GAZETTE D FS ARDKNNES
quHi t'InlerJisent tout* ip pré dation, d
domstne qu'il leur > pin de rûierver su che
te déchargeât tins!. Il trop bon complu, de le
meot au choix d'uu commiudn
daviendrali. tint contrôla pou
absoln det destinées Uu pty«. J
lunltToil pr(mii.-f.r'.t foiidiniiiJ. Lu iièpubHque a vo
que no) pouvoir na fût iaus la contrôle d une autorité. 1
autoriser cift ci
APRES LA CHUTE DE VARSOVIE
de finir. Personne no peut prédire s quelle dislance la
nouvelle ligne de combinera* Lablic. Naturellement, i Parit,
on atl conicienl du orand meces militaire, pofifinue cl
moral gui 1(1 puiuiuces tîniialej y .: i emporté en reionne
aidant l« provinces d> U Dillique. Mali ai-on doit avouer
qua l'offensive lileminac a-t un plan gisauLosquo, qui est
■ma précèdent deus l'histoire du monde, ou croit en franco
qao la retraite rutte oïl ([{aloincut un eflorl d'uns grande
habileté milllalrï.
La i 7"»lf3"ar, organe furieusement hostileH-"'
à l'Est :
événements sur la tbéàlro de la guerre
court ultérieur de 11 guerre curO|:esnne.
qn'dtra do lu plus grande Importa
pourront lot envoyer a l'ouest; cela peut c-lre un danger pour
1*1 Allièi. Ici, les deux partiel te tout earerrcei sens qu'au-
cune det duux no mit piriouuo 1 obtenir uu evaiuafl appri.
niable. On lent aussi det deux citât qu~ '- -■
i dernière action d
Ut .tiujfafi, m
tlu Mwi . nnnom
0 Slinl-r'eiersi.oi
, paru* que
d attentl
ngidio.
'onl leur/ farii 1
que clioi Llo>d des paris piur
□Ire 1.11 y a un an cofparl était t M : 1,
LA BONNE SATHEE
pour ne pat dira i
* olei d'un mob.i
tleuri eurent, il
J'tliU propos.
A U porte du quartier.
— Tu D'y comprends rien, mon vieux, parce que lu
ne lit pis les journaux... Mais moi qui Ica lit, je le i.is
bien... i.m.ind les Russes uut prit Lemberg cl ensuite
— Comment que lu prononce! ci?
— Comme ça s'écrit... (Ijand Ici Haisti ont frit
Lemberc, et ensuite Prcvmyv, ça a tlu uu /ail de guerre
tris ntporirml. Parce que c'était, comme dit la ginérul
Cherfils, la ri* de la «lua.'ion 1 Mai, !;u nid 1rs JulrLi-'neni
«ont revenus * Lemberg... Abl mun tiaux. quelle hlaguo
qu'on leur a faite : Leuiboi^ no s'appelait plui Loniberg,
mail Lwoll... Alors, ils n'y ont plut riou compris... lit
puil ou avait loul Changé, et co n'ciail fins du tout la tti
Ulm*S*mimt ..
, — Pourquoi '.'
— Parce gtn celait plut dans le mime teut, haï
four Je'.., Ccst comme pour Varsovie, qui sera peut êlrc
évicuic. To:. gourde, lu croit quo ça a une importance?
Eli bit», mou rMx.li la lùoij (e. lournjur, lu ronipren-
Mmp>MlMb>lMii nu,... Tu le dit peut-êire
que si ç.i n'a |lja dinip,.r!ar,:e, cv»i curieux qu'où te luil
tant batlu sur lu Vislu;e, sur le Bug et la VMaprs...
— LtWlerpK... Cuniraenl que lu écrit ça?
— Coroinï en te pronunca... Tu te dit que li ait t'est
tant tnifu, c'dl donc nue [a en ealuii lu ftintl... Quel
navet lu me lait, muu'iwuv' vioux! Tu n'ai doue pas
davloo que c'eii une tijgue qu'on a [lousiéo aux Allc-
maridtî On leur a dit : u Varsovie, c'ett ci,., Var.ovic
c'ett ça... ■ Onleui avait dit aussi : « Cwt la capitale de
la Pologur. .t il y après d. nïui cent mille habilanli... »
Llahtcnbergcr :
A. lire cerlilna dn nos couleras, un en vient à le
demander pourquoi, depuis un au, ou a paru atlicuer
quoique Importance a U possession de Varsovie. Et Je ne
■aurila dire combien té^onlurlanli m'ont été oerliim
oommemairetrelaUltauxelIcia de u capture. Il pirait
qu'a otite nouvelle cet frivoles Vieonuii et ces piuvrei
.Berlinois onl manifeste uue ]càe txuberanlc, Est-ce astei
drOle? L'ojournal anglais — tichoui rendre à nos allies
ce qui leur appartient — a montri que ^occupation de
YinocU comijiuaif four Lu luslro-iHnnaHdi tint (mur d
an prêt irrifarablc : elle leur aliène diûailivemenl les
aynipelliies de la nation russe, tur lesquelles, i.
pas, Ut avalent (oulea sorlet de raisons décompter je
qu'iel(t) Un autre a mieux fait : s'itislensnt de récrimi-
nations alérllus, » lui seul II a repris la ville, en la Irsns-
porlanl aur la rlvo droite de la ViH'jle. I.es Allemands
ont bien ocoupii quelquti maisons sur la Hie gauclic.
Mais il sunit da baptiser Praga du nom de Varsovie pour
que celfe-cl toit loujourt cotre les mains de uos alinS.
Du moins elle y était encore, il y a peu de jours. S'ils
sont obliges d'évacuer l'rags (c'est fait. — La Ucd.| nufre
coaMre mettra lorjnrff i in l'un Imjaja, it en h drbal-
lera U où il jaudta.
SUCCÈS TURCS AUX DARDANELLES
ftrici rktcftttM dis itftalf.
i pcudnnt six Jour», prDt de Srdd-
:oe, tant arrêtés. A l'aile gaucho
"i det dpfhilee itntiblet. ITAs de
\agltlt: tes Turcipistteeut
Ici Acj'lais. qu teetcur r
uoina 5.000 hommes, i
s a la date du 1?
britaualque a été
t du a une nttaquo
La • Ncvt ZùnUtr Zeilung • apprend de Soda 11 la dale
du 12 août :
Plusieurs correspondants impartiaux qui ont tûjourni
presqu'île de Utlllpoll, sont d'avli quo la prtit t(H Uarda-
Tiilieapar mer M| impossible, lit ajoutent que le petit terri-
toire occupi par les troupes frauco-Dcgltlsca est assci plat
et tréa expose nu feu det batteries turques ; le reste du ter-
" "' tout naturellement approprié 1 une
t délent
ise prlnclpnle d
iMlégée. !
construites et munlet de grosses
plocei, on te rend compte pourquoi les Turcs jugent leurs
positions imprenables du coto do la mer. Les Ailles t'en sonl
aussi rendu compte. Du eOto de la terre, ce n'est que par la
Bulgarie que las liardanollos ot Coastantlnople pourraient
Ctre luqulttf a. ;
La villa de Wan a été occupée par des Uoupee runes el
dit bandes annCutenuoi, La ItiUe garnison, npris une résit-
LA CUEKItE ITALÏE.VXE
Peiiimisme.
La a A'eul Zdreher Zl}. - publia uu eulrelien du ml-
nlatre de la Justice italien Orlando, revenu du iront, avec
le représentait! d'un journal sicilien. Le ministre décrit
Il ailuatlon sur la théâtre de la guerre dans les couleur!
lu plut sombret. Les ouvrage! de défense, lea tranchées,
let nombreux obstacles naturels, que les Autrichiens
utilisent ti excellemment, l'arllllerie ennemie supérieure
qui est établie dam'des position! presque introuvables,
tout contribue \ ralentir la marche des Italiens. La pa-
tience est la première condition de la victoire contre un
adversaire pareil.
Patience, évidemment! Voici bientôt Iroii mois que
les Italiens ont tiré l'épée pour attaquer de dot leurs an-
ciens alliés. Nos lecteurs constateront d'après l'entretien
ci-dessus st d'après le Ion de M. le Ministre de 11 Justice,
que les Italiens ont dû certainement gagner ou clair
voyance et surtout en modestie. Une modeslie d'ailleurs
complètement partagée par l'armée qui jusqu'aujourd'hui
■a conlenla d'oeouper quelques localités do frontière,
sans pousser jusqu'aux villes, dont la libtratiouimmé Jiate
lormalt la cri de guerre tonitruant de loua ceux qui
cherchèrent à étouffer la voix timide de la conscience
Le communiqué otLciel autrichien que nous publions
cl dessoueconflrrasen effet qae malgré les efforts tenaces
et qui onL déjà coûté dea perles énormes, les Italiens
n'ont pat réussi t rompre la merveilleuse résistance
autrichienne :
Au front sud ouest il y eut en général une plut grande
activité, fiant la région de Uoerz, notre arlillerle lança
quelques bombes sur San Caoï'ajio, après quoi l'ennemi
s'enfuit de l'endroit, Nous dispersâmes uu camp Ha lieu
■sseï imporlaut prés de Cornions. Une faible attaque en-
nemie près de itedlpuglij fut élouflés par notre (eu dès
le début. Contre U lète do pont de tioeri lea Italiens en-
tretinrent un feu d'artillerie modéré. Daui le seeleur do
Polmein Jusqu'au Km, l'ennnui entreprit liler matin,
après une forte préparation par l'artillerie, une attaque,
"- rec dis loroet nombreuses, qui fut partout
e lillsch
Iront de 11 Carinlhlo, lea combats d'artillerie lurent
également plua impurtants qu'à l'ordinaire. Dam la nuit,
l'ennemi continua son feu violent contre nos lignes au
petit Pal, au Treikolel et au grand Pal.
Une attaque entreprise t minuit contre noire position
du pellt Pal s'effondra complètement. Dans la région de
fronliera du Tyrol plusieurs attaques italiennes contra
nos positions de frontière ù l'ouest du Kl euiberg, dans la
région de la Ilolwand-SplUe, du Dacber-Tai «t ds la
Lreiilnnen Ilùlte lurent rejolées. Sur les plaltaux di
Lavirone et de Folgaria notre artillerie lourde bombarda,
let ouvrages ennemis de Cimporoolon el de Toraro avee,
on lucuèt visible.
Ûtpoutumté.' Uagai
<rii de Tripoli el
JojtWDl awffiln sur ;i ■ mlillailsrs ■ nœa.
I llobir! J. r/ionuon,
u début de la guerre,
consul américain l Aix-la-Chapelle,
pluileurs reprises, remarquer par ses proleslalio
guéos contre Ici immondes calomnies dont le
allemand et sou armée turent, dès le premier joi
allecuauJet, Il préféra
Thomson na cache pas qi
I a de lorte sympathie pour l'i
nais son sentiment de jublice
alomnisr, tans protfSler,
supltj
appliqué a approfondir
C'est è l'étBda piyclio'oslque de ce qu'on appelle le
n milita ri ime i> allemand qu'il a'osl principalement consa-
cré. L'ayant eiaminé slneèremeut, il u'a pu manquer
d'en découvrir la valeur éduoalive. L'armée allemande,
dlt-ii, c'est la Dation armée. L'école militaire, c'est pour
ainsi dire lé u Jiou-jilsou » rie l'Allemagne, son exercice
stinal. Toute '
peuple,
rime de l'Empereur? demande Thomson.
bien que
virilité alli
pas plus de doux lois ce quo nuus ne payons l'entrelie
de l'armée américaine, qui est dix lois moine lorle qi
L'infanterie allemande en temps de paix.
La militarisme allemand crée encore, a part
force el la santé qu'il donne, en ceux qu'il forma u
sentiment du dovoir via ù-vis de l'Elit, qu'Ignore la mei
talité anglaise ou américaine, et qui fait de la devise i
prince de Galles : « Jo sert I a une vivante réalité.
c'est l'Empereur lui-même, qui Incarne bien davanlaj
est esprit et cet idéal de la nation que tout le resta qu i:
1 pu conler pour OU «mire ta personne. Cet esprit, c'e
lyslère du siècle, le u transcendantelisme u du peup
explique
allemand.
Ailleurs,
L'initiative allemande, dit il. a construit des villes qui
sont des mirsejos d'art ot de propreté. Elle réalisa des
milliers d'inventions et d'amélioralions, en appliquant
les sciences aux besoins de la vie. Elle plaça l'Allemagne,
pour ce qui concerne la solution des^urilioni sociales infé-
rieures, qui sont le but de toute société organisée, en Ie7e
Tandis que l'Amérique
l'Allemand, porlaul en lui-
liber» perfOJiwtle que quk
suivant la voie ries peuples
d'une nation d'élite.
t l'Angleterre se déballent
lés a Drolls de l'Homme t,
me la otmt hauu muun de
USE PROTESTATION INJUSTIFIÉE
Le président de le Croix Rouge française, M. le mar-
quis de Vogué, a adressé au président da In Croix Rougi
a Genève une lettre de protestation dana laquelle 11 se
plaint de ce que le Gouvernement allemand force de
nombrcui prisonniers français d'une certaine éducation
et Instruction a ds lourds iraïaux mauuels, tous 11
prétexte de réciprocité pour le trsiiement inhumain
auquel les prisonniers allemands lont toumil en Francs.
Plusieurs milliers de ce! prisonniers, occupant de pli
leur profession un certain rang, auraient été choisis dins
les diBérenllcemps pour étte employés, d»os I* province
du Uinovre, au dcl/'chomeot det tandis. Puur plusieurs
d entre eux, qui ne sont pat bsbituésl de pareils travaux,
cette occupation est un* totturs pbjsiqoi et morale.
Le Dut de telle combinaison obligeant des Innocente
I sabir telle punition barbare eit non eeoiemsnt
d'Inquiéter lea parents, mais d'eaercer une pression
morale tur le Couvernement ireooiia.
Comme juirJBeiitoo de ce procédé. 1s Goaveroemont
allemand relevé le fait que le Gouvernement traocati e
interné dea prisonniers allemands en Dabomsf et eu
Maroc, ob Ils tout aurvellléa par dei trou pet ooiraa.
M. da Vogué se raiera à un rapport dlgna de fol du
baron Anlhouord. dans lequal II est dit que ces er|u-
un pisssge d'on rapport du colonel Itarral, membre de
II Croix rouge suisse et délégué de la Croix rougs inter-
nationale,. qui. sur parole d'honneur, affirma que lea
conditions, dam lesquelles lot prisonniers allemands
travaillant en France et au Maroc, sont normalea et en
accord avec les principes humanitaires. Il en appelas
finalement a la dignité de la Croix rouge qu'il croit letee
par do parella (alla, et au nom de eel bonniur outngé, Il
prie M. Ador, président dt la Croix Rougi à Genève, à'J
remédier et do soumettre ta protutatlon 1 qui dt droit.
Si le marquis de Vogué bm sa protestation aur de
pareils argumente, c'est qu'il n's pss l'ilr d'étra bien an
courant de l'étal réel du laits. Uut prouva da la culpa-
bilité du gouvernement français a «é bien établie par le
lait que lorsque le gouvernement allemand l'est vu obligé
d'avoir recoura à det contre-meeureo, 11 a adouci le sort
de nos prisonnier! internés os Afrique en let transférant
dini un meilleur climat. Du coté al la ma nd, autant qna
noua iichiom, oa geste i eu comme conséqaanca la U ba-
ril Ion d'un certain sombra da prloonntara franpaia dt
ces travaux di déirlchement. Et il IL le marqula de
da Vogué ne ee rappelle plus lu doaloureutss ptrlpétlaa
qui nos prlaonniera ont du traverser an rjahamay, nous
i permettons de la renvoyer aux dittariDlea lettres
dans
■t fiB.
a.-jf;i!if
LA GUERRE NAVALE
Un vapeur de transport coult.
CiiiinSI»i|ti, u iidi <tn (omcitl).
Un sous-marin allemand a coulé, la 14 août, daruj
ln mer Ëgée, un graran vapeur de transport d»
10,000 tonnes portant des troupes. Un nombre minime
de soldats seulement s été ciuvè par un bateau d*
lazaret.
Le vapeur de tranuport coulé par un aous-marin
oppnrtonail à la Peninsular-Compnny et portait
3,00tl hommes do troupes (raidies, destinée* aux
Dardanelles. Lo lorpilltiga eut fleu près do 111e
do Cliios. Lo vapeur sombra en t minutes.
ml" Volé coule1 y'V"" ' J-"a"" "' ''^ l0nnM
Les vapeurs .mneess Caroline m'JOO tonnes) et. Cioriat
Let vtpeurs belges s Prince Alberl .et. JVincitt. j/trii
■ ■- ■ ■:; iiu-j.lf de Londres oue les va-
peurs . Oipieu ., .JJumphreu., . At.ro , et . Amc,hu.l.,
NOUVELLES DIVERSES
ssoclaled Press, I
ncordéa par M. HelQerlch,
plra, t 11. Congir, rapt*,
s déclurationi Itnancièrea
s Au point de vue Ûnuucier, l'Allemagne eoutitntlfi
la guerre pendant un temps illimité. Nous trouvons dana
notre pays* peu pros luul codant noua avons besoin, ot
de celte façon les dépenses do li guerre se traduisent an
économies pour la population, qui les remet 1 la disposi-
tion de l'Empire tous forme d'emprunts. Let banques et
let caittes d'épargne reçoivent plus de dépôts qu'en
temps de pafx. Aujourd'hui, après que' l'on a versé plus
di 3 milliards de dollar, tui les emprunt! de guerre, toi
dépôts toat plus Importants qu'au début ds li guerre. Ll
réserve d'or de la Banque de l'bmpire a k pau prêt
doublé. La oouvsrluro en or de tes billets est de 33.S •/,,
tandis que celle couverture n'etl que de J5.7 •/• e la
Binqul de France et de II.7 t la Banque d'Anglelorre,
t La confiance du peuple allemand iwu ses /orctl fini*-
cUris al aussi itiinùUt qui sa confiance dans la lustriorUi
de ses armes. Après doute mon de guerre, le 3 •/. Empira
te traite aujourd'hui t 70 •/>, c'est t dira que u baissa,
comparativement an court de mari 1311, n'est que de
S */•■ Lea consolidés anglais ont baissé Jusqu't 65 per-
3 '/, français tourna
U perden
dlBV.t
Ajoutons que le télégramme ralataot cet sntretian,
envoyé par un correspondant notiricain t son Journal da
New-York a été Intercepté par la censure anglaise. Cet
acte ds lâcheté a été dûment constaté par les journaex
américains qui publient aujourd'hui cet entretien,
li'or de la Franc*.
jjf. Edmond Théry. publiée par le
réisrva d'or de la Banque d* Fl
t mlliUrdi. Uni somme égalt a t
fini d'orl
L»e Labour Ltader
La systèmi de taira t
Alliai asl bien connu. P
qui les révélations nltn
deuticfil aiif. Zeflwiït s1
■llinoel L
n'y a plua
Utfltli
Nous avons
anglais! pour trouver
Aujourd'hui, après rp
Angleterre,
tur tes JocumenU sefa».
it es qui est défavorable aux
belgea ont eut
i dss syndicats Ouvrier*
lit pourtant axoeptlo**jp
irUolas-
'original d'un d>
es de ca lilattS*.
Cm paèHralioiu coatiniial oa rttflaHemi uUioml exlra-
ordiaoiru ï»'*"" " paueevil «fr» (tmmtmioWu ois attMU
enfin,ichissiiivucondition!* Eniulls le• LatourLaaear»
tralle an détail loi mméM du roi Edouard VU el al*
Dslcsaaé en 1»00 et nppilla laa ptrolaa da t imbiMdaBr
belge t Pari!, qui parla d'une proweafton cWm oi
l'Allimigni.
iYufU kmdonitnnu.
L'Hlumlnitlon noetarni de Loadroa aat da Boutes*
loumiii 1 une restriction sévère. Ceet II contrquèUDS
des mccèi du dlrlgoahlo* allemands.
[ n sa
Bn mol lîlï -l'ijtïlili Chstlarton svslt londé^ une
Elans aai^dleroaiwl!, qal avait, aatr* "Ire, le but d'eidér
loi fabricant! enflais qui ttnlanlint de ohinir ■
Allemands du maroh* taondliL Doni l'ippel on MPH
que oelte nouville llgae devrait comprendre en ralllsoJ
di membre*. Et quel fut la riiulttt? Le i IrulA s «s
quHi t'InlerJisent tout* ip pré dation, d
domstne qu'il leur > pin de rûierver su che
te déchargeât tins!. Il trop bon complu, de le
meot au choix d'uu commiudn
daviendrali. tint contrôla pou
absoln det destinées Uu pty«. J
lunltToil pr(mii.-f.r'.t foiidiniiiJ. Lu iièpubHque a vo
que no) pouvoir na fût iaus la contrôle d une autorité. 1
autoriser cift ci
APRES LA CHUTE DE VARSOVIE
de finir. Personne no peut prédire s quelle dislance la
nouvelle ligne de combinera* Lablic. Naturellement, i Parit,
on atl conicienl du orand meces militaire, pofifinue cl
moral gui 1(1 puiuiuces tîniialej y .: i emporté en reionne
aidant l« provinces d> U Dillique. Mali ai-on doit avouer
qua l'offensive lileminac a-t un plan gisauLosquo, qui est
■ma précèdent deus l'histoire du monde, ou croit en franco
qao la retraite rutte oïl ([{aloincut un eflorl d'uns grande
habileté milllalrï.
La i 7"»lf3"ar, organe furieusement hostileH-"'
à l'Est :
événements sur la tbéàlro de la guerre
court ultérieur de 11 guerre curO|:esnne.
qn'dtra do lu plus grande Importa
pourront lot envoyer a l'ouest; cela peut c-lre un danger pour
1*1 Allièi. Ici, les deux partiel te tout earerrcei sens qu'au-
cune det duux no mit piriouuo 1 obtenir uu evaiuafl appri.
niable. On lent aussi det deux citât qu~ '- -■
i dernière action d
Ut .tiujfafi, m
tlu Mwi . nnnom
0 Slinl-r'eiersi.oi
, paru* que
d attentl
ngidio.
'onl leur/ farii 1
que clioi Llo>d des paris piur
□Ire 1.11 y a un an cofparl était t M : 1,
LA BONNE SATHEE
pour ne pat dira i
* olei d'un mob.i
tleuri eurent, il
J'tliU propos.
A U porte du quartier.
— Tu D'y comprends rien, mon vieux, parce que lu
ne lit pis les journaux... Mais moi qui Ica lit, je le i.is
bien... i.m.ind les Russes uut prit Lemberg cl ensuite
— Comment que lu prononce! ci?
— Comme ça s'écrit... (Ijand Ici Haisti ont frit
Lemberc, et ensuite Prcvmyv, ça a tlu uu /ail de guerre
tris ntporirml. Parce que c'était, comme dit la ginérul
Cherfils, la ri* de la «lua.'ion 1 Mai, !;u nid 1rs JulrLi-'neni
«ont revenus * Lemberg... Abl mun tiaux. quelle hlaguo
qu'on leur a faite : Leuiboi^ no s'appelait plui Loniberg,
mail Lwoll... Alors, ils n'y ont plut riou compris... lit
puil ou avait loul Changé, et co n'ciail fins du tout la tti
Ulm*S*mimt ..
, — Pourquoi '.'
— Parce gtn celait plut dans le mime teut, haï
four Je'.., Ccst comme pour Varsovie, qui sera peut êlrc
évicuic. To:. gourde, lu croit quo ça a une importance?
Eli bit», mou rMx.li la lùoij (e. lournjur, lu ronipren-
Mmp>MlMb>lMii nu,... Tu le dit peut-êire
que si ç.i n'a |lja dinip,.r!ar,:e, cv»i curieux qu'où te luil
tant batlu sur lu Vislu;e, sur le Bug et la VMaprs...
— LtWlerpK... Cuniraenl que lu écrit ça?
— Coroinï en te pronunca... Tu te dit que li ait t'est
tant tnifu, c'dl donc nue [a en ealuii lu ftintl... Quel
navet lu me lait, muu'iwuv' vioux! Tu n'ai doue pas
davloo que c'eii une tijgue qu'on a [lousiéo aux Allc-
maridtî On leur a dit : u Varsovie, c'ett ci,., Var.ovic
c'ett ça... ■ Onleui avait dit aussi : « Cwt la capitale de
la Pologur. .t il y après d. nïui cent mille habilanli... »
Llahtcnbergcr :
A. lire cerlilna dn nos couleras, un en vient à le
demander pourquoi, depuis un au, ou a paru atlicuer
quoique Importance a U possession de Varsovie. Et Je ne
■aurila dire combien té^onlurlanli m'ont été oerliim
oommemairetrelaUltauxelIcia de u capture. Il pirait
qu'a otite nouvelle cet frivoles Vieonuii et ces piuvrei
.Berlinois onl manifeste uue ]càe txuberanlc, Est-ce astei
drOle? L'ojournal anglais — tichoui rendre à nos allies
ce qui leur appartient — a montri que ^occupation de
YinocU comijiuaif four Lu luslro-iHnnaHdi tint (mur d
an prêt irrifarablc : elle leur aliène diûailivemenl les
aynipelliies de la nation russe, tur lesquelles, i.
pas, Ut avalent (oulea sorlet de raisons décompter je
qu'iel(t) Un autre a mieux fait : s'itislensnt de récrimi-
nations alérllus, » lui seul II a repris la ville, en la Irsns-
porlanl aur la rlvo droite de la ViH'jle. I.es Allemands
ont bien ocoupii quelquti maisons sur la Hie gauclic.
Mais il sunit da baptiser Praga du nom de Varsovie pour
que celfe-cl toit loujourt cotre les mains de uos alinS.
Du moins elle y était encore, il y a peu de jours. S'ils
sont obliges d'évacuer l'rags (c'est fait. — La Ucd.| nufre
coaMre mettra lorjnrff i in l'un Imjaja, it en h drbal-
lera U où il jaudta.
SUCCÈS TURCS AUX DARDANELLES
ftrici rktcftttM dis itftalf.
i pcudnnt six Jour», prDt de Srdd-
:oe, tant arrêtés. A l'aile gaucho
"i det dpfhilee itntiblet. ITAs de
\agltlt: tes Turcipistteeut
Ici Acj'lais. qu teetcur r
uoina 5.000 hommes, i
s a la date du 1?
britaualque a été
t du a une nttaquo
La • Ncvt ZùnUtr Zeilung • apprend de Soda 11 la dale
du 12 août :
Plusieurs correspondants impartiaux qui ont tûjourni
presqu'île de Utlllpoll, sont d'avli quo la prtit t(H Uarda-
Tiilieapar mer M| impossible, lit ajoutent que le petit terri-
toire occupi par les troupes frauco-Dcgltlsca est assci plat
et tréa expose nu feu det batteries turques ; le reste du ter-
" "' tout naturellement approprié 1 une
t délent
ise prlnclpnle d
iMlégée. !
construites et munlet de grosses
plocei, on te rend compte pourquoi les Turcs jugent leurs
positions imprenables du coto do la mer. Les Ailles t'en sonl
aussi rendu compte. Du eOto de la terre, ce n'est que par la
Bulgarie que las liardanollos ot Coastantlnople pourraient
Ctre luqulttf a. ;
La villa de Wan a été occupée par des Uoupee runes el
dit bandes annCutenuoi, La ItiUe garnison, npris une résit-
LA CUEKItE ITALÏE.VXE
Peiiimisme.
La a A'eul Zdreher Zl}. - publia uu eulrelien du ml-
nlatre de la Justice italien Orlando, revenu du iront, avec
le représentait! d'un journal sicilien. Le ministre décrit
Il ailuatlon sur la théâtre de la guerre dans les couleur!
lu plut sombret. Les ouvrage! de défense, lea tranchées,
let nombreux obstacles naturels, que les Autrichiens
utilisent ti excellemment, l'arllllerie ennemie supérieure
qui est établie dam'des position! presque introuvables,
tout contribue \ ralentir la marche des Italiens. La pa-
tience est la première condition de la victoire contre un
adversaire pareil.
Patience, évidemment! Voici bientôt Iroii mois que
les Italiens ont tiré l'épée pour attaquer de dot leurs an-
ciens alliés. Nos lecteurs constateront d'après l'entretien
ci-dessus st d'après le Ion de M. le Ministre de 11 Justice,
que les Italiens ont dû certainement gagner ou clair
voyance et surtout en modestie. Une modeslie d'ailleurs
complètement partagée par l'armée qui jusqu'aujourd'hui
■a conlenla d'oeouper quelques localités do frontière,
sans pousser jusqu'aux villes, dont la libtratiouimmé Jiate
lormalt la cri de guerre tonitruant de loua ceux qui
cherchèrent à étouffer la voix timide de la conscience
Le communiqué otLciel autrichien que nous publions
cl dessoueconflrrasen effet qae malgré les efforts tenaces
et qui onL déjà coûté dea perles énormes, les Italiens
n'ont pat réussi t rompre la merveilleuse résistance
autrichienne :
Au front sud ouest il y eut en général une plut grande
activité, fiant la région de Uoerz, notre arlillerle lança
quelques bombes sur San Caoï'ajio, après quoi l'ennemi
s'enfuit de l'endroit, Nous dispersâmes uu camp Ha lieu
■sseï imporlaut prés de Cornions. Une faible attaque en-
nemie près de itedlpuglij fut élouflés par notre (eu dès
le début. Contre U lète do pont de tioeri lea Italiens en-
tretinrent un feu d'artillerie modéré. Daui le seeleur do
Polmein Jusqu'au Km, l'ennnui entreprit liler matin,
après une forte préparation par l'artillerie, une attaque,
"- rec dis loroet nombreuses, qui fut partout
e lillsch
Iront de 11 Carinlhlo, lea combats d'artillerie lurent
également plua impurtants qu'à l'ordinaire. Dam la nuit,
l'ennemi continua son feu violent contre nos lignes au
petit Pal, au Treikolel et au grand Pal.
Une attaque entreprise t minuit contre noire position
du pellt Pal s'effondra complètement. Dans la région de
fronliera du Tyrol plusieurs attaques italiennes contra
nos positions de frontière ù l'ouest du Kl euiberg, dans la
région de la Ilolwand-SplUe, du Dacber-Tai «t ds la
Lreiilnnen Ilùlte lurent rejolées. Sur les plaltaux di
Lavirone et de Folgaria notre artillerie lourde bombarda,
let ouvrages ennemis de Cimporoolon el de Toraro avee,
on lucuèt visible.
Ûtpoutumté.' Uagai
<rii de Tripoli el
JojtWDl awffiln sur ;i ■ mlillailsrs ■ nœa.
I llobir! J. r/ionuon,
u début de la guerre,
consul américain l Aix-la-Chapelle,
pluileurs reprises, remarquer par ses proleslalio
guéos contre Ici immondes calomnies dont le
allemand et sou armée turent, dès le premier joi
allecuauJet, Il préféra
Thomson na cache pas qi
I a de lorte sympathie pour l'i
nais son sentiment de jublice
alomnisr, tans protfSler,
supltj
appliqué a approfondir
C'est è l'étBda piyclio'oslque de ce qu'on appelle le
n milita ri ime i> allemand qu'il a'osl principalement consa-
cré. L'ayant eiaminé slneèremeut, il u'a pu manquer
d'en découvrir la valeur éduoalive. L'armée allemande,
dlt-ii, c'est la Dation armée. L'école militaire, c'est pour
ainsi dire lé u Jiou-jilsou » rie l'Allemagne, son exercice
stinal. Toute '
peuple,
rime de l'Empereur? demande Thomson.
bien que
virilité alli
pas plus de doux lois ce quo nuus ne payons l'entrelie
de l'armée américaine, qui est dix lois moine lorle qi
L'infanterie allemande en temps de paix.
La militarisme allemand crée encore, a part
force el la santé qu'il donne, en ceux qu'il forma u
sentiment du dovoir via ù-vis de l'Elit, qu'Ignore la mei
talité anglaise ou américaine, et qui fait de la devise i
prince de Galles : « Jo sert I a une vivante réalité.
c'est l'Empereur lui-même, qui Incarne bien davanlaj
est esprit et cet idéal de la nation que tout le resta qu i:
1 pu conler pour OU «mire ta personne. Cet esprit, c'e
lyslère du siècle, le u transcendantelisme u du peup
explique
allemand.
Ailleurs,
L'initiative allemande, dit il. a construit des villes qui
sont des mirsejos d'art ot de propreté. Elle réalisa des
milliers d'inventions et d'amélioralions, en appliquant
les sciences aux besoins de la vie. Elle plaça l'Allemagne,
pour ce qui concerne la solution des^urilioni sociales infé-
rieures, qui sont le but de toute société organisée, en Ie7e
Tandis que l'Amérique
l'Allemand, porlaul en lui-
liber» perfOJiwtle que quk
suivant la voie ries peuples
d'une nation d'élite.
t l'Angleterre se déballent
lés a Drolls de l'Homme t,
me la otmt hauu muun de
USE PROTESTATION INJUSTIFIÉE
Le président de le Croix Rouge française, M. le mar-
quis de Vogué, a adressé au président da In Croix Rougi
a Genève une lettre de protestation dana laquelle 11 se
plaint de ce que le Gouvernement allemand force de
nombrcui prisonniers français d'une certaine éducation
et Instruction a ds lourds iraïaux mauuels, tous 11
prétexte de réciprocité pour le trsiiement inhumain
auquel les prisonniers allemands lont toumil en Francs.
Plusieurs milliers de ce! prisonniers, occupant de pli
leur profession un certain rang, auraient été choisis dins
les diBérenllcemps pour étte employés, d»os I* province
du Uinovre, au dcl/'chomeot det tandis. Puur plusieurs
d entre eux, qui ne sont pat bsbituésl de pareils travaux,
cette occupation est un* totturs pbjsiqoi et morale.
Le Dut de telle combinaison obligeant des Innocente
I sabir telle punition barbare eit non eeoiemsnt
d'Inquiéter lea parents, mais d'eaercer une pression
morale tur le Couvernement ireooiia.
Comme juirJBeiitoo de ce procédé. 1s Goaveroemont
allemand relevé le fait que le Gouvernement traocati e
interné dea prisonniers allemands en Dabomsf et eu
Maroc, ob Ils tout aurvellléa par dei trou pet ooiraa.
M. da Vogué se raiera à un rapport dlgna de fol du
baron Anlhouord. dans lequal II est dit que ces er|u-
un pisssge d'on rapport du colonel Itarral, membre de
II Croix rouge suisse et délégué de la Croix rougs inter-
nationale,. qui. sur parole d'honneur, affirma que lea
conditions, dam lesquelles lot prisonniers allemands
travaillant en France et au Maroc, sont normalea et en
accord avec les principes humanitaires. Il en appelas
finalement a la dignité de la Croix rouge qu'il croit letee
par do parella (alla, et au nom de eel bonniur outngé, Il
prie M. Ador, président dt la Croix Rougi à Genève, à'J
remédier et do soumettre ta protutatlon 1 qui dt droit.
Si le marquis de Vogué bm sa protestation aur de
pareils argumente, c'est qu'il n's pss l'ilr d'étra bien an
courant de l'étal réel du laits. Uut prouva da la culpa-
bilité du gouvernement français a «é bien établie par le
lait que lorsque le gouvernement allemand l'est vu obligé
d'avoir recoura à det contre-meeureo, 11 a adouci le sort
de nos prisonnier! internés os Afrique en let transférant
dini un meilleur climat. Du coté al la ma nd, autant qna
noua iichiom, oa geste i eu comme conséqaanca la U ba-
ril Ion d'un certain sombra da prloonntara franpaia dt
ces travaux di déirlchement. Et il IL le marqula de
da Vogué ne ee rappelle plus lu doaloureutss ptrlpétlaa
qui nos prlaonniera ont du traverser an rjahamay, nous
i permettons de la renvoyer aux dittariDlea lettres
dans
■t fiB.
a.-jf;i!if
LA GUERRE NAVALE
Un vapeur de transport coult.
CiiiinSI»i|ti, u iidi <tn (omcitl).
Un sous-marin allemand a coulé, la 14 août, daruj
ln mer Ëgée, un graran vapeur de transport d»
10,000 tonnes portant des troupes. Un nombre minime
de soldats seulement s été ciuvè par un bateau d*
lazaret.
Le vapeur de tranuport coulé par un aous-marin
oppnrtonail à la Peninsular-Compnny et portait
3,00tl hommes do troupes (raidies, destinée* aux
Dardanelles. Lo lorpilltiga eut fleu près do 111e
do Cliios. Lo vapeur sombra en t minutes.
ml" Volé coule1 y'V"" ' J-"a"" "' ''^ l0nnM
Les vapeurs .mneess Caroline m'JOO tonnes) et. Cioriat
Let vtpeurs belges s Prince Alberl .et. JVincitt. j/trii
■ ■- ■ ■:; iiu-j.lf de Londres oue les va-
peurs . Oipieu ., .JJumphreu., . At.ro , et . Amc,hu.l.,
NOUVELLES DIVERSES
ssoclaled Press, I
ncordéa par M. HelQerlch,
plra, t 11. Congir, rapt*,
s déclurationi Itnancièrea
s Au point de vue Ûnuucier, l'Allemagne eoutitntlfi
la guerre pendant un temps illimité. Nous trouvons dana
notre pays* peu pros luul codant noua avons besoin, ot
de celte façon les dépenses do li guerre se traduisent an
économies pour la population, qui les remet 1 la disposi-
tion de l'Empire tous forme d'emprunts. Let banques et
let caittes d'épargne reçoivent plus de dépôts qu'en
temps de pafx. Aujourd'hui, après que' l'on a versé plus
di 3 milliards de dollar, tui les emprunt! de guerre, toi
dépôts toat plus Importants qu'au début ds li guerre. Ll
réserve d'or de la Banque de l'bmpire a k pau prêt
doublé. La oouvsrluro en or de tes billets est de 33.S •/,,
tandis que celle couverture n'etl que de J5.7 •/• e la
Binqul de France et de II.7 t la Banque d'Anglelorre,
t La confiance du peuple allemand iwu ses /orctl fini*-
cUris al aussi itiinùUt qui sa confiance dans la lustriorUi
de ses armes. Après doute mon de guerre, le 3 •/. Empira
te traite aujourd'hui t 70 •/>, c'est t dira que u baissa,
comparativement an court de mari 1311, n'est que de
S */•■ Lea consolidés anglais ont baissé Jusqu't 65 per-
3 '/, français tourna
U perden
dlBV.t
Ajoutons que le télégramme ralataot cet sntretian,
envoyé par un correspondant notiricain t son Journal da
New-York a été Intercepté par la censure anglaise. Cet
acte ds lâcheté a été dûment constaté par les journaex
américains qui publient aujourd'hui cet entretien,
li'or de la Franc*.
jjf. Edmond Théry. publiée par le
réisrva d'or de la Banque d* Fl
t mlliUrdi. Uni somme égalt a t
fini d'orl
L»e Labour Ltader
La systèmi de taira t
Alliai asl bien connu. P
qui les révélations nltn
deuticfil aiif. Zeflwiït s1
■llinoel L
n'y a plua
Utfltli
Nous avons
anglais! pour trouver
Aujourd'hui, après rp
Angleterre,
tur tes JocumenU sefa».
it es qui est défavorable aux
belgea ont eut
i dss syndicats Ouvrier*
lit pourtant axoeptlo**jp
irUolas-
'original d'un d>
es de ca lilattS*.
Cm paèHralioiu coatiniial oa rttflaHemi uUioml exlra-
ordiaoiru ï»'*"" " paueevil «fr» (tmmtmioWu ois attMU
enfin,ichissiiivucondition!* Eniulls le• LatourLaaear»
tralle an détail loi mméM du roi Edouard VU el al*
Dslcsaaé en 1»00 et nppilla laa ptrolaa da t imbiMdaBr
belge t Pari!, qui parla d'une proweafton cWm oi
l'Allimigni.
iYufU kmdonitnnu.
L'Hlumlnitlon noetarni de Loadroa aat da Boutes*
loumiii 1 une restriction sévère. Ceet II contrquèUDS
des mccèi du dlrlgoahlo* allemands.
[ n sa
Bn mol lîlï -l'ijtïlili Chstlarton svslt londé^ une
Elans aai^dleroaiwl!, qal avait, aatr* "Ire, le but d'eidér
loi fabricant! enflais qui ttnlanlint de ohinir ■
Allemands du maroh* taondliL Doni l'ippel on MPH
que oelte nouville llgae devrait comprendre en ralllsoJ
di membre*. Et quel fut la riiulttt? Le i IrulA s «s