HUGUES SAMBIN.
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de nature déjà à satisfaire notre impatience en attendant que les
chartriers bourguignons aient révélé leurs derniers secrets. Les
recherches qu’y continue l’auteur nous laissent l’espérance de voir
PORTE DU SCRIN DU PALAIS DE JUSTICE DE DIJON (AU MUSÉE DE CETTE VILLE).
prochainement combler, en partie au moins, les lacunes de ses pre-
mières investigations.
Un de ces desiderata a trait au lieu de naissance de Sambin : on ne
l’a pas jusqu’ici déterminé avec certitude. Il ne peut plus guère être
question, à la vérité, de Vienne ni de Blois, et Dijon même doit,
selon toute apparence, renoncer aussi à cet honneur, étant donné,
indépendamment d’autres présomptions, qu’aucun Dijonnais du nom
de Sambin n’apparaît avant 1548 dans les archives municipales,
conservées cependant presque au complet à partir du xve siècle
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de nature déjà à satisfaire notre impatience en attendant que les
chartriers bourguignons aient révélé leurs derniers secrets. Les
recherches qu’y continue l’auteur nous laissent l’espérance de voir
PORTE DU SCRIN DU PALAIS DE JUSTICE DE DIJON (AU MUSÉE DE CETTE VILLE).
prochainement combler, en partie au moins, les lacunes de ses pre-
mières investigations.
Un de ces desiderata a trait au lieu de naissance de Sambin : on ne
l’a pas jusqu’ici déterminé avec certitude. Il ne peut plus guère être
question, à la vérité, de Vienne ni de Blois, et Dijon même doit,
selon toute apparence, renoncer aussi à cet honneur, étant donné,
indépendamment d’autres présomptions, qu’aucun Dijonnais du nom
de Sambin n’apparaît avant 1548 dans les archives municipales,
conservées cependant presque au complet à partir du xve siècle