Gazette universelle de littérature (1774)

Ann£e 1774-’ Num. 15.
AU X DEUX-PONTS
A KEC PRIVILEGE


GKT&TTK UNIVERSELLE
De Litteratuke.

SCIENCES.

Mechaniqu s.

CLAIRCISSIMEUTS
sür !'Invention , la
theorie , la conßruc-
tion & les epreuves
des nouvelles machi-
nes propofees en
France , pourla de-
termination deslon-
gitudes en mer par
la mesure du temps.
Servant de suite a l’ejfai sür l’horlogerie ,
au traite des horloges marines, & de re-
ponse d un ecrit qui a pour titre : precis
des recherches faiies en France pour la de-
termtnation des longitudes en mer par la
mesure artißcielle du temps. ; par M. Fer-
dinand Berthoud , Horloger Mechani-
cien du Roi & de la Marine , ayant l’ins-
pe&ion de Ja constru&ion des horloges


marines, & Membre de la Societe Royale
de Londrcs, avec cettc Epigraphe :
Semper ego auditor tantum ? Numqu am ne reponam
Kexatus todes?
JüVIN.
A Paris chez Musier fils, Libraire, Quai
des Augustins a S. Etienne, z'n-4®.
Cec ouvrage mettra les Lefteurs au fair
de la controverse qui s’est clevce entre M.
Berthoud, & M. le Roi 5 tous deux re-
vendiquent diverses inventions relatives
aux horloges marines. M. le Roi dans un
precis des recherches faites en France pour
la determination des longitudes en mer
par ces horloges, pretend qu’il y est par-
venu avant M. Berthoud , que la decou-
verte du mechanismc de ces horloges est
le fruit de ses veilles , que belle q ;'il a
presentec ä l’Acad^mie eft la meillcurc
qui ait para. C’est ä ces trois assertions
que son adversaire sc propesc de re'pön»
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