VIII. Hortus Sanitatis,
« A 7702.
66. ALDROVANDI, U., 1642.,
p. 2.9 : « TVzzzr ^n'^rz <ro7M<?-
ZZZZW ZZf?ZZZZ7ZZZi, ^ZZOz/ %
zz^r^zzz'i yzUzzrorz'êzzi z'zzr^/-
/^XZZMZZi... H
67. RONDELET, Guillaume,
op. <rz't., p. 494 : « Um M iz'r
ZZ7Z ZZOZZ, 73^L zZ^7"WC, ZZ^C
re/9//<9. ))
68. GESNER, 1338, p. 1379.
69. ALDROVANDI, Ulysse,
op. rz'r., p. 42.9.
Aldrovandi confirme ces affirmations en disant que
« par cette source nous avons eu confirmation de ce
que nous savions des anciens pêcheurs... ^ ».
À titre de variante, Pierre Belon et Guillaume
Rondelet rapportent tous deux la capture en Pologne,
en 1531, d'un monstre en habit d'évêque. Belon
indique qu'il aurait été « envoyé au roi de pays » tan-
dis que Rondelet, citant le médecin Gilbertus Germa-
nus, soutient qu'il n'aurait eu de cesse de retourner
à la mer. Rondelet reproduit le dessin envoyé par
Germanus sans se prononcer sur sa véracité R
L'encyclopédie de Gesner offre beaucoup plus
d'exemples de monstres marins venus de la tradition
que les ouvrages de Belon et Rondelet, comme le Pan
ou Styre dont il décrit par le menu le cartilage et la
forme ^ (ill. x). A l'inverse, Aldrovandi, qui consacre
un livre entier à distinguer les monstres des autres ani-
maux, montre que la déformation monstrueuse d'un
poisson peut ne pas être due seulement à son régime
alimentaire, comme l'expliquait Aristote R mais à une
malformation génétique (ill. Xi).
40