Nouvelle Série —N° 10
lO Centime»
13 Mai 1866
REDACTEUR E\ CHKf J
F. POLO
ABONNEMENTS
PARIS
Un an.............' H Cri
Six moi»......... il
Trois mois....... 1 *>0
Au elair de la lune,
Mon ïmi Pierrot,
Fréte-moi ta plurne
ï'our écrire un mot.
Air connut
' Paraissant tous les Dimanches
ADMINISTRATION
5, Cité Bergère
ABONNEMENTS
DÉPARTEMENTS
Un an............ O fr.
(Six mois......... a HO
Troie mol»...... *
C elait dans la nuit bruns,
Sur le clocher jauni,
La lune
Comme un point sur un 1,
(a. ce musset.)
JLJS POUR ffcUtË, par Gill.
L'Enfant pi'odigue, ou la Tartine trop grande* do DuBtilE.
Le* nielie», do Courbet.
Quand M. Dubufc se coupe une tartine, il se la coupe de (aille ; aussi le heure et les confitures lui ont-ils manqué pour couvrir les bords. Un chef-d'œuvre, ces biches! mais les daims n'y comprennent rien. Nous avons
— Via c'que c'est
cru voir un ruban rouge à l'horizon de ce paysage : serait-ce une erreur ?
C?iieval phénomène à quatre tètes
dévorant un mannequin
par Moreau
Qui pourra nous dire dans quel intérêt M. Mo-
reau dépense un talent et une science incon-
testables à pasticher, repasticher, rerepasticher
Mantegna, et derechef et en réitérant, que
c'en est assommant?
Monet ou .VniK'l — Monet.
Mais c'est à tianet que nous devons ce Mo-
. net; bravo! Monet; merci ! Monet.
Trop de linge! pur Oclevat.
Ayant voulu compter s'es chemises avant d'en changer, un monsieur succombe à la
Pensée vigoureuse et dramatique qui fait le plus grand honneur aux sentiments d'éco-
nomie de l'auteur.
bien! très-bien ! ! M. Oulevau, tonnez, tonnez encore contre le luxe effréné qui menace
d'envahir la moderne Babylonellî
•Cette année, M. L.vmbron expose une déli-
cieuse m6saï<jue_ de marbre. 11 est regrettable
([tic, pour satisfaire aux exigences ridicules du
jury, qui veut de la peinture quand même, l'ur-
tiste se soif cru obligé de peinturlurer le joujou
à treize qui dépare ce joli travail.
Heureusement ça peut se nettoyer, n'est-ce
pas, M. Lambron, — avec de la benzine?
Georges Hébert, c'est moi!
par CiioRGEs Hébert.
Eh bien, tant pis! monsieur Georges Hébert.
^7 t? t*
M,, f
.V 40,000 f runes, la Cléopàtre î
M. Gérôme pense que c'est donné ; M. do Païva aime au-
tant qu'on la donne à d'autres.
O grand homme, ça ne serait pas mal Paï-é-va!
L'Abus du pain d'éptee, par AnUGNA.
Le pauvre ange en a trop mangé; oe diable de pain d'épice lo
tourmente. C'est fort triste!
Le diable est bien mauvais, mais le pauvre ange ne vaut pas îe
diable!
(la suifs au prochain numéro.)
lO Centime»
13 Mai 1866
REDACTEUR E\ CHKf J
F. POLO
ABONNEMENTS
PARIS
Un an.............' H Cri
Six moi»......... il
Trois mois....... 1 *>0
Au elair de la lune,
Mon ïmi Pierrot,
Fréte-moi ta plurne
ï'our écrire un mot.
Air connut
' Paraissant tous les Dimanches
ADMINISTRATION
5, Cité Bergère
ABONNEMENTS
DÉPARTEMENTS
Un an............ O fr.
(Six mois......... a HO
Troie mol»...... *
C elait dans la nuit bruns,
Sur le clocher jauni,
La lune
Comme un point sur un 1,
(a. ce musset.)
JLJS POUR ffcUtË, par Gill.
L'Enfant pi'odigue, ou la Tartine trop grande* do DuBtilE.
Le* nielie», do Courbet.
Quand M. Dubufc se coupe une tartine, il se la coupe de (aille ; aussi le heure et les confitures lui ont-ils manqué pour couvrir les bords. Un chef-d'œuvre, ces biches! mais les daims n'y comprennent rien. Nous avons
— Via c'que c'est
cru voir un ruban rouge à l'horizon de ce paysage : serait-ce une erreur ?
C?iieval phénomène à quatre tètes
dévorant un mannequin
par Moreau
Qui pourra nous dire dans quel intérêt M. Mo-
reau dépense un talent et une science incon-
testables à pasticher, repasticher, rerepasticher
Mantegna, et derechef et en réitérant, que
c'en est assommant?
Monet ou .VniK'l — Monet.
Mais c'est à tianet que nous devons ce Mo-
. net; bravo! Monet; merci ! Monet.
Trop de linge! pur Oclevat.
Ayant voulu compter s'es chemises avant d'en changer, un monsieur succombe à la
Pensée vigoureuse et dramatique qui fait le plus grand honneur aux sentiments d'éco-
nomie de l'auteur.
bien! très-bien ! ! M. Oulevau, tonnez, tonnez encore contre le luxe effréné qui menace
d'envahir la moderne Babylonellî
•Cette année, M. L.vmbron expose une déli-
cieuse m6saï<jue_ de marbre. 11 est regrettable
([tic, pour satisfaire aux exigences ridicules du
jury, qui veut de la peinture quand même, l'ur-
tiste se soif cru obligé de peinturlurer le joujou
à treize qui dépare ce joli travail.
Heureusement ça peut se nettoyer, n'est-ce
pas, M. Lambron, — avec de la benzine?
Georges Hébert, c'est moi!
par CiioRGEs Hébert.
Eh bien, tant pis! monsieur Georges Hébert.
^7 t? t*
M,, f
.V 40,000 f runes, la Cléopàtre î
M. Gérôme pense que c'est donné ; M. do Païva aime au-
tant qu'on la donne à d'autres.
O grand homme, ça ne serait pas mal Paï-é-va!
L'Abus du pain d'éptee, par AnUGNA.
Le pauvre ange en a trop mangé; oe diable de pain d'épice lo
tourmente. C'est fort triste!
Le diable est bien mauvais, mais le pauvre ange ne vaut pas îe
diable!
(la suifs au prochain numéro.)
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Le salon pour rire, par Gill
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
La Lune
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
S 25/T 14
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1866
Entstehungsdatum (normiert)
1861 - 1871
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)