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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 1.1871

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https://doi.org/10.11588/diglit.3249#0125
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L& GRELOT.

LA CENSURE

L'article dans lequel nous avons relaté les circonstances par-
ticulières qui ont accompagné la saisie du Grelot n'a pas passé
inaperçu. Seulement, il est de tradition aux ministères de ne
jamais tenir compte des réclamations ou-des avertissements
de la presse — surtout lorsqu'ils sont fondés. Je n'ai pas ouï
dire que M. Derrien ait obtenu de l'avancement depuis diman-
che dernier, mais, à coup sûr, il reste le grand juge — le seul
et unique — des caricatures politiques.

Les journaux indépendants ont relevé ce que cette situation
peut nous créer d'embarras

Le Soir, par exemple, reproduisant la profession de foi bo-
napartiste de M. Derrien, la faisait suivre des réflexions sui-
vantes :

- Si extraordinaire que. puisse paraître ce langage dans la bouclio d'un
fonctionnaire de la République, il ne nous est malheureusement pas per-
mis de le meure en doute, notre confrère affirmant qu'il a été tenu. Il
convient seulement de savoir comment M. <':asimir Perler l'inlcrprélera ,
et, sur ce point, nous n'avons pas à lui dicter sa conduite.

Que cet exemple profile, du moins, au ministère de l'intérieur, et
qu'on en finisse, une bonne fuis, avec cetle institution vermoulue et fu-
neste de la censure préalable. Kst-il donc si difficile de laisser au crayon
et à la plume la liberté de critique, en se réservant simplement le droit
de poursuivre, avec la dernière rigueur , sur la voie publique et entre
les mains des induslriels du Irotloîr et des passages, les publications et
les dessins obscènes? II se dégage, en effet, du cas présent nue grande
leçon de moralité, dont nous voudrions qu'il lut tenu compte. 11 importe
que la presse ne soit pas à la merci d'un fonctionnaire dont les attaches
sont plus ou moins étranges et les agissements plus ou moins condam-
nables. Quant à ces fonctionnaires eux-mêmes, ils doivent à l'opinion
publique et au ministre dont ils dépendent des explications formelles.

Nous ne sommes pas de ces exagérés qui voudraient qu'à tout gou-
vernement nouveau vînt se greffer une administration' entièrement nou-
velle. Nous comprenons fort bien qu'une administration puisse être in-
dépendante des révolutions , mais c'est tout au moins à la condition
qu'elle ne servira que le régime qui la paye. — Léon Guillet.

Tous nos confrères n'ont pas été de l'avis du Soir.

Ainsi, M. Emile Villemot — la doublure de Francisque Sar-
cey au Gaulois — non-seulement défend la censure, mais ne
la trouve pas suffisamment sévère.

M. Villemot — porter ce nom d'homme d'esprit et patauger
journellement dans les platitudes et les lieux communs !—
M. Villemot (Emile) ne tolère la caricature politique que si-
gnée Cham ou Daumier. Le jour où Cham et Daumier cesse-
ront de dessiner, la caricature politique devra rester interdite.
Et sur quoi ce beau raisonnement est-il basé, s'il vous plaît?

Sur ceci :

C'est que la caricature n'a pas toujuurs l'avantage d'êlre maniée par
des hommes de goût et d'esprit. Lorsqu'elle tombe en de telles mains
qu'elle court risque de devenir un étalage scandaleux de grossièretés im-
mondes et un instrument de démoralisation publique, elle mérite le coup
de balai au même titre que les malpropretés du ruisseau et cie la rue.

Voilà, Monsieur Villemot (Emile), ce que nous appelons du
jésuitisme.

Personne dans la presse n'a défendu les grossièretés et les
malpropretés dont vous parlez. On s'accorde à dire que la cen-
sure n'a de raison d'être que lorsqu'elle interdit les attaques à
ia morale. Mais elle est absolument condamnable si elle devient
un instrument politique.

Or non-seulement la censure, telle qu'elle est dirigée aujour-
d'hui, est cet instrument-là, mais un instrument qui ne sert
qu'aux ennemis de la république — ce qui explique d'ailleurs
pourquoi vous la défendez.

Nous'ne trouverons jamais mauvais qu'on interdise des
dessins obscènes ou simplement grossiers ; — mais nous con-
tinuons à signaler à l'indignation de tous les honnêtes gens la
conduite d'un employé du ministère de l'Intérieur, fonction-
naire de la République, qui emploie les pouvoirs dont il dis-
pose pour servir un gouvernement déchu.

Le Gaulois, journal bonapartiste où M. Thiers est quotidien-
nement conspué, quoi que rédigé en grande partie par des employés
duministère de l'Intérieur, devrait naturellement défendre M.IDer-
rien. Il s'y est mal pris cependant. Nous n'avons pas reproché à
M. Derrien d'interdire les caricatures obscènes—la nôtre n'était
pas de cette famille-là —mais de supprimer les caricatures
anti-bonapartistes, à l'exclusion de toutes les autres.
Exemple :

VEclipse de l'autre semaine publiait un dessin de Gill : Sous-
l'orme, représentant le comte de Chambord, le duc d'Aumale
et Napoléon III attendant l'heure ou le pays, désespéré, récla-
merait l'un deux. Le dessinateur a pu caricaturer Chambord et
d'Aumale, mais Napoléon n'est vu que de dos.

Encore une fois, nous n'avons pas seulement le désir de
plaider la cause des journaux illustrés, qui est la nôtre; nous
voulons surtout combattre les intrigues impérialistes de quel-
ques fonctionnaires de la République.

Il n'y a que les journaux subventionnés par Chislehurst qui
puissent nous donner tort. A. M.

CONSULTATIONS DE MIDI h 2 HEURES

Le docteur Tonneau est arrivé ce matin même d'Angleterre
où il donnait ses soins à un illustre personnage, aussi illustre
que dégommé.

Le docteur revient en France ouvrir son cabinet médical et
chauffer certaine candidature que je qualifierai de bonapar-
tiste.

Heureuse illusion, douce folie !

Ce qui peut, jusqu'à un certain point, excuser le célèbre pra-
ticien, c'est que, soignant depuis si longtemps un ramolli, il a
fini par prendre lui-même quelque chose de la maladie de son
client.

Il est midi moins un quart.

Le docteur pénètre dans son cabinet après s'être informé
à son domestique du nombre de malades qui remplissaient
son salon.

La réponse a dû être satisfaisante, car le docteur est sou-
riant.

A peine entré dans le sanctuaire delà science, le docteur
Tonneau considère quelques instants d'un œil attendri un
aigle empaillé, placé sur ,sa, bibliothèque, puis, prenant un
flambeau, il époussète le volatile avec un soin qui touché à la
religion.

Cette œuvre pieuse accomplie, le docteur prend délicate-
ment l'oiseau et dépose un baiser respectueux sur sa tête dé-
plumée.

Puis, après s'être essuyé les yeux, il ouvre la porte qui com-
munique de son cabinet à son salon.

— A qui le tour?
Semble-t-il dire.

Une sorte de chose, cassée en deux, et flottant dans un habit
deux fois lrop large, se glisse dans le cabinet du docteur.

La chose en question s'affaisse sur un fauteuil et y demeure
immobile.'"

En regardant ce paquet avec une attention soutenue, on finit
par s'apercevoir que ce pourrait bien être un homme.

Cela est pâle, étique, morbide; l'œil est morne, la lèvre
pendante, le sourire idiot.

— Monsieur, demande le docteur, que puis-je faire pour
votre service?

La chose pousse un soupir.

— Ah !... docteur!...

— Eh bien?

— Je suis crevé.

— Crevé?

•— C'est le mot.

— Eh bien, mais alors, si vous êtes crevé, que diable venez-
vous faire chez moi?

— Entendons-nous, docteur. Je veux dire que je suis un
jeune homme qui... que... enfin un petit crevé, quoi.-

— Ah!... bon!...

— J'étais déjà bien malade à la fin du règne de notre bon
empereur, mais maintenant, chaque jour de ce satané système
républicain me conduit au tombeau.

— Comment cela?

— Que ça dure encore deux mois et je claque.

— Ce serait dommage.

—. N'esf-ce-pas? Figurez-vous que l'on ferme les caboulots à
une heure du matin. Pas moyen de se taper un peu passé cette
heure-là. C'est intolérable. Et puis, plus de femmes chic. Deux
ou trois grues tiux premières et c'est tout. J'ai voulu risquer un
camélia à la boutonnière , à l'Ambigu... ah.ben... on m'en a
fait une vie 1... tenez, c'en étaitdégoûlantl... Aux courses, plus
personne... bernique!... c'est d'un toc!„, enfin, il n'y a plus
rien do rienl... ah! si.,, des patrouilles de truffards qui vous
fichent au poste si vous êtes soûl. Est-ce que c'est une vie, cela?

— Pauvre garçon !

— Aussi je ne mange'plus... je ne bois plus... je ne...

— Bien... suflit, j'ai compris.

— Alors voyant que je m'en allais lout doucement retrouver
mes imbéciles d'aïeux, je me suis dit : il n'y a que le docteur
Tonneau qui puisse me faire passer cela. Allons voir le docteur
Tonneau. Et je suis venu. Docteur, sauvez-moi 1... sauvez ce
qui reste de ma belle jeunesse.

—- Hum ! hum !... c'est grave!...

— Ob mon Dieu !...

— Cependant il y a un remède...

— Ah!

— Mais il est violent.

— Je m'en fiche pas mai.

■— Voyons, écoutez-moi bien. En sortant de chez moi, vous
allez vous rendre au bureau de l'Avenir libéral.

— Bon. '

— Vous prendrez un abonnement de six mois.

— Diable !

— Chaque soir vous apprendrez le bulletin politique.

— Docteur!.,, pitié !...

— Avant de vous endormir. Et le lendemain, à jeun, vous le
réciterez à votre domestique.

— Grâce !

— Aimez-vous mieux VOrdre?

— Oh! non, par exemple.

— Trois fois par jour, le matin, à midi et le soir, vous ferez
le tour de la place Vendôme en sautant sur le pied gauche
les lundi, mercredi et vendredi; sur le pied droit les mardi,
jeudi et samedi.

— Et le dimanche?

— Le dimanche, vous ferez le même tour à quatre pattes...
à minuit... pour être moins remarqué, et vous crierez par
trois fois d'une voix éclatante : Vive l'empereur!

— Mais on me collera au violon!

— Qu'importe!... il faut savoir souffrir pour la bonne cause.
D'ailleurs, voire exemple en entraînera d'autres, et dans quel-
que temps, le souverain légitime, de par la voix du peuple, re-
viendra au milieu de ses enfants vous rendre ce régime sain
et fortifiant qui vous remettra tout à fait.

— Docteur, je reste à VAvenir libéral.

— Allez, jeune homme, allez... là est le salut.

La chose cassée en deux se lève péniblement et dispa-
raît.

Le docteur rouvre sa porte.

Entre une adorable créature, emmitouflée de fourrures,
ornée d'un faux derrière monumental, peinte à ravir et coif-
fée d'une toque gigantesque, surmontant le plus fabuleux chi-
gnon qui soit sorti de l'imagination d'un coiffeur en délire.

Le docteur , en reconnaissant la visiteuse , lui avance un
fauteuil avec empressement.

— La duchesse de Sainte-Cunégonde chez moi!...

— Hélas! docteur!...

— Eh, bon Dieu! vous n'êtes pas malade, je suppose?

— Pas précisément; mais ma position est si singulière et si
fâcheuse, par suite des derniers événements, que j'ai cru de-
voir prendre, pour en conjurer les ennuis, conseil d'un

homme aussi éminent que vous. J'ai su que vous é
et je suis accourue.

- Duchesse, vous m'inquiétez... voyons, parlez- miP ,
passe-t-il? ' > 1,le se

—Voilà.

:revenu

tenir

ui?

vous entre-

— A propos, et Sainte-Cunégonde,comment va-t-il 1

— C'est précisément à son sujet que! je voulais vous
nir. ua

— Je vous écoute, duchesse.

— Vous savez, cher docteur, quels ont été mes succès ne„
dantles dernières apnées du régime déchu. Personne ra-
que moi, ne figurait avec plus de réalisme dans ces 'in k^
bleaux vivants qui éiaient la joie de toute une cour de aèn\ a

goût. Vous vous rappelez encore co

le gens dp
?ombien les formes ronrl»
potelées de ht duchesse de Sainte-Cunégonde défrayaient 1

raient

pour une .
qui savez

: qu,and

gazettes. Je pourrais presque dire que pas un coin de ma Wa"
sonne n'av.ait échappé aux lorgnettes de mes admirateurs
nombre desquels je citerai mon mari, qui se réjouissait outre
mesure en contemplant ces trésors dont les autres nV
que la vue.

— Ce cher Sainte-Cunégonde était un raffiné i

— Hélas 1 docteur, qu'il est changé, maintenant'

— Il se pourrait?

— Ce qui me reste à vous dire est assez délicat..
femme... mais vous êtes de ces hommes, docteur','
comprendre à demi-mot, n'est-ce pas?

— J'y tâcherai, duchesse.
_ Fi bien, voilà. Sous cet abominable gouvernement qu'on

appelle la République, il ne faut plus songer à ces fêtes ex
quises. Plus de redoutes, plus de tableaux vivants, plus de ces
aimables exhibitions qui charmaient l'esprit et le cœur de
notre belle jeunesse! Nous nous éteignons, nous nous enter
rons, nous croûtonnons de la façon la plus ridicule. Ah' doc"
leur, si l'on pouvait savoir combien cela trouble de ménages'
Enfin, que vous dirai-je?... Depuis que Sainte-Cunégonde né
m'admire plus, traversant à moitié nue les vastes salons des
Tuileries ou des ministères, eh bien...

— Eh bien?

— Eh bien, Sainte-Cunégonde, autrefois si aimable
nous rentrions...

— Achevez. f

— Docteur... c'est bien pénible...

— Bah! bah!... allez-y donc, duchesse.

— Sainte Cunégonde est d'un froid!... mais d'un froid'.

— J'ai saisi.

— Que faire, alors? que faire pour ramener à moi l'infi-
dèle?

— Une reslauration.

— De Sainte-Cunégonde?

— Non... de ce bon et paternel gouvernement qui rendait
les femmes si heureuses et les maris si... galants.

— Sans doulc. Mais comment?

— Il y a, je crois, une vacance dans le département de la
Vienne; il faut que Sainte-Cunégonde se présente aux élec-
tions.

— Je ne vois pas trop ce qu'une femme...

— Duchesse!... vous irez voir le préfet.'

— Ah!

— Et vous emporterez voire dernier costume de nymphe de
la Seine.

— C'est peut-être une idée, cela.

— Le'duc sera élu, et" une fois à la Chambre... laissez-le
faire. Avant six mois... l'empereur sera rappelé; et vous, du-
chesse...

— Oh! moi, docteur, pourvu que mon pauvre pays soit
tranquille!...

— C'est bien ce que je voulais dire.

— Au revoir et merci, docteur.

— Tout à vous, duchesse, lout à vous.

Le docteur baise galamment la main de la belle mad»me de
Sainte-Cunégonde et la reconduit jusqu'à la porte.

Le client qui succède à la grande dame est «» célèbre bot-
tier.

— Docteur, dit le nouveau venu, je crois que je commence
une jaunisse?

— Voyons la langue... bien... les yeux... très-bien... le
pouls... à merveille. Çay est.

— Sapristi! comme c'est désagréable!... Mais, du reste, avec
le mauvais sang que je me fais depuis un anl...

— Ah! le fait est que le commerce a bien souffert!

— Et si vous saviez ce qu'il souffre encore!... Figurez-vous
que sous l'excellent prince que nous avons perdu, je rendais
mes bottes soixante-dix francs.

— Et çaivous revenait à?...

— Sept francs cinquante.

— Et maintenant?

— Maintenant, on n'en veut pas à vingt-deux. Oh! ça ne peut
pas durer comme ça!... il nous faut l'Empire!... Il nous le
faut!...

— Calmez-vous, mon cher... ça se mijote.

— Allons donc?

— C'est comme je vous le dis.

— Ah!.si vous pouviez dire vrai, docteur!

— Que le commerce nous appuie et l'affaire est dans le sac.

— Il vous appuiera, docteur, il vous appuiera!... et nous
verrons si tous ces polissons qu'on appelle des républicains
pourront empêcher les gens de gagner tranquillement...

— Et surtout honnêtement!

— Comme vous dites, docteur... et surtout honnêtement,
leur existence et celle de leur petite famille.

— Patience !... patience!... ,.

— Mais enfin, docteur, tout cela n'empêche pas que je n aie
la jaunisse.

— Après-demain vous serez guéri.

— Votre parole?

— Je vous le jure.

= Et qu'est-ce qu'il faut faire pour cela?

— Oh ! rien que de très-simple. Comme votre maladie a une
cause toute morale, c'est en traitant le moral que nous la gué-
rirons.

— Très-juste, cela. i

— Il faut donc qu'une forte émotion de joie reinette dans sou
état naturel votre sang troublé par un violent chagrin.

— Parfaitement. • .

— Vous allez donc de ce pas vous rendre aux bureaux uu
Pays, Vous demanderez M. Paul de Cassagnac.



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rester en arrière,

Il ne le pouvait pas,

Par ses soios, un docum
sauvé hors de la poche du pi
Italie, Ces! le compte rendu
lui avait donnée en Corse.

On comprend que nous n'a
ao prk des plus grands sace
des raves,- ce qui sérail d'i
mais pour que les 901,000 k
sauce.

Nous n'avons donc tien di

< Cher cousin,-

«le vous disais Hen que
ça sur ma popularité. J'en
mais ce n'est pas d'anjourd
la conserver intacte qu'à ur

mais en user.

«Enfin.vousiaveïvoulu

«-fequej'allendsde
Part Voue Hîjeslé,ec

tr£; «si que lu ailles en,
11 est impossible qu'avec IV.

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