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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0137

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niées et plantées ea béai-
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isieurs en habit noir el à

il baryton chauve qui gris-
ent à quaire-vinjWï ta-

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L'ECLIPSE

COMPAGNIE GÉNÉRALE DES CHAUSSURES fi VIS

Dans le classement opéré par le jury international de l'Exposi-
tion de 1867, l'industrie de la chaussure occupe le second rang;
elle vient immédiatement après la buulangeiie, 1 art de faire le
pain ! Et c'est raiionel, on se passe de tout... excepié de pain et de
souliers.

D'apiès le dictionnaire des Arts et Manufactures, édité par
M. Cti. Laboulaye, la Compugnie général* des chaus-uns à vis ne
ser it étrangère ni au rarjg conquis dans cette classification, ni à
l'impuriance prise par cette industrie dans l'exportation général
française.

C'est, en effet, d'après ce dictionnaire, à l'initiative de M. Syl-
vain Dupuis, le dirtet-ur de la Compagnie, qu'est due la trans-
formaùon de ta f ibricai on de la chaussure, laquelle n'a com-
mencé à se développer qu'à panir du moment où l'application
des machines est venue suppléer à l'insuffisance du travail ma-
nuel.

Or, le livre de M. Laboulaye constate, d'après les rckvès offi-
ciels, que les productions totales de cette industrie, qui n'existait
pas il y a trente ans. s'élevait dans Paris :

En 1847,

à

43 millions,

En 1860,

à

83 millions.

En 1309,

à

109 millions,

dont 60 milliers environ sort exportés à l'élranger.

Une n.table part dans cette progressî m revient, ajoute le Dic-
tionnaire, à la maison Sylvain Dupuis, qui, par la liaute réputa-
tion de ses pioduits, et les soins qu'elle n'a cessé de donner à la
fabrication, a laigement contribué aux résultats obtenus.

L'opinion exprimée par le livre de M. Laboulaye a été par-
tagée psr les jurys de toutes les expositions.

En 1849, Sylvain Dupuis obienait à l'Exposition de Paris la
médaïle d'or; en 1851, prize medal à 1 Exposition universelle de
Londres; en 185ii, médaille de première classe à 1 Exposition uni-
verselle de Paris; en 1862, great mtdal à l'Exposition universelle
de Londres; en 1S67, à l'Exposition universelle de Paris, deux
médailles, dont une d'or, la seule décernée à la fabrication de la
chaussure.

Uae émission d'obligations fait connaître au publie les avan-
tages que les aciionnaires de la Compagnie en ont retiré, et an-
nonce la mise en exploitation de nouveaux produits brevetés.

L'un de ces nouveaux produits : La Semelle rn caoutchouc, in-
ventée par Ai'BERT, Géraud et Cie, paraît appelé à accuroplir
une véritable révolution dans la fabrication de la chaussure.

Le rapport du jury international de l'Exposition de 1807, pub'ié
sous la direction de M. Michel Chevalier, sénateur, atteste que
Les Semelles en caoutchouc doivent occuper la première place
parmi les pioduits nouveaux ; qu'elles ont sur les semelles en cuir,
qu'elles sont appelées à remplacer, l'avantage : d'une Jurée
plus grande, dune imperméabilué'cumpléte, d'un prix de revient
bien moindre, et, pour les semelles épaisses surtout, une solidité
qu'il est impossible au cuir d'atteindre. Elles sontabsoluinent im-
perméables.

Il est regrettable que l'invention d'Aubert et Gérard n'ait pas
été contemporaine de la guerre de Truie.

Nos armées profiteront, dit-on, de ce qui eût assuré l'immorta-
lité du bouillant Achille.

Pierre Du val.

GAZETTE A LA MAIN

Méry, — le spirituel et fri'eux poé'-te qui jouait avec le paradoxe
comme un jorgl^ur de Bénarès avenues lames de sabre, des
boules de cuivre et des serpenta, — Mery prétendait que les sai-
sons ne cuaogeraient pas si l'on gardait toujours les mê.i.es
hahiis...

Si l'hiver, disait-il, voyait toujours les vêtemenfs d'é^é, il conti-
nuerait dans sou C"ia à eiguer sa barbe rie glaçons et à tendre
ses vieilles mains tiembloLtnDtes sur Sun gueux; il n'oserait se
présenter dans le m'>nde, <ie peur d'avoir i'nir d un provincial qui
démarque dais un salon quand les lustres du bal ne sont pas en-
core a.lûmes...

Or l'hiver se tient ce langage :

Ils• ont acheté du bois, posi leur tapis, retenu leur Iosre aux
Italiens; à merveille I Je puis sonner à leur porte ; il3 m'atten-
dert-, personne n^ semblera surpris de mon retour!

De même, l'été n'arrive qu'au moment précis où Ton ' met le«
pa'it.JoriH de coutil, les chapeaux de paille et les rob^s de f mlard
de la Malkd'S Ind'.s....

Voyait tout le monde ainsi costumé, l'Eté sp dit :

— Il paraît que c'est mon tour.. Allons, faisons pleuvoir des
rayons de feu et mettons l'univers au four de campagne.

Cuisons, grillons et rôtissons l'espèce humaine : c'est le devoir
d'un été ho tnète qui ne veut pas vo.er sou argent.

En môme temps que la descente et l'installation de cet illustre

touriste dam ses murs, Paris apprend — ordinairement — qu'un
monsieur que conque vient de faire sauter la Banque a Bade.

Ces événements se présentent— le plus souvent — au. cjm-
mencemeni de la saison.

J'ajouterai qu'ils ne rendent M. Dupressoir ni plus triste, ni
menus cuunois.

I.année passée, ce fermier géiéral... des jeux me racontait
1 hisioirw d un grand seianeur dalnwe, qui, le joui de la réouver-
ture des salins, avec une seule krone d'or,—un peu plus d'un
louis, — avait ga^né cinq cent mine francs.

— Et les a-t-il g.ird.'si' lui demandai je.

— Cummeut, monsieur, mai3 il li-s a gardas plus de deux mois,
On a eu in„tes les peines du monde à les lui reprendre.

— E lui, il Ls a reiid .s.

— Ils lés a rtindus .. il les a rendus... c est-à-iire qu'on les lui
a regagnée — itdovze cent mille francs de sa fortune en p us...

$

M _ DuprcsRoir pense probsb'emrnt comme l'honorable M. Du-
chemin, — insuect^ur en chat de.^ jeux de Bade, — décédé voici
tantô'. dix ou douze ans.

Ce vétéran de la roulette et du treote-et-quaraute avait coutume
de dire :

— Tout homme qui fait sauter la banque finira sur la paille.

Ceil) ichemiu se montrait irès-lier de Bade, de son 'uxe et de
ges élégances; mais quant au j«u, il i-n parlait avec un cernii
dédain, lorsqu'il 1« comparait aux grandes ormes de 1 ancien P.t-
lais-R >yal. A ce prouos, il disait un jour a nuire conlrère Vil-
lemol :

— ici ou à "Wiesbirlen, on fait un bruit d'enfer, quand on dé-
croche un pauvre petit pendu; mais à Paris, monsieur, il n'y avait
pas de semaine qu'un de nos habitués ne se ht samer la cervelle
— et des gvns très-i.ien, — décorés —• dans de uôs-hauies posi-
tions, — des pères de famille, — légitimement mariés.

Napoléon Ifr dînait un jour aux Tuileries en tôte-à-téte avec
Marie-Louise.

Tout à coup, dans une assieitée de purée de volaille que l'on
venait de pla er devant eefe-ci, l'Empereur aperçut un cheveu.

It le prit entre le pouce et l'index, et, se tournant, le front
chargé de courroux, vers le chambellan de service, il le lui tendu
en silence.

C^ ctiambellan était un homme d'esprit...

Il fléchit le genou, et, posant sa main sur son cceur :

— Ah! sire, murmura-t-il d'une voix brisée par l'émotion, un
cheveu <ie ^Impératrice I... Que de bqnté!... C est un précieux sou-
venir que je conserverai toute ma vie I...

César somit...

Il était désarmé...

Ou', mais Je lendemain, tous les maifres d'hôtel, chefs, cuisi-
niers, marmitons du Palais, et autres employés de ta bouche, jus-
qu'à la dernière fille de vaisselle, étaient toadus comme des canb
chost

sus chacune.

Pnur voir tous les membres de rex-Ùmille royale
prédits a Ciaremont (frais de transport compri.) .

|_^^! m

ta. — Remise conaidérAhli
pour

1 —

15 —

Nota. — Remise considérable aix personnee qui s'arrangeront
voir Je tout. °

LUfciMïtjre et libraSHc raclées.

ivm.*, a \ m'le Faure' - en collaboration avec tin jeune
avoca nom. la reputa^on égalera sous peu le talent, —.M1 "
«"lie. ue iianbuuiliet, — vtmi d'e-quisser dam

^_______________ Fon-

.....__quisser dans un 'on chaud,

et éclatant, U plnviunomie d^ Droit de réunion, depuis

ImT^rT8 eV'H^mm ,um;lin î^quaux parluttes luuiuL-
tueubea ou Vieux-Chêne et de la Hedauie ..

l'onrinf .s"mm.e3 luln de p,r,a-er t-s opinions des deux auteurs à
r£ es homme§ que, .lans la dernière o.rtie de leur œuvie,
us uèMgnein comme les volontaires de la parole.
mimEnâl Ce8 8role?(ïug8 oc-r.éa, — "nous demeurons en com-
munion de principes avec eux pour tout ,e reste.

P^'f™ >îri'mi\' V\kDniei' ^ " a édUé ce voil,Ilie : ?* Kupl* et la
République O.^ le lira. Pour être indépendants maqù au ,a ica-

utiles... avec le style, l éloquence, la franchie et le bon sens.

J^T'rf es,b ,e 'ltre„dl1 Prercier roman d'une série qui s'annel-
u^r'i,/ Gliembers toj'apra. Dans ce volume l'auteur, M.
nZTnuZ0n ré U" h,jmin'J, 'iul S9 ldisse envahir P "• ïarabi
ledlv,^ f |,UU'' Prei^ie.Ke "ien Public; qui t-ahit ses am
M P ' i \?n,pre naLu,e" *l est-°e Pas U «' e Page i h stoi
F,;L\T-„ , i'Ce e \ U" emvam ^éo^cupô se leu-ement
rme et ru lond ; son livre est un des menteurs que nous
lu depuis longtemps. '

Paul

tion,
tués,
re?
de la

yons

M. et Mme X,.., à la fenêtre de leur vi'la d'Auteuil, regar-
daient deux bouvreuils en train de se becqueter....

— Voilà deux oiseaux, murmure madame X,., qui ont l'air àe
bien s'aimer.

— Pcirbieu ! fait le mari, ils sont sans doute en lune de miell...
Tout à coup, l'un des deux bouvreuils s'envole.

— Ah! la vilaine bête! s'écrie (a jeune femme courroucée. Je
parin que c'est le mâle.

Le Concours «Qsa 'filuéaiasc-ï.yri<4«e.

L'opéra, en cinq actes, la Courte et les Lèvres, qui obtient au Con-
cours du Théâtre-Lyrique, la première meniion, est l'œuvre de
deux véritables artistes, jeunes et courageux; elle est appelée à
avoir un grand et légitime succès.

La musique est de M. Gustave Canoby.

Le poème, tiré de l'œuvre d'A. de ivlusset, est de notre cher
ami et callaborateur E nest d'Hervîlly.

Aprèi avoir trouvé, dit le Rapport officiel, des beautés musicales
nombreuses et de premier ordre dam les cinq actes de M., Uanohy, la
commission a accordé le prix à un seul acte fort joli, dit-on.
Juste, m^is peu logique!

Pièce curieuse

En 1851, la grande exhibition allait s'ouvrir à Londres...

Oa f-ait combien le g-mie anglais est éminemment spéculateur.

Un industriel d'Outre-M anche eut l'idée d'exploiter fructueuse-
ment la présence torcée de diverses notabilités françaises réunies
par l'exil sur le sol à* la G-rande-Breiagne.

Il fit donc distribuer le prospectus suivant des curi--oites obTe-Us
à l'.idiniration des étrangers, avec le détail des prix, — fixed
priée. . .

Ce document — copié dans le Lond-on Adoertiser, — peut donner
une idée exacte de l'originalité de nos voisins:

Pour voirie citoyen Caussidière en personne natu-
relle................ 1 schilling.

Pour voir le gentleman Louis Blanc. ..... 1 —

Pour voir le beau Ledru-Rnllin {beautiful). ... 2 —

Pour les voir tous les trois prenant, leur nourniure
habituelle à la fameuse table d hôte de Quenslreet

Goldon square (dîner compris)....... 5 —

Pour voir le duc de Nemours à Ciaremont ... 2 —

Pour voirie duc d'An.nale.......... 2 —

Pour voir le prince de Joinvtlle à pied..... 3 —

Le nrme à cheval........... 4 —

Les mêoies, avec les princesses leurs épouses, en

Les chroniques judiciaires font prime dans la littérature contem-
poraine. Féroce comuio un ctiat-t-gre, le pobltc se lèche volontiers
les babines du sang versé sous le poignard des assassins, sous
te c .uperet de l'échaiaud...

Parmi ce« drames riu grand chenîn et de la cour d'assises, je
citerai les Crimes de province,— Exploits de la bande à Mina, — que
Deutu vient de puoii-r.

Ce volume, d'un intérêt violent et soutenu, et qui pré-ente
des qualités d'ortlio-rapue et tu piit->resque peu ordinaires dans
ce genre de récits, est signé H. Sérignah.

« Une actrice des plus à la mode avait défendu opiniâtrement sa
porte a un petit crevé, en le traitant de conscrit.

Blessé du mot, notie amoureux se présente de nouveau ch^z la
dame, un billet de banque au chapeau, mais le cuapeau à la
main...

la camériste. — Que voulez-vous encore; qui êles-vous?
le jeune homme. — Je suis le conscrit de l'autre jour. (Et se cou-
vrant J Seulement j'ai le 5O0.

te

On demandait à Léonide Leblanc :

— Avez-vous fait de bonnes affaires, la bas, à Londres, en
dehors du théâtre?

— Me m'en ptrlez pa^ I répondit-elle. Je ne savais vraiment où
donner... de la tête! C'est-à-dirn qu'un instant j'ai failli écrire à
Blanche d'Amigny et à Mlle Dévena de venir m'aider.

A Habille.

— C'est Jeanne qu:

— Oui, mon cher : .
d'hui la fô.e à Beauvais.^^^^^^^^^^

— Ohl il y a une différence...

— Laquelle?

— A Beauvaiiî, Jeanne Hachette; celle-ci vend.

Ile s'appelle, cette petite?
comme l'héioiue dont on célèbre

aujour-

Eïule Blosdet.

Vicat de paraître lcn° 14 de la LAMTOE DE t
OTJLLOX — 10 CENTIMES chez tous les libraires.

Voir dans le n° lo de la Chanson illustrée* qui vient de paraître,
la /fonde des Commis de nouveauté, par Justin Langîuis, musiqus de
X..., destin d Hadol.

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^Bourse, le eours de tontes les valeurs françaises et étrangères et du change, la liste officielle de tous les tirages, los recettes des chemins d» fer,
iles dividendes el intérêts à recevoir, les appels de fonds, les eonvocaUom aux assemblées générales et les comptes-rendus de ces assemblais, le ^
^bilan hebdomadaire et mensuel de toutes les Compagnies financières et industrielles, des articles raisonnes et des renseignements puisés ans soarces
lies plus authentiques înr leur situation, on article de jurisprudence spéciale, par un de nos premiers avocats, des conseils sur les meilleurs Dlace-
imen$ à opérer, des correspondanses de toutes les places de L'Europe, etc., etc. 11 est répoudu gratmtoment aux demandes de renseignements des i|
Jabonnés, accompagnées d'uc timbre-poste,

On s'abonne en envoyant S fr, <l& en timbres-poste ou en un mandat à l'ordre de H. de FONTBOiJILLA.ïîT, «hevalier de It Ligbn i
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