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https://doi.org/10.11588/diglit.62777#0079
von
4i
du noyau en etat, obfervant d’y laifler des
cfpaces, pour y pafler la main, & y mettre les
terres du noyau, & les gäteaux dont je parlerai
ci - apres j & dans les endroits, oü ces terres
pendent au-deifous de l’annature, par exemple
fous le ventre du cheval, on met des crochets
en maniere de S, qu’on accroche par le haut
aux fers de l’annature, & dont le bas defcend
jufques contre les cires, afin de lier les terres
du noyau & empecher qu’elles ne tombent
dans le vuide de la cire, lorsqu’on l’a retiree:
Apres quoi, on employe ladite compofition du
noyau detrempee, enforte qu’elle ait un' peu de
confiftence: on l’applique für les cires avec les
doigts, par couches d’environ un quart de pouce
d’epaiifeur, que t’on a foin de fyire parfaite-
inent fecher, en mettant des rechauds de feu en
dedans, continuant ainfi de couche en couche,
& mettant pour avancer l’ouvrage, aux en-
droits qui le peuvent permettre des gäteaux
faits da la meme compofition, qui ont environ
quatre pouces en quarre & neuf lignes d’epaif-
feur, que l’on a bien fait fecher au feu, & que
l’on pofe für leur plät avec ladite compofition
liquide, faifant tout fecher ä mefure avec du
feu, qu’on entretient nuit & jour , obfervant
qu’il ne foit pas trop violent, parce qu’il feroit
fondre les cires. Ön a continue de la forte,
jufqu’ä ce que le noyau ait eu au pourtour de
cires, environ fix pouces d’epaiifeur; ce qui a
recouvert en dedans tous les fers de l’armature.
Apres cela on a pofe un rang de brique en ein-
4i
du noyau en etat, obfervant d’y laifler des
cfpaces, pour y pafler la main, & y mettre les
terres du noyau, & les gäteaux dont je parlerai
ci - apres j & dans les endroits, oü ces terres
pendent au-deifous de l’annature, par exemple
fous le ventre du cheval, on met des crochets
en maniere de S, qu’on accroche par le haut
aux fers de l’annature, & dont le bas defcend
jufques contre les cires, afin de lier les terres
du noyau & empecher qu’elles ne tombent
dans le vuide de la cire, lorsqu’on l’a retiree:
Apres quoi, on employe ladite compofition du
noyau detrempee, enforte qu’elle ait un' peu de
confiftence: on l’applique für les cires avec les
doigts, par couches d’environ un quart de pouce
d’epaiifeur, que t’on a foin de fyire parfaite-
inent fecher, en mettant des rechauds de feu en
dedans, continuant ainfi de couche en couche,
& mettant pour avancer l’ouvrage, aux en-
droits qui le peuvent permettre des gäteaux
faits da la meme compofition, qui ont environ
quatre pouces en quarre & neuf lignes d’epaif-
feur, que l’on a bien fait fecher au feu, & que
l’on pofe für leur plät avec ladite compofition
liquide, faifant tout fecher ä mefure avec du
feu, qu’on entretient nuit & jour , obfervant
qu’il ne foit pas trop violent, parce qu’il feroit
fondre les cires. Ön a continue de la forte,
jufqu’ä ce que le noyau ait eu au pourtour de
cires, environ fix pouces d’epaiifeur; ce qui a
recouvert en dedans tous les fers de l’armature.
Apres cela on a pofe un rang de brique en ein-