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[No. 11 - No. 20]
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or/os7&N^s.E. os ZsTy^x^rrRy,'
TI*7
qucs rcctrerches qu'it aie faites. Tets sont
entre-autres Czambor , /irr /ej rrzeMax ; Wi-
gand , /òr Ax rnésrztrx 6* /irr Ax /r/x ; Sreynius,
/;rr /rr cacAerrr/A rèe Po/ogrrx ; Hartmann qui
s'est occupé drr /rrrern ; Fischer , drx ^rerrex
<Je /a srr^è ; Hetwing qui a écrit sur tes
pArrrx d'.dngcréorrry; HeinAus , /àr é'A/a*.',
&c. En un mot , sAuteur s'cA propose
d'ouvrir ]a carriere & d'indiquer en quel-
que sorte ia route , à ceux qui dans-ta sutte
voudront approfondir t'hiAoirc naturetic de
Fotogne. Ceti dans cette vue qu'it a rap-
porté , d'après des ouvrages ou très tares ,
ou peu connus, ce qu'it y a trouvé de pius
intéreilanr. A ta suite des citations ti s'-A
permis d.s réftexions qui iui out paru de-
voir être vrai ment utiies. "Je serots trop heu-
reux , dit it , si ces réHexions donnoient
tien ou à des réfutations avan.'agcuses au
progrès des scicnccs dans ce pays, ou à des
idées neuves & pius importantes que tes
miennes, n
Dans tes premieres pages de ce votume
eA une tettre à M D. , en tui envoyant ia
traduAion du poème intitulé ta Aiy/èr'rA ,
te premier des poèmes qui ait paru en Fo-
togne. Dans cette tettre , on sit une déci-
Aon hardie , c'eA que t'Auteur par sou
Ay'e reitèmble à Feneton. Cette reltemblance,
fùt-este très imparfaite , honorcroit inAni-
ment te Poète. M. Dubois en a porté un
jugement ptus juste. Ce poème, dit-it, eA
ptus nobte 8c inAniinent mieux écrit que ta
/cc/rsg rapita ; it renferme ptus d'intérêt &
de gaité que te Frrsrin ; it eA moins futtie
&: auslt agrcabte que Ververt. H forme une
nuance entre t'or/gndo /irrr'o/ô & ta /êccéA.
Mais it cA supérieur à ces deux poèmes par
t'ordre dans teptan, par ta pureté du coto-
ns , 6c par cet art d'inArurrc en amusant
que te vieittard de Ferncy a tendu te ca-
rattere mAinAif du XVIH Aëcte.
Dans ce même diseours préti'minairs en
^orme de tettre , M. Dubois parte avec au-
tant de force que de raison , de ta néces-
sité de h totérance pour tes progrès des
connoistances humaines , & c'cA a ce sujet
qu'it fait t'éioge de Feneton, qui fut, com-
me t'on sait, t'Apôtre de ta charité. Pour
démontrer que tes tatens & tes iumicrcs
sont toujours en raison des degtés de cette
totérance , it se fonde sur t'hiAoire titréraire
de ta Potognc, & sui t état des arts qui yjdeu-
sirent sous tes Rois tolérans, tets que Ca-
N*. !J.
Amir te grand , Stgismoud , AuguAe & Sta-
nistas-AuguAe. ît prouve par tes faits que
dès que te trône a été occupé par des Prin-
ces into!érans,se gènte eA tombé dans te
ptus téthargique adoupisièment,
n Maintmatit, dir M. D., de ta Neva jus-
qu'au Tage , on voit des citoyens sur tes
trônes ; ptus de Tournois , ptus de Croisadcs:
tes Souverains se dtsputent à qui se fera te
ptus armer , à qui fera te ptus de bien à
Fhun.auité. c On ne coi pas trop ce que
font ict tes rournois ; pasfe pour tes Croi-
sades : eties s'jpposent nécestarrcment A nota
de ta barbarie Jumoins de ia Aupiditc ;
ma s tes Princes diAingués par leur huma-
nité peuvent avoir au Ài beaucoup de goût
pour tes Tournois.
A ta suite d'un é'oge auslt brittant que
mérité du Roi de Prede, hL D. prouve que
ia hbetté de ta prede eA une suite nature!!:
de ta totérance. n Et cette tiberté, dit-it , a
tes bornes comme ta totérance. La répubti-
que des lettres cA comme toutes tes répu-
bliques ; te peupte y eA pius nombreux que
tes citoyens diAingués ; & ce penpte con-
fond ptesque toujours ta ticence avec ta ii-
bsrté... Quand je yois une brochure éphé-
mère déchirer à JsxAex derrrx, ( tes bettes
dents tsune brochure reiiemhtent de bien
près aux Arnrrx yeax rée /a enotere. ) dé-
chrrer un homme de mérite , & qu'au heu
d'une critique modérée & juAe, je trouve
une satyreadreuse, & des personatirés qui
te sont pas moins , je dis, voda de ta tqtèncc.
Je pardonnerots volontiers à ta Sorbonne de
detrir uneerrvu/irer chrétien, qui manque A
évidemment au sécond commandement de
ta toi naturette Sc divine , à ta charité . &c n
L'Auteur veudroit iju'indépendamment des
Academies lavantes & littéraires , on fondât
deux socrërés , i'une consrere: au comtr'ercc,
& t'autre auy arcs méchaniques. Ii faR voir
quet avantage ta Fotogne en particuüer rc-
tir.eroit de sembiabics inAirutions. On a dit
que tes climats influent prctque unique-
ment sur tes tatens ; c'cA une erreur dit M.
D- car matgré te climat, ia Fotogne a main-
tenant des Poètes , tels que t'Auteur de ta
Afy/èr'iA , i'Evcqttc Naruswicz , des poètes
dramatiques , tets que te Prince Adam Czar-
torxinski , t'Abbé Rohcmclier, qui pour t'es-
prit , te goût 6c te génie te disputent aux
Poètes méridionaux ( yrrod proAcndavr )
des Peintres d autres ArtiAes diiiirrmés-
B . "
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qucs rcctrerches qu'it aie faites. Tets sont
entre-autres Czambor , /irr /ej rrzeMax ; Wi-
gand , /òr Ax rnésrztrx 6* /irr Ax /r/x ; Sreynius,
/;rr /rr cacAerrr/A rèe Po/ogrrx ; Hartmann qui
s'est occupé drr /rrrern ; Fischer , drx ^rerrex
<Je /a srr^è ; Hetwing qui a écrit sur tes
pArrrx d'.dngcréorrry; HeinAus , /àr é'A/a*.',
&c. En un mot , sAuteur s'cA propose
d'ouvrir ]a carriere & d'indiquer en quel-
que sorte ia route , à ceux qui dans-ta sutte
voudront approfondir t'hiAoirc naturetic de
Fotogne. Ceti dans cette vue qu'it a rap-
porté , d'après des ouvrages ou très tares ,
ou peu connus, ce qu'it y a trouvé de pius
intéreilanr. A ta suite des citations ti s'-A
permis d.s réftexions qui iui out paru de-
voir être vrai ment utiies. "Je serots trop heu-
reux , dit it , si ces réHexions donnoient
tien ou à des réfutations avan.'agcuses au
progrès des scicnccs dans ce pays, ou à des
idées neuves & pius importantes que tes
miennes, n
Dans tes premieres pages de ce votume
eA une tettre à M D. , en tui envoyant ia
traduAion du poème intitulé ta Aiy/èr'rA ,
te premier des poèmes qui ait paru en Fo-
togne. Dans cette tettre , on sit une déci-
Aon hardie , c'eA que t'Auteur par sou
Ay'e reitèmble à Feneton. Cette reltemblance,
fùt-este très imparfaite , honorcroit inAni-
ment te Poète. M. Dubois en a porté un
jugement ptus juste. Ce poème, dit-it, eA
ptus nobte 8c inAniinent mieux écrit que ta
/cc/rsg rapita ; it renferme ptus d'intérêt &
de gaité que te Frrsrin ; it eA moins futtie
&: auslt agrcabte que Ververt. H forme une
nuance entre t'or/gndo /irrr'o/ô & ta /êccéA.
Mais it cA supérieur à ces deux poèmes par
t'ordre dans teptan, par ta pureté du coto-
ns , 6c par cet art d'inArurrc en amusant
que te vieittard de Ferncy a tendu te ca-
rattere mAinAif du XVIH Aëcte.
Dans ce même diseours préti'minairs en
^orme de tettre , M. Dubois parte avec au-
tant de force que de raison , de ta néces-
sité de h totérance pour tes progrès des
connoistances humaines , & c'cA a ce sujet
qu'it fait t'éioge de Feneton, qui fut, com-
me t'on sait, t'Apôtre de ta charité. Pour
démontrer que tes tatens & tes iumicrcs
sont toujours en raison des degtés de cette
totérance , it se fonde sur t'hiAoire titréraire
de ta Potognc, & sui t état des arts qui yjdeu-
sirent sous tes Rois tolérans, tets que Ca-
N*. !J.
Amir te grand , Stgismoud , AuguAe & Sta-
nistas-AuguAe. ît prouve par tes faits que
dès que te trône a été occupé par des Prin-
ces into!érans,se gènte eA tombé dans te
ptus téthargique adoupisièment,
n Maintmatit, dir M. D., de ta Neva jus-
qu'au Tage , on voit des citoyens sur tes
trônes ; ptus de Tournois , ptus de Croisadcs:
tes Souverains se dtsputent à qui se fera te
ptus armer , à qui fera te ptus de bien à
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font ict tes rournois ; pasfe pour tes Croi-
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de ta barbarie Jumoins de ia Aupiditc ;
ma s tes Princes diAingués par leur huma-
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ia hbetté de ta prede eA une suite nature!!:
de ta totérance. n Et cette tiberté, dit-it , a
tes bornes comme ta totérance. La répubti-
que des lettres cA comme toutes tes répu-
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tes citoyens diAingués ; & ce penpte con-
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près aux Arnrrx yeax rée /a enotere. ) dé-
chrrer un homme de mérite , & qu'au heu
d'une critique modérée & juAe, je trouve
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te sont pas moins , je dis, voda de ta tqtèncc.
Je pardonnerots volontiers à ta Sorbonne de
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évidemment au sécond commandement de
ta toi naturette Sc divine , à ta charité . &c n
L'Auteur veudroit iju'indépendamment des
Academies lavantes & littéraires , on fondât
deux socrërés , i'une consrere: au comtr'ercc,
& t'autre auy arcs méchaniques. Ii faR voir
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que tes climats influent prctque unique-
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D- car matgré te climat, ia Fotogne a main-
tenant des Poètes , tels que t'Auteur de ta
Afy/èr'iA , i'Evcqttc Naruswicz , des poètes
dramatiques , tets que te Prince Adam Czar-
torxinski , t'Abbé Rohcmclier, qui pour t'es-
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Poètes méridionaux ( yrrod proAcndavr )
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