DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1725
DOI Artikel:No. 259-261
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APPROUVÉES PAR l’ÀCâdIm I E# t 3 s
sa trop grande longueur, l’Àuteur place six roues au-des-
lus dcsiix premieres, de maniere que la sixieme roue du 1725-.
rang inférieur communique son mouvement à la septie- N c.26i.
me, & celie-ci aux cinq autres qui reslent; par ce moyen, —-—
cet inconvénient ne se trouve plus. Voici les machinesem?
ployées pour cet efset.
Pour faire faire un tour à la roue Z pendant dix révo- Fig. IV.
lutions de la roue Y, on se servira de deux bandes de cui-
vre DE, EH, attachées l’une à l’autre par un clou E,
autour duquel ces deux pieces pourroient se mouvoir de
tout sens , si le ressbrt 1K ne retenoit la partie K H 1
F G ess: un support qui maintient cette même piece.
La piece D E efl: mobile au point D , qui est un clou
rivé sur la bande V P ; par cette construftion la roue Y
tournant de A vers B, la principale cheviiie C pousse la
piece D E contre le ressort L M, ôc fait avancer ia piece
EH, pour pousser la cheville H vers R. II est évident
que la roue Z n avance que d’une cheviiie dans un tour
entier de la roue.
Comme les petites roues qui se trouvent au-dessous,
doivent marquer le quotient des divisions, il faut né-
cessairement qu’elles soient menées par les grandes. Voi-
ci la maniere dont chaque grande roue conduira sa pe-
tite.
Le même principe subsiste toujours , c'est-à-dire, que Fig. III,
la grande roue feradix tours, pour une révolution de la
petite , pourvu que l’on se serve de la plus longue pointe
de l’outil marqué à la premiere planche.
La piece V B qui est de cuivre , tourne sur le centre D
de la grande roue ; cette piece est arrêtée par le bouton
F qui empêche que le ressort K I H G ne la pousse trop
loin vers P ; sur cette piece V est une petite éminence sail-
lante C, qui se trouve accrochée par la pointe de l’outil,
lorsque cette pointe entre dans Touverture L M ; alors la
partie E G L, mobile sur le point E, fait piier le ressbrt
sa trop grande longueur, l’Àuteur place six roues au-des-
lus dcsiix premieres, de maniere que la sixieme roue du 1725-.
rang inférieur communique son mouvement à la septie- N c.26i.
me, & celie-ci aux cinq autres qui reslent; par ce moyen, —-—
cet inconvénient ne se trouve plus. Voici les machinesem?
ployées pour cet efset.
Pour faire faire un tour à la roue Z pendant dix révo- Fig. IV.
lutions de la roue Y, on se servira de deux bandes de cui-
vre DE, EH, attachées l’une à l’autre par un clou E,
autour duquel ces deux pieces pourroient se mouvoir de
tout sens , si le ressbrt 1K ne retenoit la partie K H 1
F G ess: un support qui maintient cette même piece.
La piece D E efl: mobile au point D , qui est un clou
rivé sur la bande V P ; par cette construftion la roue Y
tournant de A vers B, la principale cheviiie C pousse la
piece D E contre le ressort L M, ôc fait avancer ia piece
EH, pour pousser la cheville H vers R. II est évident
que la roue Z n avance que d’une cheviiie dans un tour
entier de la roue.
Comme les petites roues qui se trouvent au-dessous,
doivent marquer le quotient des divisions, il faut né-
cessairement qu’elles soient menées par les grandes. Voi-
ci la maniere dont chaque grande roue conduira sa pe-
tite.
Le même principe subsiste toujours , c'est-à-dire, que Fig. III,
la grande roue feradix tours, pour une révolution de la
petite , pourvu que l’on se serve de la plus longue pointe
de l’outil marqué à la premiere planche.
La piece V B qui est de cuivre , tourne sur le centre D
de la grande roue ; cette piece est arrêtée par le bouton
F qui empêche que le ressort K I H G ne la pousse trop
loin vers P ; sur cette piece V est une petite éminence sail-
lante C, qui se trouve accrochée par la pointe de l’outil,
lorsque cette pointe entre dans Touverture L M ; alors la
partie E G L, mobile sur le point E, fait piier le ressbrt