34 Recueil des Machînes
logerie ; les dents de cette roue font agir alternativemerrt
^ eux l e^ ers > q ui sont joints à deux autres leviers fer-
JNK431. mement attachés à une même verge : cette verge porte
j ~ ~ 1 - vers ses extrêmités deux balanciers, au bout delqueis
sont attachés ies verges des pistons.
Les pistons de cette machine peuvent être en étrier $
ou aspirans ôt foulans.
Cette machine nous a paru très simple , î’échappement
de la roue de rencontre nous a paru nouveau dans l’u-
sage des pompes, & la dèpense qu’elle demande n’est pas
confîdérable ; mais il est a craindre que réchappemenc
ne se ddtruise promptement & n engage à de fréquentes
réparations.
Lcs mêmes ont parlê ainsî sur une machine du méme
genre de M. de Parcieux.
' Nous avons examiné, par ordre de FAcadémie, une ma»
chine propre à élever les eaux? préfentée par M. de
Farcieux.
Cette machine ,que I’Autêur propose pour la construire
à Paris sur la Seine, est à roue pendante, c’est-à-dire ,
qui peut s’éiever & s’abaifîer, comme celle de ia Sa-
maritaine & celle du Pont Notre-Dame.
A chaque extrêmité de sarbre de cette roue, il y a
deux lariternes dont les fuseaux sont placés alternative-
ment, c'est-à-dire, qu’un fuseau d’une lanterne répond
au milieu de sintervalle de deux fuseaux de Tautre lan-
terne.
Les deux lanternes de chaque bout de Farbre , abait
sent alternativement deux leviers, chacune le fîen. Cha-
que ievier est lié par un tirant à Fextrêmité d’un ba-
lancier ou bascule ; enfin c’est aux autres extrêmités de
ces balanciers que sont attachées les verges tirantes des
pistons.
logerie ; les dents de cette roue font agir alternativemerrt
^ eux l e^ ers > q ui sont joints à deux autres leviers fer-
JNK431. mement attachés à une même verge : cette verge porte
j ~ ~ 1 - vers ses extrêmités deux balanciers, au bout delqueis
sont attachés ies verges des pistons.
Les pistons de cette machine peuvent être en étrier $
ou aspirans ôt foulans.
Cette machine nous a paru très simple , î’échappement
de la roue de rencontre nous a paru nouveau dans l’u-
sage des pompes, & la dèpense qu’elle demande n’est pas
confîdérable ; mais il est a craindre que réchappemenc
ne se ddtruise promptement & n engage à de fréquentes
réparations.
Lcs mêmes ont parlê ainsî sur une machine du méme
genre de M. de Parcieux.
' Nous avons examiné, par ordre de FAcadémie, une ma»
chine propre à élever les eaux? préfentée par M. de
Farcieux.
Cette machine ,que I’Autêur propose pour la construire
à Paris sur la Seine, est à roue pendante, c’est-à-dire ,
qui peut s’éiever & s’abaifîer, comme celle de ia Sa-
maritaine & celle du Pont Notre-Dame.
A chaque extrêmité de sarbre de cette roue, il y a
deux lariternes dont les fuseaux sont placés alternative-
ment, c'est-à-dire, qu’un fuseau d’une lanterne répond
au milieu de sintervalle de deux fuseaux de Tautre lan-
terne.
Les deux lanternes de chaque bout de Farbre , abait
sent alternativement deux leviers, chacune le fîen. Cha-
que ievier est lié par un tirant à Fextrêmité d’un ba-
lancier ou bascule ; enfin c’est aux autres extrêmités de
ces balanciers que sont attachées les verges tirantes des
pistons.