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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 8.1875

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https://doi.org/10.11588/diglit.6768#0031
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ayec raison sur l'avilissement du goût public, et le grand
^ot à ta mode fait tout passer. Enfin, pour terminer, tout le
«onde trafique comme dans un bois.

vieil oncle et coquin de neveu.

Alfred de Musset a emporté les deux êtres ci-dessus nom-
més dans sa tombe; et quoiqu'il ne faille jamais jurer de
rien, j'en suis pertinemment sûr.

L'oncle n'est plus un banquier donné par la nature, et le
C0<Iuin de neveu n'est plus son bâton de vieillesse.

Le refroidissement remarquable et attristant des senti-
ments exquis de famille supprime toutes les affections in-
hérentes. — On respecte encore sa mère — bi ;n que le nom
fasse crever de rire au théâtre, — on honore également son
père — à cause de la dette, — mais l'oncle, rarement visité,
^renient visiteur, s'efface de la mémoire de l'enfant. Ce
^'est pas le premier monsieur venu, mais c'est le dernier
Parent trouvé.

Et cette indifférence partagée, que secouent de temps en
temps les mariages ou enterrements, se continue entre le
vieil oncle et le coquin de neveu jusqu'aux décès de l'une
°u de l'autre des parties intéressées dans ce débat.

J'ai dit; hélas!

ernest d'hervilly.

Gazette à la main

Jamais je n'ai vu semaine grasse finir d'une si piteuse
façon !...

H faisait beau, pourtant : un rayon de soleil endiman-
chait le ciel, les toits et les pavés; le vent du nord avait
léché la boue, — et, sur l'asphalte sec, clair et froid, cent
mille personnes se coudoyaient avec ce furieux désir d'aller,
de venir, de pousser et d'épiloguer, qui est le complément
de toute réjouissance parisienne...

Mais quoi ! absence totale de masques !

Ni cavalcades, ni engueulementsl...

Où ces voitiires couronnées de forts et de dames de la Halle
que Lassailly frétait jadis pour l'amusement des badauds ?...

Où cet échange de cascatelles d'assonances injurieusement
bouffonnes dont Vadé avait rédigé le catéchisme?...

Où cet enchantement des yeux et des oreilles qu'oublieuse
de l'auteur des Roueries de trialph, la tradition populaire
s'entête à attribuer à lord Seymour ?...

Ce qui fait que, dans l'effusion de sa reconnaissance, elle
û'a point hésité à baptiser ce gentleman d'un sobriquet mi-
gnon, harmonieux et galant...

Elle l'a appelé mylord arsouille !...

XX

Hélas ! Lassailly a vécu, ~ sans que la faveur du public
rendît, un seul instant, justice aux efforts que cet excen-
trique avait renouvelés pour lui plaire !,..

Lord Seymour est mort pareillement, — pour ne ressus-
citer, sous son surnom de la Courtille, que dans un roman,
dans'un drame de la famille Beauvallet !...

Et nos gamins ont beau chanter :
Mardi-Gras,
N't'en va pas !
Nous f'rons des crêpes et t'en auras !...

Mardi-Gras est en train de s'en aller.

Après cela, c'est peut-être parce que l'on ne confectionne
pas assez de crêpes pour le retenir!...

Ce ne se sont, cependant, point les œufs, le beurre, le lait
et la farine qui nou3 manquent !.,.

Mais, dame ! si nous les employons à fabriquer de la bouillie
pour les chats

XX

Qu'on ne me parle pas, du reste, d'un Carnaval sans bœuf
Apis !

Je le déclare ici sans fard : Je regrette cette royauté inof-
fansive à sabots et à cornes dorées, — son cortège de mous-
quetaires, de paladins et de sauvages de la Villette, — ses
liusiques, ses fanfares et son tambour-major, — son char
de l'Abondance aux puissantes mamelles, et son Olympe dé-
loqueté de Cupidons morveux, de Pallas en riolle et de Vénus
hottentotes. Foin dts dominos funèbres, étiques, affamés !
Les robustes goguettes du peuple ne sont pas, à tout pren-
dre, plus dangereuses à contempler dans leur bruyante et
formidable expansion, que le marivaudage poitrinaire de
Glycôre et de Sapho ou d'Alexis et de Corydon au fond
d'une loge de l'Opéra.

Je me suis plaint de la suppression de la promenade du
*t lauréat de Poissy » à un homme d'Etat de Versailles.
Celui-ci a arboré son air de séance extraordinaire :

— Y songez-vous, mon cher ami ? s'est-il exclamé d'un
ton rogue. Admettre, établir, conserver la suprématie de Ja
matière ! Ce serait contraire en tous' points au principe éga-
litaire sous lequel nous sommes destinés à vivre désormais.

— C'est possible, ai-je riposté ; mais, si vous destituez le
Bœuf-Gras, pourquoi instituez-vous le Sénat !

Achille Ricourt

qu'on a enterré, cette semaine, était un professeur de tra*
gédie et de comédie, — comme Morin de Clagny, comme
Boudeville, comme Martel, comme Albert Piffard. Sa haute
taille, que l'âge avait cassée en deux, et sa chevelure roman-
tique qui s'éparpillait en mèches grises sur le collet de son
paletot-sac, — le dernier des j aletots-sacs, — jouissaient
d'une notoriété incontestable chez les portières qui rêvent
de se faire vingt mille livres de rente en élevant leurs demoi-
selles pour les messieurs des avant-scènes de la salle Molière
et de l'Ecole-Lyrique. Malheureusement, son nom avait une
analogie désagréable avec celui d'un chirurgien célèbre...

Comment, par exemple, afficher une confiance exagérée à
l'endroit d'une jeune personne dont la mère vous disait avec
naïveté :

— Athénaïs a appris tout ce qu'elle sait chez Ricord.

XX

Ricourt avait une façon particulière à lui de faire sa
classe...

Figurez-vous une demi-douzaine de fillettes entourant le
Prohsseur...
Celui-ci commençait :

"* Attention, mesdemoiselles! Nous allons reprendre
e>- core une fois le vers de VÉcole des femmes que nous répé-
tons depuis quinze mois; vous savez :

Il m'a pris le ruban que vous m'aviez donné...

Ayez bien soin, par exemple, de laisser une suspension
adroite et calculée entre « Il m'a pris » et « f* ruban » C'est
d'un effet à tout casser sur le public. Molière l'avait prévu.

Mais gardez-vous d'accuser eette suspension d'une façon
trop prolongée : il pourrait y avoir un membre de la com-
mhsiou d'examen dans la salle...

— Et surtout tâchons de rougir, hein, mes enumts?

— Talma rougissait ou pâlissait à volonté.

— Inspirez-vous de la situation, sacrebleu! Agnès est une
dinde. Mettez-vous à sa place, que diable! et dindonnez-
moi le rôle comme il faut!..-

— Mon Dieu, entre nous, je sais bien que vous n'êtes pas
des Agnès; mais une fois n'f»t pas coutume...

— On a pris quelque chose à Agnès, pas vrai..."?

— Eh bien! là, voyons, la main sur la conscience, quelle
est celle d'entre vous à qui l'on n'a pas pris... un ruban!
Guidez-vous là-dessus et répondez à Arnolphe comme à
votre honorable mère, le jour où vous êtes rentrées après
minuit de l'Elysée-Montmartre, avec un petit cousin, et où
un balai vous attendait derrière la porte...

XX

Achille Ricourt, — qui fut l'ami de Jules Janin et 1 in-
venteur do Rachel, de Ponsard, de Pi9rre Dupont et de ma-
demoiselle Agar, — est décédé, m'assure-t-on, dans un état
voisin de l'indigence.

Par contre, beaucoup de ses anciennes élèves ont aujour -
d'hui équipage, hôtel, domestiques et diamants.

Tou|ours le dialogue des deux pipelettes :

— On me demande cent sous par mois pour donner à ma
cadette des leçons de déclamation... Cent sous, c'est de l'ar-
gent... Qu'est-ce que vous en pensez, voisine?

Etes-vous simple avec votre argent ! C'est comme si vous
le placiez à la caisse d'épargne !

ATHENEE. — LA BELLE LINA.

J'imagine que les auteurs de ces trois actes sans préten-
tion n'ont jamais eu l'ambition d'élaborer un drame lyrique
à l'Instar des Parisiennes, de la Fiancée du roi de Garbe, de la
Belle Bourbonnaise, ou de la Branche cassée.

Je ne me montrerai donc pas moins indulgent à leur
égard que la plupart des critiques assermentés qui assis-
taient, — samedi soir, — à la réouverture de l'Athénée.

Il est constant que ce public de la première représentation
aurait eu quelque droit à témoigner sa mauvaise humeur
des retards apportés au lever du rideau...

Eh bien I non : il a eu l'excellent esprit de confraternité
de n'en rien dire...

Que dis-je! il a accepté sans conteste la donnée un tanti-
net, extravagante de la pièce ; il en a écouté la musique avec
une sympathique attention ; il n'a point ménagé les bravos
aux principaux interprètes ; il a semblé ténir compte à
M. Noël Martin de ses traverses, de son courage, de ses
efforts et de la métempsychose de son talent.

Que pourrions-nous exiger davantage ?

XX

Qu'il me soit permis de payer, — dans ce modeste petit
journal, — ma dette de reconnaissance aux artistes dévoués
qui ont créé les rôles de cette pièce, dont je raconterai quel-
que jour les destinées bizarres et.....instructives.

Je ne répéterai pas que l'Opéra-Comique a fait une sot-
tise insigne en laissant s'envoler mademoiselle Girard, —
l'éclat de rire ailé de la salle Favart et de la maison de
Boïeldieu, d'Hérold, d'Halévy et d'Aubert.— Chacun sait ça,
comme on chante dans le Châlet. Et puis, d'ailleurs, la faute
n'est pas irréparable...

Où aurions-nous, en dehors d'elle, rencontré notre pnge
Otto? Où aurions-nous trouvé cette voix chaude, étendue,
moelleuse et mordante ? Où, cette intelligence de la scène,
ce détail piquant du livret, cette verve qui enflamme tout, le
mond* autour d'elle ? Où, l'éclair qui transfigure son visage
au Brindisi du second acte, et la larme cachée dont elle
attendrit Yandante du duo du premier?

On raconie qu'à la première représentation du Calife de
Bagdad, Boïeldieu, grelottant la fièvre de la peur, s'en
lut s'installer dans le trou du souffleur, où il devait venir
en aide à la mémoire de ses interprètes. Le commencement
de l'ouvrage fut écouté froidement. Arrive le grand air de
Késie : De tous les pays pour vous p/ajye,..philis aînée l'enleva
avec un tel entrain que la salle éclata en applaudissements.
Les spectateurs des avant-scènes virent alors Boïeldieu sortir
à moitié de son trou :

— Bravo, Philis ! criait le musicien à la cantatrice, bravo!
Ils sont pincés !

Nous aussi, après la valse du troisième acte de la Belle
Lina, nous aurions pu crier à mademoiselle Sichel et à ma-
demoiselle Girard :

— Bravo, mesdames ! Us sont pinces '.Il

XX

Nous avions déjà constaté, — dans Le Tricorne enchante, à
l'Odéon. — avec quelle merveilleuse facilité M. Noël Mar-
tin passe du comique classique des maîtres aux cocasseries
exorbitantes des poo'.es et des fantaisistes. 11 nous a prouvé
à nouveau cette souplesse d'avatar en créant notre mar-
grave de Wormspire avec la bonne humeur d'Odry dans
Bilboquet, la profondeur de Got dans Mercadet, et le natu-
rel, lé s*ns gêne, le c/ie: soi de la pauvre maman Thierret
dans Y L'Ile de Tulipatan,

N'oublions pas mademoiselle Visto, tout élégante et
toute charmante dans son rôle sacrifié à regret; mademoi-
selle de Martelaère, qui auimait le personnage effacé de la
cuisinière Margoton de toute la crânerie de Déjazet à vingt-
cinq ans; mademoiselle Géraldine, enfin, qui n'avait qu'un
défaut à mes yeux : celui de passer pour la sœur des deux
gracieuses personnes qu'elle appelle nia fille et ma niêee.

N'oublions pas, surtout, une ribambelle déjeunes demoi-
selles, — Adrienne, Périer, Jux, Virginia, etc., etc.. etc., —
dont le métier est d'avoir les jambes fournies par Praxitèle,
et qui oni — consciencieusement — les jambes do leur
métier.

J'aime à croire qu'elles ont adopté la devise du chevalier
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M. Pierre Véron publie chez les éditeurs Michel Lôvy frères
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Dictionnaire, de Paris comique sous le second empire, des Cou-
lisses du grand drame} etc.

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l'Exposition Internationale des Industries maritimes et flu-
viales, avec section française des principaux articles d'ex-
portation, ouvre un concours pour la composition d'une
pièce de poésie dont le sujet tst La navigation.

Le nombre des vers devra être de deux cents environ.
Les pièces destinées à concourir devront être adresées au
directeur de l'Exposition, 21. boulevard Montmartre, à Pa-
ris, au plus tard*lé 15 mai 1875.

La pièce, jugée digne d.e récompense par un jury spécial
dont nous ferens connaître la composition, sera lue publi-
quement le jour de l'inauguration so'ennelle de l'Exposi-
tion qui aura lieu le samedi 10 juillet 1875.

Chaque pièce, qui ne devra porter aucune signature, sera
accompagnée d'une enveloppe cachetée portant en inscription
soit té tiire de la pièce, soit une lég nde correspondante, et
coii tenant les noms et adresse de l'auteur.

Cett ; enveloppe ne sera ouverte que dans le cas où la
pièce de vers aura été jugée digue de récompense.

Cette récompense consistera en un diplôme d'honneur et
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