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Avis au lecteur
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AVIS AU LECTEUR.
VII
Citer tous les noms propres contenus dans un volume, avec l’indica-
tion de la page où se trouve chacun d’eux, telle est la base d’une Table
bien comprise. Mais ce simple rappel ne suffit point aux érudits,—qui seuls
consultent les Tables et sont, à l’ordinaire, justement avares de leur
temps. — Fallait-il exposer l’historien de Watteau ou de Jean Goujon, en
quête d’un renseignement biographique, à ne trouver que la mention
d’un portrait de ces maîtres aux pages que nous lui conseillions d’ouvrir ?
L’artiste de nos jours, qui cherche un document iconique sur Colbert ou
Guizot, devait-il consulter, à vingt reprises, la collection de la Galette
pour ne trouver que des notes historiques sur la personne de ces hommes
d’État ? — Non.
Tout personnage cité au cours des volumes résumés ici se trouve rap-
pelé en lettres capitales à son ordre alphabétique.
Tout portrait ou monument rappelant un personnage quelconque,
mentionné dans la Galette, est indiqué en lettres italiques.
Toute œuvre d’art reproduite dans les vingt-trois tomes de la collection
est consignée en lettres italiques à la Table des gravures.
Tout artiste, auteur de l’œuvre originale reproduite, ou de l’estampe
faite d’après cette œuvre, est nommé, en lettres capitales, à la Table des
gravures.
Les noms de lieux sont en caractères romains.
Des abréviations, dont l’index est placé en tête de chacune des deux
Tables qui suivent, permettent de reconstituer d’un coup d’œil, à défaut
d’autre renseignement, la personnalité de l’artiste. Toutefois, nous nous
sommes borné, volontairement, à ne qualifier chaque artiste dont il est
parlé ici, que d’après l’art dont la pratique se trouve mentionnée dans la
Galette. C’est ainsi que le nom de tel maître est suivi de la seule abré-
viation P (peintre), s’il n’est cité dans la Galette qu’à l’occasion de ses
œuvres peintes, bien que ce même artiste, dans plusieurs cas, ait été
non seulement peintre, mais encore architecte ou sculpteur.
Il est certaines mentions d’un ordre spécial et d’une importance
exceptionnelle pour les érudits qu’il convenait de leur signaler : nous
voulons parler des titres de volumes ou brochures ayant pour sujet la
monographie d’un maître ou d’une œuvre d’art. Ces travaux sont indi-
qués dans notre Table, par le mot Bibliogr. (Bibliographie), d’abord au
nom de leur auteur, ensuite au nom du personnage ou du monument
qu’ils concernent.
Le commerce des tableaux et des objets de curiosité a pris, à notre
époque, une extension trop grande pour que notre Table n’offrît pas aux
amateurs de prompts renseignements à ce point de vue particulier. Le mot
« vente », répété presque à chaque page, précise le caractère des rensei-
VII
Citer tous les noms propres contenus dans un volume, avec l’indica-
tion de la page où se trouve chacun d’eux, telle est la base d’une Table
bien comprise. Mais ce simple rappel ne suffit point aux érudits,—qui seuls
consultent les Tables et sont, à l’ordinaire, justement avares de leur
temps. — Fallait-il exposer l’historien de Watteau ou de Jean Goujon, en
quête d’un renseignement biographique, à ne trouver que la mention
d’un portrait de ces maîtres aux pages que nous lui conseillions d’ouvrir ?
L’artiste de nos jours, qui cherche un document iconique sur Colbert ou
Guizot, devait-il consulter, à vingt reprises, la collection de la Galette
pour ne trouver que des notes historiques sur la personne de ces hommes
d’État ? — Non.
Tout personnage cité au cours des volumes résumés ici se trouve rap-
pelé en lettres capitales à son ordre alphabétique.
Tout portrait ou monument rappelant un personnage quelconque,
mentionné dans la Galette, est indiqué en lettres italiques.
Toute œuvre d’art reproduite dans les vingt-trois tomes de la collection
est consignée en lettres italiques à la Table des gravures.
Tout artiste, auteur de l’œuvre originale reproduite, ou de l’estampe
faite d’après cette œuvre, est nommé, en lettres capitales, à la Table des
gravures.
Les noms de lieux sont en caractères romains.
Des abréviations, dont l’index est placé en tête de chacune des deux
Tables qui suivent, permettent de reconstituer d’un coup d’œil, à défaut
d’autre renseignement, la personnalité de l’artiste. Toutefois, nous nous
sommes borné, volontairement, à ne qualifier chaque artiste dont il est
parlé ici, que d’après l’art dont la pratique se trouve mentionnée dans la
Galette. C’est ainsi que le nom de tel maître est suivi de la seule abré-
viation P (peintre), s’il n’est cité dans la Galette qu’à l’occasion de ses
œuvres peintes, bien que ce même artiste, dans plusieurs cas, ait été
non seulement peintre, mais encore architecte ou sculpteur.
Il est certaines mentions d’un ordre spécial et d’une importance
exceptionnelle pour les érudits qu’il convenait de leur signaler : nous
voulons parler des titres de volumes ou brochures ayant pour sujet la
monographie d’un maître ou d’une œuvre d’art. Ces travaux sont indi-
qués dans notre Table, par le mot Bibliogr. (Bibliographie), d’abord au
nom de leur auteur, ensuite au nom du personnage ou du monument
qu’ils concernent.
Le commerce des tableaux et des objets de curiosité a pris, à notre
époque, une extension trop grande pour que notre Table n’offrît pas aux
amateurs de prompts renseignements à ce point de vue particulier. Le mot
« vente », répété presque à chaque page, précise le caractère des rensei-