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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 8.1875

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https://doi.org/10.11588/diglit.6768#0067
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L ' É C L I P 8 13

Mes brumes lointaines, amassées an grandes nappes de vapeurs,
scurité se fait, et nos lampe3 de Davy nous écjàirent seules au
ieu de la nuit. Après avoir mis en ordre la nacelle, radgé métho-
luenient les sacs de lest, nous commençons à procéder a nos
exPériences.

deT ^'vo'' ^ 1"' nous devons, par son énergie, par son amour
» science, par son infatigable persévérance, le succès de l'ascen-
^ nt s occupe de déterminer la direction de notre route, au moyen
^e la boussole et d'une cordelette longue de soo mètres, qui, traînant

'erre, se dirige toujours à l'arrière de la nacelle. M. Crocé-Spir
1 commence ses observations spectroscopiques à l'aide de deux
heaux appareils de modèle différent qu'il ddii h .\î. Duboscq. *JÎ. Jo-
^ert lance par dessus bord les imprimés, imaginés par lui, destinés
j êtres recueillis à terre et renvoyés h Paris, avec les indications de

Pression barométrique, de la température, de l'état du ciel, sur

Us les points au-dessus desquels a passé le Zénith. M. Albert Tis-
^andier, dessine, d'après nature, les paysages aériens, la déforma-
tion de la lune qui vient de paraître au-dessus des nuages. Quant

^oi, je fais passer successivement 100 litres d'air, k l'aide d'un
^Pirateur à retournement, dans des tubes de pierre ponce imbibrto

e Potasse où l'acide carbonique absorbé sera dégagé plus tard dans
e laboratoire et dosé à l'état gazeux, par une nouvelle méthode
1lle nous avons étudiée M. Hervé-Mangon et moi.

H faut, en outre, noter constamment la pression barométrique,
4°nt une lampe des mines éclaire le cadran, inscrire la température
ÏW, pendant la durée de la nuit, atteint le minimum de 4 degrés et
^e'ni au-dessous de zéro, prendre les degrés des deux thermomètres
* boule sèche et à boule mouillée du psycliromè.tre dont l'eau mal-
ûeUreusement ne va pas tarder à geler, mais que l'hygromètre à
Point de rosée de Regnault remplacera avec avantage; il faut des-
CeOdre de la nacelle un long fil de cuivre de 200 mètres, et y appro-
^er fréquemment un électroscope à feuille d'or, pour relever l'état

Métrique de l'air; il faut enfin considérer ce spectacle infini du ciel
^plendissant, où l'étoile filante trace parfois sa courbe lumineuse,

e la terre que les rayons argentés de la lune éclairent d'une pale

UeUr, et qui, par uno illusion de la visinn, se creuse sous la na-
CeHe, en prenant l'apparence d'une immense lentille concave. Que
^e fois ne nous a-t-on pas dit, au retour de notre voyage, que

a nuit devait être longue et le froid mordant. Jamais, au con-
traire, le temps ne s'est écoulé plus vite pour chacun de nous, jamais
'es heures n'ont été mieux remplies. Le ballon, grâce à l'habileté de
'fi Sivel, se maintient sur une ligne horizontale do 700 mètres à
M00 mètres d'altitude, et déjfi nous sommes persuadés que notre
séjour dans l'alrnopplière sera prolongé.

Au moyen d'un appareil imaginé par un des membres les plus
Actifs de la Société de navigation aérienne, M. A. Pénaud, et que
^M. Crocé-Spinelli et .lobert font fonctionner, nous pouvons cons-
tamment déterminer, du haut des airs, la vitesse .de notre marche.
Cet instrument est formé d'un limbe gradué, au centre duquel se
'fient une alidade mobile autour d'un axe. Un observateur vise, sous
un angle de 30«, un objet visible sur terre, dans le sens de la marche
^u ballon; quand cet objet a passé sur la ligne de l'alidade, il
^'nonte celui-ci à 60°, puis il attend que le même objet ait élé
e*4ctement relevé une seconde fois. Un autre observateur a noté
'e temps écoulé entre les deux lectures; à l'aide des deux angles,et
Renaissant en outre l'altitude, une simple formule trigonométrique
Permet de déduire la vitesse de l'aérostat. Cette expérience, exécn-
^e à plusieurs reprises, a donné des chiffres très-précis, comme on
"■ Pu le vérifier après l'expédition.
Nous parlerons tout h l'heure des résultats généraux de notre

tension ; continuons actuellement notre voyage qui s'exécute

l°"jours par un vent N.-N.-E., dans la direction do la Rochelle et

"k l'Océan.

A 4 h, 30 du matin, un spectacle grandiose va se présenter à nos
% La lune, qui n'a pas cessé de briller dans l'azur du ciel, s'en-

'°n de la lumière à travers les paillettes de glace suspendues
'atmosphère ; ce cercle est blanc comme de l'argent, il se déc

"re d'un halo resplendissant, d'un cercle de feu, d\\ à la n frac-

dans
découpe

sur un fond obscur, et grandit à vue d'reil, en prenant bientôt
l'aspect d'une ellipse. Peu à peu, une croix de lumière étend ses
quatre branches autour de la lune et, complète ce tableau étrange,
plein de majesté, qu'ont admiré parfois les explorateurs des régions
Polaires.

L'atmosphère offrait à ce moment un aspect particulier ; au-des-
sus de la terre une buée semi-transparente d'environ 500 rrtètre»
' épaisseur avait diminué d'opacité au moment du lever de la lune,
Cequi avait déterminé une ascension de l'aérostat. Elle allait se dissi-
Per complètement deux heures après le lever du soleil. Quelques
c'rrus suspendus dans les hautes régions de l'air étaient très-visibles
peudant la durée du halo et restèrent dans l'atmosphère, avec plus
- Persistance que la buée inférieure, jusqu'à 11 h. i\î. En s'abais-
sât à l'horizon, ces cirrus prirent l'aspect d'une longue chaîne
Montagneuse couverte de pics glacés. Pendant quelques minutes
^ftÊ, l'illusion fut si complète, que nous crûmes voir apparaître
*n loin le massif pyrénéen. Ajoutons enfin que d'autres cirrus tres-
sés to montrèrent encore d.ms le ciel vers trois heures de l'après-
n''di.

î* halo et la croix lumineuse, qui ont graduellement apparu, dis-
paraissent de même, lentement et progressivement ; la lueur se
"J'ssipe avec l'apparition du soleil, qui.se montre bientôt au-dessus
,,*s nuées lointaines. La terre s'éclaire, et l'Océan ouvre au loin

'nimensité, de ses eaux. Nous sommes, en efW, en vue de la Ro-
*k«lle, et il ce moment M. Sivel observe avec attention la direction
?u Zénith. Par bonheur le vent s'est relevé vers le nord et lance

Postât vers Je sud. Nous allons pouvoir côtoyer la mer pendant

e longues heures, nous en rapprocher et ne jamais la perdre de
v««.

Aussitôt que le soleil a dépassé la ligue de l'horizon, l'atmosphère,
°"jours sèche à la liauteur de 18i>0 mètres où nous planons, se
Cnarge subitement d'électricité. Les feuilles d'or do l'électroscope
aPproché de notre lil de cuivre se dévient en effet de 0»,0(>. La
'llautité d'électricité décroît successivement, pour devenir très-
jusqu'au moment où nous passerons au-dessus de la Gironde,
réfléchit les rayons solaires avec intensité, et produit une éléva-
l0li de température considérable.

Cette traversée du grand fleuve, exécutée à 10 heures du malin,
,en vue de la tour de Cordouan, est certainement un des moments
Plus émouvants de notre voyage. Le Zénith s'engage sur la
ironde à l'endroit de sa plus grande largeur, il y passe majestueu-
*er"ent et n'atteint l'autre rivage que 35 minutes après. Pendant que
?°«s planons au milieu du fleuve, des bateaux à voile en sillonnent
a 'urface ; deux navires à vapeur en descendent le cours, Us pas-
^nt juste au-dessous de notre nacelle, et à ce moment ils font bisser
°'s fois leurs pavillons tricolores. Nous répondons à ce salut sym-
^th'que en agitant nos mouchoirs. Ce fleuve vu en plan, ces navires
"'Putiens, ce phare de Cordouan, réduit à la proportion d'une
7iQgle brillant sur un fond brumeux, celte onde jaunâtre que;
"ieUt les vagues, se colorent par les tons chauds d'un beau soleil
f forment un de ces tableaux délicieux, qui laissent dans l'esprit
^impressions les plus durables.

tendant cette partie du voyage, nous avons opéré le lacement
j?Cc«wif des quatre pigeons voyageurs que nous avait conlu-s
o Cassier, un des colombophiles du siège de Paris. Le premier pi-
?'°û a quitté la nacelle à 9 heures du matin, les trois autres ont été
T^B avant et après la traversée de te Gironde. Le dernier' wgeon
?e s'est pas élancé immédiatement dans l'espace ; il est reste juché
»e bord de la nacelle, en proie à une hésitation très-apparente.
ves quatre oiseaux messagers se sont rapprochés de terre en dècn-
„*tlt de grand» circuits dans l'atmosphère, mais aucun d^eux.n est
>"u au colombier. 11 est à présumer qu'ils auront été désorientés
*r Influence d'une longue nuit passée dans les airs, et quoi

outre la distance qui les séparait de Paris était d^h trop cona}^j.
rable pour qu'ils aient pu retrouver leur chemin.

Après avoir traversé la Gironde, le veut qui nous entraîne nous
dirige vers l'étang des Carcans, que nous apercevons bientôt, et
vers l'Océan, qui n'en est séparé que par une mince langue de terre.
Heureusement que quelques feux, allumés à la surface du sol, au
milieu des plaines marécageuses qui ouvrent les landes, laissent
échapper une fumée épaisse qui se dirige dans la direction du
S.-E. Cette observation nous indique nettement qu'il règne a la
surface du sol un courant aérien du N.-o., dont nous pourrons
profiter pour nous éloigner de la mer.

Cependant le soleil est devenu très-ardent : le Zénith se gonfle
avec rapidité ; le gaz se dilate et s'écliappe psr l'apjpftndj«» en des.
ccuilant à Ilot jusque dans la nacelle.

Nous montons rapidement jusqu'à l'altitude de 1,200 mètres, ni-
veau qu'il y aurait imprudence à dépasser dans un si proche voisi-
nage de la mer. M. Sivel donne un coup de soupape, et l'aérostat
cesse bientôt de s'élever; mais l'action du soieil produit que dila-
tation si considérable, que le Zénith, a peine descendu de 200 mettes,
remonte encore, et c'est par cinq ou 6ix foU f(lut ouvrir
soupape béante, pour le faire revenir a 60 mètres au-dessus de la
terre, où il est entraîné par le courant inférieur.

Ce courant inférieur était très-humide, tandis que le courant su-
périeur était d'une sécheresse presque absolue, comme nous l'avons
constaté, M, Crocé-Spinelli al moi, à l'aide de l'hygromètre a point
de rosée et du spectroscope.

Le passage de l'aérostat de la couche d'air supérieur à l'autre
courant fut signalé par des mouvements de rotation renouvelés et
énergiques. On ressent une impression particulière quand on se
trouve à la limite de séparation de deu* vents ainsi superposés; l'air
est agité, le ballon frissonne et tourbillonne^ son étoffe tremble,
tandis qu'il est si parfaitement immobile quand il est bien équili-
bré dans l'atmosphère. 11 y a là, entre les deux courants, dos re-
mous, des vagues aériennes que l'on ne voit pas, mais dont l'aéros-
tat subit l'influence; il y a des mouvements analogues à ceux qui
existeraient à la surface inférieure d'une couche d'huile glissant sur

une nappe d'eau, dont.....llc-méme d'un mouvement "rapide. Le

courant inférieur va peu à peu diminuer d'épaisseur jusqu'à la fin
du jour, où il n'aura plus qu'une hauteur de 150 mètres environ,
mais en même temps il gagnera de vitesse. Le courant supérieur'
au contraire, va régner uniformément, c'est toujours le N.-N.-Ei'
bien établi dans l'atmosphère, c'est le courant dominant, général!
que les observatoires terrestres ne voient pas cependant", plongés
qu'ils sont dans le courant X.-O. inférieur, vent superficiel et pro-
bablement tout accidentel-
Pendant six heures consécutives, /*! Unith a trouvé de précieuses
ressources dans l'emploi de ces deux courants superposés; huit fois
successivement, il est monté dans le courant supérieur, qui le di-
rigeait vers la mer, pour redescendre alternativement un même
nombre de fois dans le courant inférieur, qui le rejetait sur la terre
ferme. La route dans la verticale est singulièrement tortueuse,
comme l'indique le diagramme de l'ascension ; sa marche en pro-
jection horizontale forme une série de zig-zags, qui le rapprochent
peu à peu d'Arcachon, près du bassin duquel il arrive à la tin du
jour, après avoir tiré des bordées tomme un navire à voile.

Après ce long voyage au-dessus des maigres sapins des landes,
que déepupent des flaques d'eau abondantes, après un séjour de
six heures dans un air brûlant, où le soleil nous lançait des rayons
an lents, le. Zénith touche terre à Montplaisir, commune de Lanton
(Gironde), dans le voisinage d'Arcachon. La brise est forte et la
nacelle est emportée avec rapidité, mais l'ancre jetée par M. Sivel
mord immédiatement, sans secousse, grâce à un système d'arrêt
très-ingénieux, formé de frotteurs qui font glisser l'ancre avec des
résistances toujours croissantes, le long du câble où elle est atta-
chée a l'aide d'une boucle. — Nous nous pendons à la corde de la
soupape, et le Zénith est bientôt maîtrisé.

Nous avons déjà mis pied à terre, lorsque quelques bergers des
Landes accourent montés sur des échasses, en faisant entendre des
cris de joie et d'étonnement : ils nous prêtent de très-bonne grâce
l'utile concours de leurs bras vigoureux.

Une ascension de longue durée, comme celle que nous venons de.
raconter, exactement retracée à l'aide d'un diagramme, dont les élé-
mntt ont été recueillis sans interruption, ne manque pas de four-
nir des faits généraux offrant un intérêt réel au point de vue de la
physique du globe. Grâce aux impriniés lancés de la nacelle, et
retournés à Paris au nombre de soixante, de tous les points de
notre route, notre diagnunme indique les températures du sol en
même temps que les températures de l'air supérieur.

On voit que la température de l'air était phis élevée dans tout le
parcours que la température fin sol. Le diagramme montre encore
que le ballon, quand il était maintenu sur l'horizontale, suivait les
proéminences du sol et s'élevait de lui-même, poussé par un vent
ascendant quand il passait au-dessus d'une colline. Ce fait est sur-
tout rendu manifeste par |e passage du ballon à 600 mètres au-des-
sus d'un monticule situé dans laTouraine, et dominant de 2«8 mètres
le niveau de la mer. Le tracé graphique de l'ascension met en évi-
dence la ligne courbe suivie par un courant aérien, pendant un
long parcours ; le ballon s'est, en effet, fréquemment éloigné d'une
direction en ligne directe ; ce tracé montre enfin les variations très-
appréciables de vitesse du vent, qui fait environ cinq mètres à là se-
conde, pendant la nuit, dix mètres au lever du jour, et qui diminue
do vitesse dans les hautes régions, contrairement à ce qui a lieu le
plus habituellement. La vitesse du courant N.-N.-E. dans les landes
de M Gironde ne dépassait pas la vitesse de trois mètres h la se-
conde, tandis que le vent, inférieur dottt la vitesse s'est accrue jus-
qu'au moment de l'atterrissage, était d'abord de sept mètres à la
seconde, pour atteindra ensuite près de douze mètres. (Les chiffres
de l'échelle des hauteurs indiquent, sur diagramme, les mètres ;
cenx qui se voient sur la ligne horizontale de terre donnent les ki-
lomètres.)

Nous ne nous engagerons pas plus longuement dans le résumé de
ces observations multiples; il faudrait entrer dans des détails trop
minutieux pour parler des effets de nuages, des déformations du
soleil et de la lune par la réfraction, phénomènes dont M. Albert
Tissandier a retracé la succession par le dessin, (ndisj^ensable com-
plément des études météorologiques. Mais nous devons ajouter quel-
ques mots sur les observations spectroscopiques de -M. Crocé-Spi-
nelli. Quand le soleil et la lune ont été au-dessous de l'horizon, les
spectroscopes ont montré des bandes de la vapeur d'eau extrême-
ment accusées. Aussitôt que ces deux astres se sont élevés de quel-
ques degrés seulement sur l'horizon, les bandes sont devenues infi-
niment plus faibles et ont fini môme par être très-peu visibles, oe
qui démontrait que la quantité de vapeur d'eau dans les région*
supérieures de l'air éMt trùS-failile.Une telle sécheresse est un fait qui
mérite d'être signalé. Le psychromètro, avant que lVnu qu'il conte-
nait ne fût gelée, l'hygromètre de Regnault ont, comme B.ou.3
l'avons vu précédemment, vérifié ces observations,

Nous terminons ici le résumé d'une ascension où, pcmlaul t± heu-
res 40 minutes, il n'a jamais manqué ni d'expériences à exécuter,
ni d'observations ii cntreprendïe : car dans l'atmosphère si peu
connue, tout est à considérer, tout est à apprendre.

Nous espérons que la Société française de navigation aérienne ne
s'en tiendra pas à ces premières tentatives ; elle eat*a prouver dans
l'avenir qu'elle était digue de prendre pour devise belle pa-

role : « Toujours phis Soin et toujours pins haut; ..

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