^oo Seconde
eilre Ie réjour ordinaire des Grace^
Sc des Amours. Les Parterres & les
jardins y sont toûjours verts. Tout
ce qu’on y voit a des beautez par-
ticuliéres, &I’air qu’on y respireelè
toûjours parfumé des ffeurs les plus
odoriférentes. Le Mercredi onziéme
Juillet le Roy continuant de réga-
ier Ia Cour, choisst cét endroitpour
y passer ia ioirée, &rpour cét efFet
ordonna qu’on y préparafl: une pla-
ce commode pour entendre l’E-
SLOGUF, DE VERSAILLES.
H o R s l’enclos du Jardin de
Tri anon, iî y a un petit Bois en-
fermé dans le grand Parc, dont les
arbres hauts & épais de feuïllages-
font un couvert acimirable. La prin-
cipale allée de ce Bois répond vis-
à-vis Ie Palais, en sorte qu’en ou-
vrant une grille qui ferme le jardinr
cette allée fait une perspédbive d’au-
tant plus agréable, qu’on apperçoit
un enfoncement d’arbres Scunefon-
taine au bout, dont sombre & h
fraischeur ont quelque chose de tres-
délicieux.
eilre Ie réjour ordinaire des Grace^
Sc des Amours. Les Parterres & les
jardins y sont toûjours verts. Tout
ce qu’on y voit a des beautez par-
ticuliéres, &I’air qu’on y respireelè
toûjours parfumé des ffeurs les plus
odoriférentes. Le Mercredi onziéme
Juillet le Roy continuant de réga-
ier Ia Cour, choisst cét endroitpour
y passer ia ioirée, &rpour cét efFet
ordonna qu’on y préparafl: une pla-
ce commode pour entendre l’E-
SLOGUF, DE VERSAILLES.
H o R s l’enclos du Jardin de
Tri anon, iî y a un petit Bois en-
fermé dans le grand Parc, dont les
arbres hauts & épais de feuïllages-
font un couvert acimirable. La prin-
cipale allée de ce Bois répond vis-
à-vis Ie Palais, en sorte qu’en ou-
vrant une grille qui ferme le jardinr
cette allée fait une perspédbive d’au-
tant plus agréable, qu’on apperçoit
un enfoncement d’arbres Scunefon-
taine au bout, dont sombre & h
fraischeur ont quelque chose de tres-
délicieux.