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19 e ANNÉE — N° 963.

FRANCE : 15 CENTIMES

22 Septembre 1889

BUREAUX

5, cité Bergère, 5

PAKIS

ÂBOHNERIENTS

FKANCE

ÜK AN. 8 li'. »

Six MOIS ... 4 ))

Trois MOIS . . 2 »

15 c le numéro

PARAIT LE DIMANCllK

ADRESSER

Lettres & Mandats à M- J. MADRE

Directeur-G érant

BUREAUX

5, cité Bergère, 5

PARIS

ABONNEHfiENTS

ÉTRANGER

Un an. 1 0 l'r. »

Six mois ... 5 »

Troismois. . 2 50

20 c. le nuinéro

PARAIT LE DIMANCHE

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PHIME GHATUITE

TOUYÊ PERSONNE des IWp»rteme«»«,
des Coîonies ou de l’Ktrnn«er qui ehar»e
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de le réanonner ou d’abonner un tiers à l’un des
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6 mois

3 mois

Art.

60 »

30

))

9

»

Autorité.

25 »

13

)

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Charivari.

)) 9

40

)

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y>

♦Chasse illustrée . .

30 »

15

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Constitmionnel. . .

48 »

24

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»

Défcnse .

♦D'ntrneuvième Siècle
Di^>it.

39 »
24 »

20

12

A

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10

7

»

64 »

32

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16

»

♦Evènement.

64 »

32

»

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*Echo de Paris . . .

45 »

23

x>

12

X>

"‘Estafette.

24 »

12

9

6

9

*Figaro.

78 »

39

»

19 50

♦France .

40 »

20

9

10

y>

*Gaulois.

64 »

32

»

16

9

♦Gazette des Beaux-Arts.

60 »

30

9

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9

Gazette de France.

66 »

35

9

18

»

*Gaz. des Tribunaux

72 »

36

»

18

»

Gil-Blas.

60 »

31

9

16

9

*Illustration.

36 »

18

»

9

»

*Intransigeant. . . .

28 »

15

»

8

»

Journal des Débats.

72 »

36

»

18

9

Journal Officiel. . .

40 *

20

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10

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♦Justice (1).

40 »

20

9

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»

*Liberté.

48 »

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1>

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9

*Monde illustré . . .

24 »

13

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7

f

*Moniteur universel.

60 »

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9

17

»

Mot d’Ordre ....

24 »

12

9

6

9

♦National.

52 »

26

y>

13

»

♦Nouveile Revue. . .

56 »

29

»

15

»

*Paix.

24 »

12

9

6

»

♦Paris.

40 »

20

9

10

»

♦Patrie.

64 »

32

9

16

P

Petit Journal. . . .

24 »

12

»

6

9

♦Petit ûiational . . .

24 »

12

x>

6

»

♦Petites Affiches (1).

45 »

24

9

13

9

♦Petite République .

24 »

12

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6

9

Presse. . . . . .

24 »

12

»

6

9

Radicai. . ....

25 »

13

9

7

9

k*Rapptsl^.

* lRpu&litfü«*i|ranç. ( 1 )
*Revùe illustrée. . .

20 »
40 »
36 »

11

20

18

9

>*

9

6

10

9

»

»

9

*Revue desDeux-Mon

56 »

29

9

15

9

Semaine financière.

12 »

7

9

9

»

Siècle.

64 »

32

9

16

»

Soleil.

22 »

13

9

7

»

Soleil avec suppl iln diunclie

24 »

15

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8

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*Télégraphë.

48 »

24

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12

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- ^Temps .

68 »

34

9

17

9

*Tour du Monde. . .

26 »

14

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9

Univers.

55 »

28

50

15

9

Vie Parisienne . . .

30 »

16

9

8 50

*Voix..

24 »

12

9

6

9

’V oitaire.

40 »

20

»

10

9

Pour letmlonies tt l’ètranger, demander
les pnx mt carte postale.

(1) Par tttfception, lcs abonnès à la Justice,
à la Rèpnowhv:’ française et aux l'etites Affiches,
reçoiventieVre/rf gra uitement uendant toute
la duree de leur abonnement.

M. J. Madre se charge de l'abonnement
sans frais a tous les autres journaux de
Paris.

II n’est pas donné suite anx deman-
dcs d’abonncuients non accompa-
gnCca d’mi niandat-poate on d’nne
valenr à vne ttur Paris.

Adresser les lettres et valeurs au nom de
M. J. MADRE, S, cüe Bergère, à Paris.

GAZETTE DE MONTRETOUT

Les uiitrcs raillciiscs

V’ià c’que c’cst,

C’est bien fait 1

Fallait pas qu’il y aille...

C’est à M. T. Venet, Ministre du Siècle
et rédacteur en chet de la Justice ('pas celle
de Clémenceau) et des Cultes (du Veau d’Or !)

M. T. Venet s’imaginait, le pauvre
homme! quele clergé avait sinou désarmé,
du moins accepté uu certaiu modus vivendi
avec le gouvernement qui le nourrit pen-
dant qu’il nous rit .. au nez !

Elle est forte comme Tom Cannon,
celle-là !

Après le lettre comminatoire du Ministre
des Cultes et du Siècte (journal des athées),
les mitres-railleuses sont parties toutcs
seules.

C’est d’abord l'académicien mitré d'Au-
tun, mossieu l’orléaniste Perraud de son
nom de .roture, qui prescrit à ses ouailles
une neuvaineen laveur des candidats bien-
pensants.

Le brav’fuyard dont le nom salit les
murs de Clignancourt est sans doute dans
la catégorie des amis de l'évêque d’Autun.

C’est également un ami de l’Egüse que
le Foireux en chef du Transigeant-Foutre !

Et Andrieux, dit Moulin sans ISouci, et
Mermeix. ce polisson du Terrail ; quels
piliers du Sacré-Cœur !

Le mitré d’Autun oublie sans doute, en
recommandant les amis de Bouiange-Pitou
aux votes des catholiques, que Naquet est
le père du divorce, que le brav’g’n'r i est
séjparé de sa légitime, que Laguerre et
Vergoin sont excommuniés puisqu’ils out
divorcé, eux aussi, en criant : à bas Pé-
nélope ! et vive Phrynél

II est donc archi-facile de fourrer le nez
dans sa prose à l’acadèmicien, qui se cos-
tume en Dinah-Salifou les jours de di-
manches et de fêtes.

Mais pourquoi diable le Miuistre des
Cultes s’est-il avisé de réveiller l’épisco-
pat qui sommeillait.

Ces gros papelards se sont dit :

On nous écrit, on nous menace, c’est
qu’on a peur de nous, donc nous serions
bien bêtes de ne pas donner au gouver-
nement la petite leçon qu’il a provoquée
par sa circuiaire.

Les initres-railleuses ont pris le soin
d’expliquer à M. T. Venet que les devoirs
du chrétien n’étaient pas incompatibles
avecceuxdu citoyen. Àutrement Monsieur
Freppel serait inéligible à Angers ! Attrape 1

L’archi-mitré d’Avignon va plus loin à
la graude jubilation desfeuilies de joie qui
soutiennent les écailleux de la Boulange.

Ce prélat, qui se nomme Vigne, devait
être dans celles du Seigneur quand il a osé
se moquer du gouveruement d’une faiçon
aussi scandaleuse. Ce Vigne queje trouve...
vignoble, déclare qu'il votera et fera voter
ses ouailles pour les ennemis de la Répu-
blique.

Cuntinuant la série, M. Lavigerie, qui
vient dî nous bassiner en France et en
Angleterre, avec sa croisade anti-boulan-
giste, M. Lavigerie, dis-je, que l’on croyait
conquis à la Republique, lance à son Mi-
nistre un joli coup de pied dans le Culte !

M. Meignan, archevêque de Tours, de-
mande a ce que l’Ëglise soit placée dans
des régions plus sereines (on t’en tlan-
quera, serin I)

M. Dennel (évêque d’Arras), M. Péronne
(de Beauvais), M. Rougerie (de Pamiers)
ne sont pas moins impertinents.

L’un de ces mitrés s’écrie avec un
lyrisme des plus cocasses :

" Le Royaume des cieux est à nous.

Mais sacredié, gardez-Ie donc votre
Royaume des cieux. C’est une part assez
belle sans venir prétendre encore au gou-
vernement d’une naticn, terrestre celle-là,
et qui ne demande qu'à être débarrassée
des oremus et patenôtres de tous ces clo-
doches qui n’ont pas assez des manches de
l’outil pour danser « le pas de la Goulue-
qui-communie. »

Que fera leMinistre des Cultes? Encais-
sera-t-il ses souftlets, où se décidera-il-il à
suppïimer les traitements des insulteurs
de la République?

Qui vivra, verra. Mais nous constatons
avec désolation qu’aucun ministre, pas

mêmè*Jules Ferry, pas même Floquet, n’a
eu le courage de provoquer carrément la
séparation de l’Eglise d’avec FÉtat.

C’est pourtant le seul remède-

Autrement c'est nous qui serons mangés
et goupillonnés par toute la clique du
Vatican qui continueraà nous tirtr des ca-
rottes et à nous demauder deux pâter...
pour un navet

Montretout.
-♦-

TORÉADOR, EN GARDE!

J’ai eu vendre’di une fau«se joie en lisant
dans les journanx, que l’un des taurpaux de
la Gran Plaza de la rue Pergolèse avait dé-
cousu quelques toréadors et picadores....
hélas !

Ge n’était qu’une réclame payée aux jour-
naux quotiiiens par l’administration dont
M. Gautier est le secrétaire, pour faire croire
au public que les courses de la Plaza du Bois
de Boulogne, sont des courses sérieuses.

Bu vérité, ces taureaux apprivoisés, — j’al-
lais dire res veaux avec de fausses cornes, —
n’i ffrent aucun danger et ce n’était guère la
peine de faire venir d’iïspagne Frascuelo et
Lagartijo nour assassiner à petit feu ces ani-
maux inoiTensifs.

Je sais bien qu’on ne tue pas le taureau,
mais c'est tout comme. GVs' le boucher quise
charge, au sortir de l’arène, de donner le coup
de g'âce à ces pauvres bêtes lardées de ban-
derillos et de coups d’espadas.

Joli spectacle et des plus ragoûtants pour le
goût parisien !

Si les Espagnols et autres ralaquouères.pré-
sents à Paris veulent voir tuer des taureaux,
qu’ils ai.Ilentà l’abattoir de Grenelle Ils pour-
ront auss,. par la même occasion, voir égorger
des moütons etsaignerdes porcs. Ils se croiront
en famille!

Lo spectaclo offert aux Français par les en-
trepreneurs des arènes tauromachiques de la
rue Pergolèse est tout simplement dégra-
dant.

II laut que le préfet de po'ice soit action-
naire dans l’entreprise pour ne pas accomplir
son devoir qui lui commande de faire fermer
incontinent ces abaltoirs carnavalesques.

Nou8 jetons feu et flammes contre les An-
glais, leurs box*'urs et leurs combals de coqs,
mais ces coinbat<-là n’ont lieu outre-Maoche
qu’en secret. On se cacbe de la police. Taodis
qu’à Paris ce sont nos piéfets qui patronnent
ces éventrements Ue taureaux, ces ignobles
parades, ces simulacres de boucheries, ces
étripements brevetés avec garantie du gou-
verneineut.

GVsi honteux et nous demandons anx aulo-
rilés de faire leur devoir et de renvoycr de
l’autre coté des Pyrénées tout' s ces vadrouilles
de toréadores et de picadères échappés des
corps de détrousseurs de diligences commaa-
mandés par don Carlos.

Ces spectacles de saog versé démoralisent
un peuple. Les Espagnols sont des sauvages
en Europe- Qu’ilsgardent chez eux leuts veàux
à cornes ei qu’ils conservent leurs Marforis...
pour entier dans i’arène.

Quiquengrogne.

-—4--1-

ZIGZAGS

La périoua électorale bat son plein et le
marlou barbapouilleux

Chaque jour nous amène son contingent de
roanifeste.', de circulaires, de réumons et de
coups de tampon.

En cette période da Cocagne, tous les dé-
classes qui, d’ordinaire, végètent sur l’as-
phalte, trouvent à gagner largement leur
vie.

Soit en collant dés affiches.

Soit en Ls dechirant.

Soit en * prenant le crachoir » dans les réu-
nious publiques.

Soit en empêchant les autres d’y parler.

Tout cela est dùment tanfé.

Ou s’attend môme a ce que la ville de Paris
publte, sous peu, un « prix de série ».

Aussi tes heures passent-eiles, rapides et
joyeuses...

Et l’on n’entend plus parler, provisoire-
ment, de ia longueur des jours sans pain!...

X

Rochefoire, qui soigne toujours, d’une fa-
çon toute spéciale, ses petits «ntérôts, n’a eu
garde de négliger d'adresser cinquante Iignes
de sa prose a ses élecleurs de Bdlevitle.

Lignes médiocres, du reste.

Ce qu’il dit de plus saillant, c’est qu'il est
faliguè de l’attente.

De là, ?aqs doule, son évolalion vers la
nièce.

11 ajoute aüssi quo, « vingt ans apvès, » il

se trouve sur le môms champ de bataille que
sons l’Empire

G’est vrai Mais il oublie de dire qu’il a
changé de camp.

Ces réserves faites, il a pleinement raison :
le résultat sera le même.

X

Quant à Barbapoux, il haraague « le Peu-
ple, son seul juge », en quelques phrases,
court»s et bien senties :

« Pas d’abstentions I

« Pas de division !

« Que pas un suffrage ne s’égare sur mou
nom en dehors de la seule circonscription où
jesuis candidat, la deuxième du dix-huitième
arrondissement de la Seine 1 »

Pour cela.le Brav’ Général peut être tran-
quille. En ceci, on l’écoutera.

De môme, qu«nd il dit :

« Citoyens mdépendaots et libres, debout!

« Marchons à l’ume et chassoris du pouvoir
cette bande néfaste, qui souille la République
en se réclamant d’elle. »

11 e-t certaiu qu’on lui obéira...

Eu flanquant à la porte toute la clique des
Vt rgoin, des Mermeix, des Nicot, à grand ren-
fort de claquesl...

V

Le public a ri comme uue petite folle de la
distinction entre « Républicains d’origine » et
« Républiciins ralliés ».

Les a Républicains d’origine » se dépeignent
ainsi :

— Le grand’père du cousin de l’oncle de la
bru du beau-frère de mon cousin germain
était républicain. Donc...

Pour lesa Républicainsralliés», genre Four-
tou, on s’est contenté de leur déolacer un i.

Et de les appeler « Républicains raillés ».

Gela suffit à les peindre d’après nature.

X

Quelques candidats qui se prétendaient
boulangistes, — comme Médéric Roux, se
sont tronvés tellement tarés, que le Grrrrand
Parti National lui-mème les a expectorés.

Mais bien plus grand est le nombre des
ca> didats qui oot protesté contre lVstampille
que le brave concussionnaire leuravait infligée
malgré eux.

L’indécrotable réactionnaire Jules Delafosse,
dont le nom et le prénom constituent un vé-
ritable pléona«me, regimbe lui-mème contre
làdite estampille. Oyez plntôt ce qu’il ecrit
dans le Matin du 17 septembre .

« Je lis peu de journaux, depuis que je suis
en campagne, et personne n’est moios ren-
seigné que moi sur ce qui se passe en dehors
de mon arrondissemen t. JViappriscependant,
par les feuilles locales qui combattent ioi ma
candidUure, que le Gomité national m’avait
marqué à son ctiifl're et que j’étaia enregistré
comme candidat boulangiste. Je n’ai autorisé
personne à me conferer cette désignation, et
si elle m’eut été oflerte, je l’amais déclinée. II
n’y adaus ee desaveu aücune intention déso-
bligeante pour le Comité national ou poUr le
géuéral Boulanger. Je Veux dire seulement
qu’il n’appartiet,t qu’à moi de détînir ma can-
didature, ete’est la détinir improprement que
de dire que je suis le cândidat d’un homme,
quel qu’il soit. »

«Improprement » n’est pas mal.

Mais « malproprement » eut éié mieux.

Nul doute que le plus Delafosse des Jules
ne se fut empressé de s’exprimer ainsi s’il
avait eu à parler à d’autrés qu’aux andouilles
de Yire.

X

Crispi vient de se faire fendre la mâchoire
par un coup de pierre dont l’a gratifié un de
ses compatriotes.

II en vena bien d’autres si son patron Hum-
bert ne se hâte pas de lui fendre l'oreille.

X

î’endant ce teinps-là la germanisation dc
l’Alsace-Lorraiue continue.

Le sous-secrèlaire d’Elat, M. de Kœller,
vient de faire adresser, sous la date du 20
août, aux bourgmestres de toutes les com-
munes non autorisées à se servir Uu français,
une circulaire qui leur inlerdit, à eux, à leurs
employés et aux administrations sous leur
dépendance, liôpitaux, bureaux de bienfai-
sance el caisses d’épargne, de parler autre-
mentqu’en allemand au publicauquel ils ont
sffaire

Les Boches auront beau faire.

Plus ü sera défendu de dire M.Zut ! en

frariçais à leurs immigrés ct plus on le pen-
sera,

X

Le général Légitiine vient d’arriver à Paris.

G'est donc ••.ainlenant Hippoly o qui esl le
seul présidcnt légitinie, et on và pouvoir res-
pirer uu peu librement «en Uaïti ».

Pauvre paysl... dire qu’il a été, pendant
près de trois ans, en proie à deux Bou-
laugcrl. .

Grixgoire.
 
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