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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0069

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a racontais darrërantaa^
pompiers de Langres contre la lw;^,
antre histoire de pompiers dMjtw-
tlien licite.

C est à Sacv-le-GranJ qu'elle «rin,4ii
je vous demanderai la permission de u^ka

Lejoaroose passait moi : •
heures du matin, lorsque liistitileirtia
j-?a, cracha, etfiniIeHtealaaai

La sagesse des nations nansapsreadaaai
on aime à voir lever l'aurore; opsàsai
que l'instituteur de Saty étais si «Misa
ne fut un homme rempli jasquinicKîKB
mais il avait mal dormi, wekrili
vers ia lin, son rêve s'élut Inutatmi
table, le cauchemar l'avait I

A son réveil, si première pensée fa ps
avertissement du ciel, qaii^
Machinalement il jeu te î ■

.-.raredesourévenorAM*
taine distance dans la camptpt,«t*'
noire dans le ciel.

_ J'en étais sur !s'étna+il;"l"2
La fumée m'empêche de voir te»»»*
Le feu est à Catenoy.

Catenoy es. un villag.™^

clocher et sonna l
commune-

*\ intrépides. Seul, le piétinement formidable des pas indiquait que
c'étaient des hommes qui couraient dans ce tourbillon. On ne
voyait plus qu'un nuage énorme, bizarre, qui roulait terriblement,
traversé à intervalles égaux par une longue flamme blanche ; c'é-
an tait le colossal bonnet de coton du capitaine qui, dépassant en
hauteur la colonne de poussière, se soulevait et s'abaissait, battant
l'air en cadence. —C'était un spectacle imposant.
Cependant, le spectateur désintéressé qui se serait placé loin dé
i|Bj ce nuage, aurait pu voir un autre tourbillon également compacte,
iy également rapide, accourant dans le sens opposé. Ces deux masses
de poussière s'avançaient Tune contre l'autre, comme on voit
dans un ciel orageux deux nuages noirs, informes, courir l'un sur
l'autre et produire la foudre,
i Tout à coupi la troupe de Sacy choqua raidement de la lète
tji* contre quelque chose d'inconnu; un eri, formé de mille cris, s'é-
;?| lève, et les gens de Sacy brusquement arrêtés dans l'impulsion
|| terrible qui les poussait en avant, reculent, tombent et roulent,
B les premiers sur les seconds, les seconds sur les troisièmes, ies
troisièmes sur les autres, dans un pèlo-mêle horrible. — L'effroi
fut grand dans la colonne.

Pendant trois minutes, personne n'osa bouger; on craignait
d'aggraver la situation. Enfin, la poussière tomba lentement, et
les pompiers de Sacy-le-Grand, assis sur la route, reconnurent
il Une autre troupe de pompiers également stupéfaits, également
aussi couchés dans la poussière de la route. Ceux-ci étaient les
pompiers de Catenoy. —Ce tableau était pittoresque.

Enveloppées chacune d'un égal tourbillon de poussière, les
deux troupes arrivant en sens invers ne s'étaient pas aperçue?,.
et s'étaient heurtées avec une violence énorme.

D'abord, on essaya de se relever; des deux côtés, ce fut chose-
longue et difficile. Tous avaient été saqueboulés à la trique dont
daine; ceux du premier rang surtout étaient notablement endom-:
mages. Les casques bosselés s'affaissaient sur des tètes navrées
piteusement. — On ramassa le capitaine de* gens do Sacy! il
une bosse volumineuse sur le front et le nsz tout escar-
bouté. Son bonnet de cocon, violemment arraché de la tète qu'il
n'avait pas su protéger, gisait dans le fossé.

Ceux de Sacy-le-Grand étaient relevés, Geux de Catenoy aussi.,
Alors on s'expliqua.

— Où courez-vous donc si fort? demandèrent les gens de Sacy..

— Mais, chez vous, répondirent ceux de Catenoy. Nous avons
entendu le tocsin qui sonnait à votre clocher; nous avons cru que
c'était vous qui brûliez.

— Tiens ! Et nous qui croyions que c'était chaz vous 1
Somme toute, il n'y avait d'incendie ni à Catenoy, ni àSacy-Ie-

G-rand.

Les deux troupes se répandirent dans la campagne, cherchant
partout cet introuvable incendie. Rien ; on ne trouva rien.

Voyant cela, les gens de Sacy retournèrent chez eux, aussi
ceux de Catenoy ; il était temps de panser les contusions et de
mettre des compresses sur les bosses.

Quand la troupe vaillante, maïs avariée, fut rentrée dans le
village, on découvrit enfin ie secret de cette grande énigme : l'in-
stituteur de Sacy-le-Grand, bouleversé par les flammes de son-
rêve, avait pris pour la fuir.ée d'un incendie le brouillard épais
qui s'échappait au point du jour d'un mardis à tourbe.

A. HUMBERT.

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TRAITÉ RAISONNÉ DE PATTOMANCIE

ou

LES MYSTÈRES DES PIEDS

BÉVIÎLliS ET EXPLIQUÉS
par le ■ docteur Yaboutrniii

COURTE PRÉFACE

Nous sommes tous mortels — et exposés à l'expropriation. —
Or, il paraît que mon volume n'élait pas dans l'axe, ce qui fait
que j'ai dû le transporter ailleurs.

Prière de prendre note de ma nouvelle adresse S. V. P.

Et maintenant, j'entre en matière.

CHAPITRE PREMIER

HISTOIRE DE LA PATTOMANCIE

l'avenir ;

De tout temps, les hommes ont essayé de connaitr
— les femmes aussi, du reste.

Adam et Eve interrogeaient les pommes, Saûl consultait les
prophètes, Catherine de Médicis éventrait des poules; les anciens
Egyptiens croyaient à la signification des songes, les Grecs avaient
leurs oracles, les Romains leurs pythonisses; au moyen âge vin-
rent les sorciers, et à la Renaissance, les astrologues.

Aujourd'hui, nous avons les somnambules, les chiromanciens,
les tireuses de cartes, les journalistes, les spirites, les hommes
d'Etat, les diseurs de bonne aventure, etc., etc.

Les uns prétendent lire l'avenir en dormant, les autres en vous
chatouillant dans le creux de la main; ceux-ci en manant la dame
de cœur et le valet de trèfle, ceux-là en épluchant les événements
et le reste, en faisant tourner les tables en rond, ou des collègues
en bourriques.

Il est évident que tout cela n'est pas sérieux. Malheureusement
l'humanité a dû s'en contenter, jusqu'à ce jour, faute d'être initiée
à la vraie science, que quelques-uns seuls possédaient, et qui va,
maintenant, devenir le patrimoine de tous.

L'origine de la pattomancie se perd la nuit dans des temps. Il
en est fait mention, pour la première fois, lors du siège de Troie,
pendant lequel le grand-prêtre Galchas, ayant eu occasion d'exa-
miner les pieds d'Achille endormi, lui prédit, à son réveil, une
mort prochaine.

Achille, qui posait pour un esprit fort, ne prit pas garde à la
prédiction, et commua d'aller pieds nus.

Or, quelque temps après, revenant du batn, il marcha, par
iïiégarde, sur une aiguille à tricoter, qui lui entra dans le talon,
et remonta jusqu'à la gorge. L'aiguille ayant, comme lui, la laine
mauvaise, il en mourut.

Calchas est donc un des premiers adeptes de la science patlo-
irancïque. Le ?ecret lui en avait-il été confié par un parent, ou
bien en était-il ie propre inventeur? C'est co dont il a été imp s-
sible de s'assurer, l'incendie deli grande bibliothèque d'Alexan-
drio ayant détruit lus registres sur lesquels le conservateur inscri-
vait les brevets et les noms des inventeurs.

Après Calchas, la filière des pattomanciens, devient, pendant
quelque temps, difficile à suivre; non qu'elle ait !e moins du
monde été. rompue une minute; seulement les noms des initiés ne
sont pas venus jusqu'à nous.

Peut-être ont-ils été persécutés? Peut-être on Mis dû fuir? Ce
qui est certain, c'est qu'on n'entend plus parler d'eux, avant l'an-
née 1427, époque à laquelle une jeune fille du village de Dom-
remy, ayant vu en songe les pieds du roi Chartes "VII, crut de-
voir augurer des lignes qui en sillonnaient la plante, l'expulsion
prochaine des Anglais.

Forte de sa conviction, elle part alors trouver le roi, qui passait
ses jours et ses nuits à se dire ; Mon Dieu, mon Dieu, qu'est-ce
que je pourrais donc bien faire pour flanquer une bonne tripotée
à Talbot et à Bedford?

— Mettez-vous à la tête de l'armée, dit Jeanne, et je réponds
de la victoire.

La victoire vint, en effet, et les Anglais furent chasst's de
France,

Depuis lors, la pattomancie a marché de succès en succès. Si
cette science n'est pas encore appréciée par tous, à sa juste
valeur, cela tient aux entraves que lui suscitent journellement les
charlatans.

Mais patience! avant peu, elle sera aussi populaire que l'eau
de Lob, avec laquelle, elle peut, du reste rivaliser, puisqu'il y a
des prédictions, qui font dresser les cheveux — même sur les
tètes chauves.

Vabontiuin.

GAZETTE À LA MAIN

J'imagine qu'on lira désormais dans les diclionnaires d'histoire
et de géographie :

« MÔntauban'. —grande et belle ville, — 25,995 kebitants. —
Musée , théâtre, bibliothèque, cafés chantants, — commerce de cadis,
molletons, articles du midi, — minoterie, toiles pour tamis, fabrique
d'anges. »

Cette nouvelle spécialité du pays est de date récente. On Ira-,
vaille pour la Franco et pour l'étranger.

Sûreté, — célérité, — discrétion...

Réussite garantie, - prix modères, — rcmbouriemenl en timbres-
poste.—On traite par correspondance.

Affranchir.

J'ai dit : Prix modérés.

Si modérés même, que ce ne serait pas la peine d'avoir une
pièce de quarante francs dans sa poche, pour se refuser la fan-,
taisie de faire cadeau d'une paire de chérubins au bon Dieu!...

La femme Delpech opérait elle-même —comme Pierre Petit.
Sans retouche! Procédé simple, économique, à la portée de toutes
les intelligences et de toutes les bourses I Les matières premières
étant fournies par les mamans, la ma'rone gagnait — évidem-
ment — cinquante pour cent sur la main-d'œuvre!

De quoi s agissait-il, en effet?

D'immerger — délicatement — une pauvre créature, sans force,
à peine née, n'ayant pour se défendre que ses vagissements, dans
une cuveite jaugeant à peu près autant d'eau que l inondation de
la Famille des Gueux à l'Ambigu !...

Carrier appelait ses noyades des mariages...

La citoyenne Delpech aurait pu appeler les siennes des
baptêmes...

Différence de sacrements, voilà tout!...

On a guillotiné Carrier...

oui, mais les circonstances atténuantes n'éiaient pas encore
inventées.

L'acte d'accusation nous a révélé ce détail d'une étrange sa-
veur, que la femme Delpech désossait ses victimes et les hachait
menu, menu, menu comme style à Girardïn. .

Puis, elle ensevelissait cette charcuterie humaine dans le si-
lence du cabinet...

A moins qu'elle ne la serrât avec soin dans ses tiroirs, — sous
son plancher, — partout!...

Ce faisant, elle ne pensait pas à mal, assurément. Son attitude
à l'audience le prouve. Comme l'enfer, sa chambre à coucher était
pavée de bonnes intentions, — dont la science a pu reconstruire
les squelettes!...

Le charnier des innocents, quoi!...

La fille Coyne lui servait de courtière.,.
Elle recrutait pour le Paradis...
Avec prime!...

C'est, assure-t-on, une brunette à peau mordorée, avec tout le
soleil du midi dans les yeux...
M. Arnault s'est écrié :

— Quel dommage qu'elle ne puisse pas être acquittée I Je l'en-
gageais à l'Hippcdiome; elle dënutaitdans une pantomime que je
commandaisà DoSlingen ; on l'y voyait, poursuivie paries Remords,
sur un cheval sans selle, à travers les cerceaux, les guirlandes, Us
flammes du Bengale et les feux S'artibee.'.. t'étaient Amélia,
Coralie, Louise et Haydée qui jouaient les Rea,ords avec des cos-
tumes neufs... On appelait ça Conscience-Galop, à grandes guides,
avec saut du fossé, haute école, ban que Ho irlandaise et tout le
tremblement,.. Mais la justice a juré -de me ruiner .. Il faudra
que je me rattrape sur Mlle rie la Périr.e.

Il y avait foule chez Brébant, — vendredi .matin, — le lende-
main de lit Mi-Carême...

Mon confrère S... H... et moi nous réclamions en vain, depuis
vingt grosses minutes, ce que nous avions commandé...

Les employés ne savaient auquel entendre...

L'un deux passe, — portant une maître-d'hôtel fort appé-
tissante...

Mon compagnon l'arrête par le bras...

Le plat bascule...

Cracl...

Voilà la manche de l'impatient inondée I...

— Ahl enfin! fait S... H... avec sang-froid... On se décide
donc à nous servir !... Garçon, un petit pain pour tremper dans
ma f-auce !,..

Les saturnales du Carnaval des Blanchisseuses déterminent, si

j'en crois la statistique, une augmentation notable dans la popu-
lation df? ceriains hôpitaux.

Quelqu'un invitait le docteur Ricord à venir passer les fêtes de
Pâques à la campagne...

— Impossible, répondit le spirituel praticien, je vais avoir,
comme les tailleurs, d'ici quinze jours, mon moment de coupe.

Autre mot du même, spécialiste...

Il salue une jolie femme sur le boulevard...

On lui demande :

— Qu'est-ce que c'est que cette dame? ■

— C'est une personne qui m'envoie des clients.

Plusieurs journaux viennent de nous faire humer — non sans
force délices — quelques strophes de Monstdet...

A mon tour, j'entends vous régaler d'un sonnet inédit — ou à
peu près inconnu — de ce ciseleur de hannps...

Cette petite épopée a pour titre :

LE POÈME DU TAILLEUR

Un tailleur me pressait pour un billet échu;
Je n'avais pas les fonds!!! Grande était ma torture!
Un long voile timbré planait sur la nature,
Et dans l'Opinion je me voyais.déchu.

Vers mon seuil s'avançait l'huissier au pied fourchu.
Mon concierge — navré — me donnait tablature.
Or, n'aimant pas à ■yoir traîner ma signature,
Afin qu'il m'obligeât, j'allai chez Barbanchu ..

Il n'était pas chez lui.

Ce n'élait pas tenable I
.le rêvais je ne sai= quel fatal dénouement...
Enfin, pour terminer ce drame à l'amiable,
Jo fis à mon tailleur un renouvellement.

#

UNE PENSÉE DE LAMARTINE

« Aimons les enfants, ce ne sont pas encore des hommes; aimons
les hommes, ce ne sont que des enfants. »

SJn peu etc isaîasiquc.

Faust a émigré à la rue Lepeletier.

Hélas 1 je redoute fort que l'Opéra ne soit le Coblentz, sinon du
talent de M. Gounod, du moins du rayonnement, de la grâce, du
charme de son œuvre, si applaudie naguère au Théâtre-Lyrique.

Les artistes ont fait vaillamment leur devoir. Les ballets, l'es
décors, la mise en scène auraient causé à Meyerbeer une surprise
mêlée de frayeur...

On sait que toutes les fois que l'Opéra lui montait un ouvrage
avec quelque magnificence, le grand compositeur s'écriait avec
chagrin :

— Pourquoi tant de luxe? On ne compte donc pas s'.:r ma mu-
sique !...

Le Théâtre-Lyrique a donné, cette semaine, un petit acte : En
prison, dont le hvret n:a rien de bien nouveau, de bien intéres-
sant, ni de bien comique Quant à la partition, si j'en excepte
l'ouverture, elle est de celles auxquelles il ferait difficile d'accro-
cher un sifflet ou un bravo. Mademoiselle Ducasse s'y montre
assez gentille; Gabriel y est amusant, et le jeune M. "Verdellet y
chante remarquablement faux.

Parlez-moi de la Poupée deNurcmburg l

Comme tout cela, — poème et musique, — est resté jeune et
souriant! Point de rides, d'affaiss.-ment ou an grimaces! Un prin-
temps !... Grand succès pour Gernizer, pour Legrand, pour Made-
moiselle Dnval. Excellente idée de la direction. Pourquoi ne re-
prend-elle pas le ftoi des Halles?

La Chanson illustrée s'apprête à faire ssn entrée dans le monde...

L'Eclipsé est sa marraine; nous sommes tous ses parrains...

Ce recueil de joyeux refrains se présente, escorté, dans son pre-
mier numéro, par les Pompieres de Nanterrc, — un pont-neuf
d'Alexandre Elan qui aura toute la vogue des Pompiers, ses vi-
vaces et populaires aînés...

Un splendide dessin de notre ami Hadol inaugure cette publi-
cation...

Prix : dix centimes...

Un vrai cadeau I

clios de S» hnsade v£c.

M. de V..., un riche propriétaire foncier, passe pour ne pas
avoir beaucoup d'agrément en ménage.
Il s'en console en parlant de ses terres.

— J'ai, disait-il dernièrement, trois forêts en Lorraine et cin
en Normandie.

— Oh! fit madame de P..., on sait que vous avez les plus
beaux bois de France.

La belle madame de T... reçoit pas mal de cocodès, et ses soi-
rées se prolongent fort tard.

M. de S... arrive chez elle à l'aobe..,

Il sonne...

Citlinu — groom — vient lui ouvrir...

— Votre maîtresse est-elle visible?

— Oh ! monsieur ! à cinq heures du matin I madame vient de se
coucher, — et tout le monde eut dans sou lit ..

EMILE BLONDET-

Le numéro 8 lie la LACTE» DE BOCipLLOiV vient
de paraître : DIX CENTIMES.

Pour pai aitre prochainement :

■LA .CHAEJSOH ILLBSTBÉE

Prix : 10 centimes.

Quatre pages de chansons, dessins, anecdotes, etc., etc.

Rédacteur en chef : Alex. Flan.—Administrateur : Ch. Grou.

Adresser ies demandes au bureau de VEclipse, 16, r. du Croissant.

A VMS MfflS?®2iT3.]%TT.— TotBtr&noiêveMte*ne9%t
fS'abonttentep&t ose cf*a*%ffetne»»t t&*adresse doit
être aee&m&aaitté tte Vwtae eleo dernière*
bandes du %F&tt»ssaë. Mfowter 5© centimes
pour les changements de domicile.
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