TOMBEAU N
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313. Les sépultures a et b creusées dans le sol du tombeau
présent dans la Vallée des Tombeaux. L’humidité du sol pouvait en une certaine
mesure expliquer l’état incomplet de ces petites sépultures (un petit fragment de
lampe, le manque de plusieurs ossements) ce qui dans d’autres conditions signi-
fierait la violation de la sépulture.
Comment expliquer le fait qu’un escalier aussi large et une cour d’assez vastes
dimensions conduisaient à une petite chambre qui ne correspond pas au type des
hypogées de Palmyre? Il nous semble que ce fait-là offre deux différentes expli-
cations possibles, dont la première, peu vrais semblable d’ailleurs, est la suivante.
À Palmyre on est toujours obligé de prendre en considération l’état très mauvais
des couches souterraines de la terre. On peut donc supposer qu’au cours du creu-
sement de la chambre souterraine on ait dû se rendre compte du danger que pour-
rait produire un écroulement, et qu’alors après avoir creusé la première grotte on
ait décidé d’abandonner les travaux. Mais dans ce cas-là, comment expliquer l’état
parfait de l’escalier, son façonnement avec du plâtre dans certaines parties, tout le
cosmétique enfin, qui comme on le sait, fait d’habitude partie des derniers soins
donnés à la construction du tombeau.
Il nous reste la seconde possibilité d’explication qui nous paraît plus probable,
La famille qui a commencé à bâtir un hypogée à une échelle très considérable —
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313. Les sépultures a et b creusées dans le sol du tombeau
présent dans la Vallée des Tombeaux. L’humidité du sol pouvait en une certaine
mesure expliquer l’état incomplet de ces petites sépultures (un petit fragment de
lampe, le manque de plusieurs ossements) ce qui dans d’autres conditions signi-
fierait la violation de la sépulture.
Comment expliquer le fait qu’un escalier aussi large et une cour d’assez vastes
dimensions conduisaient à une petite chambre qui ne correspond pas au type des
hypogées de Palmyre? Il nous semble que ce fait-là offre deux différentes expli-
cations possibles, dont la première, peu vrais semblable d’ailleurs, est la suivante.
À Palmyre on est toujours obligé de prendre en considération l’état très mauvais
des couches souterraines de la terre. On peut donc supposer qu’au cours du creu-
sement de la chambre souterraine on ait dû se rendre compte du danger que pour-
rait produire un écroulement, et qu’alors après avoir creusé la première grotte on
ait décidé d’abandonner les travaux. Mais dans ce cas-là, comment expliquer l’état
parfait de l’escalier, son façonnement avec du plâtre dans certaines parties, tout le
cosmétique enfin, qui comme on le sait, fait d’habitude partie des derniers soins
donnés à la construction du tombeau.
Il nous reste la seconde possibilité d’explication qui nous paraît plus probable,
La famille qui a commencé à bâtir un hypogée à une échelle très considérable —