EN ALBANIE. aSS
sur son existence ; peut-être n'à-t-elle pas fixé
leur attention*
L'Albanie possède aussi des cavernes, sur-tout
dans les montagnes de la Chimère, et on pour-
rait y trouver la source de l'Eau Royale, dont
Pline fait mention 1.
CHAPITRE XXX.
DÉPART DES FRANÇAIS.JDE SCUTARI. ---- ANTIVAKÏ ,
DULCIGNO. -—.IDEE DE CETTE COTE.---- MONTÉNÉ-
GRINS.—v BOUCHES DE CATARRO. — ARRIVÉE A
. RAGÎJSE. :
Apres avoir séjourné deux jours à Scutari 2, les
Français obtinrent du pacha qui commandait
dans cette ville, la permission d'en partir. Ils
avaient eu à se louer de l'accueil qu'il-leur avait
fait, et il donna ordre qu'on leur fournît un ba-
teau au port d'Antivari, où ils devaient s'em-
barquer, pour se rendre à'Raguse.
Ils quittèrent en conséquence, le 27 mars, le
1 Pun., Lit. it,Chap, 1.
3 Pline l'appelle une ville Romaine. Oppidum •citâtiàt
Romanorum Scordra, à marixvm , M. Pas;, ,éloignée de
dix-huit mille pas de Li mer, et i! dît qu'elles'élevait au
dessus duDrin; ce qui justifierait ce que j'ai rapporté,
anr le changement du lit de ce fleuve. Parti» Hist. Nat.
Liv. ni. Chap. «11.
sur son existence ; peut-être n'à-t-elle pas fixé
leur attention*
L'Albanie possède aussi des cavernes, sur-tout
dans les montagnes de la Chimère, et on pour-
rait y trouver la source de l'Eau Royale, dont
Pline fait mention 1.
CHAPITRE XXX.
DÉPART DES FRANÇAIS.JDE SCUTARI. ---- ANTIVAKÏ ,
DULCIGNO. -—.IDEE DE CETTE COTE.---- MONTÉNÉ-
GRINS.—v BOUCHES DE CATARRO. — ARRIVÉE A
. RAGÎJSE. :
Apres avoir séjourné deux jours à Scutari 2, les
Français obtinrent du pacha qui commandait
dans cette ville, la permission d'en partir. Ils
avaient eu à se louer de l'accueil qu'il-leur avait
fait, et il donna ordre qu'on leur fournît un ba-
teau au port d'Antivari, où ils devaient s'em-
barquer, pour se rendre à'Raguse.
Ils quittèrent en conséquence, le 27 mars, le
1 Pun., Lit. it,Chap, 1.
3 Pline l'appelle une ville Romaine. Oppidum •citâtiàt
Romanorum Scordra, à marixvm , M. Pas;, ,éloignée de
dix-huit mille pas de Li mer, et i! dît qu'elles'élevait au
dessus duDrin; ce qui justifierait ce que j'ai rapporté,
anr le changement du lit de ce fleuve. Parti» Hist. Nat.
Liv. ni. Chap. «11.