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Mondrian, Piet
Le néo-plasticisme: [principe général de l'equivalence plastique] — Paris, 1920

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https://doi.org/10.11588/diglit.25420#0022
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7 —

naturel. Ces deux ne vont pas ensemble : de là, jusqu’à présent, cette
hostilité mutuelle. La Nouvelle Plastique abolit cette inimitié : elle crée
la réunion de tous les arts.

La Sculpture ne peut être plus longtemps la servante de l’Architec-
ture, comme souvent sous l’ancienne conception. Elle n’est plus la repré-
sentation plastique d’idées ou des choses : elle n’existe plus mdrp’no-
plastiquemènt. Par son moyen plastique quasi-abstrait, il est possible
qu’elle devienne l’expression plastique esthétique par l’opposition équilibrée
de l’expansion et du limité, et ceci sans avoir à compter avec les exigences
utilitaires ou constructives.

Si la Sculpture et l’Architecture anciennes fixent jusqu’en un certain
point l’espace autrement vide et indéfini, la Sculpture nouvelle (l’Archi-
tecture nouvelle également) le fait beaucoup plus en réduisant le caprice
du naturel par la composition équilibrée et en portant toute son attention
sur les rapports.

La Sculpture et l’Architecture, jusqu’à présent, anéantissent par la
division l’espace en tant qu’espace. La Sculpture et l’Architecture nouvelles
doivent anéantir l’œuvre d’art en tant qu’objet ou chose.

Chaque art possède son expression spécifique, sa nature particulière
« Tandis que le contenu de tous les arts est le même, les possibilités d’exté-
riorisation plastique diffèrent. Ces possibilités naissent pour chaque art
sur son terrain particulier et y restent cantonnées. Chaque art possède
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