Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 8.1878

DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.6802#0044
Überblick
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
LU ftRBLOÏ

Voici le sentiment qu'inspirait à Benjamin
Constant cette fonction :

« Aucun écrivain qui se respecte ne consen-
tira jamais à être censeur ».

Jules Janin est un peu pins âpre :

« Dans toutes nos ordures sociales, je n'ai
rien vu de plus hideux qu'un censeur. »

Ajoutons ce petit détail anecdotique :

Quand Raoul Rocl\ette, après avoir été nom-
mé censeur, se présenta à son auditoire pour
faire son cours d'histoire, un bâillon fut jeté
sur son bureau.

C'était bref et éloquent.

La Caricature

Cette pauvrette avait encore droit de cité
chez nous, sous le dernier empire; aujourd'hui
on lui fait une guerre acharnée.

Et cependant la France est sa vraie patrie,
comme elle est la patrie du vaudeville et de
l'épigrammc, tout ce qui est l'essence de l'es-
prit.

Rappelons à M. Pessard, le censeur ordinaire
de la République, ce qu'a dit à ce sujet Jules
Janin, déjà cité, et qui n'était certes pas un
radical :

« La caricature use de son droit en riant de
tout et de toutes choses, et puis, comme elle
n'est dangereuse qu'à la condition qu'elle au-
ra beaucoup de sel et beaucoup d'esprit, et
qu'elle sera très-claire et très-intelligible pour
tous, il faut en conclure que c'est un genre
qu'on ne peut trop encourager, quand bien
même on devrait en être la victime plus tard.

« C'est donc une méchanceté et une panique
par trop grandes de vouloir proscrire ces ma-
licieuses esquisses de la vie humaine dans ce
que la vie humaine a de risible. »

***

M. Emile Olivier — « l'homme au cœur léger »
— à l'époque de sa puissance, n'avait pas cru
devoir refuser au Hanneton la faculté de le ca-
ricaturer.

Il l'accorda avec mauvaise grâce, c'est vrai,
mais enfin il l'accorda.

« Les journaux sérieux, écrit-il à ce journal,
présentent tous les jours au public de telles
caricatures morales de ma personne que je ne
vois aucun inconvénient à ce que vous com-
plétiez leur œuvre en donnant ma caricature
physique. »

Il n'y a qu'une personne que nous excusons
de ne vouloir pas se laisser caricaturer : c'est
notre ami Louis Veuillot; car je suis sûr que
ce saint homme n'a pris cette résolution que
par intérêt pour les femmes enceintes.

La retraite du Figaro

Le journal des cocottes dépose les armes; il
va cesser la guerre qu'il faisait à la Républi
que.

C'est l'onctueux Francis Magnard qui a été
chargé d'en faire l'annonce au public.

En suite de quoi Hippoly te a écrit à son ami
Périvier — à qui ces dames des annonces lé
gères ont donné le gracieux nom de Poil-de-
Briqus — de recruter « dans tous les mondes »
des hommes d'esprit pour faire un Figaro amu-
sant.

Je ne sais si beaucoup de gens d'esprit ré-
pondront à cet appel.

Ce cher Hippolyte, qui jadis était généreux
envers les écrivains qui lui avaient fait faire
fortune, devient — depuis qu'il est plusieurs
fois millionnaire, d'une rapiaterie qui rendra
bientôt des points à celle d'Harpagon.

On attribue la perte de la seule qualité que
le bonhomme possédât à une influence oc-
culte.

Quand je rencontrerai mon ami Poil-de-
Brique, je lui demanderai ce qu'il en est pour
vous en faire part.

***

Comme exemple du genre d'articles qu'il dé-
sire, Hippolyte met la main à la pâte et envoie
à son ami Périvier un article bien étudié sur
la manière de faire un haricot de mouton! 11..

Ça promet, n'est-ce pas ?

***

J'espère bien faire ma partie dans cette nou-
velle transformation du Figaro ; aussi je lui en-
voie, comme échantillon de ce que je sais
faire et comme pendant à son anecdote apéri-
tive, cette nouvelle à la main, que je quali-
lierai de laxative :

Un personnage d'humeur joyeuse allait ren-
dre visite à un de ses amis.

Cet ami, d'un naturel assez borné, souffrait
horriblement d'une colique.

Ne sachant à quel saint se vouer, l'infortuné
demanda à notre homme s'il ne connaissait pas
un remède pour alléger sa douleur.

— Rien de plus facile, dit le joyeux com-
père ; quand ce mal me vient, je mets le doigt
d'une main par le bas, le doigt de l'autre
main par le haut, c'est-à-dire l'un dans la
bouche et l'autre dans l'endroit opposé, et les
changeant ainsi de temps en temps pendant
l'espace d'une demi-heure, les vents se dis-
sipent des deux endroits et je suis soulagé.

Le malade mit en pratique ce remède et s'en
trouva on ne peut mieux.

PICHENETTE.

SEMAINE THÉÂTRALE

Vaudeville.

Le théâtre du Vaudeville a donné cette se-
maine la première représentation des Bour-
geois de Pont-Arcy, l'œuvre nouvelle de M. Vic-
torien Sardou, dont les journaux à la dévotion

de l'auteur-académicien nous ont narré toutes
les phases de la procréation, de la gestation et
de l'enfantement.

Toutes ces indiscrétions, destinées à exciter
le goût blasé du public, laissaient entendre que
le - Bourgeois de Pont-Arcy allaient achever de
porter Sardou aux nues; que sa pièce renfer-
mait une étude psychologique tout à fait nou-
velle, ce qui est vrai, mais admirable de vérité,
ce qui est plus que contestable, et une étude
de mœurs de province dont les traits piquants
devaient anéantir et tuer a jamais le prestige
des trente-quatre millions de provinciaux.

N'en déplaise aux admirateurs passionnés
de M. Sardou, dont nous sommes loin de mé-
connaître le grand talent, il nous semble qu'on
a beaucoup exagéré le mérite de son nouvel
ouvrage.

Les deux premiers actes, voire le troisième,
sont remplis par le défilé des personnages
grotesques, maires sans conviction, iourna-
listes vendus, fausses dévotes, femmes en-
vieuses, jalouses, qui ne sont rien moins
qu'intéressantes et dont la plupart ont déjà été
présentés au public, sur les scènes parisien-
nes.

Quant à l'action proprement dite, elle repose
sur l'exagération d'un sentiment de générosité,
t'rès-louable à coup sûr, mais qui ne trompe
personne et ne peut en aucune manière don-
ner le change au spectateur. En voci la don-
née.

Un fils, sur le point d'épouser une riche hé-
ritière qu'il aime et dont il est aimé, renonce
à cette union qui ferait le bonheur de sa vie,
se laisse accuser et s'accuse lui-même d'avoir
des maîtresses et des héritiers non moins na-
turels au'illégitimes, dans le seul but d'éviter
à sa mère le chagrin d'apprendre que son
mari, dont elle pleure la perte, qui était resté
pour elle le type des maris, le modèle accom-
pli, le phénix des foyers conjugaux, n'était
qu'un mari comme les autres ayant à Paris
une maîtresse et.....ses suites.

Or, si loin qu'on pousse le respect dû à la
mémoire d'un père et la piété filial, il nous
est impossible d'admettre qu'un fils s'expose
ainsi, volontairement, au mépris de tous ceux
qui lui sont chers, pour éviter à sa mère un
chagrin, qu'il rend cent fois plus grand du
reste, en forçant celle-ci de le maudire.

L'auteur le comprenait bien aussi, puisqu'au
dénouement la vérité se découvre et que la
mère pardonne au mari « à cause du fils
qu'il lui a laissé. »

Néanmoins, ces réserves faites, mous nous
empressons de reconnaître que cette situation
plus qu'osée, pour ne pas dire fausse, est dé-
veloppée et présentée avec le plus grand bon-
heur, par M. Sardou.

Le quatrième acte des Bourgeois de Pont-Arcy
est comme développement Se scènes et ex-
pression de sentiment, un pur chef-d'œuvre
qui suffirait à lui seul à faire le succès d'un
ouvrage, ce qui est arrivé du reste.

L'interprétation en est excellente1; aussi
MMes Delaporte, Pierson, Bartet et Céline
Montaland, MM. Berton, Delannoy, Parade et
Joumard ont-ils été très-justement applaudis.

Délassements-comiques.

Le charmant petit théâtre du Faubourg
Saint-Martin n'a pas fermé ses portes depuis
plus de deux mois, et ne semble nullement
disposé à interrompre le cours de ses repré-
sentations.

Nous avons voulu connaître la cause de cet
événement mémorable et quelques heures fort
agréables passées dans cette jolie petite salle
nous ont donné la clef de ce mystère.

Les Délassements-Comiques tiennent un
succès, un grand succès avec la revue de notre
confrère, M. Baric, Oh mince!

Cette pièce est amusante, gaie et spirituelle
et constitue un spectacle des plus alléchants,
ce qui ne s'était pas présenté sur cette scène,
depuis les Tours des Deux Mondes, de notre re-
gretté collaborateur et ami, M. George Pétil-
leau.

JULES DE LA VERDR1E.

Le dernier bal de l'Opéra fut assurément
le plus gai des trois. Bon signe pour le qua-
trième.

0. Métra, toujours incomparable — c'est
même pourquoi Strauss fut décoré — enlève
ses 150 musiciens avec une autorité qu'on ne
saurait lui contester.

London-polka ne laisse pas une jambe tran-
quille.

Grand nombre de costumes nouveaux et fort
originaux :

Sauterelles, Tziganes, Mariées, oui des costu-
mes de mariées, etc., et au milieu de tous une
négresse, une vraie, avec anaeaux d'or aux
bras et aux jambes et un jeune faune ravis-
sant. Somme toute, grand succès et bonne re-
cette.

Chari.es Leroy.

GRELOTS-FINANCE

Il y avait du vrai dans les prévisions des
gens qui disaient qu'en raison des grosses
quantités de rente b 0/0 vendues pendant le
mois de février, la liquidation pourrait se
faire tout aussi bien à 109 qu'à 110, et que la
rente 3 0/0, malgré les arbitrages faits en sa fa-
veur, était exposée à perdre le cours de 7L

C'est en efiet à 109 que la rente S 0/0 est
tombée en liquidation, et cela s'il vous plaît
deux jours après avoir repris le cours perdu de
110. Le 3 0/0 qui avait dépassé 74 est retombé
au-dessous.

C'est la première fois depuis le premier juin,
que la liquidation de fin de mois s'est faite au
profit des vendeurs.

La compensation est assez maigre, mais la
Providence le leur devait bien.
Les vendeurs doivent aussi des actions de

frâce à deux sortes de personnes; 1° aux gros
anquiers qui ont si fort allégé leurs porte-
feuilles, et 2° aux diplomates'russes pour la
persistance de ceux-ci à tenir l'Europe le bec
dans l'eau, au sujet des conditions de paix
qu'ils entendent imposer à la Turquie.

Le cabinet anglais qui a invité lord Napier
de Magdala et sir Garnet "Worsley à se tenir
tout prêts à s'embarquer avec une armée de
60,000 hommes pour les Dardanelles, sait peut-
être quelque chose à ce sujet.

Mais si le cabinet anglais répète encore
qu'on ne sait rien, le Grelot est assurément
bien excusable de ne pas en savoir davan-
tage.

Le lendemain de la liquidation des rentes,
le marché étant plus calme, il y a eu une re-
prise assez belle. Le 3 0/0 est revenu à 74 et
le b 0/0 a 109,:;:;.

ARIEL.

GRELOTS

Les cordonniers qui font le vieux et le neuf
sont des gens dont on peut dire : Ces gaillards
là stmcllent de tout.

*** .

Les bretelles prêtent et les pendules avancent,
c'est bien différent; mais ce qu'il y a de pareil,
c'est que ce n'est jamais de l'argent.

***

Christian, le joyeux Jupiter iïOrphée aux
Enfers, demandait, dimanche, au domestique
de Pluton, de lui donner une tasse de rapi.

— Qu'est-ce que c'est que ça, du rapi?

— Du rapi! eh bien! c'est du thé, puisque
qui dit rapi dit tM.

Le souffleur en a été très-malade.

TRIBOULET.

ROUX EL, ARQUEBUSIER

rue Montmartre, 163, Paris
FUSILS DE CHASSE à bSi«l», I <tp,b u l., pr.

AfliCi.ji .16 élSSÎ tt fin revolvers

a o coups,

dtstii
t tr.

Envoi en province contre remboursement, rulif-

P0RTE-CIGAnESrnffunRÉV0LVERdRpuiK25

IrjETES CHAUVES!..^=.

Rsronssi cmtum et Aim des ehoUi là forfiit).
Eni°i JUSSl reB«>i|iieiB»Qt9 et preuve». Om J««er«.
MALLERON, 85, rnc it RiToli, Paris ^>re« le Lo«"«|

AVENIR PAR LES CARTES

CONSULTATIONS—CORRESPONDANCE
M"" SIRE, 40, Faubourg-Saint-Honoré, <«

MAUX D'ESTOMAC

Folies-Berfçère.— Tous les soirs, à 8 heures,
spectacle varié. Opérettes, pantomimes, acro-
bates, gymnastes.

Alcazar d'hiver. — Spectacle-Concert tous
les soirs, à 7 heures 1/2.

Hippodrome (Avenue de l'Aima). —Leçons
d'équitation tous les jours jusqu'à midi.

«Jardin d'Acelimatation. — Prix d'entrée :
50 cent, le dimanche, i fr. dans la semaine.

Valentino. — Tous les soirs, à 8 heures.
Bal ou Concert.

Élyaée-Itlontniartre. — Tous les mardis et
samedis, Bal de minuit. — Bals masqués, parés
et travestis les jeudis et dimanches.

Ouérison prorapW
et radicale par l*

K'î];SIGEiT.LF"°yFj-0SA1,C0L.0*IB08,r.Lafayette

-Envoi franco parla poste-

PARIS.-PrUiïî.SO.-

IKflflKTlNFIïrF d'aï*», organes faibles, maladie*
in UU1U 111D n uû r»es femmes, guerison par les Dr*'
fiRRS-FRHno-KRooTfcRs de Grimaud. foitiera. c. Phar*

SOMNAMBULE CSi

Visible les mardi, jeudi et samedi, de 2 à 6 b-

IN TFPTIrïMÇ HE1BT. Préserv.infaill. Guéri'
iilU U^j 1 lUlNO en3 jours maladies secrètes 2 f
Suspensoirs. Ph.37, r. Poissonnière. Renseig. gra1

ENCREiMANDARINS

FKB k COMTCinCÀTIVE, DONNANT TROIS COPIES

Véritable Encre des anciens
î NOIRE EN ÉCRIVANT, TOUJOURS LIQUIDE

ne mollissant pas et n'altérant pas las plumes

' Gros : Manufacture H. Gtslain, ingénieur civil
Boulovort de la Chapelle, n* 11, à Parla
DÉTAIL : chez les principaux PAPETIERS

STERILITE DES FEMMES

constitutionnelle ou accidentelle,complètement^
truite par le traitement de madame LACHAPEbL*
maîtresse sage-femme, professeur d'accouchement
— Consultations tous les jours, de trois à ci^
heures, rue Mont-Thabor, 27, près les Tuilerie*'
___f

ÏH ÎFPTTnW tamnim rotRQUEi , Guérit
in«UUlIUil trois jours les maladies coot'

fieuses, récentes ou invétérées, 3 fr. le flacon. <
'harmacie Fourquet,29, rue des Lombards. A 1^
BARBE D'OR. Expédie.

En Vente chez .T. MADRE, rue IVeuve-<leN-I*c<itH-Champs»

L'Art de nager en mer et en riviérei, appris sans maître,
par Duflo. 1 vol. . - 50 c.

De l'Usage et de 1a Politesse dans

le monde, par M" ]" baronne de
FlKKEft. i ▼.....50 c.

Hygiène des Fumeur j, par Lemcr-
cier de Neuville et V. Cochinat.
1 v..........M c.

Nouveau langage des fleurs, des
datnes et des demoiselles, par
>!■• la baronne de Fresne. i v,
orné de 48 gr. col. ... 1 fr.

Le Méritft des remines. Nouvelle
édit. par j Anumeu. i t. 50 c.

L'Oracle des Dames et des De-
moiselles, par Ezéchus. 2* éd.
1 v........... d 50 c.

Grammaire de l'Amour à l'usage
des gens du inonde, par À. Vé-

1iar. if........ 50 c.

Konveau dictionnaire de l'Amour

à l'usage des gens du inonde,
par A. VËMAtt. 1t.,.. 1 fr.

Manuel du Cavalier, ou rétiuitâtion sans maître.
i Toi. avec grav. ... i fr.

Les Jeux innocents de société, par PoisLE-DBSGniNCis.
1 v, orné de ligures. ... 1 fr.

TAWXIl'aV

nouveau Guide pour se marier, par

L.-C., suivi d'un Manuel des par-
rains et marraines. 1 v. . 1 fr.

OUVRAGES

OU DOCTEUR CLÉMENT

Hygiène conjugale, guide des gens
niariôs. 1 v........i fr.

Guide de l'Homme dans les maladies
des voies urinaires et des organes
générateurs. 1 v. avec grav. i fr.

Guide de U Femme dans les mala-
dies de son sexe. 1 v. avec gra-
vures...........1 fr.

De l'Onanisme, par Tissor. Revu et
mis à jour, t v....... 1 fr.

ENVOI FRANCO CONTRE TIIHBRES-POSTE

Nouveau code de l'Amour i fil'
sage des gens du monde, par A'
Vïm*. i v.......bO t'

Manuel complet des jeux de etf
tes, p' Acstinn de Lokgikvii.i*'
1 v........... i fr-

Le Chiromancie, par J. Asmi*"'
t v...........i fr-

L'Art de dira la bonne aventu»*
et de taire les réussites avec It'
caries. 1 v........• 1 fr'

le véritable interprète des se»
ses, par Joseph. 1 v. . . 50 &

L'Ecole de l'Escrime, par J.-**
Bi.ot, ancien maître d'armes &
régiment, suivie du Code à*
Duel, i y........ 1 fr

Gymnastique au salon et au jar-
din. 1 v. avec 40 gr. . . i fr'

Guida complet de la Danae, pjf
Giwlrkovvski , professeur d"
danse. 1 it.......1 fr'

I.e Jardinier des salons, ou l'art de cultiver

les Heurs dans les appartements, sur les
croisées et sur les balcons, par YsiSiiO.
• I v. orné de jolies grav.......fct fr-

NE FAITES PLUS IMPRIMER!

m NOUVELLE PRESSE OE PAUL ABAT

128, rue d'Aboukir (Porte^aint-Denis) PARIS.

pour Imprimer «ol-mëm*, avec une facilité inouï» de 1 à
1,000 exemplaire» : Ecriture, Plant, Destin, Musique, tracés !
avec l'encre sur le papier, comme à l'ordinaire. — SUCCÈS
infaillible GARANTI (g formats). — EXPÉRIENCES PUBLIQUES

SUCCÈS DU JOUR i PETITE IMPRIMERIE A CARACTÈRES '>

Lettres M Chiffrm, Juautnra t Inttruaion. Xrw*t c rmnboummtnt, mandat au itmwes-posta, 05 tr. j

Envols des Prospectus et Spécimens contre ae c. pour l'affranchissement.

Paris. — Imprimerie L. HUGONIS, 56, rue N.-D.-de-Loi ette.

Le Directeur-Gérant : J. Madrk.
Bildbeschreibung
Für diese Seite sind hier keine Informationen vorhanden.

Spalte temporär ausblenden
 
Annotationen