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de vaches“aus 1851 zu verwechfeln. Ich nenne diefes ftets„Demoiselles deVillage“, das andere,
das heute im Mufeum von Montpellier hängt, „Baigneuses“. Das dritte Bild diefer Reihe lind
die „Demoiselles au bord de la Seine“ des Salons von 1857, gemalt 1856; die beiden im Grafe
ruhenden bekleideten Damen, auf die Proudhon feine Moralreflexionen, den Vergleich mit den
Casseurs de pierre, anwendete.
15. Näheres über das Bild in meinem Manet (R. Piper & Co. 1912) S. 96.
16. So befchrieb Theophile Silveftre das Bild ... „11 s’est obstine en diable dans ce titre qui ne
signifie absolument rien dans aucune langue. 11 entend resumer dans cette vaste machine tous
les types vivants et toutes les idees qui ont rempli sa vie et ses ouvrages, depuis sept ans. On le
voit au milieu de son atelier occupe ä peindre un paysage, pretexte ingenieux qu’il a pris pour
nous presenter encore une fois son portrait. Derriere lui,une femme nue personnifie le modele
vivant; un monsieur et une dame figurent les gens du monde, qui de temps en temps viennent
levisiter; son ami Champfleury le regarde travailler, M. M. Bruyas et Promayet l’admirent
sans reserve; Charles Baudelaire lit dans un coin; des amoureux s’embrassent avec delices au
fond de l’atelier, ce qui signifie: vive l’amour libre!
Au pied du chevalet un marmot de cinq ou six ans l’examine, hebete; une grosse irlandaise,
souvenir lamentable des rues de Londres, est accroupie et entortillee avec son enfant ä la ma-
melle dans un madras en lambeaux qui voile mal son horrible nudite; le braconnier tenant ses
chiens en laisse; le faucheur, le terrassier expriment la rüde vie des champs; le proletaire des
villes represente le chömage. Le juif, le marchand de vieux habits, vieux galons, le paillasse, le
eure et le croquemort veulent dire: nous vivons de la credulite du monde, de sa mort et de ses
debris. Le sombrero ä plumes noires et le poignard qui roulent dans la poussiere sont les em-
blemes de la poesie romantique, et la tete de mort posee comme un serrepapier sur le Journal
des Debats, deploye sur un gueridon, c’est sans doute la reponse de Courbet aux articles de cette
feuille, ou bien la traduction libre de cette phrase de Proudhon: “les journaux sont les cimetieres
des ideees.” (Histoire des Artistes vivants, p. 264 etc.)
Courbet felbft fchrieb über das Bild an einen Freund: „Le sujet de mon tableau est si long ä
expliquer que je veux te le laisser deviner quand tu le verras, c’est l’histoire de mon atelier
ce qui s’y passe moralement et physiquement, c’est passablement mysterieux. Devinera qui
pourra.“ (Der Brief, ein Spezimen der Courbetfchen Grammatik, findet fich in l’Art, 1883,
Band 34 und 35.)
17. Journal III., S. 64.
18. Es diente gleichzeitig als Vorhang einer Bühne und konnte, wenn das Theater benutzt wurde,
in den Boden verfenkt werden. Diefe Verwendung hätte den Realiften und Sozialiften nicht
fonderlich begeiftert, fchmälerte aber durchaus nicht den höheren Nutzwert des Bildes. Im
Krieg wurde das Bild vom Louvre erworben, und hängt hier lange nicht fo günftig.
19. Courbet,savie,ses ceuvresparA.Estignard(Besan$on,Delagrange-Louys, 1896).Schnurriger-
weife meint der Autor, Proudhon felbft fei über das Bild entfetzt gewefen (S. 52), berichtet
aber hundert Seiten nachher (S. 163) ganz richtig, daß das Modell nicht mehr am Leben war,
als es von Courbet gemalt wurde.
20. Sammlung v. Schwabach, Berlin.

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