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https://doi.org/10.11588/diglit.23929#0413
P T R
jn-8'\ — Alb. Lud. Frid. Mei-
steri , CommenkUio archilectonica
de pyrcunidurn JEgyptiacarum ja-
brica etfine ; da«s le cinquième vo-
lume des Nov. Comment. Soc. Reg.
Gotting. , pour l'année 1774- —
J.-Phil. Ostertag en a donné une
traduction allemande avec des ad-
ditions ; Francf. J 7S1 , in - 8°. —
Paucton , Dissertation sur l-es py-
ramides d'Egypte, dans sa Théorie
des loix de la nature, ou la Science
des causes el des effets Paris, 1781 ,
in-8°. ■—Description des pyramides
de Ghize ; de la ville du Kaire et de
ses environs, par le général GfiO-
b£rt ; Paris , an ix, in - £?, — On
pourra encore consulter les plan-
ches 20 et 26 du Voyage d'E-
gypte , de M. Denon , et ce qu'il
dit à ce sujet dans l'ouvrage même,
et dans l'explication des planches.
<—M. Stiegmtz , dans son ouvrage
intitulé : Histoire de l'architecture
chez, les anciens (en allemand);
Léipsick , 1792, in 8°. — Gatte-
rer , VHistoire générale dans tout
son ensemble (en allemand ) , Goet-
tingen , 1785 , in-8°.—sEgyplische
Merhwùrdigbeilen, etc. c'est-à-dire,
Choses mémorables de F /Egypte ,
ouvrage dans lequel on présente un
extrait raisonné d'Hérodote , de
Diodore, de Strabon ; et des récits
des voyageurs modernes , tels que ,
Shaw, Pococke,Norden, Niebuhr,
Savary ,-etc. (en allemand) , Leipz. ,
17 86 , in-8°.—M. LanglÈs a inséré
dans le troisième volume de son
édition du Voyage de Nord en , une
dissertation étendue qui contient les
récits des auteurs arabes sur les py-
ramides.—White , jEgyptiaca, or
observations on certain anliquiiies
ofEgypt ; Oxford , 1801 , g», in-
40. ; la seconde partie de cet ouvrage
contient une traduction anglaise de
l'Essai sur les Antiquités d'Egyp-
te , composé en arabe par Abdojl-
ZjATIF.
Pyramider ; on dit , cette com-
position , ce groupe pyramide
111.
P Y T 405
bien. Pyramider ou faire pyrami-
der les groupes, c'est les disposer
de façon que les objets forment
réellement' des pyramides , c'est-à-
dire , qu'ils aient plus de base que
de pointe. Toute autre forme, tant
la droite que la circulaire , feroit
un effet monstrueux dans un ta-
bleau. Cette rè^le de faire pyra-
mider les compositions pittores-
ques , est regardée comme un des
grands principes de l'art.
Les régies classiques de la pein-
ture assujétissent à la ligure pyra-
midale les tableaux d'histoire, soit
dans leur ensemble , soit dans cha-
que groupe,en particulier. On n'a
point asservi à celte forme les com-
positions des peintres de bambo-
chades el de sujets pris dans la vie
commune. On a également dispensé
de ce principe les peintres de vues
et de paysages , parce que dans ce
genre, il est rigoureusement dé-
montré que la vérité s'accorde rare-
ment avec, la règle des pyramides.
Les architectes a\)peWt:n\pyramide
d'amortissement, celle qui termine
quehpf ouvrage d'architecture, com-
me on en voit au portail des Petits-
Pères de la place des Victoires ;
1elle est «ncore celle qui termine la
lanterne du dôme des Invalides-
Pyropœcilus Lapis. Voy. Gra-
nité. . .
Pyropus ; nom par lequel les
Grecs désignoient ce que nous ap-
pelons PiUBIS , EscARBOC'CIiE. V-
ces mots.
Pybrhique ; nom d'une espèce
de danse militaire. Voy. Danse.
Pythagoriciens. INom d'une
des deux sectes dans lesquelles se
divisoieut les Théoriciens dans la
musique grecque ; elle porloit le
nom de Pythagore , son chef ,
comme l'autre secte portoit le nom
d'Arisioxéne. Les Pythagoriciens
ti'xoient tous les intervalles tant
consonnaus que dissonans par le
calcul des rapports. Les Aristoxé-
niens , au contraire, disoient s'en
d d
jn-8'\ — Alb. Lud. Frid. Mei-
steri , CommenkUio archilectonica
de pyrcunidurn JEgyptiacarum ja-
brica etfine ; da«s le cinquième vo-
lume des Nov. Comment. Soc. Reg.
Gotting. , pour l'année 1774- —
J.-Phil. Ostertag en a donné une
traduction allemande avec des ad-
ditions ; Francf. J 7S1 , in - 8°. —
Paucton , Dissertation sur l-es py-
ramides d'Egypte, dans sa Théorie
des loix de la nature, ou la Science
des causes el des effets Paris, 1781 ,
in-8°. ■—Description des pyramides
de Ghize ; de la ville du Kaire et de
ses environs, par le général GfiO-
b£rt ; Paris , an ix, in - £?, — On
pourra encore consulter les plan-
ches 20 et 26 du Voyage d'E-
gypte , de M. Denon , et ce qu'il
dit à ce sujet dans l'ouvrage même,
et dans l'explication des planches.
<—M. Stiegmtz , dans son ouvrage
intitulé : Histoire de l'architecture
chez, les anciens (en allemand);
Léipsick , 1792, in 8°. — Gatte-
rer , VHistoire générale dans tout
son ensemble (en allemand ) , Goet-
tingen , 1785 , in-8°.—sEgyplische
Merhwùrdigbeilen, etc. c'est-à-dire,
Choses mémorables de F /Egypte ,
ouvrage dans lequel on présente un
extrait raisonné d'Hérodote , de
Diodore, de Strabon ; et des récits
des voyageurs modernes , tels que ,
Shaw, Pococke,Norden, Niebuhr,
Savary ,-etc. (en allemand) , Leipz. ,
17 86 , in-8°.—M. LanglÈs a inséré
dans le troisième volume de son
édition du Voyage de Nord en , une
dissertation étendue qui contient les
récits des auteurs arabes sur les py-
ramides.—White , jEgyptiaca, or
observations on certain anliquiiies
ofEgypt ; Oxford , 1801 , g», in-
40. ; la seconde partie de cet ouvrage
contient une traduction anglaise de
l'Essai sur les Antiquités d'Egyp-
te , composé en arabe par Abdojl-
ZjATIF.
Pyramider ; on dit , cette com-
position , ce groupe pyramide
111.
P Y T 405
bien. Pyramider ou faire pyrami-
der les groupes, c'est les disposer
de façon que les objets forment
réellement' des pyramides , c'est-à-
dire , qu'ils aient plus de base que
de pointe. Toute autre forme, tant
la droite que la circulaire , feroit
un effet monstrueux dans un ta-
bleau. Cette rè^le de faire pyra-
mider les compositions pittores-
ques , est regardée comme un des
grands principes de l'art.
Les régies classiques de la pein-
ture assujétissent à la ligure pyra-
midale les tableaux d'histoire, soit
dans leur ensemble , soit dans cha-
que groupe,en particulier. On n'a
point asservi à celte forme les com-
positions des peintres de bambo-
chades el de sujets pris dans la vie
commune. On a également dispensé
de ce principe les peintres de vues
et de paysages , parce que dans ce
genre, il est rigoureusement dé-
montré que la vérité s'accorde rare-
ment avec, la règle des pyramides.
Les architectes a\)peWt:n\pyramide
d'amortissement, celle qui termine
quehpf ouvrage d'architecture, com-
me on en voit au portail des Petits-
Pères de la place des Victoires ;
1elle est «ncore celle qui termine la
lanterne du dôme des Invalides-
Pyropœcilus Lapis. Voy. Gra-
nité. . .
Pyropus ; nom par lequel les
Grecs désignoient ce que nous ap-
pelons PiUBIS , EscARBOC'CIiE. V-
ces mots.
Pybrhique ; nom d'une espèce
de danse militaire. Voy. Danse.
Pythagoriciens. INom d'une
des deux sectes dans lesquelles se
divisoieut les Théoriciens dans la
musique grecque ; elle porloit le
nom de Pythagore , son chef ,
comme l'autre secte portoit le nom
d'Arisioxéne. Les Pythagoriciens
ti'xoient tous les intervalles tant
consonnaus que dissonans par le
calcul des rapports. Les Aristoxé-
niens , au contraire, disoient s'en
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