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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 5.1875

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https://doi.org/10.11588/diglit.6809#0144
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LE GRELOT

gent deviendront, à la longue, aussi innom-
brables et aussi variées gue.celles de, Hanur-
ge. Jusqu'à'présent, lorsque ces dignes.per-
sonnages, à qui en a si bien dit leur fait dans
la séance de la Chambre des communes du 19
juin, sentent le besoin d'inviter l'argent.d'au-
trui à passer dans leurs poches, ils parlent
d'économies, de réformes des chemins de fer,
de, mesures à prendre pour développer les.ri-
chesses immenses de leur pays. Ces ficelles
deviennent un peu usées; iis s'en servent en-
core faute de mieux, mais ils ont senti la né-
cessité d'en investir une nouvelle, c'est d'an-
noncer qu'ils vont donner de l'argent.—Com-
ment, direz-vous, ces quémandeurs perpé-
tuels, habitués à découvrir saint Pierre pour
couvrir saint Paul, vont agir de la sorte? Oui,
et ce qu'il y a de plus étourdissant dans cette
affaire, c'est que l'argent doit sortir des cais-
ses de la liste civile.

Au moment où le Trésor doit, par suite de
sa pénurie, rayer du budget environ 30 mil-
lions d'engagements vis à vis les compagnies
des chemins de fer, il passe par la tête du
sultan de relier Constantinoplepar un chemin
de fer, à Bagdad.

Entre ces deux villes, la distance est tout
au plus double de celle de Paris à Marseille,
1600 à 1700 kilomètres environ. La liste civile
déjà réduite d'une dizaine de millions, en
consacrera, nous dit-on encore autant à la
construction de ce chemin. M. Haussmann
nous ayant appris jad:s, le parti qu'on pouvait
tirer d'une ressource se reproduisant réguliè-
rement tous les ans, nous sommes tentés de
voir dans ces dix millions, l'annuité d'un nou-
vel emprunt.

Avant de présenter au public, cette nou-
velle occasion de faire fortune avec un autre
fonds Turc, on attendra sans cloute que la
Banque ottomane se soit débarrassée sur le
dos ue ce bon public des 612,000 obligation
formant le solde de l'emprunt de 1873 qu'elle
a encore sur les bras. En 1873, M. Haussmann
o lirait ces obligation à 297.50,1e public en prit
500.000. En 1875, la Banque est prête à en
donner auant qu'on lui en demanderaà 260fr.
et même un peu au-dessous. Il est vrai qu'elle
ies a à235 et à 240, c'est-à-dire à 20 et 25 fr.
meilleur marché. Afin d'assurer autant que
possible le succès d'une opération qui en cas
de réussite, laisse 12 à 13 millionsdebénélices
aux intermédiaires, la Banque ottomane a
donné des participations à qui lui en a de-
mandé. Il ne manque plus que les adhésions
du public et on a de bonnes raisons pour
croire qu'il apportera encore ses écus.

fonds péruviens.

Malades, malades, très-malades. On les
avait péniblement relevés à 60, soit encore
à 22 au-dessous de leur cours d'émission,
lorsque des nouvelles vraies ou fausses don-
nées par les journaux anglais sur la situation
actuelle des gisements de guano les ont fyit
baisser au-dessous de 58. Le bon guano,, le
guano pur serait épuisé. Le guano actuel con-
tiendrait 25 O/o à 50 90 de gravier et de. pier-
res. Cela adonné lieu à une foule de cancans.
Nombre de navires auraient refusé de prendre
chargement, et MM. Dreyfus auraient.réclamé
une réduction de 40 90 sur le montant de
leur engagement, .vis-à-vis le gouvernement
péruvien.

MM. Dreyfus viennent de déclarer qu'ils,
n'ont fait aucune demande semblable. (Ce
qu'ils doivent au gouvernement Péruvien;'
mais ils ne contestent pas la pierre etle'gra-'
vier qui se trouvent dans le guano.

Ce n'est pas un fait nouveau; il est même
impossible qu'il eu soit autrement, car, pour
déposer ce guano, les oiseaux ont besoin de
point d'appui. Quand on trouve les pierres à
la surface, on les ôte, mais celles qui sont au
milieu, le triage en est difficile. — C'est pos-
sible, répondent les armateur», mais en
somme, dans chaque tonne de guano dont
nous vous payons le prix à vous, MM. Dreyfus,
il se trouve une demi-tonne de pierre que nous
chargeons pour notre compte.

Et puis, il commence à se raréfier, ce guanc
mélangé. — Comment, se raréfier, répondez,
messieurs Dreyfus, on en charge maintenant
2,000 tonnes, et on en chargera bientôt 3,000
— 300 tout au plus, réplique-t-on. Que le
gouvernement péruvien ose dire le contraire
Voilà où en est le débat entre MM. Dreyfus et
MM. les chargeurs anglais. — Nous savons au
juste qui a raison, il faudrait se transporter
sur les lieux. A tous ies points de vue, les
promenades manqueront d'agréments.

mobilier français.

ippart

et

On parle du retour de M. Ph
même de celui de M. Haussmann.

■ mobilier espagnol. 1

MM.'Pereire se sentiraient suffisamment
dégagés des autres affaires pour recommen-
cer une nouvelle campagne de hausse.

Bien à dire sur les autres grandes valeurs
de calme plat d'avant la guerre. Pourquoi?
c'est que le conseil de régence est composé
de gens très-prudents. Ces parangons de l'es-
prit de mesure ont bien leurs moments d'é-
cart, mais c'est comme banquiers ou admi-
nistrateurs de sociétés de crédit.qu'il leur ar-
rive d'écouter l'adage : Qui ne risque rien, n'a
rien. — Comme régents de la Banque , ils se
gardent bien de se laisser aller à ces sugges-
tions, de peur, disent-ils tout haut, de com-
promettre les intérêts de leurs 'actionnaires, et
tout bas, de se faire concurrence, de méchants
esprits prétendent mener.

ABIEL.

GRELOTS

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Les actions ne montent pas, elles restent
au-dessous de 3,900. Bien que l'encaisse mé-
tallique dépasse un milliard et demi, que la
tranquilité la plus complète règne d'un bout
à l'autre du pays,' et que les nouvelles suc-
cursales ouvertes aient fourni une masse d'af-,
faires compensant^argement les affaires que
que l'on faisait ;avec les succursales de l'Al-
sace-Lorraine. Le portefeuille est tombé fort
au-dessous du chiffre des saisons', que c'est-
là leur raison déterminante. N'en croyons
rien, ou du moins admettons qu'il y a là.exa-
gération.

Il e^t bien plus facile de tirer quelqu'un par la
manche qu'un lapin à vingt mètres, ou un bon parti
d'une action de Vigo.

• +

On ne tombe jamais dans l'erreur que lorsqu'on
lâche la rampe de la vérité.

C'est évident, messieurs, c'est parfaitement évi-
dent.

. +

Savez-vous quelle différence il y a entre le chien-
dent et saint Thomas?

Kh bien, c'est que le chiendent croit toujours et
que saint Thomas ne voulait rien croire jamais.

+

J'ai connu un homme qui employait des quantités
de furaiér pour fumer sa terre, et un autre qui n'eu
employait pas du tout.

Mais par exemple, ce dernier ne fumait que sa
pipe.

v + ».

Je connais un ancien restaurateur qui a conservé
un tel goût pour tout ce qui touche à la cuisine, [que
vous ne pouvez rien lui dire sans qu'il l'épluche.

.■ +
A une table d'hôte :

Premier voyageur; —>Bah! ce n'dst pas si fort que
ça, ce qu'il fait, ce capitaine Boylonl... 11 n'est pas
le premier qui traverse laiManehe !... Moi, j'ai connu
un de mes compatriotes qui l'avait traversée deux
fois, et à la nage tout'simple'ment, cdui-là, saus ap-
pareil I

Deuxième voyigkur. — Oh! moi,j'ai vu beaucoup
plus fort que ça!... Quandje me suis embarqué au
Havre pour me rendre en Amérique, un jeune liomme
se lança à la mer après le Stearn-Boat, et il se mit à
nager avec tant de rapidité que bientôt il nous dé-
passa... de sorte qu'en arrivant à New-York, nous le
trouvâmes sur le'port qui nous attendait... Nous al-
lâmes- prendre l'absinthe ensemble, et puis nous nous
quittâmes pour ne plus nous revoir... Je n'ai jamais
pu savoir qui c'était...

A ces mots, un jeune homme, impatienlé de ces
gaseoiinades, se lève de table et court embrasser le
narrateur, en s'écrianl d'une voix attendrie :

_— Ah! monsieur! souffrez que je vous embrasse!.
C'était moi!...

Il . ■ ' ■ .

Dans un bureau télégraphique, en province.

Le monsieur à l'employé : Monsieur, vonléz-vous
envoyer la dépêche -uivaiite :

« Désormeaux, Gra.id-Uolel, Paris. Je t'apprends
avec douleur mort de notre oncle Pierre. Crois que
nous allons hériter. Ton frère Jacques. »

L'employé, après avoir compte les mots. — H y a
vingt-deux mots. Voulez-vous en effacer deux?
i Le monsieur. — Volontiers. Effacez : Avec dou-
leur. .

' ' , +

Dans une administration de chemin de 1er, un An-
glais venait réclamer le montant d'une malte d'effets,
qui lui avait été perdue par la compagnie. On le prie
d'établir environ la valeur.

— Yeslje avai oune gilelte noar, 2'i fr.
Oune pantalone noar, 45 fr.

— Comment! s'écrie l'employé, 45 fr. un panta-
lon!... mais monsieur en voici un, dit-il, — en dé-
signant un affreux pantalon trop court qu'il portait,
— qui ne coùle que 24 fr. !

— Aoh! yes, mais vous mésé vo été couvert, mais
vo été pas habillé di toute. (Historique.)

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Proclamée la reine de» Liqueur» de table;
c'est le chef-d'œuvre de la distillerie; elle a la
couleur du soleil, l'arôme des bouquets, les
vertus réconfortantes .des plantes généreuses
qui en forment la base. Aucun cordial ancien
uù. moderne ne peut lui être comparé.

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362 Paris__Blot et Bis atné. imprimeurs, rue Bleue, 7|

Le Directeur-G«r*nt, J. M»dh.
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