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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 8.1878

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https://doi.org/10.11588/diglit.6802#0094
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iSt SRILÔ*

«SB

Un jour elle disait à Bois-Robert devant
quelques personnes :

— Vous passez partout pour un athée, pour,
un impie.

— Ah ! madame, répondit Bois-Robert, il ne
faut pas croire tout ce qu'on dit : on m'a bien
conté, à moi, que vous étiez la plus grande dé-
vergondée du monde ; mais je n'en ai rien
cru.

Naïveté» féminine»

Un bourgeois, qui avait une femme assez
naïve, en partant pour un voyage, la pria de
ménager son honneur, lui disant que si elle
ne le taisait pas, il lui pousserait des cornes
au front.

Il partit, mais un voisin, qui faisait les yeux
doux depuis longtemps, sut mettre à profit
cette absence.

Le mari de retour, la dame passe la main
sur le front de son époux :

— Ah 1 le menleur, dit-elle, il n'y a rien.
Un mari disait à sa moitié, dans un moment

de tendre confidence, qu'il n'y avait qu'un
homme dans la ville qui eût une femme
fidèle.

— Quelle est cette femme? dit-elle.

— Mais, ma mie, mieux que personne tu
dois la connaître.

Après un moment de réflexion, elle ajoute :

— J'ai beau chercher, je ne la connais pas.

Charmante répartie

Dans une conversation, une dame s'étant
laissé entraîner par la chaleur du récit un peu
plus loin qu'elle n'eût voulu aller, se réfugia
dans une réticence.

On se récria et, pour piquer son ainour-pro-
pre, quelqu'un lui dit :

— Il faut, madame, que ce soit bien vilain,
puisque vous cherchez à le cacher.

— Croyez-vous, répliqua-t-elle, que je suis
mal faite parce que je m'habille?

Mme de Sévigné n'eût pas mieux dit.

Un mari qui s'en félicite

M. Bigot, — un sot homme, — disait :

— Il est très-avantageux d'avoir une jolie
femme; les affaires vont bien plus vite ; quand
j'ai quelque chose à demander au surinten-
dant des finances Servien, je n'ai qu'à y en-
voyer la mienne, elle est aussitôt expédiée

— Eh 1 eh ! dit M. de "Vendôme, Servien et
moi nous sommes du même temps, et je sais
qu'à notre âge, cela ne va pas si vite.

Heureuse répartie

Une dame qui n'était plus jeune, mais
encore très-belle, se regardant avec complai-
sance devant une glace, disait à sa fille :

— Que donneriez-vous, ma fille, pour avoir
ma beauté ?

— Maman, répondit la jeune personne, ce
que Vous donneriez pour n'avoir que mon
âge.

Fiez-vous aux promesses féminines

La maréchale de Luxembourg était devenue
l'exemple et le précepteur de la bonne com
pagnie, quoiqu'elle ait été, par sa conduite,
bien mauvaise compagnie dans sa jeunesse,
dit le prince de Ligne.

Elle chantait — jusqu'au quatrième vers,
qu'elle marmottait entre ses dents — la elian
son qu'on avait fait contre elle du temps de
son premier mari :

Quand Boufflers parut à la cour,
On crut voir la mère d'Amour ;
Chacun s'empressa de lui plaire,
Et chacun l'avait à son tour.

Soupçonnant le comte de ïressan d'en être
l'auteur, elle lui dit un jour :

— Connaissez-vous cette chanson ? Elle est
si bien faite que si je connaissais l'auteur,
non-seulement je lui pardonnerais, mais je
l'embrasserai de grand cœur.

Et Tressan, comme le renard « par l'odeur
alléché, » de répondre :

— Eh bien, madame la maréchale,[ c'est
moi 1

Aussitôt cette confidence faite, le comte
reçut la plus belle paire de soufflets que
jamais main féminine ait administrée.

X

Voici un mot d'Anne d'Autriche, qui prouve
que cette reine savait apprécier son mari :

Pendant le procès de Chalais, Louis XIII fit
paraître la reine en plein conseil, et là il lui
reprocha d'avoir eu la pensée d'épouser, après
sa mort, son frère, le duc d'Orléans.

Et la reine de répondre avec dédain :

— Je n'aurais pas assez gagné au change.

X

Je ne puis m'arracher de cet amusant vo-
lume ; je suis sûr, ami lecteur, que vous ne
m'en voulez pas.

Ce qu'il faut éviter

Une grande dame disait à son neveu — qui
lui avouait son penchant pour une demoi-
selle qui a la taille d'un grenadier :

— Oh 1 n'épousez jamais une grande
femme ; il y a trop à aimer.

C'était un peu l'avis de ce nouveau marié à
qui l'on demandait pourquoi il avait pris une
femme si petite :

— Je me suis souvenu de ce proverbe :
« Moins on en a, mieux ça vaut. »

X

Et pour que les dames ne croient pas qu'il
n'y a que des traits malicieux dans ce déli-
cieux volume, je termine par ce trait de Male-
herbes, qui aimait beaucoup les dames:

— Dieu s'est repenti d'avoir fait l'homme;
il ne s'est pas repenti d'avoir fait la femme.

Pichenette.

SEMAINE THEATRALE

Porte Saint-Martin

Le théâtre de la Porte Saint-Martin a repris
cette semaine le Tour du Monde en 80 jours.

Bien que cette pièce ait été jouée pendant
plusdedeux années consécutives,soit sur cette
scène, soit sur celle du Chàtelet ; qu'elle ait été
représentée en province et à l'étranger dans
presque toutes les villes importantes, et qu'elle
soit connue à peu près partout et de tous,
nous n'hésitons pas à croire que le drame-
féérie si intéressant de M. Verne ne soit encore
appelé a faire les beaux soirs de l'Exposi-
tion.

Deux éléments nouveaux de grande attrac-
tion ont, du reste, été introduits dans la
pièce !

Un ballet fort gracieux, les Amazones de
Malacca, dansé au 7° tableau — la Fête en
Malaisie — par douze très-jolies dames ita-
liennes ayant à leur tête Mlle Cora Adriani,
qui partage avec Mlle Mariquita les bravos
que le public ne cesse de leur prodiguer.

Et l'exhibition, au milieu d'un magnifique
décor de MM. Chéri et Robecchi, la Forêt de
Samarang, de cinq magnifiques lions présentés
ou plutôi fouaillés et rossés d'importance par
leur dompteur le nègre Macomo. Grâce à l'ha-
bileté des décorateurs, ces animaux semblent
jouir de leur entière liberté sur la scène de la
Porte Saint-Martin ; car des lianes dissimulent
fort ingénieusement les grilles de leur im-
mense cage. Mais heureusement cette liberté
n'est que relative, et les spectatrices et âmes
trop sensibles qui quittent si précipitamment
la salle à ce moment, ont bien tort de se priver
de cet attrayant spectacle.

Les costumes et les décors ont été presque
entièrement renouvelés. Quant à l'interpré-
tation, on n'y a rien changé et le directeur a
sagement agi, et MM. Dumaine, Lacresson-
nière, Alexandre et Vannoy, et MMmes Marie
Loucre et P. Patry mènent cette reprise avec
un entrain remarquable et font preuve du plus
grand mérite.

—0—

Nous prions instamment nos lecteurs d'ex
cuser les fautes typographiques qui ont rendu
nos deux derniers articles à peu près inin-
telligibles , ou plutôt complètement idiots.
Je laisse de côté les précédents... et pour
tant!! 11 ! Ce sont des larmesll! Nos tyrans,
MM. les types, ont promis de ne plus pécher
Nous n'osons croire à ce repentir.

Pourquoi, hélas! ne pas nous avoir mis en
pâte, au lieu de nous avoir ainsi massacré et
taillé en pièces?

Jules DE LAVERDME
■ ■■

Encore quelques heures, et les Folies-Ber-
gère seront la curiosité de tout Paris. Le
jardin sera une véritable merveille. Mais...
n'anticipons pas.

En attendant, le programme entièrement
renouvelé depuis quelques jours fait prendre
d'assaut tous les endroits disponibles de la
saile. Les strapontins font prime, et c'est na-
turel quand on songe qu'il faut, bon gré mal
gré, applaudir et rappeler cinq ou six fois les
Hanlon-lees, dont les exercices fantastiques
surprennent et ravissent; leur agilité, leurs
costumes bizarres et leur adresse inouïe mé-
ritent assurément des rappels successifs.

Les demoiselles Foucart me font souvenir
de cette aventure racontée en sou temps : Un
manchot émerveillé, ne sachant comment les
applaudir, frappait de sa seule main sur le
crâne déplumé de son voisin d'en face :

— Que faites-vous donc ?

Pardon, Monsieur, mais n'ayant qu'une main,
et ces demoiselles.....

—Ah bon ! très-bien, j'y suis, continuez, ne
vous gênez pas, je comprends çà.

Et quand on pense que tout"s'en suit dans
la soirée.

X....

SRELOTS-FlNANCE

La liquidation des opérations engagées
pendant le mois de mai s'est faiLe sur les
rentes françaises, comme sur presque toutes
les autres videurs à des coursdont les haussier-
les plus optimistes sont encore plusémerveillés
qu'eneuautés.

■ Ce qui, bien que ces messieurs gagnent
énormément d'argent, prouve que l'argent
tout agréable qu'il soit à palper, ne fait pas
pour eux encore tout le bonheur.

Pour ne parler que des principaux chevaux
de bataille de la spéculation, mentionnons que
la veille de ia liquidation on a vu le :! 0/0 à
76.28, le S 0/0 à 111.45, l'italien à 7b.70, le S 0/0
russe de 1877, à 85 1/4, le Crédit foncier à 8 i0,
le Mobilier espagnol à 770.

Ces cours doivent-ils se maintenir? Doit-on
les voir s'élever encore plus haut ? Ce sont là
des questions terribles et épineuses, surtout
dans la situation où est l'Europe.

Le recommencement des va et vient de M. le
;omte Schouvaloiîqui retourne à Saint-Péters-
bourg a même déjà engagé bon nombre de nos
gros spéculateurs, qui sont d'ordinaire à la
hausse, à charger leur fusil sur l'épaule.

Ce n'est pas qu'ils se soient mis carrément
à la baisse. Ce n'est pas dans leur tempérament,
mais c'est une éventualité à laquelle ils ont
fait sa part, et soyez-en sûrs, plus le mois
dans lequel on entre sera tourmenté, plus ils
gagneront d'argent et comme toujours c'èst le
menu fretin qui fera les frais de la-bataille.

Ce qui est tout particulièrement étonnant dans
le mouvement de hausse qui vient d'avoir lieu,
c'est qu'il se soit trouvé, en dehors de messieurs
du marché en banque, un nombre suffisant

d'âmes naïves pour prêter la main aux habiles
gens qui ont fait monter les fonds turcs de 50
à 60 0/0.

Quels que soient les cours que I on arrive à
faire coter sur les valeurs, un fait est certain,
c'est que de longtemps la pauvre Turquie ne
sera en état de reprendre le service même
partiel de ses anciens emprunts.

Elle aura assez à faire avec les emprunts
nouveaux qu'il lui faudra contracter. L'argent
qui tient à se conserver n'a donc qu'à se gaider
d'entrer dans ces valeurs, et les écus qui s'y
trouvent déjà feront bien de profiter de cette
hausse inespérée pour en sortir. — La liquida-
tion définitive de l'empire ottoman ne lui don-
nera peut-être jamais ce que la Bourse lui offre
en ce moment.

Des valeurs qui ne sont pas exposées à
perdre les avances qu'elles ont laites, ce sont
les actions et obligations des grands chemins
de fer et des grandes entreprises industrielles.
Que les écus qui y sont, y restent.

Le Crédit mobilier français fait encore peau
neuve. Depuis les 25 francs distribués pour
l'exercice 1872 par l'administration de M. Haus-
smann, on n'a pas touché un centime, et de
plus, le passage de l'administration Philip-
part a déjà coûté 38 millions, et en coûtera
peut-être encore 10 ou plus.

Par conséquent, il n'y a pas de dividende:
espérer tant que cette brèche des iSmilliorio
n'aura pas été réparée.

L'administration a donc jugé le moment
favorable pour amener les actionnaires à se
rendre un compte bien exact de leur situa-
tion, et à ne plus se croire à la tète d'une
action valant 80 millions, lorsqu'en réalité
cette action ne vaut peut-être pas plus de
32 millions.

Les actionnaires sont entrés dans les raisons
de leur couseil d'administration. Ils ont con-
senti à la transformation de la somme sur la
hase d'une réduction du capital social de 80 à
32 millions.

Peut-être ont-ils eu raison.

L'administration, de son côté, leur a promis
que dès l'année prochaine elle pourra reconsti-
tuer ce capital réduit et leur distribuer un
dividende cl au moins o 0/0.

Peut-être a-t-elle eu aussi raison de faire
cette promesse.

ARIEL.

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