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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0065
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SCÈNE iv '""'!
'"• * Mes

L'ÉCLIPSÉ

» I

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1»« de

*c

é'° qmtie.

CUbeï'.-'nou,„,PO"e».,„,:
Vleduvacc^^. ■

•-Mafo,,J!'dP*!.

-M«foi j'ai h PP*<
•belles s, a<,»>iMth.,

■"'eiaude... """«Mu,,

'jours plaire a ^
piler monsaiû,
1 beaucoup la g,iki
uû vaccin.
esl à la tâche;
"le des irislanu i
™is, à la vache!
1 a qu'un temps.

/£a noce se

SCÈNE V

UÊMES. — UW BMPLoYS|

«ej— Mesdames, messieurs,
■elle enlin arfivêel
'la teneur du téégra^^v,
JaileplaISirdeve«„pp„*?'

■ i qu'on iiuuh fail reTertir...

est deuils de plos,,;,',,„l(i

idam'set messieurs, noireinits

monde hier, et i'éianteo«(«;
iuce aujourd'hui, dwicnn^

1 priés de vous retirer,,,

itl

es trois francs I

- Messieurs, oh ferme I

Embsi n'Iiiinsi,

BRIOLES

décès du pape deviendraienlooc;
is industriels,
land de vins du quartier Mte£
■ine :

du pape .. en consommait)
;-ils pas un long poe'me?
s a misuî fait encore. Jl a tM

valent rien. Il n'en est pis de É
jrrible.

lisait à nne petite ««««.»«C"
is valeurs à la Bourse :

ne, et toutes I

; foinjuejiO"

• pour moi, c'est tout II W»
rantest devant moi, a» «'■

tqu'on'nepetttrielini*!*1
mange le»aoX*'

est. ••

* *

i i'eaa porl» ('/•

Vous verrez qu'avant longtemos on appliquera l'électricité aui
f m „e« edes-mêmi-B. C« système réussiia >a. s doute pour toutes
celles de qui on n'obtient ri.n par la douceur.

On emploiera alors les piles.

' Alphonse Laffitte.

GAZETTE Â LA MAIN

Opéra. — Reprise <*c Wo6erl le niable

[ jamais, s'écrie M. de Boigne dans ses Petits Mémoires de
r,n''/'a non, jamais on iib saura ce que les réyénïibns de Robert
le Diable ont coûté d'insomnies, de terreurs, de défiance, de tra-
vail de désespoir même à Me\erbeer ! Qj'h ne suit pas more à la
ne voilà ce qui est étonnant. Il avait l'œil à tout, il pensait à
Fei_. ■■ ,,„,<10iiifl,t tout : i^ëme, musique, mise en scène, déeora-

voilà ce qui
■oui "il surveillait tout; pleine,
tinns costumes, chant et danse,

■ de B nram avait été écrit pour M. Dabadie, gros et
qui la vogue s'égara vers les derniers mo

miHifttMitjà baptise* « le clffï- ''œnvrp rie Meyerbeer, » en dépit
des Huguenots ru Prophète et d- F'Africaine

Un avaii repeint 1<-b n cors etieuiit. les costumes à neuf.

Le jeune lénor CuiVii Q*êst■ poî&i déplacé da. s R'ibert.

Madame iMiulan-Gafvalbo vocalise I-abelle avec une lépè-
ret" -qrjl permèl à pi-itie à l'oreille de saisir cà et là quelques in-
tonations douteuses.

Nilsson. en vous Wut est complet :
Talent, beauté que rien n'efface 1
C'est d'un diviul c'e>t d'un parfait!...
— Oui, mais d'un parlait... à la glace.

Le lendemain de cette reprise, M. Bel val — Bertram — cau-
sait avec un de ses camara les.

— Tu habues toujours la même maison ? lui demande celui-ci.

— 1 eriainemem : telle rue, tel numéio. Sais-tu l'étage?

— Obi oui : tu restes au-dessous du ton.

Une leçon de grammaire française.

Le rote
crasch^nteu', sur qt
menis de la Restauration. ;-

AvrC safi^ure patriarcale, sa démarche bourgeoise et sa voix
blonde cet estimable père de lamiile ne devait représenter je
ternbl"'iîoi^j Enfers que d'une façon fort insulfisante et fort

ridicule. . -

Meyerbeer sentit le danger.
Sans nen dire, il trouva le temps de transposer le rôle pour

Levasseur, qui y fat admirable.

Le joui* où ce rôle passa de Dabadie a Levasseur, chacun
prétenditétie de moitié dans ce coup d'état; M. Véf.iri eu a fe:

vendiqùé l'honneur dans ses propres mémoires et je dois ajouter
ou'une lettre du maestro semble quelque peu lui donner raison

Pendant ce prodigieux enfantement, Meyerbeer ne B'égara
nu'une seule'fois : ce fut quand il songea à madame Devrient
Sonr le personnage d'Alice.

Sur ses instances, M. Véron fit de pressantes ouvertures à
cette artiste, qui né prononçait et ne parlait que trea-m.il le

Mme Devrient eut le bon esprit de refuser, et la création d'Alice
resta en possession de Mme Durns-Gras, laquelle s'y montra
bien au-dessus de toutes les cant.tnces qui s'y sont pro-
duites depuis, sans excepter Mlle Nidson.

On sait que la scène de pantomime et de danse, pendant la-
quelle Robert s'empare du rameau-talisman, n'était primitive-
ment qu un lableau du vieil Olympe de l'Opéra; avec son attirail
suranné" de carquois, de flèches, de gazes et d'amours.

Peu Ouponcbel spmpona avec une violence comique conlre
ces friperie? et ces vétustés et inventa la belle décuration du
cloître ei l'évocation des nonnes,

Marie Taghoni futenargeedu rô'e del'abbesse.

Le soir de la répétition genéiale arriva.

A l'aspect, du magnifique décor, — la crypte de sainte Rosalie
glacée par un reflet de lune, — le pauvre Meyerbeer tressaillit
de dou'eur. '

— Mon cber directeur, ait—il a M. veron, ,e vois avec regret
que vous ne comptez pas sur ma musique; vous coures uprès un
6uc<-ès de toile peime-

— Attendez, répondit le directeur.
Le quatrièmeacie commence....
La toile se lève....

Meyerbeer aperçut Isabelle endormie dans un petit salon qu'on
eût dit emprumé au magasin du Gymnase.

_ D'.ci'iément, s'écne-t-il amèrement, en regardant l'impré-
sario avec colère, vous ne croyez pas a ma partition : vous n'avez
pas osé taire la dépense d'une dpcuiatiton 1

Comme le capitaine je.-he-sais-plus-qui, de Durandeau : Ja-
mais Cjotent, ce génie !

*

Le 22 novembre 1831, l'affiche annonça la première représen-
tation de Robert.

Cette soirée ne fut qu'un chapelet de guignons.

Au troisième acte, un portant cha-gé de lampes allumées s'a-
bîma avec fracas sur le th.âtre et faillit écraser Mme Dorus-
G:as. Celle-ci ne sourcilla point, recula de quelques pas et con-
tinua déchanter.

Un peu plus tard, aptes le chœur des démons, muci dans la
coulisse, un rideau de manœuvre sortait des dessous et s'enlevait
vers les cintres, au idovbii de frs de fer assez nombreux

Tout à coup, plusieurs de ces fils se rompnent et le rideau pe-
sant s'abatiit sur l'avant-scène.

Marie Taglioni était là, étendue sur le tombeau d'Héléna, la
ckeffe des nonnes.

Elle n'eut que le tpmps de faire un bond de côté.

L'-t masse énorme l'eût étouffée.

Un a;uire accident se produisit encore au cinquième acte. Le
docteur-directeur Veron la raconté à peu pies ainsi :

A la suite du trio du dénouement, Bertram devait disparaître
seul dans une trappe anglaise...

Nnurrit, qui jou..u Robert, entr3Îné par la situation, se préci-
pita éiourdiment dans cette trappe à la suite de Levassear...

Ii n'y eut qu'un cri sur le théâire :

Nourrit est tué I

Mme Dorûfe, qie n'avait pu émouvoir le danger qu'elle avait
couru personnellement, s'enfuit en sang ottant.*.

Il se passait alors sur le 'héâire, dans les dessous et dans la
salle, trois scènes bien diffé entes :

Le public, surpris, croyait que le prince de Normandie se don-
nait au diable et le suivait aux sombres bords.

Sur la scène, ce n'étaient que gèmiseemerus et confusion...

Au moment de la chute de Roben, on n'avait point encore,
heureusement, retiré l'espèce de nt et les matelas sur lesquels
tombait Bertram.— et Nourrit sortit de cette chute sain et sauf...

Dans les dessous, Levasseur regagnait tranquillement sa
loge.

—Que diantre faites-vous, ici ? dit-il à Nourrit en le rencontrant ;
est-ce qu'on a changé le dénouement?

Le celèore ténor se pressait trop de venir rassurer tout le
monde pour engager une conversaùon avec son camarade; il put
enfin reparaître, entraînant avec lui Mme Dorus, qui pleurait
alors de joie...

Mercredi, a eu lieu une reprise, en'quelque sorte solennelle, de
l'ouvrage que le» grognards—les grognons — de l'orchestre

■ Gombien y a-t-il de zenrest
— Deusse.

PREMIER MARSEILLAIS. -
DEUXIEME MARSEILLAIS. ■

— Lesquels?

— Le zenre masculin et le zenre féminin.

— Eh bien ! bagasse, le zenre humain c'est donc une crapule?

Gymnase. — FemanUe.

On sait que M. "Vhtorien'Sardou n'invente pas : il adapte. Ce
n'est pas la l'un des tô es les moins on^n-mx de son talent.
G>st aitisi qu'il a rencontié — il a pris soin de nous le dire —
l'idée de sa pièce du Gymnase dans une nouvelle de Diderot que
l'académicien Anceiot avait déjà transportée sur la scène. Je
Oouie, pour ma pirt que l'illustre em yc■opédisie ait pu tirer
pour lé théâtre un au si bon parti de ['Histoire de Mme de la Pom-
mer aye et du marquis des Arcis. Voie, du reste, ce te lvsioiie en

Vionf de paraître !c numéro 26 de la LANTERNE de
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deux mots, — M. Sardou n'a fait que la transposer dans l'époque
du Mariage d'Olympe et du Demi-Monde, d-s labes d'hôte de
Montma'tie et nés aventurières de la rue des Acacas :

Mme de la Pomoteraye, abandonnée par son amant, le mar-
quis des Arcis, parvient, par touie* soaea de ruses diaboliques,
à lui faire épouser une fi le perdue...

*

Ah çàl mais.un instant : est-ce que je ne connais pas un cer-
tain don Saliuvte, qui. ne d-manderait point mieux me de se
venger d'une r<dne d'Ésuagne de la môme façon, — en lui don-
nant un laquais pour mari?

Céiar vous aime.
Il est digne de vous. Il est. sur rnnn honneur.
De fort grandi; maison, prfesqiiè un prince, un seigneur
Ayant donjon sur roc et uVÎ dans la campagne.

Le mariase consommé, la cr-anie dame s? frntte les griffes
d'atse. Voilà le maïquis déshonoré et ridicule I E'Iele li.icne sur
tous les tons'^..

Eli bien, ouil M-iinlenant. disons (ont. Il n'importe!
Rla vengeanco esi assez cofhphYtfe de la suite.
Qu'en pt;jisez-vous?_Pa.7"(S va rire, sur ma foi!

La malheureuse, qvjï s'est p'êiée aux projets de Mme de la Pom-
meraye, tombe à geiioux devailt des Arcis, et implore son
pardon :

Il font que je vous dise!
— Je n'approchei al pas. — Je parle avec franchise.
Je ne suis poini coupable aulanl qui* vous croyez.
Je. setis, ma trahison; comme von? la voyz,
Doit vous pamîire honihle .. Oh! ce n'est pas facile
A. raconter Pourtant je n'ai pas l'âme vile.
Je suis honnéle au fond/

Des Arcis est un vrai gentilhomme, t^etr.e douleur le touche. Il
relè«e Mlle Ruy-B'.as avec un ves de Marion Delorme :

Mon amour uows refait uiîé virginité.

Et le public applaudit à tout casser. îi applaudit une violence
dejtoôy**Tt* et d'effets â laquelle le Gymnase ne l'a -pas- habitue
depui- Diane de Lys; il applaudit une galerie de physionomies épi-
so iique- trè^-be leu^eIîlent trouvée.. C'iez le voisin, mais fort
habii' ment lajeume; il ar.plau lit les excellents pensionnaires de
M. Monti^ivy; qui om si ptiissânirtietït combattu pouf cette vic-
toiie. Puie le régisseur vient annoncer :

— Mesdames et mpasieurs, la pièce que nous avons eu l'hon-
neur d^ représenter devant vous «>t de MM Diderot, Anceiot,
Victor Huyo et Victorien' Sardou.

Nouveaux bravos. On rappelle les quatre auteurs. Mais les
trois premiers ne se présentent pas, — et M. Sardou revient
seul...

Dialogne de famille.

— P'pa. ces canards-là, c'est-y des oies!

— Mon fils, ce s int des cygnes.

— Des cygnes de quoi, p'pa?

— Des éygnes d'eau, mon SU,

— C'est donc qu'il va pleuvoir, p'pa!

Le mol d» Jour.

Mademoiselle X... était malade, ou plutôt, non : seulement
ePe avait d^s nausées, des ma' x de rœ-ir, des vomissement* et
— ce qui s'ensuit. —'On app>- lie le docteur B... qui, du premier
coup d œil.' reconnaît de quoi il s'agit. Mais amenez doue une
femme a avouer... une faioiessel

Mademoiselle X... rejette son malaise sur le compte de l'épi-
démie régnante...

_ Ce sont tous les symptômes de la petite vérole! Vite! doc-
teur, vaccinez-moi!

On ta conduit près de la vache...

Le docteur sort une lance'te de sa trousse...

Pui^. s'atrêiant comme eflrayé :

— Ah! mon Dieu, j'allais vous tuer.

— Me tuer! Comment?

— Oui, j'avais pris la lancette iontje me sers pour les femmes
mariées, et...

— Docteur, fit. mademoiselle 5... en rougissant, puisque vous
la tenez, gardez-la.

Emile Blondkt.

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21 numéros de 16 pages. — Prix : 5 francs.
N.B. — Ce journal a cessé de paraître.

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mr les obligations foncières de ÎOO fr., émises par la Société la
Propriété, et sur les travaux de ladite Société.

La Société la Propriété a pour but de concourir à l'étabiisBe-
oieuï des petits loyers dans Parts. Elle bâtit sur ses propres ter-
rains qu elie choisit le plus rapproché possible du centre. Le prix
des terraiu« ne mit pas dépasser cent francs par mètre carré, et
les constructions sont élevée? sans luxe aucun mais avec soli-
dité, et de manière a présenter à chaque étage des logements in-
dépendants, sains et bien aérés.

Il y a assez de pa'ais élevés dans Paris, il faut songer à la classe
si nunbreuse et si intéressante dés employés, artisans ou ren-
tiers, qui ne peuvent mettre à leurs logements un prix élevé, et
ne veulent pas cependant tomber dans les taudis des vieux quar-
tiers.

Pour établir ainsi des loyers à non marché, il est nécessaire de
faire concorder le prix des terrains avec la dépense des construc-
tions ; c'est de cette combinaison que sortiront pour la société la
Propriété des immeubles sagement entendus et rapportant un
très-oel intérêt, tout eu rendant un grand service à beaucoup de
monde.

Pour éviter tout écart,.tout malentendu et toute erreur, un conseil
composéd'honimes spéciaux et les plus honorables, a été établi
par les fondateur» de la Propriété pour veiller a la stricte exécu-
tion du programme.

La Société la Propriété poursuit encore un autre bût, celui d'é-
tablir dans la banlieue de Pans, également sur Sôs propres ter-
rains, de petites habitations, Filial ou Biaisons de campagne, va
riant de cinq mille à vingt mille francs, qu'elle louera, ou vendra,
avec termes et dé'ais.

La Société la Proprié'èt il faut biôti le comprendre, car déjà
plusieurs demandes oui lui ont été adressées' "nt montré qu'on
n'avait pas toujours nien saisi son caractère, n'est pas une So-
ciété d'entrepreneurs bâtissant pour les particuliers; elle cons-
truit pour elle sur ses propres terrains, ot îire ensuite parti de
ses immeubles en les louant ou en les vendant, si elle y trouve
son avantage, Ce ho:u des opérations de pr prîéiaireset non pas
d'enr.i «preneurs, voilà pouiquoi elle émet des obbgations repo-
. sant sur lesdits immeubles.

Chaque année un compte-rendu des opérations aéra publié ci
indiquera ainsi aux obligataires les résultats obtenus.

Cette notice se distribue grat s au siège social, à Paris, 5, Mtô
d'An tin.

"""" Le Gérant A. BRiSSET.

PARIS, IMPRIMERIE VALLÉE, *"£ DU" CROItSAk'l, i&.

PâQi.-M^
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