n niiH
pour «lia. Pour le renverser, elle s'en va cher-
cher midi à quatorze heures et de l'esprit dans
la prose de La Valett*.
L'athéisme dont il fait preuve en toute cir-
constance ne suffît plus au parti démago-
gique ; un peu de vandalisme lui a paru néces-
saire pour compléter sa collection d'excentri-
cités.
Un jeune fanatique du nom de Raspail, et
qui ne dément pas cette origine, propose à la
Chambre de vendre, au plus offrant et dernier
enchérisseur, les diamants de la couronne de
France, qui forment, on le sait, l'un des plus
beaux ornements de notre Exposition univer-
selle.
Avec ce tact parfait qui distingue l'école à
laquelle appartiennent le citoyen Benjamin
Raspail et ses amis, l'exposé de leur projet de
loi contient la phrase suivante :
« Le moment est d'autant mieux choisi pour
opérer l'aliénation des joyaux de la couronne
que les amateurs pourront, pendant la durée
de l'Exposition, y apprécier ces bijoux de
grand prix. »
Pourquoi ces jeunes vandales n'ajoutent-ils
pas que les tableaux se vendant très bien en ce
moment à l'hôtel Drouot, le moment serait
venu pour mettre en vente nos collections du
Louvre ?
Que deviendrait la France, on se le de-
mande, si, privée de ces richesses artistiques,
elle n'avait plus à montrer aux étrangers,
en fait de curiosités, que M- Benjamin Ras-
pail et les signataires de ce mémorable projet
de loi 1
On se demande d'ahord ce que vient faire
l'athéisme là-dedans. On peut parfaitement ne
pas croire en Dieu et avoir la plus vive
croyance en la valeur des pierres précieuses.
On se demande aussi dans quelle cervelle assez
lézardée a pu naitre l'idée saugrenue d'établir
une comparaison entre les tableaux du Louvre
et une cinquantaine de pierres qui, à elles
toutes, ne pèsent pas une demi-livre, et tien-
draient dans une vitrine grande comme le
plus petit des Meissonnier, ce qui est peu
tenir de place, pour une valeur de cent à cent
vingt millions.
Quant à l'argument tiré de l'ornement d'une
Exposition pour laquelle l'Assemblée s'éprend
d'un amour aussi grand que tardif, sa valeur
est aussi nulle quo la science du Monsieur qui
l'a inventé. " v ,
Ce Monsieur, en se figurant que les diamants
de la couronne sont réellement exposés, s'in-
troduit l'index dans l'œil jusqu'à l'omoplate.
Comme en 1867, les prétendus diamants ne
sont autre chose que des fac-similé en flint-
glass et crown-glass des véritables joyaux.
Le bon public — et môme l'immense majo-
rité des connaisseurs — s'y laissent parfaite-
ment prendre, et admirent le plus sérieusement
du monde cette remarqnable exhibition de
bouchons de carafe.
- 0—
Enfin, je n'ajouterai plus qu'un mot.
J'aimerais mieux en être réduit à admirer
M. Benjamin Raspail sans diamants que
Diarrhée III avec toutes les pierres précieuses
de la couronne de France, et même avec
toutes celles qu'Isabelle essaya de chiper à la
couronne d'Espagne.
Ce n'est pas seulement parce que cela tient
moins de place, mais surtout parce que c'est
moins sale.
h'Union des Scciéth de gymnastique a donné
dimanche dernier, à deux heures, uue grande
fôte dans le jardin des Tuileries.
Après un intéressant défilé, les discours ont
commencé.
Hélas! oui, toujours des discours. En dépit
de ce qu'en disent les opportunistes, — mot
qui rime plus richement qu'on ne pense avec
optimistes, — notre pauvre chère France se
laisse toujours conduire par des phraseurs.
C'est ainsi que M. Plach, « dans une chaude
improvisation, » a acclamé :
Les Suisses, nos maîtres dans la gymnas-
tique et nos maîtres dans la liberté;
Les Belges et les Hollandais, habitués aux
luttes vaillantes ;
Les Italiens, qui savent combien la France
les aime;
Les Anglais, nos amis fidèles...
Tout cela est très-beau, très-entrainant, mais,
à part l'éloge des Suisses, rien n'est moins
mérité.
Glorifier les vaillantes luttes que les Belges
soutiennent habituellement contre le faro et le
genièvre,
Exalter les héroïques combats que les Hol-
landais livrent aux sphères de fromages et aux i
bouteilles de curaçao,
Cela ne fri6e-t-il pas le ridicule?
D'un autre côté,
Rappeler aux Italiens qui lui doivent leur
liberté, plusieurs milliards, et qui se fichent
d'elle, combien notre patrie les aime,
Et traiter d'amis fidèles les Anglais, qui ont
tout reçu de nous, et qui n'ont jamais fait que
nous dépouiller et nous injurier,
N'est-ce pas prêter grotetquement à rire à
ces deux uations, en même temps qu'enraci-
ner dans l'esprit d'ignorants crédules celtt
croyance à de dévouées alliances étrangères,
qui entretient, surtout chez les Français chau-
vins, un enthousiasme qui se change si facile-
ment en découragement complet, lors de la
déception fatalement éprouvée au jour du
danger ?
0 gens sérieux, soi-disant pratiques, roides,
guindés comme des ânes chargés de défroques
de lions, que de sottises vous faites, avec votre
rectitude administrative et votre enthousiasme
ignare à la Prud'homme !
Prétendus sages, que de mal vous avez déjà
fait à la France I Et que de mal vous lui ferez
encore, — soit dit sans arrière pensée de désir
de portefeuille pour aucun des rédacteurs du
Grelot, — si notre patrie ne renonce pas à vous
pour se faire enfin sagement gouverner par
des fous 1
I
Henry VAUDÉMONT.
GRELOTS-FINANCE
La Bourse monte toujours.
Le 3 0/0 est à 76. Le 5 0/0 va vers 112.
La rente 5 0/0 italienne est aussi à 76.
Ce sont là assurément des cours bien hauts,
mais parfaitement justifiés par les perspec-
tives de paix que l'on a devant soi.
Le Congrès va s'ouvrir le 13 courant. On
compte que ce qui s'y fera tournera au profit
de la paix. La Russie et la Prusse seraient, à
ce qu'on dit, tout à fait convaincues qu'elles
ont chez elles assez de chats à fouetter pour
ne pas s'amuser plus longtemps à un jeu qui
pourrait bien mettre l'Europe en feu.
Ces perspectives de paix ont été à peu près
sans influence sur les divers fonds russes. On
pense, non sans raison, que quoiqu'il arrive la
situation financière de la Russie restera pas
mal difficile et embarrassée.
Il est même des gens qui disent que les
cours actuels de ces fonds, qui correspondent à
un revenu de 6 0/0, sont encore beaucoup trop
chers.
Les fonds austro-hongrois ont été un peu
mieux partagés. Ainsi, le florin or autrichien
a monté de 63 à 64.15, et le florin or hongrois
do 76.10 à 78.25.
Pourquoi, direz-vous, cette différence de
fortune entre deux fonds dont le service d'in-
térêt est fait au nom d'un seul et même, Fran-
çois-Joseph ?
C'est tout simplement parce que le florin or
autrichien est patronné par la Banque de
Paris et le Crédit foncier d'Autriche, tandis
que le florin or hongrois l'est par les maisons
Rothschild.
Or, si solides que soient la Banque de Paris
et le Crédit foncier d'Autriche, il y a des gens
qui croient encore plus à la solidité de la
maison Rothschild.
Les pauvres porteurs de fonds turcs conti-
nuent d'avoir la bonne aubaine do trouver
pour leurs chiffons de papier des prix qu'il y
a deux mois, ils n'espéraient guère avoir. —
Cependant ils en profitent peu. Ils attendent
pou)- réaliser que le 5 0 0 soit revenu à 30 fr.,
et les obligations ottomanes à 200. — Ils atten-
dront longtemps.
Décidément, la campagne de hausse organi-
sée sur les fonds égyptiens est une affaire
bien menée. On a beau dire à l'argent tt à la
spéculation qui s'engagent dans ses valeurs :
« Mes amis, vous croyez trop au télégraphe,
vous ne vous souvenez pas assez des mauvais
tours qu'il vous a joués ; avant de monter
comme des fous, attendez donc que la Com-
mission des finances vous ait servi un exposé
bien Officiel de la situation financière. » C'est
chanter à des sourds. On a encore poussé la
dette unifiée de 227 à 245. L'obligation privi-
légiée de 343 à 353.
La nouvelle hausse du Crédit foncier qui a
encore monté de 820 à 810 est la conséquence
du relèvement des fonds égyptiens.
Comhien durera-t-eJle? That is the question.
Les actionnaires des Charcutes qui ne vou-
laient pas voter la dissolution de leur société
il y a deux mois, lorsque leurs titres valaient
encore à la Bourse de 110 et 120 fr., avec pers-
pective d'en valoir 180 à 200 au moment de la
liquidation, ont, maintenant que les titres ne
valent plus que 75 et que les administrateurs
sont muets sur les résultats probables de la
liquidation, voté la dissolution. Les pertes
d'argent qu'ils ont faites depuis deux mois
les ont rendus sages.
ÀRÎEL.
COUPS DE BEC
Au nom du Père, du Fils et du saint Es-
prit, je vous donne... la parole d'honneur de
M. Rouher, que je suis bien de l'avis de votre
seigneur Dupanloup, en particulier, et de tous
les rédacteurs de la Défense en général : Oui,
l'Exposition est une œuvre absolument diabo-
lique et communarde.
Rien ne m'ôtera de la tète que les gens qui
vont prendre du cassis dans un café de l'Ex-
position sont travaillés par une haine sourde
contre leurs propriétaires, et que ceux qui
vont regarder les cristaux de Baccarat ont des
obus cachés dans leurs armoires aux confi-
tures pour les lancer, à un signal donné, sur
la figure des pauv'e? messieurs prêtres.
Le diable seul peut avoir inspiré à des scé-
lérats l'idée d'exposer de la laine ou du savon,
c'est évident.
Comment le Seigneur tout puissant ne se
-entirait-il pas offensé de voir des pois verts
c inservés ou des machines à tuyauter les ju-
puus de femme I
Quand on emmène sa femme au café du
Maroc , on doit assurément mettre le pot-au-
feu le vendredi Saint ; et les gens qui dinent
chez Duval — celui de l'Exposition — ne peu-
vent manquer d'appeler calutins les mmis-tres
de Dieu.
Ça ne peut pas faire plaisir au bon Dieu, c'est
bien certain ; mais, ô douleurl il faut bien le
constater, la perversité, l'amour de la coqui-
nerie a tellement envahi et gangrené {les
masses aujourd'hui, que sans aucun souci des
tourments futurs qu'ils se préparent, des cen-
taines de mille de gens n'hésiient pas entre
leur salut ou leur damnation éternelle, et avec
un cynisme inouï, on les voit aller se faire
rouler dans des petits fauteuils et regarder
des étalages infernaux où il y a des tasses à
café, des bretelles, des armoires à glace et des
chapeaux de feutre.
Heureusement qu'à coté de cette honte, à
côté de ces impies qui donnent vingt sous
pour voir des produits de Belzébuth en per-
sonne, plutôt que de les verser pour l'édifica-
tion de l'église du Sacré-Cœur, heureusement,
dis-jc, nous avons la joiede trouver perdus dans
cette tourbe, des gens chouettes qui organisent
des banquets catholiques.
Il en pleut, Seigneur, soyez béni I car pour
nous, il n'y a réellement qu'en mangeant de
la julienne avec religion qu'un pays peut se
relever, et pour peu qu'on mange du fromage
de brie saintement, on ne me retirera pas de
la cervelle que rien n'est à craindre pour uu
pays comme le nôtre, y compris Vaugirard et
IGrenelle.
Du reste, avec des inspirateurs dévols, avec
* des messieurs prêtres tous honnêtes,comment
pourrait-il en être autrement?
Vous allez me dire: Mais on vient d'arrêter
un de ces messieurs là: l'abbé Jacques Rigaud,
curé de la commune de More! (Aude), prévenu
de nombreux attentats à la pudeur ; qu'on
poursuit le curé de Martigny Ain ; pour la
même peccadille; que l'abbe Pasquier, curé du
village de Borne! Oise', est arrêté sous l'incul-
pation de détournement de mineure, etc ; ils
ne représentent donepas tous tellementl'hon-
nèteté que vous nous vantez I
C'est possible, répoudrais-je, si on me disait
cela, je pourrais vous applalir eu vous prou-
vant que si tout de même, mais seulement
pour vous vexer, je ne vous répondrai pas.
RENÉ LEBRUN.
GRELOTS
Soignez donc l'éducation de vos enfants !
Toto est constamment sous l'œil de sa ma-
man; comment se fait-il que l'autre jour, invité
à embrasser uue dame qui possédait une dent
de inoins, il se soit refusé à ce galant exercice
en murmurant :
— Non! j'veux pas! elle a une chaise qui
manque dans sa salle à manger.
Flatteurs, ces maris!
— Ernest, achète-moi donc cet éventail, dis,
veux-tu, mou chéri?
— Un éventail! Ah ça! tu ne te trouves donc
pas assez éventée comme ça?
Il y a des gens qui nu sont pas militaires,
parce qu'ils ont une certaine manière de voir.
Ainsi, voyez les borgnes !
TRIBOULET.
I'oll«-n-n<T^<Tc*. — Tous les soirs, à 8 heures,
spectacle varié. Opérettes, pantomimes, acrobates,
gymnastes.
Jardin d'Acclimation. — Concerts le Dimanche
et le Jeudi de 3 heures à 5 heures. — Prix d'en-
trée : 50 centimes, le dimanche, 1 franc dans la
semaine.
Concert de l'Orangerie. — Jardin des Tuile-
ries, terrasse du bord de l'eau. — Orchestre de
80 musiciens. Chefs d'orchestres : ARBAN et le
maestro hongrois KELER-BELA.
Coneert de l'Horloge ( Champs - Élysées ). —
Troupe hors ligne.
Jardin Manille. — Tous les sois, Grande Fête.
Sknting-Concert. — 15, rue Blanche. Ouvert
tous les jours de 9 heures du matin à minuit.
Skating-Palais. — Avenue du Bois-de-Boulo-
gne. Ouvert tous les jours. Chef d'orchestre :
O. METRA.
Chàteau-nonge. — rue Rochechouart. Ouvert
tous les soirs. Fête de nuit les lundi, mercredi,
Jeudi, Vendredi et samedi.
EjuYSÉE MONTMARTRE. — Soirée musicale
et dansante les mardis, jeudis, samedis et
dimanches. — Feu d'artifice. — Jeux de toutes
sortes. — Splendide éclairage. — Tombola
pour les dames.
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recueillis ans sources officielles.
Ministères. — Ambassades et Consulats. —
Mairies et Justices de Paix. - Commissariats
de Police. — Service et tarifs des Postes —
Service et tarifs du Télégraphe. — Établis-
sements financiers. — Service des Voitures.
— Itinéraire de Tramways. — Principales
curiosités a visiter, etc.
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Le Directeur-Gérant : J. Madrb.
pour «lia. Pour le renverser, elle s'en va cher-
cher midi à quatorze heures et de l'esprit dans
la prose de La Valett*.
L'athéisme dont il fait preuve en toute cir-
constance ne suffît plus au parti démago-
gique ; un peu de vandalisme lui a paru néces-
saire pour compléter sa collection d'excentri-
cités.
Un jeune fanatique du nom de Raspail, et
qui ne dément pas cette origine, propose à la
Chambre de vendre, au plus offrant et dernier
enchérisseur, les diamants de la couronne de
France, qui forment, on le sait, l'un des plus
beaux ornements de notre Exposition univer-
selle.
Avec ce tact parfait qui distingue l'école à
laquelle appartiennent le citoyen Benjamin
Raspail et ses amis, l'exposé de leur projet de
loi contient la phrase suivante :
« Le moment est d'autant mieux choisi pour
opérer l'aliénation des joyaux de la couronne
que les amateurs pourront, pendant la durée
de l'Exposition, y apprécier ces bijoux de
grand prix. »
Pourquoi ces jeunes vandales n'ajoutent-ils
pas que les tableaux se vendant très bien en ce
moment à l'hôtel Drouot, le moment serait
venu pour mettre en vente nos collections du
Louvre ?
Que deviendrait la France, on se le de-
mande, si, privée de ces richesses artistiques,
elle n'avait plus à montrer aux étrangers,
en fait de curiosités, que M- Benjamin Ras-
pail et les signataires de ce mémorable projet
de loi 1
On se demande d'ahord ce que vient faire
l'athéisme là-dedans. On peut parfaitement ne
pas croire en Dieu et avoir la plus vive
croyance en la valeur des pierres précieuses.
On se demande aussi dans quelle cervelle assez
lézardée a pu naitre l'idée saugrenue d'établir
une comparaison entre les tableaux du Louvre
et une cinquantaine de pierres qui, à elles
toutes, ne pèsent pas une demi-livre, et tien-
draient dans une vitrine grande comme le
plus petit des Meissonnier, ce qui est peu
tenir de place, pour une valeur de cent à cent
vingt millions.
Quant à l'argument tiré de l'ornement d'une
Exposition pour laquelle l'Assemblée s'éprend
d'un amour aussi grand que tardif, sa valeur
est aussi nulle quo la science du Monsieur qui
l'a inventé. " v ,
Ce Monsieur, en se figurant que les diamants
de la couronne sont réellement exposés, s'in-
troduit l'index dans l'œil jusqu'à l'omoplate.
Comme en 1867, les prétendus diamants ne
sont autre chose que des fac-similé en flint-
glass et crown-glass des véritables joyaux.
Le bon public — et môme l'immense majo-
rité des connaisseurs — s'y laissent parfaite-
ment prendre, et admirent le plus sérieusement
du monde cette remarqnable exhibition de
bouchons de carafe.
- 0—
Enfin, je n'ajouterai plus qu'un mot.
J'aimerais mieux en être réduit à admirer
M. Benjamin Raspail sans diamants que
Diarrhée III avec toutes les pierres précieuses
de la couronne de France, et même avec
toutes celles qu'Isabelle essaya de chiper à la
couronne d'Espagne.
Ce n'est pas seulement parce que cela tient
moins de place, mais surtout parce que c'est
moins sale.
h'Union des Scciéth de gymnastique a donné
dimanche dernier, à deux heures, uue grande
fôte dans le jardin des Tuileries.
Après un intéressant défilé, les discours ont
commencé.
Hélas! oui, toujours des discours. En dépit
de ce qu'en disent les opportunistes, — mot
qui rime plus richement qu'on ne pense avec
optimistes, — notre pauvre chère France se
laisse toujours conduire par des phraseurs.
C'est ainsi que M. Plach, « dans une chaude
improvisation, » a acclamé :
Les Suisses, nos maîtres dans la gymnas-
tique et nos maîtres dans la liberté;
Les Belges et les Hollandais, habitués aux
luttes vaillantes ;
Les Italiens, qui savent combien la France
les aime;
Les Anglais, nos amis fidèles...
Tout cela est très-beau, très-entrainant, mais,
à part l'éloge des Suisses, rien n'est moins
mérité.
Glorifier les vaillantes luttes que les Belges
soutiennent habituellement contre le faro et le
genièvre,
Exalter les héroïques combats que les Hol-
landais livrent aux sphères de fromages et aux i
bouteilles de curaçao,
Cela ne fri6e-t-il pas le ridicule?
D'un autre côté,
Rappeler aux Italiens qui lui doivent leur
liberté, plusieurs milliards, et qui se fichent
d'elle, combien notre patrie les aime,
Et traiter d'amis fidèles les Anglais, qui ont
tout reçu de nous, et qui n'ont jamais fait que
nous dépouiller et nous injurier,
N'est-ce pas prêter grotetquement à rire à
ces deux uations, en même temps qu'enraci-
ner dans l'esprit d'ignorants crédules celtt
croyance à de dévouées alliances étrangères,
qui entretient, surtout chez les Français chau-
vins, un enthousiasme qui se change si facile-
ment en découragement complet, lors de la
déception fatalement éprouvée au jour du
danger ?
0 gens sérieux, soi-disant pratiques, roides,
guindés comme des ânes chargés de défroques
de lions, que de sottises vous faites, avec votre
rectitude administrative et votre enthousiasme
ignare à la Prud'homme !
Prétendus sages, que de mal vous avez déjà
fait à la France I Et que de mal vous lui ferez
encore, — soit dit sans arrière pensée de désir
de portefeuille pour aucun des rédacteurs du
Grelot, — si notre patrie ne renonce pas à vous
pour se faire enfin sagement gouverner par
des fous 1
I
Henry VAUDÉMONT.
GRELOTS-FINANCE
La Bourse monte toujours.
Le 3 0/0 est à 76. Le 5 0/0 va vers 112.
La rente 5 0/0 italienne est aussi à 76.
Ce sont là assurément des cours bien hauts,
mais parfaitement justifiés par les perspec-
tives de paix que l'on a devant soi.
Le Congrès va s'ouvrir le 13 courant. On
compte que ce qui s'y fera tournera au profit
de la paix. La Russie et la Prusse seraient, à
ce qu'on dit, tout à fait convaincues qu'elles
ont chez elles assez de chats à fouetter pour
ne pas s'amuser plus longtemps à un jeu qui
pourrait bien mettre l'Europe en feu.
Ces perspectives de paix ont été à peu près
sans influence sur les divers fonds russes. On
pense, non sans raison, que quoiqu'il arrive la
situation financière de la Russie restera pas
mal difficile et embarrassée.
Il est même des gens qui disent que les
cours actuels de ces fonds, qui correspondent à
un revenu de 6 0/0, sont encore beaucoup trop
chers.
Les fonds austro-hongrois ont été un peu
mieux partagés. Ainsi, le florin or autrichien
a monté de 63 à 64.15, et le florin or hongrois
do 76.10 à 78.25.
Pourquoi, direz-vous, cette différence de
fortune entre deux fonds dont le service d'in-
térêt est fait au nom d'un seul et même, Fran-
çois-Joseph ?
C'est tout simplement parce que le florin or
autrichien est patronné par la Banque de
Paris et le Crédit foncier d'Autriche, tandis
que le florin or hongrois l'est par les maisons
Rothschild.
Or, si solides que soient la Banque de Paris
et le Crédit foncier d'Autriche, il y a des gens
qui croient encore plus à la solidité de la
maison Rothschild.
Les pauvres porteurs de fonds turcs conti-
nuent d'avoir la bonne aubaine do trouver
pour leurs chiffons de papier des prix qu'il y
a deux mois, ils n'espéraient guère avoir. —
Cependant ils en profitent peu. Ils attendent
pou)- réaliser que le 5 0 0 soit revenu à 30 fr.,
et les obligations ottomanes à 200. — Ils atten-
dront longtemps.
Décidément, la campagne de hausse organi-
sée sur les fonds égyptiens est une affaire
bien menée. On a beau dire à l'argent tt à la
spéculation qui s'engagent dans ses valeurs :
« Mes amis, vous croyez trop au télégraphe,
vous ne vous souvenez pas assez des mauvais
tours qu'il vous a joués ; avant de monter
comme des fous, attendez donc que la Com-
mission des finances vous ait servi un exposé
bien Officiel de la situation financière. » C'est
chanter à des sourds. On a encore poussé la
dette unifiée de 227 à 245. L'obligation privi-
légiée de 343 à 353.
La nouvelle hausse du Crédit foncier qui a
encore monté de 820 à 810 est la conséquence
du relèvement des fonds égyptiens.
Comhien durera-t-eJle? That is the question.
Les actionnaires des Charcutes qui ne vou-
laient pas voter la dissolution de leur société
il y a deux mois, lorsque leurs titres valaient
encore à la Bourse de 110 et 120 fr., avec pers-
pective d'en valoir 180 à 200 au moment de la
liquidation, ont, maintenant que les titres ne
valent plus que 75 et que les administrateurs
sont muets sur les résultats probables de la
liquidation, voté la dissolution. Les pertes
d'argent qu'ils ont faites depuis deux mois
les ont rendus sages.
ÀRÎEL.
COUPS DE BEC
Au nom du Père, du Fils et du saint Es-
prit, je vous donne... la parole d'honneur de
M. Rouher, que je suis bien de l'avis de votre
seigneur Dupanloup, en particulier, et de tous
les rédacteurs de la Défense en général : Oui,
l'Exposition est une œuvre absolument diabo-
lique et communarde.
Rien ne m'ôtera de la tète que les gens qui
vont prendre du cassis dans un café de l'Ex-
position sont travaillés par une haine sourde
contre leurs propriétaires, et que ceux qui
vont regarder les cristaux de Baccarat ont des
obus cachés dans leurs armoires aux confi-
tures pour les lancer, à un signal donné, sur
la figure des pauv'e? messieurs prêtres.
Le diable seul peut avoir inspiré à des scé-
lérats l'idée d'exposer de la laine ou du savon,
c'est évident.
Comment le Seigneur tout puissant ne se
-entirait-il pas offensé de voir des pois verts
c inservés ou des machines à tuyauter les ju-
puus de femme I
Quand on emmène sa femme au café du
Maroc , on doit assurément mettre le pot-au-
feu le vendredi Saint ; et les gens qui dinent
chez Duval — celui de l'Exposition — ne peu-
vent manquer d'appeler calutins les mmis-tres
de Dieu.
Ça ne peut pas faire plaisir au bon Dieu, c'est
bien certain ; mais, ô douleurl il faut bien le
constater, la perversité, l'amour de la coqui-
nerie a tellement envahi et gangrené {les
masses aujourd'hui, que sans aucun souci des
tourments futurs qu'ils se préparent, des cen-
taines de mille de gens n'hésiient pas entre
leur salut ou leur damnation éternelle, et avec
un cynisme inouï, on les voit aller se faire
rouler dans des petits fauteuils et regarder
des étalages infernaux où il y a des tasses à
café, des bretelles, des armoires à glace et des
chapeaux de feutre.
Heureusement qu'à coté de cette honte, à
côté de ces impies qui donnent vingt sous
pour voir des produits de Belzébuth en per-
sonne, plutôt que de les verser pour l'édifica-
tion de l'église du Sacré-Cœur, heureusement,
dis-jc, nous avons la joiede trouver perdus dans
cette tourbe, des gens chouettes qui organisent
des banquets catholiques.
Il en pleut, Seigneur, soyez béni I car pour
nous, il n'y a réellement qu'en mangeant de
la julienne avec religion qu'un pays peut se
relever, et pour peu qu'on mange du fromage
de brie saintement, on ne me retirera pas de
la cervelle que rien n'est à craindre pour uu
pays comme le nôtre, y compris Vaugirard et
IGrenelle.
Du reste, avec des inspirateurs dévols, avec
* des messieurs prêtres tous honnêtes,comment
pourrait-il en être autrement?
Vous allez me dire: Mais on vient d'arrêter
un de ces messieurs là: l'abbé Jacques Rigaud,
curé de la commune de More! (Aude), prévenu
de nombreux attentats à la pudeur ; qu'on
poursuit le curé de Martigny Ain ; pour la
même peccadille; que l'abbe Pasquier, curé du
village de Borne! Oise', est arrêté sous l'incul-
pation de détournement de mineure, etc ; ils
ne représentent donepas tous tellementl'hon-
nèteté que vous nous vantez I
C'est possible, répoudrais-je, si on me disait
cela, je pourrais vous applalir eu vous prou-
vant que si tout de même, mais seulement
pour vous vexer, je ne vous répondrai pas.
RENÉ LEBRUN.
GRELOTS
Soignez donc l'éducation de vos enfants !
Toto est constamment sous l'œil de sa ma-
man; comment se fait-il que l'autre jour, invité
à embrasser uue dame qui possédait une dent
de inoins, il se soit refusé à ce galant exercice
en murmurant :
— Non! j'veux pas! elle a une chaise qui
manque dans sa salle à manger.
Flatteurs, ces maris!
— Ernest, achète-moi donc cet éventail, dis,
veux-tu, mou chéri?
— Un éventail! Ah ça! tu ne te trouves donc
pas assez éventée comme ça?
Il y a des gens qui nu sont pas militaires,
parce qu'ils ont une certaine manière de voir.
Ainsi, voyez les borgnes !
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