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GAZETTE DES BEAUX-ARTS
Que de portraits exécutés pendant le long séjour à Paris de
l’artiste ! Son Journal, écrit aux premières années du siècle, en
mentionne plusieurs : ceux des frères Paru, de Mme Cambon, de
Mme Lansel, des époux Rozier, etc. Au cours de nos trop rapides
recherches, divers de ces pastels nous sont passés devant les yeux,
œuvres de la maturité du peintre. Madame de Nogent, au château
de Bretenières, nous a surtout frappé par sa bonne grâce, avec ses
boucles brunes à la mode du temps ; les deux portraits de Madame
Adelon et ceux de ses deux (ils, dont P un fut de l’Académie de
Médecine, conservés chez ses descendants. Us témoignent de beau-
coup de conscience et de facilité. Celui du jeune Adelon, engoncé
dans sa haute cravate, daté de 1802, unit le charme de la jeunesse
à l'intensité de la vie.
Bon ROGER PORTALIS
(La suite prochainement.)
GAZETTE DES BEAUX-ARTS
Que de portraits exécutés pendant le long séjour à Paris de
l’artiste ! Son Journal, écrit aux premières années du siècle, en
mentionne plusieurs : ceux des frères Paru, de Mme Cambon, de
Mme Lansel, des époux Rozier, etc. Au cours de nos trop rapides
recherches, divers de ces pastels nous sont passés devant les yeux,
œuvres de la maturité du peintre. Madame de Nogent, au château
de Bretenières, nous a surtout frappé par sa bonne grâce, avec ses
boucles brunes à la mode du temps ; les deux portraits de Madame
Adelon et ceux de ses deux (ils, dont P un fut de l’Académie de
Médecine, conservés chez ses descendants. Us témoignent de beau-
coup de conscience et de facilité. Celui du jeune Adelon, engoncé
dans sa haute cravate, daté de 1802, unit le charme de la jeunesse
à l'intensité de la vie.
Bon ROGER PORTALIS
(La suite prochainement.)