LE GRELOT
ESPRIT DE PARTOUT
Au vitlage.
— Oui, monsieur le maire, mais si je placo
mon argent à la caisse d’épargne, quand est-
ce que je pourrai le retirer?
Le maire, d’un air capable :
— Mais quand vous voudrez, Ainsi, si vous
versez votre argent aujourd’hui, vous pourrez
le retirer demain en prévenant quinze jours à
l’avance I
Le fameux docteur X... est devenu spirite
— et il est là, tout le temps, dans son cabinet,
à évoqner les habitants de l’autre monde.
On parlait de cette manie à un de ses con-
frères :
— Voyez-vous l’intrigant, dit celui-ci, il se
fait rendre ses visites I
JOB,
FEU L’OPPORTUNISME O
Qui nous conduit. où nous sommes ? Le
régime dont nous sortons. Et d’où sorions-
notis? De feu l’Opportunisme.
Un petit clan s’obstine encore à Ie nier,
mais il est de toute évidence qu nous
avons été conduits dans Fimpasseactuelle
par l’opportunisme. Ç’est ce régime bâtard,
fait detergiversatious louches, d’aterfnoie-
ments énervants, de concessions avachis-
santes, qui a tout désorganisé, tout démo-
ralRé, iout corrompu.
L’oppormnisme a voulu conteuter tout
le monde et son père. II n’est arrivé qu’à
créer des rnillions de mécontents. Depuis
quatorze ans, il nous a bernés avec la fa-
meuse phrase : On rase gratis demaia Et
maintenant on voit clairement qu’il nous
a toujours rasés, mais jamais gratis.
Partout où il fallait des réformes radi-
cales, il n’a su établir que des cotes mal
taillées. De là, l’état d’équilibre éminem-
ment instable dans lequel nous nous dé-
battons; tout est boîteux et gauohe, rien
n’est d’aplomb.
Le Giand Public le sent et le devine,
plus qu’il ne le voit. Mais son flair ne le
trompe pas. 11 est las de l’opportunisme,
écœuré des gens qui vivent encore avec
Gambetta mort; dégoûté des ferrystes,
(1) Get article forme la seconde partie : Undè,
d’où l’on vient, de fa brochure que nous avons
déjà eitée la semaine dernière : Pourquoi je vo-
terai pour un ancien ouvrier.
La brochure complète sera envoyée franco à
quieonque en fera la demande accompagnée d’un
timbre de 0,15 à l’auteur, 7, quai de la Marne, à
Joinville-le-Pont. Pour les demandes en gros,
s’adresser à M. Madre. Mêmes conditions que
pour le Grelot,
cramponnés au pouvoir à force d’intrigues ;
fatigué de Glémenceau, qui renver*ait des
ministères, pour les remplacer par d'autres,
— que soutenait Jules Roche et où entrait
Boulanger
Quoi qu’il arrive, l’opportunisme a donc
véou. Ce qu’il aurait pu et dû faire, em-
pêdieles électeurs de lui s-àvoit grè de. ce
qu’il a fait.
Soyons plus impartial et, si nous ne ver-
sons aucun pleur sur la tombe de ce mort
peu regretté et, d’ailleurs peu estimable,
signalons les quelques réformes qu’il a ac-
complies.
« Le programme républisain, dit l’encyclo-
pédiste Larousse, dont on ne contestera j’es-
père, ni l’autorité, ni l’impartialité, est tout
eniier conlenu dans la Dér.laration ées Droii.s
de l'Homme. II proc'amme l’égalité des citoyens
oevant la loi, la liberié individuelle, la libertè
de xa presse, de rétiion et d’association, la res-
pon^abilité de lous les fonctionnaires, la juste
réparution de l’impôt, enun mot, l’égalité des
devoirs et des droits pour tous lës citoyens. »
L’opportunisme n’a guère avancé le pro-
gramme. 11 nous a donné. il est vrai, à la
dernière heure, à l’hallali, le servioe de
trois ans, et au dôbut, de tproprio motu,
l’instructio primaire, laïque, égalitaire. Les
freluquets qui, la cigarette au bec, fiers
de re sentir pisser comme on pisse à seize
ans, se plaignant qu’on n’aie rien fait pcur
éduquer la jeunesse n’ont qu’à comparer
les masures où s’entassaient un tiers au
plus desenfants, il y a trente ans à peine,
avec les « palais scolaires » d’aujourd’hui;
ils verront combien les contribiiables ont
consenti de sacrifices. La jeune génération
n’en a gnère su profiter, il est vrai, mais
c’est sa faule et non la nôtre.
La nôire, nous ne la pouvons nier, du
reste. Les parents n’ont pas utilisé mieux
que les enfants les moyens mis à leur dis-
positiou pour s’instruire. Yoyez plutôt
l’usage qu’ils ont fait de la liberté de la
presse, de la liberté de réunion et d’associa-
tion. Ces libertés devaient servir au ci-
toyen à manifester sapensée, àémettre des
théories, à pratiquer l’union qui fait la
forcc pour les appliquer. Elles ont été, jus-
qu’ici, la licence de calomnier par insinua-
tions perfides, d’irijurier par exclamations
ordurières, d’exploiter la contiance géné-
rale, au protit de quelques cyniques ou
liypocrites ambitieux.
Rentre eu toi-même, ô peuplei... si tu
veux unautre gouvernement que ceux que
tu as as eus jusqu’ici, il faut savoir le mé-
nter, car, si les gouvernants ne valaient
pas cher, ils ne va'aient guère mieux, les
gouvernés.
Sur trois points, vous lespouvez jauger :
ondoit haïr les pouvoirs religieux, expioi-
teurs de la superstition humame, engendrée
par la crainte du Surnaturel et de l’Au-
Delà. On doit, par contre, aider les pou-
voirs civils, — déiégation de l’ensemble
des volontés populaires, — à la fois de son
sang et de son argent.
Hé bien ?... combien de Voltairiens em-
ploient résoiument contre la superstition
la seule armelibérale et efticace : la grêve?
Gombïent de parents s'abstiennent d’évo-
qner pour leurs fils des motifs d’exemp-
tiotf du service miiitaire, qu’ils savent exa-
gérés, sinon tout à fait mensongers ? Com-
bien de contribnables résistent à la tenta-
tion de frauder l’État et croient ainsi com-
mettre un vol?
Henry Yaudémont.
GRELOTS
On narle des frères Lionnet :
— Ils se res^emblent vraiment tous deux
d’une façon extraordinaire 1
— Oui, surtout Anatole.
—«-»—
Unavocat, parlant d’uu de sea « chers con-
frères » :
— Oui, ii décrotte assez bien tme atraire,
mais il n’a jamais su en faire reluire une
seule 1
—«-»—
Bdreau, avec exaltation :
— Oui, marquise, pour vous prouver mon
amour, je me f...icberaie la main dans un
brasier.
La marquise, d’un air attendri :
— II me rappelle Mu/lus Sœtola !
— « -»—
A l’Exposition :
Une dame dans une situation intéressante
se promène rue du Gaire.
— Tiens, s’écrieG<.vrocbe,ladanseduventre
qui se ballade.
— «-»—
Lu sur une baraque à lafète de Saint Cloud :
MADEMOISELLE PAMITA
la seule des Vènus modernes qui se dèmonte
en quarante-neuf morceaux.
La religion s’en va, et eela s’expüque, dit
Guibollard, Jésus n’a pas toujoursété sérieux.
— CommeDt eela?
— Changer de l’eau en vin, c’est bon à
Berey.
Triboulet.
GRELOTSFINANCE
La setnaine, au début, est terne. Le détache-
meut dù c upon du 3 0/0 perpetuel, — etfec-
tué le*46 en Bourse, alors que le paietnent ne
ee fait que_lè t ,r au Trêsor, — n’a paS produit
son efl'et habituel, lequel, est, on lc sait, la
reconquête d’une pariie du dit coupon.
Le comptant était froid. A l'instar du Guil-
lotiné par persuasion, Ue Chavette, il avait
« de la mèfiance ». De là un manque d’entrain
dans les affaires, qui engendre de la lourdeur.
Cette lour ieur est d’au'ant plus marquéc
que largentestd’uüeabondance dont. lémoigne
d’irréfuiable façon, le bon marché des r-pôrts
p atiqués ?ur lês vaieurs soumises à la liqui-
quid-iiion de quinzaine.
Sur les établissements de orédit, les chemins
de fer et les-valeurs industrielles, les cours
restent d’ailleurs calmes.
I.e tribunal de commerce de la Seine, pré-
sMé par M. Guillotin, a de nouveau renvoyè
lundi à quinzaine, le prononcé dti jugement
dans le procès en responsabilité eng'gé con-
treles administratèurs et lescenseurs duCom-
ptoir d’escompte, par M. Moreau et, Monchi-
court, agissant comme liquidateurs de ladite
Société.
Toutefois il a statué sur une demande inci-
dénte formée également contre les adminis-
t-ateurs et censeurs par un groupe d’acùon-
nairesqui avaient achetè leurs titres aptès la
puhlicalion du rapport du 30 janvier 1889.
Celte demande avait été préseniee et plaidée
par M e Flamand, avocat, le 2 septembre, et les
defenseurs avaient oppose purement et sim-
plement le sur?i<. à raison de l’instruclion
correctionnelle ouverte, refusant de couclure
surle foud.
Le tribunal a rejeté le sursis invoqué, et a
coudamné en conséquence, par défaut, les
censeurs et admiuisirateurs a paiement des
sommes réclamees par le groupe spéc al.
Toutes les affaires conceriiaiit la Societé des
metaux, pendantçs deva it le tribuual decom-
merce, ont êté lundt renvoyées a quinzaine.
H. B.
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« Monsieur, votre Pommade m’a
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« qui me couvrait tout le front et une
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« et tout le nez. < dussut.
« Commissaire spéciai de Police
virescit eundo au Perthui (Pyrénées-Orient.) >
« Monsleur, vous m’avez guèri d’une Maladit de Peau,
« insupportable que je soignais en vain depuis quatre ana.
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Au vitlage.
— Oui, monsieur le maire, mais si je placo
mon argent à la caisse d’épargne, quand est-
ce que je pourrai le retirer?
Le maire, d’un air capable :
— Mais quand vous voudrez, Ainsi, si vous
versez votre argent aujourd’hui, vous pourrez
le retirer demain en prévenant quinze jours à
l’avance I
Le fameux docteur X... est devenu spirite
— et il est là, tout le temps, dans son cabinet,
à évoqner les habitants de l’autre monde.
On parlait de cette manie à un de ses con-
frères :
— Voyez-vous l’intrigant, dit celui-ci, il se
fait rendre ses visites I
JOB,
FEU L’OPPORTUNISME O
Qui nous conduit. où nous sommes ? Le
régime dont nous sortons. Et d’où sorions-
notis? De feu l’Opportunisme.
Un petit clan s’obstine encore à Ie nier,
mais il est de toute évidence qu nous
avons été conduits dans Fimpasseactuelle
par l’opportunisme. Ç’est ce régime bâtard,
fait detergiversatious louches, d’aterfnoie-
ments énervants, de concessions avachis-
santes, qui a tout désorganisé, tout démo-
ralRé, iout corrompu.
L’oppormnisme a voulu conteuter tout
le monde et son père. II n’est arrivé qu’à
créer des rnillions de mécontents. Depuis
quatorze ans, il nous a bernés avec la fa-
meuse phrase : On rase gratis demaia Et
maintenant on voit clairement qu’il nous
a toujours rasés, mais jamais gratis.
Partout où il fallait des réformes radi-
cales, il n’a su établir que des cotes mal
taillées. De là, l’état d’équilibre éminem-
ment instable dans lequel nous nous dé-
battons; tout est boîteux et gauohe, rien
n’est d’aplomb.
Le Giand Public le sent et le devine,
plus qu’il ne le voit. Mais son flair ne le
trompe pas. 11 est las de l’opportunisme,
écœuré des gens qui vivent encore avec
Gambetta mort; dégoûté des ferrystes,
(1) Get article forme la seconde partie : Undè,
d’où l’on vient, de fa brochure que nous avons
déjà eitée la semaine dernière : Pourquoi je vo-
terai pour un ancien ouvrier.
La brochure complète sera envoyée franco à
quieonque en fera la demande accompagnée d’un
timbre de 0,15 à l’auteur, 7, quai de la Marne, à
Joinville-le-Pont. Pour les demandes en gros,
s’adresser à M. Madre. Mêmes conditions que
pour le Grelot,
cramponnés au pouvoir à force d’intrigues ;
fatigué de Glémenceau, qui renver*ait des
ministères, pour les remplacer par d'autres,
— que soutenait Jules Roche et où entrait
Boulanger
Quoi qu’il arrive, l’opportunisme a donc
véou. Ce qu’il aurait pu et dû faire, em-
pêdieles électeurs de lui s-àvoit grè de. ce
qu’il a fait.
Soyons plus impartial et, si nous ne ver-
sons aucun pleur sur la tombe de ce mort
peu regretté et, d’ailleurs peu estimable,
signalons les quelques réformes qu’il a ac-
complies.
« Le programme républisain, dit l’encyclo-
pédiste Larousse, dont on ne contestera j’es-
père, ni l’autorité, ni l’impartialité, est tout
eniier conlenu dans la Dér.laration ées Droii.s
de l'Homme. II proc'amme l’égalité des citoyens
oevant la loi, la liberié individuelle, la libertè
de xa presse, de rétiion et d’association, la res-
pon^abilité de lous les fonctionnaires, la juste
réparution de l’impôt, enun mot, l’égalité des
devoirs et des droits pour tous lës citoyens. »
L’opportunisme n’a guère avancé le pro-
gramme. 11 nous a donné. il est vrai, à la
dernière heure, à l’hallali, le servioe de
trois ans, et au dôbut, de tproprio motu,
l’instructio primaire, laïque, égalitaire. Les
freluquets qui, la cigarette au bec, fiers
de re sentir pisser comme on pisse à seize
ans, se plaignant qu’on n’aie rien fait pcur
éduquer la jeunesse n’ont qu’à comparer
les masures où s’entassaient un tiers au
plus desenfants, il y a trente ans à peine,
avec les « palais scolaires » d’aujourd’hui;
ils verront combien les contribiiables ont
consenti de sacrifices. La jeune génération
n’en a gnère su profiter, il est vrai, mais
c’est sa faule et non la nôtre.
La nôire, nous ne la pouvons nier, du
reste. Les parents n’ont pas utilisé mieux
que les enfants les moyens mis à leur dis-
positiou pour s’instruire. Yoyez plutôt
l’usage qu’ils ont fait de la liberté de la
presse, de la liberté de réunion et d’associa-
tion. Ces libertés devaient servir au ci-
toyen à manifester sapensée, àémettre des
théories, à pratiquer l’union qui fait la
forcc pour les appliquer. Elles ont été, jus-
qu’ici, la licence de calomnier par insinua-
tions perfides, d’irijurier par exclamations
ordurières, d’exploiter la contiance géné-
rale, au protit de quelques cyniques ou
liypocrites ambitieux.
Rentre eu toi-même, ô peuplei... si tu
veux unautre gouvernement que ceux que
tu as as eus jusqu’ici, il faut savoir le mé-
nter, car, si les gouvernants ne valaient
pas cher, ils ne va'aient guère mieux, les
gouvernés.
Sur trois points, vous lespouvez jauger :
ondoit haïr les pouvoirs religieux, expioi-
teurs de la superstition humame, engendrée
par la crainte du Surnaturel et de l’Au-
Delà. On doit, par contre, aider les pou-
voirs civils, — déiégation de l’ensemble
des volontés populaires, — à la fois de son
sang et de son argent.
Hé bien ?... combien de Voltairiens em-
ploient résoiument contre la superstition
la seule armelibérale et efticace : la grêve?
Gombïent de parents s'abstiennent d’évo-
qner pour leurs fils des motifs d’exemp-
tiotf du service miiitaire, qu’ils savent exa-
gérés, sinon tout à fait mensongers ? Com-
bien de contribnables résistent à la tenta-
tion de frauder l’État et croient ainsi com-
mettre un vol?
Henry Yaudémont.
GRELOTS
On narle des frères Lionnet :
— Ils se res^emblent vraiment tous deux
d’une façon extraordinaire 1
— Oui, surtout Anatole.
—«-»—
Unavocat, parlant d’uu de sea « chers con-
frères » :
— Oui, ii décrotte assez bien tme atraire,
mais il n’a jamais su en faire reluire une
seule 1
—«-»—
Bdreau, avec exaltation :
— Oui, marquise, pour vous prouver mon
amour, je me f...icberaie la main dans un
brasier.
La marquise, d’un air attendri :
— II me rappelle Mu/lus Sœtola !
— « -»—
A l’Exposition :
Une dame dans une situation intéressante
se promène rue du Gaire.
— Tiens, s’écrieG<.vrocbe,ladanseduventre
qui se ballade.
— «-»—
Lu sur une baraque à lafète de Saint Cloud :
MADEMOISELLE PAMITA
la seule des Vènus modernes qui se dèmonte
en quarante-neuf morceaux.
La religion s’en va, et eela s’expüque, dit
Guibollard, Jésus n’a pas toujoursété sérieux.
— CommeDt eela?
— Changer de l’eau en vin, c’est bon à
Berey.
Triboulet.
GRELOTSFINANCE
La setnaine, au début, est terne. Le détache-
meut dù c upon du 3 0/0 perpetuel, — etfec-
tué le*46 en Bourse, alors que le paietnent ne
ee fait que_lè t ,r au Trêsor, — n’a paS produit
son efl'et habituel, lequel, est, on lc sait, la
reconquête d’une pariie du dit coupon.
Le comptant était froid. A l'instar du Guil-
lotiné par persuasion, Ue Chavette, il avait
« de la mèfiance ». De là un manque d’entrain
dans les affaires, qui engendre de la lourdeur.
Cette lour ieur est d’au'ant plus marquéc
que largentestd’uüeabondance dont. lémoigne
d’irréfuiable façon, le bon marché des r-pôrts
p atiqués ?ur lês vaieurs soumises à la liqui-
quid-iiion de quinzaine.
Sur les établissements de orédit, les chemins
de fer et les-valeurs industrielles, les cours
restent d’ailleurs calmes.
I.e tribunal de commerce de la Seine, pré-
sMé par M. Guillotin, a de nouveau renvoyè
lundi à quinzaine, le prononcé dti jugement
dans le procès en responsabilité eng'gé con-
treles administratèurs et lescenseurs duCom-
ptoir d’escompte, par M. Moreau et, Monchi-
court, agissant comme liquidateurs de ladite
Société.
Toutefois il a statué sur une demande inci-
dénte formée également contre les adminis-
t-ateurs et censeurs par un groupe d’acùon-
nairesqui avaient achetè leurs titres aptès la
puhlicalion du rapport du 30 janvier 1889.
Celte demande avait été préseniee et plaidée
par M e Flamand, avocat, le 2 septembre, et les
defenseurs avaient oppose purement et sim-
plement le sur?i<. à raison de l’instruclion
correctionnelle ouverte, refusant de couclure
surle foud.
Le tribunal a rejeté le sursis invoqué, et a
coudamné en conséquence, par défaut, les
censeurs et admiuisirateurs a paiement des
sommes réclamees par le groupe spéc al.
Toutes les affaires conceriiaiit la Societé des
metaux, pendantçs deva it le tribuual decom-
merce, ont êté lundt renvoyées a quinzaine.
H. B.
//sera ràpondu à toutes les demandes de
renselgnements ftnanders, solt par lettre,
solt par la vole du /ournai.
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