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Looss, Arthur: Recherches sur la faune parasitaire de l'Égypte: première partie
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du cercle au point où la cavité interne du sinus génital passe dans
l'entonnoir qui aboutit à l'orifice sexuel. Ordinairement, ils n'oc-
cupent pas tout le pourtour de ce passage, mais laissent un petit
espace libre. Ils sont (fig. 104 B) très exigus, longs seulement de
0mm,003, légèrement courbés, pointus vers une extrémité, tronqués
vers l'autre et pourvus de trois brandies latérales très fines
comme les crochets du bourrelet génital des Distomum heterophyes
et fraternum. Une demi-couronne de semblables crochets se
trouve sur la paroi commune aux deux culs-de-sac, au point où
ils vont se séparer l'un de l'autre. De semblables crochets en
petit nombre entourent finalement les embouchures, dans les
deux poches, des conduits génitaux. Le conduit mâle aboutit la
grande poche latérale sur le côté et non loin de sa réunion avec
la petite laquelle reçoit à peu près à son sommet le conduit fe-
melle.
L'appareil mâle est remarquable par l'existence d'un testi-
cule unique de forme tantôt irrégulièrement ronde ou ovalaire,
tantôt triangulaire à angles arrondis. Il se trouve â peu près au
milieu de la moitié postérieure du corps et en occupe nue bonne
partie. Malheureusement, je n'ai point pu distinguer des canaux
déférents et, conséquemment, je ne peux dire s'il en existe un seul
ou deux. Avant de se mettre en contact avec le sinus, l'appareil
conducteur mâle va former une vésicule séminale parfois très
épaisse et séparée en deux portions par un rétrécissement trans-
versal. La position de cette vésicule varie beaucoup avec les con-
tractions du corps de sorte qu'elle se trouve tantôt en arrière, tan-
tôt en avant du pore génital (figg. 101, 102). Elle est toujours
suivie immédiatement d'une partie prostatique peu apparente qui
échappe à l'observation d'autant plus facilement, que les glandes
prostatiques ne l'entourent pas étroitement mais sont assez dis-
persées dans le parenchyme voisin. Enfin, il y a un conduit éja-
du cercle au point où la cavité interne du sinus génital passe dans
l'entonnoir qui aboutit à l'orifice sexuel. Ordinairement, ils n'oc-
cupent pas tout le pourtour de ce passage, mais laissent un petit
espace libre. Ils sont (fig. 104 B) très exigus, longs seulement de
0mm,003, légèrement courbés, pointus vers une extrémité, tronqués
vers l'autre et pourvus de trois brandies latérales très fines
comme les crochets du bourrelet génital des Distomum heterophyes
et fraternum. Une demi-couronne de semblables crochets se
trouve sur la paroi commune aux deux culs-de-sac, au point où
ils vont se séparer l'un de l'autre. De semblables crochets en
petit nombre entourent finalement les embouchures, dans les
deux poches, des conduits génitaux. Le conduit mâle aboutit la
grande poche latérale sur le côté et non loin de sa réunion avec
la petite laquelle reçoit à peu près à son sommet le conduit fe-
melle.
L'appareil mâle est remarquable par l'existence d'un testi-
cule unique de forme tantôt irrégulièrement ronde ou ovalaire,
tantôt triangulaire à angles arrondis. Il se trouve â peu près au
milieu de la moitié postérieure du corps et en occupe nue bonne
partie. Malheureusement, je n'ai point pu distinguer des canaux
déférents et, conséquemment, je ne peux dire s'il en existe un seul
ou deux. Avant de se mettre en contact avec le sinus, l'appareil
conducteur mâle va former une vésicule séminale parfois très
épaisse et séparée en deux portions par un rétrécissement trans-
versal. La position de cette vésicule varie beaucoup avec les con-
tractions du corps de sorte qu'elle se trouve tantôt en arrière, tan-
tôt en avant du pore génital (figg. 101, 102). Elle est toujours
suivie immédiatement d'une partie prostatique peu apparente qui
échappe à l'observation d'autant plus facilement, que les glandes
prostatiques ne l'entourent pas étroitement mais sont assez dis-
persées dans le parenchyme voisin. Enfin, il y a un conduit éja-