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ORFÈVRERIE RELIGIEUSE.
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430 — Reliquaire. Cuivre doré et émail translucide.
Ce reliquaire de forme quadrangulaire, flanqué de contreforts surmontés de
clochetons, est en cuivre doré; sur les côtés sont gravés des rinceaux; le toit est
orné d’une frise découpée et d’imbrications gravées. Sur la face antérieure, médaillon
ovale en argent contenant les armes de Wurtemberg exécutées en émail translucide.
Haut. 17 —Larg. 10— Long. 15 cent.
431 — Crosse. Argent doré. — Travail allemand. Seconde moitié du
XVème siècle.
Sur le nœud de forme méplate sont gravés des feuillages et des fenêtres gothiques.
La volute à six pans forme le prolongement d’une flèche, portée à la base par des
fenêtres et des contreforts, ornée de crochets et de têtes de clous, et terminée
par un fleuron; au centre de la volute, buste de la Vierge tenant l’Enfant Jésus,
dans une gloire. Haut. 38 cent.
432 — Flambeau. Argent. —Travail allemand. Milieu du XIIIème siècle.
Le pied de forme triangulaire est porté pas trois griffes surmontées d’un
masque de lion, il est formé de trois trapèzes filigranés qui contenaient des pierres;
la tige est ornée de pointes de diamant et interrompue par deux nœuds en cristal.
Sur la bobèche on voit des ornements repoussés. Les pierres manquent.
Haut. 17 cent. Y compris la broche.
433 — Porte-Missel. Argent ciselé et doré.
Quatre pieds en forme de double griffe de lion supportent le socle mouluré
orné d’une course de rinceaux et portant sur la face un écusson d’armoiries
champlevé et émaillé. La plaque mobile destinée à supporter le missel représente
le couronnement de la Vierge, celle-ci est assise à gauche sur un banc de style
gothique, un ange pose sur sa tête la couronne, à droite le Christ bénissant. Les
deux personnages sont placés sous une double arcade trilobée soutenue par des
culs-de-lampe; dans les écoinçons, des quadrilobes. Une frise de quadrilobes
ajourés, dans lesquels sont des rosaces, est montée à charnières sur le bas de la
plaque et sert à maintenir le missel. TT . „ e T T o-? q +.
1 1 • Haut. 6,5 — Long. 31 — Larg. 27,3 cent.
Schnütgen dans un article intitulé «Ein silbernes Mefipult des XIII. Jahrhunderts» (An-
nales des antiquaires de la province Rhénane «Jahrbücher des Vereins für Altertumsfreunde
im Rheinland» No. 84) attribue ce Porte-Missel à un artiste de la seconde moitié du XIIIème
siècle. — V. Pabst, Ivunstgewerbeblatt. Reusens: Catalogue de l’exposition de Bruxelles 1888.
— V. aussi Rohault de Fleury, La Messe, Vol. VI PI. CDLXXXIIItis . Paris • 1888.
434 — Pupitre. Cuivre fondu. — Dinanderie. Milieu du XVl£EE siècle.
Ce pupitre servant à la lecture des évangiles ou des épîtres était fixé dans
le mur par un goujon; il est composé d’un long bras en forme de rinceau qui
ORFÈVRERIE RELIGIEUSE.
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430 — Reliquaire. Cuivre doré et émail translucide.
Ce reliquaire de forme quadrangulaire, flanqué de contreforts surmontés de
clochetons, est en cuivre doré; sur les côtés sont gravés des rinceaux; le toit est
orné d’une frise découpée et d’imbrications gravées. Sur la face antérieure, médaillon
ovale en argent contenant les armes de Wurtemberg exécutées en émail translucide.
Haut. 17 —Larg. 10— Long. 15 cent.
431 — Crosse. Argent doré. — Travail allemand. Seconde moitié du
XVème siècle.
Sur le nœud de forme méplate sont gravés des feuillages et des fenêtres gothiques.
La volute à six pans forme le prolongement d’une flèche, portée à la base par des
fenêtres et des contreforts, ornée de crochets et de têtes de clous, et terminée
par un fleuron; au centre de la volute, buste de la Vierge tenant l’Enfant Jésus,
dans une gloire. Haut. 38 cent.
432 — Flambeau. Argent. —Travail allemand. Milieu du XIIIème siècle.
Le pied de forme triangulaire est porté pas trois griffes surmontées d’un
masque de lion, il est formé de trois trapèzes filigranés qui contenaient des pierres;
la tige est ornée de pointes de diamant et interrompue par deux nœuds en cristal.
Sur la bobèche on voit des ornements repoussés. Les pierres manquent.
Haut. 17 cent. Y compris la broche.
433 — Porte-Missel. Argent ciselé et doré.
Quatre pieds en forme de double griffe de lion supportent le socle mouluré
orné d’une course de rinceaux et portant sur la face un écusson d’armoiries
champlevé et émaillé. La plaque mobile destinée à supporter le missel représente
le couronnement de la Vierge, celle-ci est assise à gauche sur un banc de style
gothique, un ange pose sur sa tête la couronne, à droite le Christ bénissant. Les
deux personnages sont placés sous une double arcade trilobée soutenue par des
culs-de-lampe; dans les écoinçons, des quadrilobes. Une frise de quadrilobes
ajourés, dans lesquels sont des rosaces, est montée à charnières sur le bas de la
plaque et sert à maintenir le missel. TT . „ e T T o-? q +.
1 1 • Haut. 6,5 — Long. 31 — Larg. 27,3 cent.
Schnütgen dans un article intitulé «Ein silbernes Mefipult des XIII. Jahrhunderts» (An-
nales des antiquaires de la province Rhénane «Jahrbücher des Vereins für Altertumsfreunde
im Rheinland» No. 84) attribue ce Porte-Missel à un artiste de la seconde moitié du XIIIème
siècle. — V. Pabst, Ivunstgewerbeblatt. Reusens: Catalogue de l’exposition de Bruxelles 1888.
— V. aussi Rohault de Fleury, La Messe, Vol. VI PI. CDLXXXIIItis . Paris • 1888.
434 — Pupitre. Cuivre fondu. — Dinanderie. Milieu du XVl£EE siècle.
Ce pupitre servant à la lecture des évangiles ou des épîtres était fixé dans
le mur par un goujon; il est composé d’un long bras en forme de rinceau qui