LES DESSINS FRANÇAIS DU MARQUIS DE CHENNEVIÈRES 411
particulière de M. de Chennevières. C’est à son portefeuille encore
que l’auteur a pu demander l'illustration d’un Essai sur l’histoire de
la peinture française, paru dans L'Artiste et tiré à part (1894),
LA D É VID E U S E , PAR J.-A . DE PETERS
(Collection du marquis de Chennevières.)
comme le catalogue raisonné de ces mêmes dessins, auquel ne
manquent plus que quelques chapitres.
Cette collection avait été primitivement, ainsi que celle des Con-
court, recueillie dans un but exclusif de travail; mais tandis que
les auteurs de L’Art du xviiip- siècle ne remontaient pas plus haut que
Gillot et ne dépassaient pas les toutes premières années de l’Empire,
M. de Chennevières se traçait ou se laissait tracer, par les occasions
particulière de M. de Chennevières. C’est à son portefeuille encore
que l’auteur a pu demander l'illustration d’un Essai sur l’histoire de
la peinture française, paru dans L'Artiste et tiré à part (1894),
LA D É VID E U S E , PAR J.-A . DE PETERS
(Collection du marquis de Chennevières.)
comme le catalogue raisonné de ces mêmes dessins, auquel ne
manquent plus que quelques chapitres.
Cette collection avait été primitivement, ainsi que celle des Con-
court, recueillie dans un but exclusif de travail; mais tandis que
les auteurs de L’Art du xviiip- siècle ne remontaient pas plus haut que
Gillot et ne dépassaient pas les toutes premières années de l’Empire,
M. de Chennevières se traçait ou se laissait tracer, par les occasions