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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 8.1878

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https://doi.org/10.11588/diglit.6802#0086
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LB SBILOT

Ne laisse, pour ainsi dire, plus de doutes, sur la
véracité de la plus grande partie du récit de Fr.

Saroey : ,., ,

11 est certain maintenant que s il y a quelques
détails erronnés,

Tout le fond de l'affaire est vrai, —

Et le Bien Public disait ces jours-ci q le le garde
des sceaux, ministre de la justice, —

Monsieur Dufaure, enfin, —

Puisqu'il faut le nommer par son nom, —

Etait décidé à ouvrir des poursuites,

Et elles ne seront pas inutiles puisqu'il faudra
presque certainement en ordonner également contre
le curé de Planjov. sectateur du curé de Champoly,

Et qui exerce "dans la même matière et avec les
mêmes procédés.

En vérité,

Ces me-sieurs feraient mieux de revenir à leur
vieille méthode :

La seringue intra-utérine chargée d'eau bénite, —
préconisée par tous les embryologistes sacrés.

***

— Pauvre prince !

Et que le gouvernement est cruel !

Ne pas permettre la vue de l'Exposition dont il
aurait fait le plus bel ornement,

A ce jeune Seigneur qui voit peu à peu s'effeuiller
le rosier de ses illusions,

Tomber et s'envoler dans la brise républicaine les
Dugué de la Fauconnerie,

Les beaux Raoul Duval,

Les glorieux Galiffet,

Et qui n'avait plus que ce seul espoir de paraître
devant le peuple attendri, les mouchards en fête, les
sénateurs chassieux et les Marguerite Bellanger
retapées chez les marchandes à la toilette !

Féroce de Marcère,

Gigot sanglant.

Maréchal Judas,

Les malédictions de Cassagnac pèseront éternel-
lement sur vous !

***

Je ne suis pas plus curieux que Bismark,
Mais je voudrais bien connaître le ratapoil rusé
qui a infiltré, dans la cervelle du jeune Oreillard, le
truc qui consiste à se prétendre atteint d'une mono-
manie d<~ visiter l'Exposition ;
Car enfin, la machination était assez bien ourdie,
Et il n'y avait de moyen plus simple.
Et plus anodin en apparence pour ramener la mer-
veille impériale au public parisien,
Faire une propagande effrénée.
Et peut-être,

Si les circonstances s'étaient bien présentées,
Tenter quelque chose !

***

Celui qui avait imaginé ce stratagème,
N'était certes pas un imbécile.
Et il serait intéressant de connaître le nom du pre-
mier journal qui a présenté le magot au public.
L'annonce a dû lui rapporter gros.

***

— On a cité beaucoup de bons mots de Piron,
Mais ceux qu'on a ciiés sont presque tous ordu-

riers,

A l'exception de ceux qui roulent sur l'Académie,
Cependant, il y en a de lui qui sont bien jolis saas
être orduriers,
Et je veux en citer un pour justifier son peu de

mémoire :

Avant d'avoir des pièces jouées au Théâtre-Fran-
çais,

Piron fut obligé d'en faire pour le théâtre de la
foire St-Germain.
Un jour qu'il y donnait :
Les Chimères ou le bonlieur de l'illusion (1725,1,
Qui n'a pas été imprimée, je crois.
Un individu placé à côté de lui, disait :

— Dieu!

Que c'est mauvais 1
Dieu !

Que c'est exécrable !

Qui peut avoir fait des sottises pareilles ?

— Pardon, monsieur,
Lui dit Piron,

C'est moi,

Et je vous prie de ne pas crier si haut.
Parce qu'il y a beaucoup de gens ici qui trouvent
cela bon pour eux !

BRIDAINE.

BOURDES ET MENSONGES

Un certain abbé Maignan, que j'ai le plaisir de
ne pas connaître, se plaignait l'autre jour bien fort,
dans un Rosier de Marie quelconque, de ce que le
peuple mourait de faim.

Que les âmes tendres et miséricordieuses des
prêtres s'émeuvent à la vue des sonffrances des
souffrances des malheureux, cela ne m'étonne
guère.

Ce qui m'étonne davantage, t'est qu'il ne soit
pas encore venu à l'esprit de ces prêtres de re-
noncer aux 55 millions qu'ils touchent annuelle-
ment, somme qui suffirait à soulager d'une façon
notable les souffrances desdits malheureux.

X

Le Nouvelliste de Rouen nous annonce que les
comités catholiques vont chanter un triduum pour
réparer les outrages faits à Dieu par la célébration
du centenaire de Voltaire.

Tous ces calotinophiles me semblent avoir une
drôle d'idée de Dieu et une singulière idée d'eux-
mêmes.

Fait-on une blessure à Dieu, qui, entre autres
propriétés, devrait au moins avoir celle de l'in-
vulnérabilité, immédiatement ils viennent s'appli-
quer sur cette blessure, en qualité d'emplâtres ou

de cataplasmes !

X

Décidément ce centenaire est la bête noire des
idems.

Voici ce qu'en dit Paris-Journal :

A propos de cette ridicule et coupable fantaisie :
le Centenaire de Voltaire, Mgr l'évèque d'Orléans
vient de publier en brochure quatre lettres adressées
à MM. les membres du conseil municipal, où il dé-
montre à coup de citations de Voltaire lui-même et
déjuges irrécusables aux yeux de la démocratie, tels
que Louis Blanc, Victor Hugo, Mirabeau, Brissot,
Laboulaye, Lamartine, Marat, ete., etc., l'insanité;
de cette conception.

Il y a déjà longtemps que le centenaire était jugé.
Mais Mgr Dupanloup a bien fait do le faire expirer
sous les sifflets.

Pauvre Paris-Journal ! Tu verras le 30 mai que
les sifflets de M. Dupanloup n'auront pas fait plus
d'effet que ceux d'un voyou du paradis pendant
une représentation des Fourchambault.

Quant aux juges irrécusables dont tu parles, à
l'avenir choisis-les mieux.

Autant vaudrait placer M. de Pêne en parallèle
avec Jean Hiroux, que rapprocher Louis Élan*, de
Lamartine, Mirabeau de Laboulaye, et Brisât de
Marat '■

***

Ce n'est pas seulement en France que les jour-
nalistes éprouvent le parfait amour de Thémis par
ses plus rudes châtiments.

La Presse libre de Berlin, organe socialiste, a
été frappée en deux ans de suixante-dix-sept mois
de prison.

Aller passer soixante-dix-sept mois de prison
tous les deux ans, cela dépasse Calino, qui allait
passer un mois à la campagne tous les quinze
jours, de plus de coudées que les eaux ne surpas-
saient, lors du déluge, le sommet des plus hautes
montagnes ! HENRY VAUDÉMONT.

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Il est déplorable de constater qu'il a fallu
l'épouvantable catastrophe de la rue Béranger,
pour que nos gouvernants se décident à modi-
fier la loi de 1833, concernant les dépôts de
matières inflammables et explosibles.

Si le gouvernement ne prend en main la
défense et la sécurité des citoyens, ce ne sont
certainement pas les industriels qui s'en occu-
peront.

Que le quartier saute, qu'importe 1 qu'il y ait
des victimes par centaines ou par milliers, la
belle affaire pourvu qu'un monsieur gagne de
l'argent.

Défense de pisser le long du mur, mais
risquer à tuer cinquante personnes d'un coup,
bah !

Cinquante personnes 1 est-ce que ça s'aper-
çoit dans une ville comme Paris 11...

Enfin le nécessaire doit être fait cette fois,
paraît-il, la catastrophe de la Sorbonne ne suf-
fisant pas, celle-ci fait le compte, nous assure-
t-on.

Ce n'est fichtre pas malheureux.

Je ne me demande plus qu'une chose :
c'est à quelle époque on s'occupera d'arrêter
la vente et la fabrication de tous ceo jouets
stupides qu'on met entre les mains des en-
fants, sans souci des dangers qu'on fait courir
à ces pauvres petits êtres si charmants.

Dans leur aaorable naïveté, avec leur bon
sourire si frais, leur babil si touchant, blancs,
roses, potelés, trottinant à peine, quelle pré-
caution peuvent-ils prendre ? Connaissent-ils
le danger.

Alors on leur met dans les mains de sales
jouets mal peints qu'ils sucent inconsciem-
ment, des pistolets à capsules qui peuvent
leur brûler la figure, et mille choses dange-
reuses.

Mais la race des trafiquants, des cametots
gagne de l'argent.

Ces temps derniers, on les bourrait de ces
ces petits ballons idiots susceptibles de s'en-
flammer à la moindre étincelle et capables de
leur brûler les yeux.

Oui, mais des magasins y inscrivaient leur
nom, leur enseigne, cela valait bien qu'on fit
de petits aveugles.

O race cupide, qui donc t'étranglera, toi qui
ne crains rien... pour les autres, pourvu que
se gonflent ton escarcelle et ton ventre.

Et on prétend qu'il existe une société pro-
tectrice de l'enfance I...

Chers enfants, comme on vous trompe !

Charles Leroy.

SEMAINE THEATRALE

Théâtre du Château-d'Eau.

Les artistes du Châtean-d'Eau ont donné,
cette semaine, une vraie première, Populus,
drame en 7 actes de MM. de Trogoff, Fonvrelle
et Hubert.

La pièce est intéressante quoiqu'écrite dans
un style un peu trop déclamatoire et empha-
tique.

Là aussi nous avons à constater un succès
auquel les interprèles et netamment M. Gra-
vier soet loin d'être étrangers.

M. de Villabruine a cependant eu tort de
se faire un titi à la Plomplontl!

Ce César est déclassé et déplacé même pour
la scène du Château-d'Eau.

JULES DE LA VERDRIE.

GRELOTS-FINANCE

Va-t-on bien à la paix?

On commence à le croire uu peu partout.

A Londres, comme à l'uris, à Berlin comme
à Vienne, et mémo à Saint-Pétersbourg.

Dimanche dernier, on allait jiiscm'à parler
de réunion du Congrès pour les" premier?
jours de juin.

Ceci donné, il est tout naturel que le 3 0 n
ait franchi le cours de 74 et soit en marche
pour celui de 75 fr.

Le S 0/o n'a poiut eu autant d'élan. Ou a
bien pu le pousser au-dessus de 110 fr. Une
fois la, ce fond n'a guère eu l'appui du marché
au comptant.

Pour les écus, 110 fr. rime avec conversion.
Ce n'est pas une rime riche, direz-vous. Soit,
mais pour les dits écus, c'est une rime suffi-
sante.

La rente Italienne, après s'être fait un tanti-
net prier, du 13 au 16 mai, elle s'est payé avec
hausse de 1.2b. Après 72, elle a fait 73.2b. Un
instant même on l'a cotée à 73.b0. L'intention
prêtée au cabinet Cairoli d'ouvrir le robinet
des rentes pour y trouver les ressources né-
cessaires pour mener à fin la grande affaire
du rachat des chemins de fer n'a eu presqu'au-
eune influence sur les cours.

Les divers fonds russes ont eu leur bonne
part dans le mouvement de reprise, ce qui
n'empêche pas que je continue à les considé-
rer comme des placements très-dangereux.

J'en dis autant de tous les fonds du saint
empire Austro-Hongrois, dont les coupons,
comme ceux des fonds russes, ne se paient
qu'à l'aide d'incessants emprunts nouveaux.

Il n'est pas jusqu'aux porteurs de fonds
turcs qui n'aient cru qu'avec la paix leurs
tiires cesseraient tout-a-coup d'être purs et
simples chiffons de papier.

Ce sont là des illusions de bonne loi, par
conséquent très-respectables, ne les troublons
pas.

Les fonds égyptiens ont décidément retrou-
vé un marché. On a encore fait gagner une
dixaine d'années à la dette unifiée et à la dette
privilégiée. La première de ses valeurs a
monté de 162 à 174 ; la seconde, de 28b à 29b.

Cela est bien beau, et cela durera-t-il?

Pourquoi pas, si ec qu'on eit des trouvailles
de revenus s'élevant à des cinquante de mil-
lions de francs que la commission de la dette
publique aurait faites est vrai.

Le Crédit foncier est tout particulièrement
intéressé à ce qu'on mette la main sur les res-
sources cachéos du khédive.

Il en a besoin, non pas tant pour remettre
eu état les affaires, petites et grande de ses
actionnaires et de ses déposants en compte-
courants, choses dont le Ministre des finances
se soucie au fond médiocrement, que pour
retrouver les 60 à 70 millions qu'il a prélevés
sur l'emprnnt de 187b, rour les fourrer dans
cette aventure Egyptienne.

Ah 1 on eut bien étonné les souscripteurs de
cet emprunt, si on leur avait dit que leur
argent, avant d'être employé à construire un
nouveau réseau dans l'Est, irait en attendant
faire un tour uans les coffres du khédive, et
en reviendront, Dieu et le diable savent
quand.

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