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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 1.1868

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https://doi.org/10.11588/diglit.3702#0197
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m conjure!.,.

vous la voulez... enfin.—AcreK

» pins..,- Acte h..
iMnrlanHestaœe.i.isjp,
3 se jetle, ardent, ■lisi,,;,'^.
la persuasion elpir k dk\, n
e!apagenoctBne,&iiK.i,iill,
f écrire au flgafo,

CÈftE IV,

•On emmène les nwlinKu:.k,;,-
sur la voie publiqueq-je rjls^fl
pas voulu, dans Ieurrage, erslnj!
•Gndra plus à aller se Mnsfe
ur n'est plus M. Empîs... U\bl<
beaux vers de rat endroit-là,
Eiissirtisimt,

pi-It, — fa*"*-**'
Ricte;-coB«n#!B"'

volontairement, eetat***

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évidemment Itaîrà qSS pu «

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La santé si'Ajax H donns de tItsi iaqiuiSVuuos » ses nmli.

Le /V(/fl?'0 annonçait l'autre jour que la solde des offieers allait
être augmentée de 4 fr. 16 c. par mois.; ce chiffre ironique et face}
lieux indique que le gouvernement a spéculé sur la galanterie tra-
ditionnelle et bien connue de nos braves lieutenants: s'il a osé-leur
iïifiWtf cette augmentation ridicule, c'est qu'il sait fort bien que
fes messieurs n'hésiteront jamais à prendre leur air le plus sou-
riant et le plus généreux chaque fois qu'il s'agira de recevoir

MON JOURNAL

t.!.Bfl*0»W*8e' ~ M°nche;: vos ne2, lecteurs, et affûtez vos |
faéài^ea. Voici d'abord un prospectus que l%n distribue aux
alentours de la place Cadet:

„ Lé préservateur bes Dames. CHnéuw-Appareit, — Objet
» luxueux pour daines; ce petit appareil a pour objet de, pré-
,, venir les dèea^remeiits qui résultent des indispositions de cha-
n ou6 mois; d'une simpH-Gitè remarquable, il est exempt de lacets
5) et tVadapté à toutes les tailles ù la minute..., sic, etc. »

gû lisant ces lignes, est-ce. qt.e votre esprit ne s'égare pas dans
uriy>labY?)îiÈha de pensées?.*. C'est dans ce cas-îâ, n'est-ce pas?
mis l'on regrette de ne pas être femme pour savoir quels sont les
mystères qui s'abritent sous cette ceinture. Mais passons,

Grande nouvelle! Il parait qu'il est sérieusement question de
canoniser la trique du père Yeuillot, pour faire le pendant du
bienheureux Labre. Dans le ciel, sa demeure dernière, elle écrase-
rait les poux de ce b;enhéureux.

Maintenant, voyez comment les grands conquérants, ces gens
nui ravagent le monde* semant partout la mort et la désolation,
sont tôt ou tard punis. Vous avez tous coil&u Alexandre le
Grand, du moins par ouî-dire. Pendant de3 siècles il a joui d'une
admiration irréfléchie. Mais voilà que l'heure de la justice a sonné

pour lui.

Non-seulement il â été livre aux vers par M. Latour-Saint-
Ybars, mais encore le comité de lecture du Théâtre-Français a
ajouté à ce châtiment en renvoyant le héros macédonien pour
être soumis à de nouvelles corrections. — Et mine èrudimini, ô
vous qui aspirez à la gloire des champs de bataille.

IFïaâfta «Hivers* —Un jeune voyageur, on explorant cas vas-
tes glaciers qu'on appelle VAeadémie, — la jeunesse est aventu-
reuse, — a fait la découverte la plus inattendue. Il paraîtrait qu'il
n'y a jamais eu d'Académiciens, et que les gens que l'on faisait
passer pour tels étaient des personnages purement fictifs, dont on
se servait pour frapper l'imagination des collégiens. On s'en dou-
tait bien un peu, puisqu'on n'entendait jamais parler d'eux, ni de
leurs importants travaux. Maintenant le fait est certain.

Dans les fouilles pratiquées place de la Bastille, on à trouvé un
cercueil en plomb renfermant un homme plein de santé et cos-
tumé comme on l'était sous François 1er. Si l'on en croit les af-
firmations de cet homme, — et tout porte à croire qu'il dit vrai. —
11 aurait été enterré vivant en 1522, et n'aurait vécu depuis cette
époque qu'en se nourrissant d'amères pensées. Des savants vont
faire son autopsie pour découvrir le secret de-cette curieuse lon-
gévité.

NosuveESes «Bépaa'teïaaeM taies-

TVtnt/4, wiâXil dx. & êt-M4A0À>. et lèmà&ouÀïb j

loJiM. peut iï*£nifr oUi ùicc^-thmAfa ÔXr^ÛWt cW-tc
fou, <zA aoLhxrL. ai-*£ct cptfâ.JirfkbL ■&'ÂJaV^t t'^l^-p^Uc*

OsifcLt, N -.:'.'-'-'■.• ''

CW& is-ui M}r-ôan-qjz, dji voVt -6i Iûvl.'UX) 'naÈi-tcvn. -ion

Ou^tiÂlA f ■■>-■'■'-,■■'

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j.cliJCe/A. n&fciJL- i^GLÎ.7.c^î-e. te, G oie, nxftwnA&1
'îio S, &t'-Jt.an.c peut, rt-c l^ TÏIojlijl^ *ul no.w^œn o- pfâ-e.

cfafM &^%J$~~f>

r-

Econoni5cdlfflBïBe«t?q^te.—GRqiiel'homme comme lafemme
use le plus dans le vêtement, c'est la chaussure, surtout lorsqu'elle
est mafhon.ditionnée. Se crois donc rendre, service à l'humanité en
rîoannnt le moyen d? confectionner soi-même économiquement et
liyg!ï'i"iiqa,:-ment des chaussures r'ngn-ès de figurer sur la table d'u;i
prince.

Prenez pour semelle une langue de femme; c'e^tinusable. Pour
empègne, servez-vou« d'une rancune do prêtre; ça dore toute la
vie. Coupez les élastiques dans la conscience d'un marchand; en-
fin glissez dans l'intérieur une semelle hydrofage composée d'un
gosier de'ohantre; voilà ce qui ne prend jamais l'eau. \7ous
aurez ainsi une ebaussufe qui réunira toutes les conditions désira-
ble^

C©s*E°eNpe>525ï!îî.Hftce. •— A màbamë dk Chinfr.e an a Dole.—
L'expression a vieilli. Maintenant, dans les maisons bien tenues,
quand on veut désigner chez; une' forte dame, cette partie du corps
sur laquelle on s'assied, on dit très-bien : cette dame a un bel
orgue.

A BÏOïïstEOR CHANUDET a NÔ1BAKS, — Tl £=st fauxqu'un journaliste
ait loué là cervelle de M. Gagne pour y faire des conférences. Ce
local, quoique vaste, n'est pas Vide» Il est occupé par un han-
neton colossal qui a fait un bail à vie.

îBasIBfS'ilsEa coEÊanîj)£i*cï&lL — PôeîJi.ARîTt'i; de II. Daîiîmos. —
Le plus grand calme régne sur cet article. Culotte peu en faveur,
'les fonds en sont bas.

Dépêche télégraphique : Lsj délégués, chargés d'examiner la
trique-du père Vc-uillot, n'ayant su par quel bout, la prendre, —
question'de propreté, «* tout projet de canonisation a été aban-
donné.

ISSéîileeâEïe sïffisffagiisSSSrs. — -pommade pour les engelures.
— Coupez en bandelettes une vessie de bœuf ou de porc qui aura été
étranglé à jeun dans les trois premiers jours de la lune d'octobre;
tremper ces bandelettes dans^une cervelle d'académicien parvenu
à l'âgé de puberté ; faites ensuite infuser pendant 24 heures
dans un litre d'huile de pétrole. Râpez sur ce mélange le nez d'un
homme grêlé qui n'ait jamais servi à de mauvais usages, et faites
bouillir lentement. On fait refroidir en observant; do placer le
récipient à côté d'un réverbère non allumé,-

La pommade ainsi obtenue est un agent excellent pour la gué-
rison des engelures et la dissolution des cailloux.

Elle apaise en outre les tempêtes abdominales produites p^r
les aliments venteux, enlève les obstructions du foie et facilite
les accouchements pénibles.

A. Humbert.

■ TROP DE CLASSIQUES

J'avais vu avec un certain plaisir M. Pasdeloup adopter un
répertoire raisonnable.

,*, Le Barbier, Uartha, le Val a"Aniorre , semblaient indiquer
un revirement heureux dans la marche du théâtre Lyrique, qui a
beaucoup consommé, dans un temps, de cette grande musique à
l'ennui de laquelle on n'échappé que par le sommeil.

%\ Hélas!.... je m'étais réjoui trop tôt. Yoilà que l'on parle de
reprendre.... Quoi?...

Vlphîgénie en Tauride de Gluck!...

£*£ Qu'est-ce que vous vualez !... On n'a rien trouvé de pins
vieux !..

$% Je ne comprends pas cette atroce manie des grands endor--
moirs lyriques, qui nous possède depuis quelques années.

Sous le prétexte qu'il y a cent ou cent-cinquante vieilles bonnes
tètes quis'envont le dimanche au concert Pasdeloup, branler leurs
vieux mentons en s'assoupissant avec conviction au doux mur-
mure des chefs-d'œuvre classiques ^ on nous déterre vieillerie sur
vieillerie.

^j,, Toutes ces rangaines là peuvent avoir leur mérite pour les
amateurs. — Quinze ou seize tout au plus, Paris 'et banlieue,
réunis.

L'on cite bien encore un Monsieur qui payo son fauteuil aux
Français les jours où l'on joue Britannicus^A

«^ Mais, de grâce, que l'on fas^e a c?s empaillés un petit
théâtre exprès dans la plaine de Grenelle,- pour les abreuver de
Gluck, de Mendelsohn et de Beethoven ; et qu'on ne nyus apporte
plus, ces odeurs de moisi dans les salles de spectacles destinées
aux gens qui ne sont pas encore embaumés.
*t Un seul mot :

J'ai dit: quinze ou seize Ghœkisles convaincus pour Paris et la
ftanlieue. '
Je ne m'en dédis pas.

Tous les autres ne sont que des Gluckistes en ruolz.
Ils bâilleront comme des carpes à ï'/phigéniè en question ;
mais pourvu qu'en sortant, ils prononcent: Glouckpour sa donner
un cachet artistique,'leur fanatisme sera satisfait.

*, J'ai connu un girç jn que l'on a pris pendant huit ans pour
un admirateur passionné do Meyeibeer.
Il ne connaissait pas une mesure des Huguenots.
Mai*, il avait un tel chic pour dire mayerbre !... que tout le
monde s'y laissait prendre.

Léon Bienvenu.

h PROPOS DE MONTRES.

Un mdividu se présente l'autre jour dans nos bureaux :

— Je désirerais un abonnement &fVÊplip$e avec la prime de la
montre.

— Très-bien. C'est trente-trois francs pour Paris et trente-qua-
tre pour les départements.

— Comment !... Moi, je croyais que ce n'était que cent sous!!!
Nous ne voulons point faire a ceux qui nous lisent l'injure de les

supposer aussi... naïfs que ce quidam ou que la personne qui l'avait
chargé de cette commission...

Toutefois, il nous paraît nécessaire 'dé rappeler : que le bijou
donné en prime par l Eclipse aux prix ci-dessus énoncés est une
Montre véritable avec boite et cuvette intérieure en argent contrôlé,
— échappement à cylindre et huit trous en rubis; que cette montre
scri^nsr, achstée dans le commerce- rie coûterait rvWiinement pas
moins de o-U^ranxe-cinq à clxquaxte .francs.

Qu'enfin, l'abonnement à ï'iu-1'ipsc représentant une valeur de
cinq francs pour Paris et six francs pour les départements, la mon-
tre, prise dans nos bureaux, dans ces conditions, ne revient donc
par le fait qu'à la somme modique de vingt-huit, francs.

Yoir. du reste, l'annonce à la quatrième page..

GAZETTE A LA MAIN

Quel personnage d!
t, pour qu'on se s<
qup le pu

mportance est-ci donc que M. Adolphe
it imaginé, — et lui tout le premier, je
biic allait emboucher en l'honneur du
i ! ! gr&ndÈgol'ers rageuses de Trogahla-
HeUe ù'ta^éctial !

ptueux!
lit fait .

Vo/ïïs et Grimaces, la Question romaine ou
îon ni cilr.le, — ni émeute, — ni barri-'

Brame de

bas, de Gnetana /
Ji'une présomp
As-'u s^ul^mer

No :, il n'y a eu à l'Odi
cades, —i i arrestations..

Pipe-en-bois, que Paul Arène appelle la Vieillesse des Ecoles, ne
s'était point dérangé de Bullier...

A In. Salamandre, "Val!.s faisait son Enoyrfopédii avec indiffé-
rence...

Et. au milieu du troisième acte, une voix rassurante s'épandit
dans la salle:

— Ueatjlii heures. Tnut est tranquille. Spectateurs, dormez!

M. E
chose b
à nioin

*

audrillart, — du Constitutionnel, —qui professe quelque
ic'qii-ï part, — àla Sorbonne, à la Clinique, je ne suis où,
que ce ne -oit dans les salons de Markowski oudeCella-
rius, — a fait annoncer dans les journaux qu'il pourrait y avoir un
certain chahut à son cours....
Après cela, oa a bien sifflé Royer-Gollard!...
Eç Chilpéric, aussi, que diable!

*

C'était sous l'ancien régime...

Royer-Coliard — que le quartier Latin regardait Comme un ami
trop zélé du pouvoir -'—vit, un jour, sa leçon interrompue par une
formidable tempête de huées....

Il ne requit aucune force armée, prit son chapeau et s'en alla...

La manifestation le suivit — en hurlant....

Pioyor-Coîlard demeurait à cetic époque de l'autre côtéde î'eau.
On arriva au.Po,itd.:s Arts...
Il fallait alors payer un sou pour -traverse,)? ce pont ...
Le professeur se retourna.-..

Deux cenfs étudiants .environ,et autant do badauds, l'accompa-
gnaient — deleurs vociférations....
On lui cria:

— Nousirons jusque sous ses fenêtres!...

Le professeur jeta un louis à l'invalide chargé du péage:

— G'3s messieurs sont avec moi, fit-il.

Voila Théophile Gautier attaché1—avec des saucisses, —à la
conservation des quatre à Cinq mille volumes qui composent la
bibliothèque de la princesse Mathîlde.

Dernièrement, une dame haut placée dans le monde officiel pria
le nouveau bibliothécaire de vouloir bien lui offrir son bras pour
visiter le Jardin-des-Plan tes......

La dame s'extasiait sur ' tout; elle admira particulièrement la
cage des singes, tout en protestantpar sa rougeur et son pudique
embarras cop/.re les mœurs légères de ces quadrupèdes....

Tout à coup, les deux visiteurs parvinrent à un enclos où se
promenait gravement un bouc du Thibet, au front armé de quatre
cornes.

— Le singulier animal ! s'écria la dame scandalisée. Quatre
cornes ? Par exemple ! Yeux-tu bien te cacher, vilaine bête !

— Madame, répondit gravement Théophile, ce bouc est sans
doute un veuf qui s'est remarié.

Cette semaine, quelques Russes de distinction soupaient à la
Maison d'or avec des figurantes des Variétés...

A deux heures du matin, 1 une de ces demoiselles déclara
qu'elle se retirait, etpria qa'on lui fit avancer une voiture...

Le baron T... descend avec elle, arrête un fiacre q-i passait, y
fait entrer- la fugitive, donne une pièce d'or au cocher, et
remo" te...

Le cocher se félicitait de son aubaine... —

Quels drôles de revolvers que'ces étrangers, pensa la dame; ils
donnent au. cocher un louis pour une course ! C'est trop fort!...

Et quand la voiture s'arrêta devant la porte de son domicile,

■— Cocher, s'ôcria-t-elle, rendez-moi dix-sept francs ! ■

Humbert, Hervé, toqués sublimes !

Comme l'insanité de ces deux hommes d'esprit doit être douce
et consolante pour les sociétaires de Bicêtre et pour les pension-
naires de Charentonl

M

h'Âlmanach de Boquillon. pourrait être .mis en musique par le
compositeur de Chilpéricl. .
Après cela, ii faut tirer la ficelle* — de la camisole de force !
ESeesa siècles à l'Opéra.

Un volume couleur de maillot, publié par l'éditeur Dentu.
Beaucoup de statistique et de curieux détails. L'auteur, M Nirée-
Désarbres, s'y dédommage par un amusant bavardage d'avoir été,
pendant plusieurs années, l'un des muets du sérail...

Une historiette — entre cent:

Un jeune secrétaire d'embassada, — gueux comme Job,-— sou-
pirait pour la belle danseuse Pauline Duvernay.

— Ce n'est pas moi, lui disait-il, qui vous offrirai jamais de l'or
(il avait ses rcisjns) , c'est ma vie, ma vie que je serais heureux de
vous sacrifier,

— Si je voulais votre tête, vous me l'apporteriez vous-même,
n'est-ce pas? fit-elle en riant Tenez, vous autres hommes, vous
vous ressemblez tous; vous offrez toujours ce qu'on ne peut ou ne
veut pas prendre.

— Je vous jure...

— Ne jurez p:s, je vous prendrais au mot.

. _ Ciel! grand Dieu! ai-je bien entendu? De grâce, parlez!

— Vous le Voulez?.

— Je vous en supplie,

— Eh bien! offrex-moi une de vos dents: celle du milieu.

— Je cours, je volo... je reviens!.
Il était déjà parti.

Mademoiselle Duwrnay trouvait que le diplomate ne s'était pas
trop mal tiré de l'épreuve de la dent Une heure s'était à peine
écoulée, le jeune homme reparaù : d'une main il tient son mou-
choir sur sa b.>..chc, de l'autre il lui tend une petite boîte. C'était
la dent demaudé.' ; eliij o>wre la boîte, en môme temps il ouvre la
mâehohv, montre le vide fait dans sa bouche par l'instrument do
F_Ôj ératyur,..

— Mais, malheureux ! s'écria la danseuse, ja vous avais de-;
mandé la dent du bas, et vous m'apportez celle du haut.

Le lendemain, le secrétaire était retourné à son poste, où, la
semaf >e suivante, on lui renvoya sa dent, qu'il eut lo bon esprit de
se faire remettre.

lèîégi'SMnmo tUrnmsitiqnQ,

Vous Eigm'ez-V'.ms Coquejin, jouant les Gramo:U-Cadc-
'Ousse î
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