par un
Pi!?,rmCet6p0UX^h?écurîste n'esfc autre que Je bohème Piquillo.
1 iquillo a convole les yeux fermés. Piquillo, se croyant trahi par
sa maîtresse, allait se pendre. On lui a offert le mariage : il a
accepte : le mariage est un suicide lent.
/ous pensez bien qu'une fois qu'ils se sont retrouvés, les deux
amants s empressent d'envoyer le vice-roi à los ChaiU dos,— entre-
Pau des souverains de la féerie, do l'opéreUc_et du vaudeville...
.orolôd honneur ■] en suis fâchr pour - monarque II ttait juste,
e regrettera..
Espagnols qui vont dc-
■ vers l'heure cL*
doux et bête à faire plaisir. La Péric
Ah! ça, mais j'y songe : Et ces 1
mander un roi!...
S'adresser à Grenier, — au café do Suède
l'absinthe...
On ne lui connaît qu'un cousin.
Que dirai-je de la partition, des interprètes, des costumes, des
décors et de la mise en scène de la Périchole ?
Si quelqu'un a jamais bien compris le sentiment qui poussait ce
paysan de l'Attique à réclamer l'ostracisme contre Aristide qu'il
s'ennuyait d'entendre appeler le Juste, ce doit être à coup
sûr un infortuné journaliste à son cinquantième compte rendu
d'une pièce d'Offenhach, jouée aux Variétés par Schneideret Du-
puis.
Qu'aurait dit l'envieux paysan, si, au lieu d'entendre seulement
désigner Aristide ainsi, il eût fallu qu'il lui donnât lui-même ce
nom tous les trois mois ?
A la première représentation de la Périchole, on se montrait
un respectable vieillard qui vient de se marier avec une jeune et
jolie personne : ,
— Quelle singulière idée a eue X... de se marier à son âge! dit
un musicien.
— C'est un malin! fit M. Auber; au moins, il est sûr de ne pas
.être trompé longtemps.
Emile Blondet,
Carton de l'ECLIPSE.
Nous sommes en mesure de livrer à nos lecteurs un carton où
ils pourront enfermer, au fur et à mesure de leur apparition, les
numéros de VEclipse',
Ce carton élégant et commode coûte 4 fr. 50, livré dans nos bu-
reaux. Ce prix étant la valeur matérielle du carton, le port reste a
la charge de Vacheteur.
Envoyer le montant en mandat ou timbres-poste, au Directeur
16, rue du Croissant*
En vesaSe an Susa'esîa $e l'EC&SPSB
LA LANTERNE EN VERS DE COULEUR, par "
d'Hervilly.............. Ofr. 50
LE DERNIER JOUR DU CORPS LEGISLATIF
(brochure politique)........... 0 30
LE FLAMBEAU MAÇONNIQUE. ...... 0 25
LA LANTERNE DE ROQCILLON les 3 nwparus 0 30
LES MENSONGES DE LA SCIENCE, par Ûemzbt 0 £0
SES LAMENTATIONS DE JÉRÊMIE.....- 0 45
LA LANTERNE EN VERS DE BOHÊME, par
E. Vermersch...........' . . 0 25
L'ALMANACH DES LANTERNES. ■ . . . . 0 40 '
LA CHRONIQUE SCANDALEUSE. ......" 0 25
Envoi franco contre valeur en timbres-poste.
Toute personne qui s'abonnera directement pour un an à la fois
à rsCS.SFSS: et au CSSSJKmESÎ «3e B'iJSTTEfiUEitfJK, journal
politique, paraissant le mardi et le vendredi, recevra les deux
journaux pour .©S fp. par an, à Paris, au lieu de 35 £f., et
pour Sa ï*a*., en province, au lieu de 3® IV.
Outre ce bénéfice de réduction sur le prix d'abonnement, tout
adhérent à la combinaison recevra de l'administration du Cour-
rier, de l'Intérieur un chèque d'annonces de SS ïa*. (abonne-
nement de Paris), et ©S fii\ (abonnement de département).
Par ce système s'opère le remboursement, par une ou plusieurs
annonces à prendre dans les colonnes du Courrier de l'Inté-
rieur, de la somme consacrée à l'abonnement. — Ce chèque est
au porteur, et par suite transmïssihle et négociable à volonté.
L'abonné qui n'en pourrait faire usage par lui-même peut donc le
céder, le vendre, le transmettre, le passer à un fournisseur
comme appoint dans un compte. Le chèque étant valable pour
une année, vraisemblablement l'occasion de s'en servir se pré
sentera dans le cours de cette annuité pour la personne qui s'y
attend le moins.
On s'abonne directement par un mandat, par timbres-poste ou par
une traite sur Paris, à l'adresse du directeur de l'Eclipsé,